Bon, là c’est plus qu’une certitude, Owen me manque. Maisie me manque. Plus le temps passe et plus ça me semble long de vivre sans eux. Ils sont clairement tout ce que j’ai, bon bien sûr sans oublier ma soeur et mes neveux mais ça, c’est une autre histoire. Owen, c’est Owen et Maisie…Maisie c’est ma fille et ça personne ne pourra le changer. Cependant, depuis trois ans, trois longues années, je suis séparée d’eux et chaque seconde qui passe en leur absence me brise le coeur lentement à petit feu et j’ai besoin d’en parler, vraiment besoin.
Par chance, une personne est là pour m’écouter, pour me comprendre sans doute mieux que je me comprends moi-même, c’est comme ça que je la vois en tout cas, je ne sais même pas si j’ai osé lui dire un jour. Layla. Mon regard se pose sur l’horloge. Il est midi. Terminant ce que j’étais en train de faire, je range tout avant de me rendre jusqu’au restaurant du Musée. J’y retrouve comme je m’en doutais Layla, assise à notre table, tout du moins celle où tous nos midis sont passés. M’approchant après avoir pris un plateau avec mon repas que je dépose rapidement dessus, je me dirige vers la table et m’installe après avoir offert une étreinte amicale à Layla.
« Je suis contente qu’on se retrouve pour déjeuner, j’ai vraiment besoin de parler à quelqu’un. » avouais-je alors dans un soupir « ça va toi ? » demandais-je alors.
C'était une journée comme les autres. Le lancement de la nouvelle exposition sur l'Egytpe antique semblait avoir conquis plus d'un et toi, t'étais aux anges de voir qu'on parlait encore et toujours de cette culture fascinante. Une culture qui était tienne, une culture dans laquelle tu avais grandis sous le soleil tapant du Caire. Dans tout les cas, c'était particulièrement joviale de savoir que aujourd'hui encore, on prononçait les noms des plus grands noms de l'Egypte antique. Et toi, tu adorais en parler. Si tu n'étais pas guide, tu adorais savoir que les plus curieux se nourrissaient de savoir. Et tu disais, à qui voulais bien l'entendre que le sarcophage d'Alexandre the Great, tu en avais trouvé la localisation. Si ici, tu avais bien moins de fouille à faire, ton éternel amour restait l'archéologie et tu espérais pouvoir vite retourner fouiller un peu les alentours quand tu aurais un peu plus de temps. Ou que tu aurais retrouvé Marc. Parce que tu savais qu'il adorerait ça. Tu savais qu'il voudrait être là si tu repartais fouiner dans les divers recoins de cette île. Et tu étais certaine que des choses à découvrir, tu en avais. Il y avait sans doute plein de secret encore inconnu qui ne voulait que être révelé au grand jour.
L'heure tournait, et ton estomac te faisait clairement comprendre qu'il était temps pour toi d'aller manger. Lorsque tu regardes l'heure, tu réalises qu'effectivement, il est presque l'heure du rendez-vous quotidien avec la rouquine, Claire. Tu l'aimais bien, et son histoire était fascinante. Qu'on s'le dise, tu adorerais avoir l'opportunité de voir de tes propres yeux les anecdotes qu'elle t'avait racontée parce que c'était fascinant. Des dinosaures. Des actuels dinosaures, vivant et respirant comme tout être vivant. L'archéologue en toi était plus que fasciné par une telle vérité, et si toi, t'étais spécialisé dans l'égypte antique, tu n'en restais pas moins passionée par les autres périodes. Pas toute, mais certaine. Beaucoup.
Tu quittes alors ton bureau et tu traverses le musée jusqu'à la cafétéria, et enfin, tu prends un plateau. Tu t'installes alors à table et tu attends, pitant dans ton assiette en attendant ton amie. Et enfin, elle ne tarde pas à faire son apparition. Tu redresses tes prunelles brunes, toute souriante, attachant alors ta crinière brune en une queue de cheval. – Et c'est un plaisir partagé. Tu dis simplement en lui offrant un sourire des plus amical suite à cette étreinte. – Ca va ! La nouvelle exposition sur l'Egypte cartonne, et c'est un vrai plaisir. C'est surtout plaisant de voir que les gens sont toujours aussi fasciné par l'histoire de ce pays qui est plus que fascinante. Tu commences enfin à manger, souhaitant un bon appetit à la rouquine. – Et toi alors ? Tu m'as l'air un peu au bout du rouleau. Quelque chose ne va pas ? Tu demandes, te pinçant les lèvres et fronçant les sourcils. Ca t'inquiète un peu. Tu te doutes du soucis, mais tu crains tout de même que ton amie soit trop mal. Si toi tu gères l'absence de Marc car t'es habituée avec ses conneries, tu sais que c'est pas le cas de tout le monde. Alors tu demandes, espérant tout de même qu'elle tient le coup.
(c) mars.
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Jeu 26 Mai 2022 - 9:56
Pas de changement aux habitudes
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claire & layla
Après avoir pris mon plateau à la cafétéria, je m’étais installée en face de Layla. J’étais heureuse d’avoir une amie avec qui discuter parce que je dois avouer que plus le temps passait et plus je regrettais la présence d’Owen et de Maisie. Ils me manquaient atrocement et je devais en parler à quelqu’un. Buvant une gorgée, je lève le regard vers l’archéologue avant de finalement prendre la parole « ça c’est sûr. Pour vrai, l’Egypte est toujours un endroit que j’ai apprécié. J’aimerais bien m’y rendre pour de vrai un jour. » énonçais-je à Layla avant de reprendre « Oh moi…On fait aller. » énonçais-je, peu convaincue moi-même.
Passant une main dans ma chevelure rousse, j’attrape ma fourchette avant de manger un peu. Finalement, je lève le regard vers mon amie avant de finir par reprendre la parole « Owen me manque un peu plus chaque jours et notre fille aussi. Je me demande si je vais finir par les retrouver. Ça fait trois ans et j’avoue que c’est dur de faire comme si tout allait bien alors que je me rends compte à quel point j’ai besoin d’eux. Je me sens pas complète sans eux et comment dire qu’avoir dû faire une conférence sur les vélociraptors à l’université m’a fait comprendre qu’Owen était bien le meilleur les concernant et que j’aurais eu besoin de lui… » énonçais-je en faisant la moue alors que je prenais une nouvelle bouchée.
Tu écoutais les dires de ton amie, bien consciente de ce qu'elle traversait. Si l'absence de Marc se faisait ressentir, tu avais l'habitude d'être seule depuis qu'il t'ait lamentablement plantée pendant votre quête pour retrouver le scarabé d'amit. Donc en soit, malgré l'absence parfois pesante de cet homme que tu avais épousé – dont tu ignorais encore beaucoup trop de choses à ton goût et ça, ça t'énervais un peu trop contre lui – tu réussissais à tenir sans sa présence. Mais il y avait des pours et des contres, des moments où tu n'avais qu'une envie c'était de t'endormir, sa tête contre son épaule ou diner tranquillement sur les rebords d'une rivière, en plein désert ou partir à l'aventure comme vous aviez si bien l'habitude de le faire. Alors tu acquiesces d'un simple signe de tête, avant de poser ta main sur la sienne. – Je sais ma belle. Tu dis en regardant la rouquine, petit air atristé au visage. Tu voulais pouvoir l'aider, lui retirer cette peine qui la rongeait mais tu savais que c'était impossible, que même si t'étais présente amicalement ça ne remplacerait jamais le confort d'avoir quelqu'un contre qui être. Tu te pinces les lèvres, commençant à ton tours à manger. – Déjà, je suis certaine qu'il prends soin d'elle. Vraiment. Après tu finiras bien par les trouver, ils peuvent que être quelque part. Est-ce que tu as tenté de voir avec des détectives privés ou un truc du style ? Je suis certaine qu'ils peuvent avoir des potentielles pistes et leur job est de retrouver les gens. Tu devrais peut-être te renseigner, hm ? Tu te doutais que les tarifs n'étaient pas forcément donné mais en soit, qui de mieux pour retrouver quelqu'un qu'eux ? Tu pourrais sans doute partir sur quelque chose de similaire pour Marc, sauf que le connaissant il faudrait plus d'un détective pour le retrouver. C'était un mercenaire, disparaître faisait partie de ses qualités comme de ses défauts. Il savait comment effacer ses traces, mais ce genre de personnes étaient minime et tu doutes que le dit Owen soit ce genre de personne. – Sauf si il sait effacer ses traces, dans ces cas là ça doit être compliqué, crois moi je parle par expérience. Tu déclares l'air un peu las et agacée d'avance. Tu vas sans doute lui passer le pire savon de ton existence, il n'aura jamais connu ça. En soit, tu respectes ses décisions, juste qu'il te les dise une bonne fois pour toute : t'es plus une gamine Layla. Si il veut divorcer, tu peux l'entendre, t'aimerais juste qu'il arrête de te faire poireauté comme une idiote pendant des mois, voir des années pour le coup.
(c) mars.
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Ven 3 Juin 2022 - 15:42
Pas de changement aux habitudes
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Avalant la bouchée que j’avais mise en bouche, je pose mon regard sur Layla et lui souris « Quand on sait que notre relation a Owen et moi était loin d’être toute rose, je me dis que j’aimerais en rire avec lui. » lâchais-je alors en haussant les épaules. Buvant un peu d’eau, je reprends la parole par la suite quand cette dernière m’énonce le fait qu’il se trouve surement avec Maisie, au fond de mon coeur je l’espérais, cette gamine avait déjà tellement perdue que je ne pouvais me résigner à me dire qu’elle est aujourd’hui seule au monde « Non, je t’avoue que je n’ai pas pensé à faire appel à un détective. Ce serait bien la première fois. » avouais-je alors.
C’est vrai que faire appel à un détective pour retrouver Owen et peut être Maisie accessoirement, ce n’était clairement pas une mauvaise idée mais était-ce le dernier recours ? Me pinçant la lèvre inférieure, je lève le regard vers Layla avant de reprendre la parole « J’ai toujours su retrouver Owen, où qu’il se trouve tu sais. » énonçais-je à la jeune femme « il a beau avoir été dans la Marine ou que sais-je encore, il n’a jamais été très doué pour jouer à cache-cache avec moi… » énonçais-je avec un petit sourire. Buvant un peu, je reprends rapidement « enfin sauf depuis la lune rouge ceci dit. » énonçais-je alors « Tu l’as retrouvé toi ? » demandais-je à la jeune femme.
Voir ton amie aussi triste te faisait te sentir si impuissante, et si il y a bien une chose que tu détestais ; c'était l'impuissance. Tu avais toujours été le genre de femmes d'actions, à prendre les devants et à aider autrui mais arrivait toujours un moment où l'impuissance était là. Sans Taweret, sans son armure, tu ne pouvais rien faire de plus que simplement attendre que les choses se passent, et vivre ta vie comme tu avais toi même su le faire. Être l'oreille attentive pour écouter les dires de la rouquine aussi. – Une relation n'est jamais toute rose Claire, sinon c'est tout sauf saint. Tu dis en riant légèrement, c'était difficile d'être constamment sur la même longueur d'onde, d'éviter les disputes et toute autre choses que n'importe quel couple normal vivait. Tant que ça restait dans les limites du raisonnable, évidemment. – Je sais que c'est possiblement intimidant, mais crois moi qu'ils sont assez doué pour retrouver les gens. Enfin, j'imagine. J'ai jamais vraiment fait appel à un d'entre eux, mais ça reste leur job principal, tu sais ? Tu hausses les épaules, tu te doutes que cette option n'enchante pas spécialement la demoiselle mais si ça peut l'aider à retrouver Owen, alors pourquoi pas.
Tu amènes ta fourchette à tes lèvres, laissant tes prunelles brunes observer la rouquine et acquiesçant à chacun de ses mots. Un petit sourire naît au coin de tes lèvres lorsqu'elle te parle du fait qu'il n'a jamais su être bien loin d'elle. Autant dire que ça change de Marc et toi. Déjà, la relation que Claire entretient avec Owen semble plus saine que la tienne. – Cet Owen à vraiment l'air d'être un phénomène en tout cas. Tu dis en souriant légèrement en coin. – J'espère que quand tu l'auras retrouver tu me feras l'honneur de me le présenter. Tu déclares simplement, tu serais curieuse d'entendre les diverses choses qu'il pourrait raconter. Il devait en avoir des choses intriguantes au même titre que Claire et toute ses histoires plus que fascinante. Tu baisses la tête pour manger mais bien vite, sa question te fait redresser le regard tandis que tu aspires une nouille de la manière la moins classieuse qu'il soit. – Hm ? Qui ça ? Marc ? Tu demandes alors. Quelle question Layla, bien sûre Marc. Tu observes la rouquine, tu n'avais peut-être pas été très toujours très claires et tu n'avais pas forcément parlé des soucis de votre relation car la rousse avait probablement d'autres choses à penser. Tu hausses les épaules, balayant la tête de gauche à droite. – Nope. Mais ça m'étonne qu'à moitié. J'veux dire, Marc est … compliqué. Très compliqué. J'ai fini par arrêté de le chercher et je le laisserais venir à moi simplement car il m'a déjà fait le coup de disparaître comme ça sans donner de nouvelles. Et le soucis c'est que .. c'est un mercenaire et qu'il change d'identité comme de vêtements. Tu regardes autour de toi, comme pour t'assurer que personne ne t'écoute. – Donc j'le laisse venir à moi. En plus il a un trouble dissociatif de l'identité, et son autre alter, Steve, est un véritable nerd de l'égypte antique. Quand il sera décidé à se pointer, il viendra de lui même. Donc si un jour tu croises un gars typé avec un fort accent anglais super awkward qui raconte des trucs qui paraissent stupide, appel moi. C'est probablement Steve, qui cherche son chemin. Tu acquiesces, petit sourire amère au coin des lèvres. T'en voulait pas trop à Steve, mais t'en voulait à Marc, parce qu'il te faisait vivre ça encore une fois. Mais il avait sans doute le costume. Tu savais pas. T'espérais en tout cas.
(c) mars.
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Lun 13 Juin 2022 - 12:19
Pas de changement aux habitudes
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J’étais triste. Oui. Depuis trois ans, j’étais triste parce que j’ignorais où se trouvait Owen. J’ignorais où se trouvait l’homme que j’aime le plus au monde et notre fille, notre Maisie. Prenant une bouchée, je prends le temps d’avaler avant de lever le regard vers Layla et lui souris légèrement « Oh oui, je le sais trop bien ça. » énonçais-je alors avant de reprendre « mais disons que se faire poursuivre par des dinosaures et risquer de se faire bouffer toutes les cinq minutes, ça vous soude un couple. » énonçais-je avec un petit sourire.
Il est vrai que les choses n’avaient pas été simples entre nous au départ mais avec ce que nous avions traversés, notre amour avait été clairement plus fort que nos premiers aprioris. J’étais dingue de lui par le passé, je le suis encore aujourd’hui et je le serais encore dans cinq cent ans. Finalement, nous en venons à parler de détectives privés qui pourraient peut être m’aider à le retrouver. Pour tout dire, je ne faisais pas vraiment confiance à ce genre de personnes, tout du moins, je n’y avais jamais vraiment pensé…bref, je me questionnais… « Tu as sans doute raison, je devrais faire appel à l’un d’eux, je ne perds rien à tenter je suppose. » énonçais-je à la jeune femme.
Plantant ma fourchette, je la ramène ensuite à mes lèvres et prends le temps de manger un peu avant de rire légèrement « Un sacré phénomène oui ! Mais je me ferais un immense plaisir de te le présenter quand je l’aurais retrouvé parce que c’est quasiment sûr que je risque de ne plus le quitter d’une semelle. » énonçais-je en me grattant l’arrière du crâne. Attrapant du pain, j’en dévore la mie avant de ramener mon regard sur Layla « D’accord, j’y ferais attention alors. » énonçais-je quand elle me parle du TDI de Marc « ça ne doit pas être facile tous les jours, tu as toujours réussi à gérer les deux ? » demandais-je à cette dernière.
Tu peux pas t'empêcher d'exploser de rire, il fallait avouer que tu avais du mal à imaginer quel type d'effet ça faisait, que de se faire poursuivre et manquer de se faire bouffer par des dinosaures. Tu acquiesces d'un signe de tête tout en terminant de mâcher ton sushi. – Je ne peux qu'imaginer ce que ça doit faire comme sensation. Tu rigoles avant de prendre une longue gorgée de ta boisson. – Racontes moi comment ils sont. Les dinosaures tout ça. Je suis vraiment curieuse, je sais pas si j'aurais pas envie d'en voir un en vrai pour tout dire. Tu demandes, des étoiles dans les yeux. Il faut avouer que c'était excitant, de se dire qu'une telle espèce pouvait encore être vivante. Il t'en avait pas fallu beaucoup pour y croire, après tout, tu venais d'un endroit où un New York s'était fait envahir par les aliens, où ton mari était l'avatar d'un dieu égyptien, toi même tu en étais devenue un, et où la moitié de la population avait été effacé pour finalement réapparaître cinq ans plus tard. Qu'on s'le dise, niveau trucs fous, t'en avait vu. Alors ça t'étonnerait pas, ça te fascinait même. Donc tu étais curieuse d'en savoir plus. – Et si tu veux, je te raconterais deux trois trucs de là ou j'viens. Parce que perso on a des aliens, des dieux égyptiens et nordiques, des gens avec des pouvoirs un peu chelou. Tu manges un nouveau sushi tout en réfléchissant légèrement. – Mais c'est pas aussi cool que des dino, j'avoue. Tu ris en observant la rouquine devant toi.
Tu acquiesces d'un simple signe de tête, espérant sincèrement que ton amie réussirait à retrouver ce dit Owen. – C'est tout ce que je te souhaite. Je suis la première à dire qu'on a pas besoin des hommes et qu'on est très bien capable de prendre soin de nous toute seule mais … ça fait du bien, d'avoir une épaule sur laquelle se poser, de temps en temps, tu sais. Juste .. relâcher l'armure. Et c'était ce qui te manquait le plus actuellement, même si, encore une fois, tu étais parfaitement indépendante et il t'en faudrait vraiment beaucoup pour ne pas te complaire de ta tranquillité. Mais Marc restait ton mari, et si tu l'avais épousé c'était pour une raison précise. Parce qu'il t'apportait cette paix, malgré cette prise de tête constante qu'il était. D'ailleurs, quand le sujet rebondit dessus, tu balaies la tête de gauche à droite. – Au début de notre relation, y a eu aucun signe. Il était tout ce qu'il y a de plus normal. Puis sans vraiment savoir pourquoi, un jour il a disparu et quand j'ai réussi à le retrouver, j'ai fait la rencontre de Steven Grant. Son alter. C'est un peu bizarre, parce que on s'y attends pas toujours. Mais Steve a pu débloquer certaines choses, m'avouer des choses que Marc ne voulait pas admettre. Tu avoues simplement en repensant à cette fois où il t'avait simplement dit que Marc voulait te protéger de Khonshu. – Et puis c'est un peu deux pour le prix d'un, tu vois ? Même si je vais pas te mentir, c'est pas facile tout les jours surtout que même si je connais très bien Marc, j'apprends encore à connaître Steve alors. Well. Tu te pinces les lèvres et hausser les épaules. – Et c'est vraiment impressionnant mais … j'les aime vraiment bien malgré tout. Enfin, j'aime Marc et je tiens énormément à Steven. J'arrive pas à dire si c'est de l'amour parce que j'ai un peu l'impression de .. enfin, je sais pas c'est …. bizarre. Tu dis sans vraiment être certaine d'être claire dans tes pensées et ton ressenti vis à vis de Steve.
(c) mars.
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Ven 17 Juin 2022 - 15:42
Pas de changement aux habitudes
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Un petit rire m’échappe alors que je porte mon verre à mes lèvres. Buvant une gorgée, je reprends rapidement la parole.
« Impressionnants. Ouais clairement, ils sont hyper impressionnant et étonnement, toujours PLUS gros. » avouais-je alors « Mais ça c’est parce qu’on a joué avec la génétique. On avait de tout dans le parc, T-Rex, Raptors, herbivores, carnivores, puis on avait même un mégalodon. Imagine le truc, ça faisait la taille d’un requin blanc multiplié par vingt, tu vois le genre. Mon assistante s’est fait bouffée par un ptérodactyle lors du gros bordel du parc en 2015. Enfin, elle a failli se faire bouffer par un ptérodactyle, si je me souviens bien, ils ont fait joujou avec elle et au final, elle a fini par se faire bouffer vivante par le mégalodon. » avouais-je à la jeune femme « mais quand tu te trouves face à un T-Rex, disons que tu vois ta vie défiler devant tes yeux. On avait fait l’erreur de créer des dinosaures avec des mutations, ils étaient encore plus gros, encore plus imposants, mais surtout encore plus dangereux…et pour finir quand on les a sauvé du volcan d’Isla Nublar, a la fin…on les a libéré dans la nature…ouep. Avec les humains…Je pourrais même pas te dire ce qu’il s’est passé ensuite parce que j’en sais fichtre rien. » avouais-je alors « mais j’espère pour toi que tu n’aura jamais à te retrouver face à un dinosaure. » avouais-je alors.
Attrapant une bouchée, je prends le temps d’avaler avant de reprendre rapidement la parole.
« Des aliens ? Sérieux ?! Vas-y raconte moi tout ça ! » énonçais-je, ma curiosité piquée « oh tout est cool tu sais. » énonçais-je alors.
Buvant un peu, je lève le regard vers la jeune femme et lui souris quand elle me rassure en me disant qu’elle espérait que je le retrouve. Je sentais vraiment que j’avais besoin de lui parce que je l’aime, oh oui je l’aime encore plus que je n’aurais pu l’imaginer. Je ne tarde pas à lui demander des informations sur son cher et tendre. Un petit sourire apparaît sur mes lèvres avant que je ne reprenne la parole.
« Je vois ce que tu veux dire. » énonçais-je alors « Et je comprends que tu trouves ça bizarre, mais dis toi finalement que c’est tout bonnement deux facettes de Marc et que tu ressens quelque chose de particulier pour chacun d’eux. Tu verras sans doute avec le temps ce que ça représente vraiment pour toi. » énonçais-je avec un sourire.
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