Annabeth appréciait sa vie ici, elle avait un job qu'elle aimait beaucoup, la passionnait même et elle avait son âme sœur Percy avec elle dans ce monde, elle l'aimait plus que tout et était si heureuse de l'avoir à ses côtés, elle avait entendu parler que certaines personnes arrivant ici étaient malheureusement séparées des leurs alors elle s'estimait heureuse. Ils avaient une belle maison au bord de la mer et même un chien. La jeune femme avait retrouvée l'un de ses amis, Nico et avait fait de belles rencontres, vraiment elle n'avait rien à dire. Cependant, ce jour allait la faire légèrement changé d'avis.
Annabeth et Percy avaient décidé d'acheter de nouvelles décorations pour leur habitation, ils cherchaient quelque chose qui change un peu d'ordinaire et avaient donc fait quelques recherches sur internet. Annabeth avait trouvé une petite boutique en dehors de la ville qui faisait de magnifiques sculptures, en pierre et elle s'était donc dit qu'elle en pourrait en mettre une grande devant la maison, sur leur entrée et pourquoi pas une plus petite à l'intérieur. Son fiancé avait approuvé et elle avait donc décidé d'aller dans cette boutique sur un de ces jours de congé. La jeune blonde avait prit sa voiture et s'était dirigé vers le lieu dit, un peu en retrait de la ville. Une belle devanture se trouvait devant elle puis elle entra à l'intérieur, une petite sonnette retentit lorsqu'elle passa le bord de la porte. "Bonjour, il y a quelqu'un ?" Ce qu'Annabeth pouvait observer autour d'elle se trouvait être pile ce qu'elle recherchait, de jolies petites et grandes sculptures, il y avait du choix.
Medusa pourrait au final s’y faire à sa nouvelle vie. De toute manière, en avait-elle le choix ? Voila un long moment qu’elle vivait dans ce nouveau corps semblable au tout premier qu’elle eut. Plus de malédiction, plus de persécution des dieux ni de morts douloureuses en boucle. Elle avait tout pour vivre heureuse et menait une existence banale. Pourtant, elle ressentait comme un grand vide en elle. Un vide qu’elle cherchait à combler via son art dont elle s’était rapidement perfection pour compenser la perte de son don. Si la malédiction d’Athéna était lever, l’ancienne gorgone éprouvait encore cette obsession pour son ancien amant. Et le désir de vengeance était toujours très fort dans son cœur.
C’était plus fort qu’elle, Medusa repensait à ce grand moment dont elle rêvait de revivre encore. Elle fut l’élue d’un dieu très puissant et par jalousie, on lui avait tout prit. Athéna aurait put se contenter de bannir sa servante au lieu de créer une arme incontrôlable qui punirait tous les mortels. Les dieux étaient si cruels que Medusa se disait être un ange en comparaison d’eux. Ses souvenirs de plaisirs se changèrent peu à peu en ceux de sa maltraitance, de sa peur, de sa colère. Elle tapait la pierre au rythme des cris qui raisonnaient dans sa tête, des mots du mauvais sort qu’on lui jetait. C’était comme si tout était récent, que la voix des dieux fut tout aussi puissante lors de son jugement. Qu’elle ne pouvait rien faire, se rappelant qu’elle était vulnérable, n’ayant pas droit à la moindre défense. Un procès fait à la va-vite pour ne laisser aucun témoin venir plaider en sa faveur.
Crue t’elle entendre quelqu’un l’appelait, la gorgone eut un instant de déconcentration et son marteau frappa le dos de sa main. Medusa lâcha un cri de douleur, ce qui la fit sortir de ce « songe » tourmenteur. Elle massa sa main. Le gants avait sans doute amortis le choc, mais la douleur restait présente. Elle fit une grimace pour contenir celle-ci, et quand elle retrouva assez de maîtrise, alla voir sa visiteuse.
"Oui bonjour." Lui répondit-elle sur un ton glaçant, mais qu’on pourra mettre sur le compte de la douleur encore fraiche qui trafiquait ses émotions.
Medusa fut d’un coup stupéfaite une fois de plus de tomber sur une jeune femme blonde aux yeux d’un bleu si particulier. Avant, la gorgone jalousait toutes les belles femmes qui avaient l’audace de lui ressemblait de part le passé. Elle voulait donc toutes les changer en pierre pour garder un souvenir de sa gloire passer ainsi. Aujourd’hui, cette habitude était morte comme son pouvoir. Et puis, elle avait retrouver sa splendeur dentant sans plus avoir à envier celle des autres. En tout cas, en apercevoir une autre avait encore son petit effet.
Mais c’était autre chose qui interpellait la gorgone. Les yeux. On pouvait décrire ceux de n’importe qui de nombreuses manières, mais ceux de la potentielle cliente furent… Singulier et familier. C’était comme si Medusa la reconnaissait et fut frappait d’un horrible doute. Quoi qu’il en soit, la sculptrice retrouva un peu de son calme et pensa jouer à une sorte de petit jeu pour vérifier les pensées qui lui venaient à l’esprit.
Annabeth trouvait les lieux calmes, serein et dégageant quelque chose de familier. La jeune femme n'était jamais aller dans cet endroit et pourtant il y avait quelque chose. Alors qu'elle était rentrée dans la boutique et avait demandé si il y avait quelqu'un, elle entendit une personne émette un cri de douleur, surement qu'elle avait du lui faire peur. Annabeth se senti mal à l'aise d'avoir dérangée la personne qui était surement en train de faire des sculptures mais en même temps elle devait être dérangé afin de faire fonctionner sa boutique. La femme apparu alors dans l'entrée et lui répondit sur un ton assez froid, ce qui montrait qu'elle s'était bien fait mal "Je suis vraiment désolée, je vous ai surpris et vous vous êtes fait mal." Annabeth s'excusa tout de même, la femme en question avait un regard qui troubla légèrement la jeune blonde pendant un instant du moins puis elle afficha un grand sourire afin d'exposer sa demande. Cependant la femme en question la regardait avec insistance, est ce que par hasard, elles se connaissaient ? Ce qui étonnait beaucoup Annabeth car à preuve du contraire elle avait gardé ses souvenirs de sa vie d'avant en arrivant dans ce nouveau monde et elle ne la connaissait guère alors c'était vraiment bizarre cette situation, étrange même."Et bien je compte changer un peu la décoration de chez moi et je serai intéressée par vos sculptures." Son interlocutrice était devenue plus calme même si elle n'avait aucun sourire en vue.
Medusa avait du mal à décoller son regard du sien. C’était troublant car elle avait l’impression de la connaître. Ou de la reconnaitre. Ces yeux d’un couleurs pairs, ces longs cheveux d’un blond angélique. Elle les avait déjà vue quelque part, quelque chose en elle était comme… Agité. La gorgone ressentait une forme de malaise, d’une colère sans raison, mais elle sut garder toute contenance. Quand cette nouvelle cliente lui parla pour exposer ses excuses, la sculptrice retrouva un peu de ses esprits et arriva à détourner son regard d’elle.
"Ce n'est rien... Ce sont les risques du métier." Répondit-il sur un ton plus serein, mais m’arrivant pas à chasser cette étrange impression.
Medusa questionna sur les raisons de sa venue ici. Bien sûr, elle s’attendait à ce que comme à chaque fois, on vienne lui commander une ou deux sculptures. Mais les gens ont tous des gouts sur différends, une idée en tête et la gorgone voulait savoir le projet de cette jeune femme mystérieuse. Bien entendu, cette dernière confirma cette idée de venir chercher quelques objets de pierres. Medusa retrouva tout son professionnalisme, mais garda un œil sur sa visiteuse.
"Bien entendu. Je propose différends modèles et styles selon les goûts ainsi que les besoins. Vous voudriez décorer un endroit en particulier chez vous et avez une idée de ce que vous recherchez ?"
En peux de temps, Medusa a sut développer son talent dans la sculpture en compensation de la perte de son véritable don. Comme si un dieu ne voulu la laisser au dépourvue, la jeune femme se trouva aussi douée que Pygmalion. Elle arrivait depuis à concevoir des statues de différentes formes et tailles. Déjà, de nombreuses créations nées de sa main, se trouvaient aux quatre coins de l’île, en sachant que cette dernière ne faisait que changer de taille et de forme.
Annabeth trouvait trouvait à présent la situation légèrement bizarre, la sculptrice la fixait et ne pouvait détourner son regard d'elle c'est comme ci elle l'observait afin de trouver qui était-elle, comme ci les deux jeunes femmes se connaissaient. Lorsqu'Annabeth s'excusa, Médusa détourna le regard et lui répondit que ce n'était rien et que c'était les risques du métier. "Bien, je me présente je m'appelle Annabeth Chase." La jeune blonde voulait se présenter dans les formes, puis elle donna son projet de redécorer son chez soi, sans vraiment d'idée apparente, elle savait tout de même qu'elle mettrait bien une ou deux statues dans son hall d'entrée. Son interlocutrice, retrouvant un professionnalisme, la questionna sur le lieu et le style de ce qu'Annabeth recherchait. "Ca serait pour mettre une sculpture dans le hall d'entrée et une autre dans le petit jardin, après pour le style je n'ai pas vraiment d'idée. Je suis allée sur votre site et j'ai vu pas mal de choses qui m'intéresse, je peux vous dire que vous avez un sacré talent." Lui répondit-elle avec un sourire, le petit jardin se trouvait sur le côté gauche de la maison et donnait ensuite sur la plage alors il y avait le choix. Annabeth trouvait vraiment que le travail de la jeune femme était d'un précis, de plus elle avait entendu parler qu'elle avait travaillé sur quelques sculptures se trouvant dans cette ville là. Etant architecte et créatrice elle aussi de monuments, elle ne pouvait que comprendre le travail fourni. Cependant le côté calme et serein que la demi-déesse avait ressentie en arrivant avait laissé place au doute, elle ne pourrait pas dire pour quoi mais il y avait quelque chose qui planait ici. Devait-elle se méfier ?
Ses yeux, ses cheveux… Tout lui rappelait l’impétueuse déesse qui eut la malveillance de la maudire. Pour elle, il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait d’Athéna réincarnée. Encore, les longs et beaux cheveux blonds, tout le monde pouvait en avoir. Mais des yeux comme les siens, ca c’était beaucoup plus rare. C’était le signe qui trahissait selon elle. Et la gorgone en plus d’être frappée par cette folie née de sa malédiction, était persuader. Bien entendu, la jeune n’allait pas se présenter sous le nom d’Athéna, mais d’Annabeth Chase. Son prénom aurait presque put sonner pareille, preuve de la sournoiserie de la déesse.
Mais Medusa ne voulait pas de suite se jeter sur elle pour lui arracher les yeux. Si elle était convaincue de l’identité de qui elle avait en face d’elle, la gorgone aurait aimer que la pseudo déesse fasse un faux pas avant. Histoire de confirmer et justifier la possible tentative de meurtre. Alors elle joua le rôle de la gentille sculptrice professionnelle, qui eut juste un léger moment d’égarement à cause de la fatigue du travail. Elle pourrait en profiter pour en apprendre un peu plus et ainsi mieux savoir comment la piéger.
"Je vous remercie. Le compliment me va droit au coeur." Disait-elle en jouant un sourire. Elle ne savait pas que son site était visité. Au moins, cela avait le mérite d’encourager ses efforts pour s’adapter à la vie moderne.
"Les gens ont tendance à choisir une sculpture en se disant seulement qu’elle irait bien car elle est jolie." La gorgone commença à se déplacer entre les différentes sculptures qui ornait son entrée comme si elle voulait présenter ses différentes pièces exposés. "Mais ils ne comprennent pas qu’une statue à toujours une signification. Un sens, un message qu’on veut transmettre à tout ceux qui viennent la regarder." Elle disait cela en contemplant justement les quelques humains et animaux de pierre qui peuplaient sa boutique, accordant de temps à autre un regard à Annabeth. "Ce n’est peut-être que de la pierre froide. Mais elles ont une âme. Une histoire à raconter. C’est comme adopter un chien il faut être sur de son choix et ne pas le renvoyer au chenil si on est déçus."
Inutile d’expliquer l’affinité qu’avait Medusa pour les statues, même si celle-ci, n’avaient rien à voir avec celles qu’elle pouvait créer en un clignement de paupière.
Lorsqu'Annabeth se présenta, son interlocutrice ne dit rien et ne présenta pas en retour, la jeune blonde se demanda pourquoi était-elle aussi froide et en même temps elle avait l'air si sympathique. Si la jeune femme la connaissait elle lui aurait dit non ? Car plus elles se parlaient, plus Annabeth pressentait quelque chose. "Et vous comment vous vous appeler ?" Puis la demi-déesse complimenta le travail de son interlocutrice, son site qui était d'ailleurs bien tenu montrait nombreuses de ses sculptures démontrant son talent et c'était grâce à ça que la jeune blonde était parvenue ici. Médusa lui répondit avec un sourire comme quoi elle était touchée par ce compliment. "Je vous en prie, tout est de votre mérite." Lui répondit-elle avec un sourire. Puis Annabeth lui exposa son plan de décoration de sa maison afin de mettre une de ses œuvres dans le hall d'entrée et une autre dans le jardin sans vraiment avoir de style défini. Médusa fit le tour de ses œuvres comme si elle voulait les présenter et fit la remarque que les gens achetaient des sculptures simplement parce qu'elles sont jolies sans comprendre la signification et le message apportée à travers ces œuvres. La grande blonde contemplait ses statues en énonçant cela et en accordant de temps à autre un regard à Annabeth. Cette dernière pouvait ressentir la passion de Médusa pour ses statues qui selon elle ont tous une âme et ont une histoire à raconter comparant cela à un chien qu'on adopte et qu'on ne doit pas abandonner ensuite si on n'en veut plus. Ceci cela fit ramener Annabeth à la réalité, ce à quoi elle était en train de penser ne pouvait pas être vrai pas après trois ans à vivre une vie normale sans souci. Elle qui était si intelligente ne pensa pas une seule seconde se retrouver dans le repère de Méduse mais cette femme en face d'elle n'était pas Méduse, une femme enlaidie par la malédiction de sa mère ayant des serpents en guise de cheveux, elle ignorait son nom en plus alors cela n'aidait pas ses doutes. La jeune blonde devait vérifier son hypothèse. "Oui il y a souvent des messages cachés pour ceux qui les achètent ou encore les créer. Et vous je sens que c'est le cas tout particulièrement. C'est si froid la pierre mais si plaisant à regarder." Allait-elle réagir à ses propos ?
Plonger dans la tête de la Méduse, pour elle il s’agissait de nul autre que d’Athéna qui se tenait en face d’elle. Cette déesse aux milles perfidies eut l’intelligence de se cacher derrière un masque de faux sourire et un faux noms. Mais ses yeux eux la trahissaient. Elle pouvait prendre n’importe quelle apparence pour tromper les plus crédules, la personne attentive elle, verra ce détail qui ne trompait pas. Et pour quelqu’un d’aussi obséder par le regard, la ruse de la déesse vierge ne pouvait la prendre au piège. Mais ! La voila qui lui demandait son nom. Medusa pensait qu’il figurerait au moins sur son petit site. Soit Athéna l’eut ignorer, ou bien la testait. Quoi qu’il en soit, la gorgone allait jouer le même petit jeu qu’elle et éviter de trop se trahir.
"Mademoiselle Hearthstone."
Du fait qu’elle n’était pas mariée et qu’elle retenait la déesse Athéna pour principale responsable. Il est vrai que se marier ne la tentait pas à l’époque. Elle se disait qu’elle voulait profiter de la vie et comme elle était une prêtresse devant préserver sa pureté, avoir un mari et des enfants n’était pas envisageable. En tout cas, ce bonheur lui sera à jamais retirer à cause de la jalousie maladive des Olympiens. Elle aurait sans doute mieux fait de devenir paysanne ou quelque chose qui passait inaperçu pour ne pas attirer l’attention de ces dieux.
Passons donc l’épisode des flatteries qui paraissaient du coup tellement fausses pour la gorgone, juste chercher à l’amadouer, Medusa parla avec passion de son travail. Une façon aussi de mettre la puce à l’oreille. Peut-être que cela marchait ou non, en tout cas pour la jeune femme il était clair qu’Athéna eut déjà tout comprit et cherchait à la tester. Les deux femmes étaient comme deux lionnes qui se tournaient autour, attendant de voir la quelle allait attaquer en premier. Chacun attendait le signale pour frapper. Ce qu’aimerait surtout savoir la sculptrice, c’était à quel point la déité avait perdu ses pouvoirs. Était-elle vulnérable ? Mortelle ? Il n’était jamais facile de tuer un dieu, dans son monde quand ils tombaient du champ de bataille, c’était pour revenir se battre jusqu’au bout. Mais ici, les règles semblaient quelques peu différentes.
"Froide oui…" Comme peut l’être l’âme des gens et de ceux qui les dirigent. Dépourvue d’émotions et d’attachement. Pourtant… Ces statues sont plus fiables que les hommes et les dieux car jamais elles ne vous trahissent ni ne vous abandonnent. Elle ne vous jugent pas et acceptent votre compagnie.
La jeune blonde n'avait pas fait attention au nom de son interlocutrice se trouvant sur son site, elle était tellement absorbé par les peintures qu'elle n'y voyait que du feu, cependant lorsque cette dernier donna son nom, Annabeth fut convaincu d'une chose, il y avait un truc qui clochait pas dans le nom bien sur mais l'atmosphère qui régnait avait l'air de se refermer sur elle, il fallait qu'elle en sache plus. "C'est anglais ?" Puis après les compliments, Médusa parla de son métier comme une passion, présentant ses œuvres une par une, exprimant les faits comme quoi ces statues sont bien plus que de la pierre froide sans âme. Elles ont un coeur, permettent de transmettre des messages, Cette dernière déambulait entre ses statues, Annabeth la suivait afin de comprendre un tant soit peu l'amour de Médusa pour ces précieuses statues. Il n'existait pas plusieurs personnes ayant cette passion, ce qui en plus mit le doute à la demi-déesse, elle avait une hypothèse mais elle n'était pas sur imaginons qu'elle n'était pas celle qui avait été piégée par Athéna, qui se trouvait en face de la blondinette, ça serait vraiment un moment de gêne total. Annabeth essaya d'aller dans le sens de la jeune femme, elle écouta Médusa parler en détaillant ses paroles dans sa tête. "ceux qui les dirigent", "plus fiables que les hommes et les dieux", tout ça résonna dans la tête de la jeune blonde, Médusa insista que le fait que les statues ne trahissent ni ne jugent autrui et acceptent la personne telle qu'elle est. Annabeth en était sur, le discours porté par son interlocutrice était celui de Méduse ! Sans aucun doute. Athéna jalouse comme elle est, a maudit cette pauvre jeune femme pour qu'elle perde toute beauté et hérite de serpents en guise de coiffure, où étaient ces derniers alors ? Surement que ce monde lui avait retiré cette malédiction comme les personnes ayant perdu leur pouvoirs. Les deux jeunes femmes savaient à présent qui elles étaient l'une pour l'autre car Médusa avait reconnu Annabeth dès le début, mais ce que la jeune blonde ne savait pas c'est que cette dernière la prenait pour sa mère. Qui allait donc attaqué en premier ? "Bon on ne va pas tourner autour du pot pendant 100 ans, tu ne pense pas Méduse ?" Okey Annabeth était prête pour la suite des choses mais il fallait qu'elle sache la vérité et si c'était bien le repère de Méduse, elle était dans la merde, quoique si elle avait voulu la changer en pierre, elle l'aurai fait dès le début non ?