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Comme une soeur | Daphne

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Anonymous

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Mer 23 Mar - 13:51


❝Violette & Daphne❞ Comme une soeur

Je m'estime être quelqu'un de sociable, ou du moins n'ai-je pas vraiment de difficultés à me rapprocher des autres, pourtant, au moment de me lier d'amitié avec qui que ce soit, j'ai toujours des réserves que je ne parviens pas à dissimuler, et que j'ai du mal à dépasser, peu importe les efforts que je saurais fournir pour aller au-delà de cette impression négative que les choses vont forcément mal se passer... J'aimerais dire que ce n'est qu'une impression de ma part, et qui n'a aucun fondement, mais un concours constant et malencontreux de circonstances ont eu tôt fait de me prouver que ce n'était pas qu'une simple impression de ma part.

Je ne peux qu'avoir une pensée pour les Quagmire, souvent je me suis demandé ce qu'il serait advenu d'eux s'ils n'étaient pas tombés sur nous... Ils auraient peut-être connu malgré tout leur propre succession d'événements malencontreux, mais j'ai bien peur que les Baudelaire portent malheur à toutes les personnes qui les entourent.

Nous avons perdu trop de personnes que nous aimions, nous avons trop souvent dit adieu, alors naturellement, presque malgré moi, j'ai appris à prendre mes distances... Et ce même si par conséquent, et plus encore en l'absence de Klaus, Prunille et Beatrice, je me sens seule, terriblement seule. Tenir les autres à l'écart, oui, mais je suis humaine, et ceux que je laisse entrer dans la vie prennent par conséquent, et presque immédiatement, une importance sans pareille à mes yeux. C'est le cas de Daphne Bridgerton.

Je ne saurais plus dire exactement quand et comment a commencé notre amitié, ce que je peux dire en revanche, c'est qu'elle m'est d'une importance primordiale. Daphne est devenue, au fil du temps, quelqu'un que j'assimilerai à une grande soeur. Peut-être que ce sentiment de familiarité me vient de sa vive intelligence, de son goût pour les livres qui me font irrésistiblement penser à Klaus : ce que je sais, quoi qu'il en soit, c'est que quand je me retrouve à ses côtés, je me sens immédiatement moins seule. Et ça me réconforte par bien des aspects.

C'est tout naturellement que nous nous sommes données rendez-vous au Central Perk, qui est un de nos lieux de prédilection pour bavarder tranquillement autour d'une bonne boisson chaude. Arrivée en avance, je l'attends à une table près de la fenêtre, le regard dans le vague jusqu'à la voir arriver. Je lui adresse de grands signes pour signaler ma présence.

❝Salut ! ça me fait plaisir de te voir.❞
Je me lève la serre brièvement dans mes bras, avant de me rasseoir. ❝Comment tu vas ?❞  


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Invité



Dim 27 Mar - 20:59


@Violette Baudelaire & Daphne❞ Comme une soeur

Daphne, dans le monde qui était le sien avant cela, n'avait pas peur de faire de nouvelles rencontres, bien qu'elle soit beaucoup là pour sa famille. Elle aimait rencontrer de nouvelles personnes et c'est la première chose qui lui a plut ici. Bien que, encore aujourd'hui, la vie dans de jolies demeures, dans des rues pavées, cheval trottant, lui manquaient énormément. Sa mère lui manquait infiniment. Lorsqu'elle se sentait mal elle allait la voir. Elle était sa confidente, son pilier. Son père étant décédé une dizaine d'années plus tôt, elle ne pouvait lui donner ce titre. Sa mère faisait office d'un peu tout. De mère, de père, de confidente, de meilleure amie. Mais ce n'était plus le cas aujourd'hui. Quoi que les lettres qu'elle lui écrivait étaient importantes et restaient une certaine façon de garder ce lien avec elle. Bien que les lettres n'arrivaient jamais dans les mains de leur destinataire. En tout cas, ici, elle avait prit ses habitudes. Elle prenait un café dans le meilleur café de la ville, faisait du shopping moderne (qui l'avait surprise en arrivant) et traînait à la bibliothèque, lisant et étudiant. Elle y avait donc rencontrés des personnes et jamais elle n'avait été fermé avec quelqu'un.

Violette n'y a pas fait exception. La seule chose différente était leur lien. Leur lien qui s'apparentait à un lien « petite sœur/grande sœur ». Daphne avait des sœurs, des petites sœurs qui plus est, mais elle les avait perdu. Elle se sentait mal à cette idée, mais la jeune femme lui redonnait le sourire. Elle était un peu le rayon de sa journée. Lorsqu'elles se voyaient, on pouvait voir le lien fort qu'elles partageaient. Elles étaient importantes l'une pour l'autre, le savaient très bien, et la blonde ne faisait que la remercier quand elle était un peu trop sentimentale. Elle avait toujours un mot pour la brune, le soir, avant de se coucher. Un petit « dors bien » ou « fais de beaux rêves ». Il s'agissait de la façon qu'avait Daphne de jouer ce rôle de grande sœur qui n'en était plus un. C'était si naturel. Le côté « rôle » n'avait plus rien de présent. Pour la jeune femme, un rôle est un peu comme un personnage que l'on tient. Tout dépend de la personne en face et de sa compréhension, mais elle avait une certaine façon de penser qui ne mettait pas toujours tout le monde d'accord. Peu importe, ce à quoi nous voulons en venir est à cela : elle aimait profondément Violette qui s'était fait une place toute particulière dans la vie de Daphne.

Et il fallait qu'elles se voient. Peu nombreuses étaient les semaines où elles ne se voyaient pas au Central Perk. La blonde s'y rendit donc et, en voyant la brune, afficha un sourire sincère sur le visage. « Oh, Simon m'en fait voir de toutes les couleurs mais je vais bien ! Et toi ? ». Elle demanda un chocolat chaud, ayant envie d'une petite douceur. Le chocolat ferait l'affaire. « C'est moi qui paie, fais toi plaisir ! » dit la jeune femme à Violette. Daphne était enthousiaste. Peut-être un peu trop énergique également. Mais on l'aime pour ça, non ?
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Anonymous

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Mar 29 Mar - 14:45


❝Violette & Daphne❞ Comme une soeur

❝Comme d’habitude, quoi❞,
je fais en souriant quand mon interlocutrice m’apprend que Simon lui en fait voir de toutes les couleurs. Ce n’est pas une nouveauté, en ce qui la concerne, on pourrait même dire que c’est une constante, et le jour où ce ne sera plus le cas Violette veut croire que ça manquera tout naturellement à son interlocutrice.

❝Oh, tu n’es pas obligée, vraiment❞,
dis-je avec reconnaissance quand Daphne me propose de prendre ce que je veux. Je pourrais insister, mais je sais qu’elle le fait de bon cœur, et je saurais me rattraper plus tard, je m’en fais la promesse. ❝Mais merci beaucoup », j’ajoute en décidant de jeter mon dévolu, pour ma part, sur un bon chocolat chaud.

L’enthousiasme de Daphne, comme bien souvent, me fait chaud au cœur. Elle est un concentré de bonne humeur, et j’en ai bien besoin. D’autant que la morosité a trop souvent tendance à me guetter. J’ai l’impression qu’elle pointe le bout de son nez constamment. Mais quand c’est le cas, je sais pertinemment ce qu’il faut que je fasse plus exactement. Il faut que j’énumère tout ce pour quoi je suis chanceuse, et quand je fais ça, je me sens immédiatement mieux. En l’occurrence, je sais que je dois m’estimer chanceuse d’être encore en vie, même si ça doit être ici, et si je n’ai pas retrouvé mes proches, je n’ai pas non plus retrouvé ceux que je ne voudrais surtout pas revoir, et pour cela aussi, je dois m’estimer particulièrement chanceuse. Enfin, j’ai de la chance d’avoir Daphne dans ma vie. Chaque fois qu’elle sourit, je me sens un peu mieux. Je n’ai jamais eu de grande sœur, mais je m’accroche à elle comme si elle en était une. La plus précieuse des grandes sœurs. Et elle, je ferais tout, absolument tout pour ne surtout pas la perdre.

❝Moi ça va bien❞
, fais-je en adressant un sourire à Daphne après avoir commandé mon chocolat, pour répondre à ma question. ❝Beaucoup de boulot en ce moment, les partiels approchent, mais ça ne me dérange pas spécialement.❞ J’affiche un sourire. ❝Toujours pas de nouvelles de Klaus, Prunille et Béatrice, mais je ne perds pas espoir.❞

Enfin, tout dépend des moments. Parfois, il m’est tout de même très difficile de garder espoir, je dois quand même l’avouer. Quand je repense à la succession d’événements désastreux qui ont mené à cette situation précise, je me dis que croire encore que je vais dépasser tout ça tient davantage de la naïveté que du projet qu’il est envisageable de concrétiser. En trois ans, si j’avais dû le retrouver, ce serait déjà fait, après tout. Pas vrai ?

❝Tu t’y connais un peu en réseaux sociaux ? Je me dis que je devrais m’en servir pour aider mes recherches, mais pour être honnête, je n’y comprends absolument rien.❞

Je ne suis pas réfractaire à découvrir de nouvelles choses, au contraire, même, j’adore ça, mais il y a encore de nombreuses zones d’ombre que je ne maîtrise pas. Et pour ces dernières, de l’aide serait la bienvenue.

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Lun 18 Avr - 19:48


@Violette Baudelaire & Daphne❞ Comme une soeur

Si dire qu'un Simon qui lui casse les noix manquerait à Daphne est une vérité, cela ne veut pas dire qu'elle se sentirait beaucoup mieux s'il n'était pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur son dos. Oui ce serait des vacances, mais au bout d'un moment cela lui manquerait légèrement. Elle a prit l'habitude de l'avoir dans les pattes et c'est ainsi depuis...trois ans. Environ. Violette le savait. Elle savait à peu prêt tout de la vie de Daphne. Même sa vie passée. Elle savait également que sa mère s'appelait Violet. Violet Bridgerton, longtemps Vicomtesse. Et techniquement, quand sa fille s'est retrouvée ici, elle l'était toujours. Mais aujourd'hui...Elle ne savait pas.

« Tu sais très bien que ça me fait plaisir ! » répondit l'étudiante à celle qu'elle pourrait considérer comme sa petite sœur. Elle était importante pour Daphne et elle adorait lui faire plaisir. C'est un peu le mauvais côté de la jeune femme. Elle aime faire plaisir et s'oublie par la même occasion. Mais Violette avait prit une grande place dans son cœur. Sans oublier qu'elles ont des points communs. Comme celui d'avoir laissé leur famille respective derrière elles. Anthony, Benedict, Colin, Eloïse, Francesca, Gregory, Hyacinthe et leur mère lui manquaient terriblement. Si seulement ils étaient là...Elle retrouverait leur complicité, leurs sourires, leur humour. Pourtant, même si tout cela lui manquait, elle souriait, gardait son côté solaire, sa bonté, sa joie de vivre. Parce que le monde n'arrête pas de tourner pour autant.

« Les miens aussi approchent. » répondit Daphne à propos de ses partiels. Elle aimait étudier, mais les partiels n'étaient pas une partie de plaisir. Au contraire. Heureusement qu'elle aimait ce qu'elle étudiait. Sinon ce serait bien différent. La dépression arriverait sans doute au galop. Avec tous les problèmes qui s'y mêlent. « Non ne perds pas espoir. C'est important d'en avoir. ». De son point de vu en tout cas.

La blonde ne pu s'empêcher de rire quand Violette lui demanda si elle s'y connaissait en réseaux sociaux. Loin d'elle l'idée de se moquer. Enfin, pas de la brune, en tout cas. Elle se moquait d'elle, quelque part. « J'ai eut du fil à retordre, mais je peux essayer de te guider, je comprends un peu plus qu'il y a deux ans de cela. »
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Jeu 5 Mai - 14:17


❝Violette & Daphne❞ Comme une soeur

J'affiche un sourire légèrement crispé à l'évocation de nos partiels. Je ne suis pas spécialement inquiète, parce que j'ai des facilités, scolairement parlant, ce n'est pas pour autant que je suis impatiente, surtout que je suis franchement perfectionniste, et que j'aimerais pouvoir viser l'excellence. J'espère que de son côté, Daphne n'est pas trop nerveuse, mais je sais qu'elle a de la ressource, alors je veux croire qu'elle s'en sortira très bien malgré tout. Inutile de nous stresser mutuellement, je ne crois pas que nous y gagnerions, autant l'une que l'autre.

J'esquisse un léger sourire en coin quand Daphne me demande de ne pas perdre espoir. Je le sais bien, je sais que c'est ce qu'il y a de mieux à faire, mais ce n'est pas pour autant que c'est simple pour autant. J'ai l'impression que mes perspectives s'amenuisent à mesure que je les sonde, et en fin de compte, il ne reste tout simplement plus rien. Je regrette que les choses se passent ainsi, mais je n'y peux au final vraiment rien... Je ne saurais être apaisée tant que je n'aurais pas retrouvé les miens. Si au moins je pouvais retrouver Klaus ! Tout me semblerait plus simple, si c'était le cas. Mais je ne suis pas du tout décisionnaire de ce qui se produit. Pour le reste, nous le verrons bien.

❝Tu as raison❞,
je dis avec un fin sourire. ❝Parfois, j'ai besoin qu'on me le répète❞, j'avoue ensuite.

Je me rends compte que, même si je suis d'un naturel débrouillard, j'ai toujours eu quelqu'un sur qui compter par le passé. Oui, je n'avais plus mes parents, mais j'avais mon frère et ma soeur. On comptait les uns sur les autres. Et là, je compte sur moi-même et doit attendre, progressivement, de compter sur ceux qui m'entourent... mais ce n'est pas si simple.

❝Tu ferais ça pour moi ?❞
je demande avec enthousiasme quand Daphne me dit qu'elle pourra m'aider à me familiariser avec les réseaux sociaux. J'apprécie l'initiative. Surtout, j'en ai définitivement le plus grand besoin. ❝Ce serait génial. C'est la piste que je n'ai pas encore explorée.❞ Je marque une pause, décide, en guise d'illustration, de tirer mon téléphone portable de ma poche. ❝Donc... Comment on s'y prend ? Je dois créer un profil c'est ça ? ça te dit qu'on fasse ça maintenant ?❞

Et d'un autre côté... ça reste évidemment compliqué, trop compliqué, même... Et je suis épuisée de tout cela. J'ai besoin d'avoir le sentiment de progresser, d'une manière ou d'une autre, même si pour ça, je dois forcer ma nature.
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Jeu 12 Mai - 19:40


@Violette Baudelaire & Daphne❞ Comme une soeur

Daphne gardait toujours la tête haute. Elle était toujours prête à relever un défi. En revanche, les partiels la mettaient dans de beaux draps. En général -aucunement à l'extérieur- mais à l'intérieur elle était débordée de sentiments. Était-ce un peu bizarre de ressentir de l'excitation, mais également de la tension, du stresse et de l'appréhension ? Sûrement pas. En fait, en y réfléchissant bien, c'était normal. Elle n'avait pas fait d'études de psychologie, mais elle connaissait une certaine personne qui s'y intéressait de prêt. Ne citons pas son nom, cela ne servirait à rien puisqu'il n'est pas ici. Elle avait connu un jeune homme féru de psychologie, qui ne voyait jamais le temps passer en essayant d'étudier la philosophie qui, d'après lui, n'avait pas de grande différence avec la psychologie. Dans tous les cas, elle ne pouvait le contredire. Dans l'autre monde tout du moins. Elle ne s'intéressait pas à cela, ni au fait d'ouvrir une librairie. Ah, sa propre librairie. Elle avait tellement hâte !

« Et j'ai besoin qu'on me le répète aussi. Je suis là pour toi, de toute manière. Et je sais que tu es également présente pour moi. ». Souriante, elle prit une gorgée de son chocolat chaud qui se rafraîchissait rapidement. Peut-être parce que la porte du Central Perk s'ouvrait et se refermait de manière régulière. Ou peut-être était-ce pour une toute autre raison. Une raison qui échappait à la logique.

Quand Violette sort son téléphone, Daphne fait de même. Alors que, techniquement, elle n'en avait pas besoin. Elle regarda ses réseaux. Elle en avait deux : facebook et instagram. Sur lesquels elle ne postait jamais rien. Peut-être était-ce une erreur. Peut-être quelqu'un de sa famille pourrait le reconnaître sur l'un de ces deux réseaux. « J'ai facebook et instagram. Le plus simple je dirais que c'est instagram. Si je ne dis pas de bêtises ils demandent moins d'informations à l'inscription. ». Elle réfléchit sérieusement à cette question et demanda : « Tu as une adresse mail ? Je ne savais même pas ce que c'était en arrivant ici. ». C'était vrai. Et à y repenser, cela la fit rire de bon cœur. Elle était arrivée si ignorante.
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Mer 18 Mai - 14:11


❝Violette & Daphne❞ Comme une soeur

Je réponds à la remarque de Daphne par un large sourire. Cela me fait définitivement du bien de savoir que je peux compter sur elle, et j'ai la ferme intention de continuer ainsi autant que je le pourrai. Oui, dans ces circonstances il est important de savoir compter les uns sur les autres, c'est vraiment important. Je sais que c'est une chose que Daphne est capable de comprendre de son côté. Même si ça peut sembler peu nécessaire, se rappeler mutuellement qu'elles sont là pour s'épauler, c'est une chose importante, pour ne pas dire que ce n'est pas une véritable nécessité. Je ne souhaite pas qu'il arrive quoi que ce soit à mon amie, mais si ça doit être le cas, nous saurons que l'autre saura être présente pour nous, à nos côtés.

❝D'accord...❞, je fais en tentant laborieusement d'ouvrir Instagram, quand Daphne me le conseille, afin de me créer un compte.

Je ne sais pas si je saurais vraiment y prendre goût, ou même si ça me servira à quelque chose, mais en revanche, je me dis que ça vaut le coup d'essayer. Je suis une inventrice, je n'ai pas envie de vivre en dehors de mon temps, même si le temps en question n'est pas celui que j'ai connu... Par rapport à Daphne, je peux me dire que je vis finalement à une époque qui n'est pas si différente, si contrastante avec celle que j'ai autrefois connue.

❝J'en ai une, oui, mais c'est la même chose pour moi, je n'avais pas la moindre idée de ce que ça pouvait être à mon arrivée ici. Ceci dit, je dois bien reconnaître que c'est pas mal utile.❞

Je renseigne mon adresse mail à mon amie, cette adresse qui me sert surtout à recevoir forcément des informations émanant de l'université quand cela doit être nécessaire. L'ère Internet est fascinante par bien des aspects, et je me rends compte que je suis loin d'avoir tout exploré encore, malgré tout, ça me fait très plaisir.

❝Il faudra que je prenne une photo, aussi, tu crois, pour mon profil ? Ce serait plus simple de me retrouver et de me reconnaître comme ça, pas vrai ?❞ je suggère en réfléchissant à voix haute. ❝Tu accepterais de me prendre en photo, dis ?❞ je demande en fixant mon interlocutrice avec attention.
 
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Mar 14 Juin - 15:29


@Violette Baudelaire & Daphne❞ Comme une soeur

Pour être certaine que Violette serait là quoi qu'il arrive, Daphné était certaine. Elles se connaissait depuis quelques temps maintenant, et elles savaient qu'elles pouvaient compter l'une sur l'autre. Comme des sœurs. Celles de Daphné lui manquaient énormément, mais elle essayait de faire de son mieux pour ne pas reporter ce manque sur Violette, dans le sens où elle ne voulait pas qu'elle pense que l'étudiante en master se serve d'elle. Parce que ce n'était pas du tout le cas. Elle a été là pour elle quoi qu'il arrive jusqu'ici et, même si un jour elle retrouvait ses frères et sœurs, rien ne changerait. A part peut-être qu'ils seront plus à cette table. Si jamais Daphné revoyait ses sœurs ou ses frères, elle serait pressée de les faire rencontrer Violette et, sans aucun doute, elle serait accueillis dans la famille très rapidement.

Daphné regardait sa sœur de cœur avec tendresse. Elle semblait avoir de la peine à ouvrir l'application. Elle ne pouvait que comprendre. A vrai dire, cela faisait trop longtemps que la jeune femme avait son instagram. Tellement longtemps, qu'elle ne se souvenait plus à quoi ressemblait la phase d'inscription.

« Utile ? C'est plus fort que cela. Je suis en contacte avec d'autres élèves et des professeurs. C'est vraiment une bénédiction. ». Elle rie légèrement et regarda son propre téléphone, sur instagram, et elle peut voir un peu plus ce qu'elle avait fait sur son propre profil. « Oui, bien sûr, je ferais une jolie photo de toi. Mais, entre toi et moi, elle sera de toute façon jolie, cette photo. ». Elle sourie à Violette. Elle adorait donner des compliments gratuitement. Sans en demander en retour.

Puis elle se posa une question. Elle ne la garda pas très longtemps pour elle. « Est-ce que ça changerait quelque chose si on retrouvait nos frères et sœurs ? ». C'était une question très sérieuse à laquelle elles n'avaient pas encore attribué de réponse. En même temps elle n'avait absolument jamais parlé de ce sujet. De son côté : non.
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Dim 17 Juil - 10:01


❝Violette & Daphne❞ Comme une soeur

Je serais bien la dernière à cracher sur les nouvelles technologies, même si je les estime parfois difficiles à comprendre. C'est même tout l'inverse, je les considère comme étant aussi fascinantes qu'utiles et ce qui me plaît davantage que de m'en servir, c'est d'en comprendre le fonctionnement. La grande inventrice devant l'éternel que je suis a toujours besoin d'expérimenter, de découvrir, d'observer, c'est quelque chose de primordial à mes yeux. Mes parents m'avaient souvent répété, à l'époque où ils étaient encore en mesure de me dire quoi que ce soit, que j'avais toujours été ainsi : d'une curiosité à toute épreuve, à vouloir tout découvrir, tout observer, tout comprendre. Je n'avais pas trois ans que j'avais démonté le grille-pain de la cuisine pour comprendre son fonctionnement, quand j'avais cinq ans, ce grille-pain avait été amélioré drastiquement : il disposait alors d'un distributeur de beurre et de confiture et d'une gestion autocontrôlée en fonction du type de pain...

Mais pour en revenir à nos moutons, l'appréhension du virtuel a été plus compliquée pour moi ! et pour cause, ce n'est pas quelque chose de tangible, ce n'est pas quelque chose que je peux disséquer comme bon me semble, à ma guise, ce n'est pas quelque chose de matériel. L'époque du numérique amène avec elle une autre appréhension de la vie et de ses codes, mais rien que je ne trouve pas hautement fascinant. Daphne a raison ! Quelle belle et pratique invention que les mails, pour rester en contact avec ses proches et son entourage - on a certainement jamais fait mieux.

❝T'es adorable❞, je fais avec un humble sourire quand Daphné accepte de me prendre en photo avant d'ajouter que la photo en question sera forcément jolie puisque j'en ferais l'objet.

Je fronce légèrement les sourcils quand mon amie me demande si j'estimais que cela changerait quelque chose si je retrouvais mes soeurs et mon frère, et si elle retrouvait les siens. Je ne suis pas sûre de comprendre le sens de sa question.

❝Pour moi ça changerait tout. J'ai tout vécu avec eux. Quand les choses devenaient trop dures, trop insupportables, je savais qu'ils étaient là malgré tout... Ici, maintenant, sans eux, j'ai l'impression qu'il me manque une partie de moi, tu vois ce que je veux dire ?❞ Je tourne vers elle un regard des plus concernés. ❝Et toi ?❞
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Dim 4 Sep - 20:19


@Violette Baudelaire & Daphne❞ Comme une soeur

Les réseaux n'avaient rien de compliqués. Pour des personnes qui sont de la génération des deux jeunes femmes qui venaient du même monde. Ou en tout cas de la même époque. Daphné avait eut du mal à s'y faire. Mais aujourd'hui, elle pourrait presque faire comme ces fluenceurs là, ceux qui travaillent grâce aux réseaux sociaux. Instagram, YouTube (une plateforme de vidéos parfois drôles, parfois complètement inintéressantes, parfois sérieuses sans trop l'être), TikTok (une autre plateforme de vidéos mais, cette fois, courtes. Très courtes. Daphné n'aimait pas du tout), puis il y avait facebook. Mais pas sûr que quelqu'un réussissait à gagner quelque chose grâce à ce réseau social. Mais peu importe, Violette répondit qu'elle était adorable. « C'est normal voyons. » Elle était comme sa petite sœur, après tout. Elle n'allait pas lui dire qu'elle était laide. Ce serait mentir. C'était même elle qui était adorable. La brune adorait voir Violette sourire. Ça lui donnait un petit côté adorable aussi.

« Oui je suis d'accord avec toi. Ca changerait tout. Mais entre nous deux, je veux dire. Est-ce que nous passerions moins de temps ensemble ? Est-ce que nous arrêterions de nous écrire ? ». Elle avait peur de l'abandon, Daphné. Elle essayait, en général, de ne pas le montrer, mais ce n'était pas toujours facile de ne rien montrer de ses sentiments. Et cette peur était à la fois irrationnelle et rationnelle. Elle avait perdu toute sa famille, après tout. C'était normal d'avoir peur de perdre une autre personne qui lui es chère.

« Je sais c'est un peu bête de poser cette question. Parce que pour moi ça ne changera rien entre nous. Je t'adore et tu le sais et, même s'ils réapparaissent, je voudrais toujours autant te voir. Et avoir nos petites discussions, discuter de petits potins ? ». Ces moments là étaient importants pour la brune.
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Jeu 10 Nov - 13:56


@Violette Baudelaire & @Daphne BridgertonComme une soeur

Je me sens prise au dépourvu par la question que me pose Daphne quand cette dernière suggère que si je retrouvais mes soeurs et mon frère, toutes les deux, nous serions naturellement moins proches. C'est une chose que je n'ai aucune envie de penser ou de soutenir... Daphne est devenue tellement  importante pour moi, je ne peux certainement pas envisager que nous nous éloignons l'une de l'autre. Non, je veux toujours être là pour elle, peu importe les circonstances... mais je peux totalement comprendre son sentiment : elle a peur de l'abandon - qui serais-je pour le lui reprocher ? Moi aussi, j'ai très souvent, trop souvent peur de l'abandon, je redoute que l'on me tourne le dos, j'ai peur de décevoir les personnes autour de moi... Je ne peux pas présumer de ce que l'avenir nous réservera, mais ce dont je suis sûre, c'est que maintenant que je connais ses insécurités, je ferai tout le nécessaire afin de les apaiser au maximum.

❝Oh non, Daphne... ce n'est pas une question bête, Daphne, vraiment pas... et je te comprends, sincèrement.❞

Si quelqu'un est capable de comprendre la peur de l'abandon, la peur de perdre les personnes qui comptent pour nous, c'est définitivement moi... J'ai perdu tellement des personnes qui comptaient pour moi en cours de route. J'ai toujours peur de voir s'éloigner, pour ou contre leur gré, les personnes auxquelles je me suis attachée... mais je ne laisserai pas une telle chose nous arriver. J'ai beaucoup trop d'affection pour elle.

❝Je te promets que rien ne changera pour nous, bien sûr qu'on continuera de s'écrire.❞ J'affiche un fin sourire, afin d'essayer de désamorcer les choses, et de la faire sourire en retour. ❝On ne se débarrasse pas de moi si facilement, tu sais... crois-moi, certains ont essayé, et ils s'en sont mordu les doigts.❞

Et c'est rien de le dire. Je ne compte plus les manigances mises en place dans l'intention de nous faire disparaître ou taire, moi, Klaus et Prunille. J'espère seulement que ma fratrie, même loin de moi, s'en sera tout de même bien sortie.

❝Quoi qu'il en soit, on continuera de se voir et de se parler. C'est promis.❞

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