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(Event) Can you feel the love tonight ? ((Din x Luke))

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Sam 12 Mar - 18:36


Can you feel the love tonight ?

Luke sentait que ce moment anodin était une étape importante dans sa relation avec Din. Et il était très stressé face à cette perspective. Parce qu’il ne voulait pas tout faire capoter. Faire la guerre, renverser un empire, enseigner les Voies de la Force à de jeunes apprentis… Il savait faire. À la perfection même (à quelques détails près), mais tout ce qui avait attrait à l’amour et la séduction… il plongeait dans l’inconnu le plus total. Même s’il avait fait sauter plusieurs barrières en embrassant Din, il restait encore sur la réserve à ce sujet, n’osant pas totalement se jeter à l’eau. On ne pouvait pas effacer des décennies de tabou en un claquement de doigts, surtout quand on avait un profond respect pour les valeurs Jedi. Luke était fou de Din. C’était indiscutable, mais sa petite voix intérieure ne pouvait s’empêcher de lui murmurer que cet amour était mauvais, brandissant l’ombre du basculement vers le côté obscur à chaque occasion. Luke soupirait. Il voulait avancer avec Din. Il voulait l’embrasser encore et encore. Jouir de sa présence à ses côtés à chaque instant. Il voulait tout simplement profiter de sa vie. « Arrête de résister, Luke, tu ne feras que sombrer. » Tel avait été les mots de son père dans sa tentative de libérer Luke de ses tourments. Or, le Maître Jedi était borné, surtout quand sa foi en la Force entrait dans l’équation. Mais il n’oubliait pas non plus les mots de Maître Yoda quand il fut entre la vie et la mort. « Ton devoir de Jedi, tu dois accomplir malgré tout. Trouver un équilibre entre ta peur et ton amour, tu dois. Les rejeter… ! Tu ne dois pas, Luke. Sinon, te posséder, elle fera. » Il ne devait pas craindre son amour grandissant pour Din, sinon, il en mourrait dans les ténèbres avec ses regrets enchainés à ses pieds comme deux boulets. C’est pourquoi il ne regrettait plus d’avoir envoyé cette invitation à Din. Il voulait profiter d’une soirée avec lui où ils étaient juste Luke et Din, deux personnes qui s’aimaient avec maladresse et non un Maître Jedi et un Mandalorien écrasés par le poids de leur crédo respectif.

Pour préparer cette soirée, Luke avait alerté la terre entière, mais surtout son père et sa jumelle puisqu’ils avaient plus d’expérience en la matière. Il aurait pu s’adresser à Han duquel il était très proche, mais il craignait d’être embarrassé par… par ces attitudes qui font de Han cet homme charmeur et confiant vis-à-vis de sa faculté à séduire n’importe qui, n’importe quand. Luke enviait son aisance, même si cette dernière n’était pas du tout en adéquation avec sa personnalité plus pudique. Comme un adolescent qui gérait ses premières amours, Luke préféra écouter les conseils de son père. Une façon supplémentaire de se rapprocher de lui plus intimement et de consolider ce rapport père/fils entre eux. Anakin lui avait expliqué qu’il était préférable de commander à manger. Luke n’avait pas hésité : il était très mauvais en cuisine. Surtout quand on sait que son alimentation se limitait à des fruits mangés sur le pouce et des plats surgelés. Quand il voulait manger équilibré pour garder sa ligne et sa musculature, il ne se posait pas de question et allait au restaurant. Il en profitait pour travailler sur sa thèse en même temps par exemple. Le Maître Jedi s’était adressé à un traiteur pour cela avec le dilemme suivant : qu’est-ce que Din aimait manger ? Luke se reposait sur ce qu’il savait de lui : Din était un homme taciturne qui se contentait de peu. Il semblait être le genre de personne à manger de tout, tant que cela les sustentait suffisamment. Il imaginait mal le Mandalorien chipoter sur telle épice ou tel ingrédient. Il est plus du genre à s’en moquer. Il demandait alors un peu de tout au traiteur, histoire d’élargir leurs horizons culinaires au cours de cette soirée. Après sa douche, à la question : « Je m’habille comment ? » Anakin avait répondu à Luke quelque chose de plutôt embarrassant pour lui : « Tout nu ! » avec l’émoticône « mort de rire » à la fin de la phrase. C’est justement pour ce genre de chose que le Jedi ne s’était pas adressé à Han et voilà que son père s’y mettait ! Il levait les yeux au ciel avant de lui demander une réponse sérieuse. Une fois obtenue, il enfilait alors une chemise et un pantalon chic, mais en se regardant dans le miroir… Luke trouvait qu’il faisait encore plus coincé que d’habitude. Il troquait alors son pantalon pour un jean et laissait trois boutons de sa chemise ouverts. Voilà qui était mieux. Toutefois, une fois qu’il se regardait à nouveau dans la glace, une autre angoisse l’envahissait : Din allait-il apprécier la vue ? S’il s’écoutait, Luke aurait tout enlevé et enfilé sa tenue de Maître Jedi dans laquelle Din l’avait toujours connu et basta. Il finit par se rassurer en se disant que le Mandalorien ne ferait sûrement pas cas de ses vêtements puisqu’autant lui que Luke se moquaient bien de ce genre de formalité. Même si… même s’il voulait lui plaire physiquement aussi au fond. Luke finissait par secouer la tête pour chasser ses doutes et ses questionnements perpétuels sinon il en avait pour la soirée. Un coup de parfum et il s’échappait de sa chambre pour éviter de trop se contempler et remettre en question chacun de ses choix vestimentaires.

Le niveau d’angoisse était palpable quand il sursautait en entendant la sonnette retentir dans son appartement. Dieu merci, c’était le traiteur. Mais à la deuxième sonnerie, trente minutes plus tard, il sursautait plus vivement puisque cette fois-ci, cela ne pouvait qu’être Din. « J’arrive ! » criait-il pour qu’il l’entende à travers la porte. Il était juste parti en courant dans sa chambre pour vérifier dans son miroir en pied que tout était nickel physiquement parlant. Ce qui était le cas, même si Luke n’en était pas convaincu. Il n’avait cependant pas d’autres choix que de faire avec puisque Din se trouvait derrière la porte. Il venait lui ouvrir au moins cinq bonnes minutes plus tard. « Bonsoir. » Un sourire nerveux se dessinait sur ses lèvres. Même s’ils s’étaient davantage rapprochés durant leur passage respectif à l’hôpital, la timidité extrême était toujours le sentiment principal qui possédait Luke en la présence de l’homme qu’il aimait. Il rougissait à vue d’œil, fuyait son regard sans perdre son rictus énamouré. Il ne savait pas bien s’il pouvait l’embrasser, lui donner une accolade ou autre, alors… alors Luke contentait de se décaler pour le laisser passer, lui désignant l’intérieur de sa maison d’un signe de la main. « Entre, fais comme chez toi. » Il refermait ensuite la porte derrière lui. Enfin il s’autorisait à s’attarder sur Din en détail. Qu’il était beau. Luke ignorait si c’était le charme de la soirée qui lui fit ressentir cela, mais il le trouvait incroyablement attirant, doté d’une beauté particulière qui faisait valser son cœur dans le creux de sa poitrine. Qu’il était agréable de sentir cette flopée de papillons s’envoler aux quatre coins de son ventre ! « Tu es très… très élégant ce soir. » Luke se lançait. Il avait enfin osé ! Il offrait même son plus beau sourire à Din en le regardant avec cette éternelle timidité qui lui donnait un air assez craquant. Il finissait par se mordre discrètement la joue, parce qu’en réalité, Luke n’avait qu’une seule envie : lui sauter dessus et arracher ses vêtements bien accessoires sur lui. Il n’avait tout simplement pas le courage de le faire. Et pour ne pas laisser libre cours à ses pensées un peu trop lubriques à son goût, Luke fuyait dans la cuisine ouverte sur le salon. Il s’éclaircissait la gorge avant de prendre la parole pour que son trouble soit imperceptible à l’oreille de Din. « J’ai pris de quoi manger chez un traiteur. » Il s’occupait en sortant les plats des divers sacs. « J’ai préféré faire ça pour éviter de faire exploser l’immeuble. Ça n’est pas trop le moment… » Il laissait échapper un rire tout en jetant un regard à Din qui fit remonter en flèche ses envies peu catholiques. Mais il le fuyait vite, encore, se perdant dans son déballage qui semblait infini.
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Dernière édition par Luke Skywalker le Lun 14 Mar - 16:58, édité 1 fois
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Lun 14 Mar - 10:47





(Event) Can you feel the love tonight ? ((Din x Luke)) B6024209b3e02972c48fe0ce4e833059(Event) Can you feel the love tonight ? ((Din x Luke)) WOGKb9O
Can you feel the love tonight?

feat Luke Skywalker


La Saint-Valentin… Quelle étrange tradition. Faut-il vraiment une journée particulière pour manifester son affection à quelqu’un que l’on aime. L’amour ne serait-il pas plutôt une démonstration de tous les instants, quelque chose qui gagne en beauté quand on lui épargne toute emphase ? Et au fond, Mando, qu’est-ce que tu y connais vraiment, à l’amour ? Avoir le sentiment au plus profond de soi-même d’aimer un autre plus que sa propre vie ne fait pas de vous un expert dans le domaine, tu en sais quelque chose. Tu as compris l’amour paternel avec Grogu, tu comprends l’amour passionnel avec Luke, mais ça ne fait certainement pas de toi un expert en la matière. Bien au contraire… Sans quoi tu ne te poserais pas sans cesse mille et une questions quant à la manière dont il serait préférable de te comporter avec lui… C’est une chose que de ressentir cette émotion si profondément qu’il se révèle simplement impossible d’y échapper, et c’en est définitivement une autre que de savoir qu’en faire… Ces sentiments si puissants, si nombreux, sont là, prégnants, et tu ne peux pas leur échapper, peu importe l’énergie que tu choisiras de déployer à ce titre… Et d’ailleurs, est-ce que tu le veux vraiment ? Pas réellement, non. Tu es heureux de passer cette fête dont tu ne saisis pas complètement le sens avec lui, parce que tu es heureux de passer du temps avec lui, tout simplement… Chaque instant grapillé en sa présence, fut-il essentiellement constitué de malaise ou de silence, restera éternellement de ceux que tu n’échangerais contre aucun autre parce qu’ils n’appartiennent qu’à vous. La façon dont ton cœur semble battre différemment en sa présence, la manière dont tu réagis physiquement en sa présence, c’est quelque chose qui va bien au-delà du champ immatériel des émotions, c’est concret, c’est là, et puisque c’est là, il faut bien en faire quelque chose, n’est-ce pas.

Tu ignores que Luke n’a pas été plus avancé que toi au moment de décider de la meilleure manière d’appréhender cette situation. De ton côté aussi, tu t’es senti dans l’obligation de réclamer conseil, et naturellement, c’est vers Poe que tu t’étais tourné. Quand tu les vois, Finn et lui, tu as le sentiments que les relations humaines et sentimentales sont d’une simplicité enfantine de par leur évidence, et puis tu te concentres sur ta propre vie sentimentale, et c’est une autre paire de manches. Poe t’a aidé à dénicher dans ta sinistre garde-robe une tenue semble-t-il élégante (même après trois années ici, ta sempiternelle armure mandalorienne te manque terriblement, tu n’avais certainement pas à t’interroger au sujet de ta tenue, à l’époque), et tu as écouté d’une oreille si distraite ses autres conseils que tu n’as finalement rien retenu… Si, de ne pas venir les mains vides, au moins ça. Raison pour laquelle tu es donc parti en quête d’une bouteille de vin, raisonnablement chère, même si tu es certain de ne pas saisir la différence de goût avec une bouteille à moindre prix.

Pour le reste, faute de savoir quoi faire de mieux, eh bien… tu as juste frappé à sa porte à l’heure dite, sans savoir du tout à quoi t’attendre. Il t’ouvre… les raisons qui ont poussé Poe à insister sur l’importance d’avoir une tenue un tant soit peu séduisante fait soudainement sens quand tu découvres cet effort sur lui. Tu le trouves beau. En fait, tu l’as toujours trouvé beau… tu ne l’as pas toujours conscientisé, mais cette attirance, enfouie plus que tacite, a toujours été là. Mais dans cette tenue, tu le trouves… irrésistible. Autant que l’est le sourire légèrement nerveux qui étire ses lèvres au moment de te saluer. Ce n’est pas un constat nouveau : tu sais trouver de l’attrait et du charme à chaque geste, chaque parole, chaque sourire… C’est, à ce stade, quelque chose qui ressemble à s’y méprendre à de l’addiction… Une addiction irrationnel à tout ce qu’il représente pour toi, et ça peu importe si ces représentations sont réelles ou bien factices en fin de compte.

"Merci",
tu réponds en songeant un instant à justifier ton élégance, avant de te contenter d’apprécier le compliment à sa hauteur. Tu aimes lui plaire. "Toi aussi."

Tu voudrais être plus bavard, moins avare en compliment, mais on ne contrarie pas sa nature si facilement, tu ne peux pas la tordre à loisir dans l’espoir d’un résultat plus approprié. Les choses ne fonctionnent pas de cette manière, n’ont jamais fonctionné de cette manière. Une situation exceptionnelle nécessite sans doute quelque mesure exceptionnelle, c’est même obligatoire, mais ni toi ni lui ne semblaient capables de dépasser vos confortables retranchements.

"J’ai pris du vin",
te souviens-tu au moment d’entendre Luke parler du dîner qu’il a commandé et qu’il s’applique à déballer. Tu le suis dans la cuisine. "On pourrait… prendre un verre, le temps que les plats réchauffent ?" tu suggères avant de t’enquérir d’où tu sauras trouver deux verres et un tire-bouchon. L’instant d’après, le liquide carmin remplit vos verres et tu tends le sien à Luke. L’hésitation, bien présente, rend tes gestes plus gauche que tu ne le voudrais, mais tu tentes de les étouffer derrière des paroles qui sauront clarifier ta pensée véritable. "Merci de m’avoir invité. Je voulais passer cette soirée avec toi."

Peu importe que tu n’en saisisses qu’à moitié le sens, tu sais que cette soirée est consacrée à ceux qui s’aiment. Et c’est une certitude que nul ne saurait te retirer. Oui, tu l’aimes, peu importe si tu l’aimes si mal. Tu déposes ton verre pas encore entamé où tu trouves la place de le faire et laisser ta main vacante s’attarder sur une de ses joues. Avant de briser l’espèce entre vos lèvres et de l’embrasser.



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Jeu 14 Avr - 13:44


Can you feel the love tonight ?

Sa présence t’était indispensable. Aussi nécessaire que l’air l’est pour tes poumons. Tu fanais lorsque tu te retrouvais loin de ton soleil, sentant la mort prendre possession de chacune de tes cellules — état dans lequel tu avais été lors de ton exil où jamais plus tu ne le vis. Et rien que d’y penser, ton cœur s’atrophiait, se rendait malade, rendant plus douloureux que le précédent chaque battement cardiaque euphorique depuis que Din n’était qu’à quelques centimètres de toi. Comment avais-tu réussi à tenir vingt ans en étouffant ton amour pour lui ? Un mystère. Une énigme qui t’avait bouffé jusqu’ici et à laquelle tu repensais souvent dans ce genre de moment. Tu avais tant raté, tant sacrifié pour pas grand-chose quand on voit comment tu avais fini ta vie. Tu comprends mieux pourquoi ton père avait cédé à ses sirènes avec ta mère : les nier l’aurait encore plus détruit. Comme elles t’avaient détruit. « Oui. Bonne idée. En revanche… Je risque de ne pas faire honneur à ton vin : je ne fais absolument pas la différence entre un grand cru et de la piquette. » avouais-tu, les joues légèrement rougies à cause de ton incompétence en œnologie que tu ne cherchais pas à cacher. Tu riais un peu, toujours aussi réservé, le regard fuyant. À chacune de vos entrevues, tu faisais tout pour ne pas le confronter : un simple coup d’œil jeté sur lui et tout ton corps s’affolait. Ton cœur déraillait, battant si fort que ta respiration devenait cahoteuse. Ta peau, elle, se parait d’un milliard de frissons, mais ce n’était pas cela le pire : chaque fois que tu avais le malheur de l’admirer, discrètement ou non, ton cerveau s’emballait, t’attirant de force dans ses abysses de fantasmes que tu nourrissais depuis plus de vingt ans déjà. Et ça arrivait, encore maintenant. Tu t’étais surpris en train de contempler Din dans les moindres détails, ces détails qui te faisaient inlassablement retomber amoureux, pendant qu’il vous servait un verre de ce vin — une attention qui te touchait de savoir qu’il avait pris du temps pour la choisir et la ramener. En une fraction de seconde, tu te noyais dans ces pensées plus libidineuses les unes que les autres et qui s’égrenaient dans ton esprit si sage, si attaché à l’étiquette Jedi, pas encore corrompu par le désir de chair. Tu te voyais en train de le plaquer brutalement contre le réfrigérateur, de l’embrasser à en perdre haleine. Ta respiration était bruyante et ne cessait de s’accroitre à mesure que tes mains s’acharnaient à le déshabiller. Toujours plongé dans ton imaginaire, alors que tu t’apprêtais à défaire sa ceinture, tu le suppliais presque en soufflant contre ses lèvres : « Prends-moi ! Prends-moi, prends-moi… » Din te tendait ton verre. Tu le remerciais vaguement tandis que ton esprit assoiffé continuait de vagabonder dans cet onirisme érotique. La dernière chose que tu vis, c’était toi, plaqué contre le plan de travail, en train de gémir à la fois de plaisir et de douleur lorsqu’il te pénétrait. Une fois les pieds sur terre, le visage totalement rouge de honte, tu évitais soigneusement son regard et noyais ta gêne dans ce verre de vin que tu buvais à grosses gorgées. Tu osais à peine relever tes grands yeux bleus quand il s’adressait de nouveau à toi — de simples paroles qui te comblaient de bonheur, te plongeant dans un amour sans fin en plus du désir éprouvé pour lui. « J’aimerais beaucoup passer d’autres soirées avec toi. Sans que ce soit la Saint-Valentin ou autre, tu sais. » Tu reposais ton verre contre le plan de travail. Tu appuyais ton flanc contre lui pour être plus confortable et parce que tu ne savais pas vraiment comment te mettre. Énième sourire timide à la suite de tes propos ; ce genre d’ouverture était rare chez toi qui t’exprimais rarement sur tes envies propres.

Le comportement de Din t’étonnait ensuite et surtout ouvrait toutes les vannes en toi. Jusqu’à aujourd’hui, tu avais résisté autant que tu avais pu, mais ton corps te trahissait en laissant tes envies et désirs prendre le dessus sur tout. Din te surprenait, pour ton plus grand plaisir. Ton cœur manquait un bon lorsqu’il glissait sa main contre ta joue. Elle se calait même naturellement contre sa paume pour profiter de chaque seconde de tendresse donnée à ta peau. Ce simple geste éveillait un peu plus tes sens depuis si longtemps endormis. Tu avais chaud. Beaucoup trop. À tel point que tu avais l’impression d’étouffer de l’intérieur. Tu sentais même que tu t’essoufflais un peu, mais c’était si discret au point qu’il était impossible de le remarquer. Tu ne le quittais pas des yeux, le dévorant littéralement, surtout quand il venait t’embrasser. Et de ton côté, lorsque tu lui répondais, ton baiser était très loin d’être chaste — un contraste saisissant quand on le comparait à toutes les attitudes que tu avais eues jusqu’ici. Tes deux mains se plaquaient contre ses joues à mesure que le baiser devenait fougueux, langoureux. Ton corps était même naturellement venu se plaquer contre le sien. Tu te plaisais à le toucher, mais tu aimais encore plus l’attraper au niveau de sa nuque, de ses cheveux, ayant la sensation de le posséder durant un bref instant. Il était à toi, tout à toi et rien qu’à toi. Tu perdais le contrôle du baiser dont l’intensité était indescriptible, car tu libérais enfin vingt ans de frustration. Lorsque tu dus reprendre ton souffle, tu laissais ton visage simplement à quelques centimètres du sien. Tu ne pouvais plus être loin de lui — qu’importe sa nature, la séparation était insupportable. Ton souffle, imprégné de cette envie qui ne cessait de grandir et de cet amour qui ne demandait qu’à s’exprimer, s’écrasait chaudement contre ses lèvres. Tu plantais tes iris dans les siennes, déterminé, mais surtout séducteur, envieux. Ta voix se parait d’une sensualité qui lui avait été jusqu’alors étrangère. « Je n’ai pas très faim. Ni soif. » Tu étouffais un rire dans un sourire en coin lorsque tu le regardais et que tu lui volais un baiser qui dévoilait tes intentions. Sans aucune gêne. Tes mains n’étaient pas en reste non plus. Naturellement, mais tout en gardant cette trace de timidité qui ne pouvait s’envoler d’un seul coup, elles prirent la liberté de se glisser sous son haut et de découvrir lentement sa peau — douce, rugueuse à certains endroits à cause de cicatrices, vestiges de combats plus houleux que d’autres. Tu laissais échapper un soupir de satisfaction. Tu aimais plus que tout le découvrir de cette façon, cabossé, encore plus séduisant. « J’ai envie de toi. » lâchais-tu finalement, presque à bout de souffle, de nerfs tant le désir pour lui virait à l’obsession, avant de reprendre possession de ses lèvres. Passionnément. Fou de lui. Tes mains étaient plus gourmandes et remontaient jusqu’à ses pectoraux sous son haut. Ton corps entier, collé au sien sans laisser d’espace vide entre vous, frissonnait et vibrait avec force à cause du flot d’émotions que tu ressentais. Si intenses. Si dévastatrices. Tu en gémirais presque. Tu en perdais cependant ton souffle et surtout tu le débarrassais de son haut si encombrant après avoir dévoré son cou d’une myriade de baisers plus envieux les uns que les autres. Tu faisais sauter toutes les barrières. Vous aviez assez attendu.
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Lun 25 Avr - 9:22





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Tu hausses doucement les épaules, ce qui dans ton langage corporel très cryptique reviendrait presque à un sourire franc quand Luke observe qu’il ne sait pas franchement faire la différence entre un bon et un mauvais vin. Toi non plus. Tu pars du principe que plus c’est cher, meilleur ça doit être – probablement. Mais ça s’arrête là. Tu n’as aucune vocation à devenir œnologue un jour, c’est l’évidence, et tu t’en moques un peu. Le vin a au moins une faculté qui pourrait vous rendre service à tous les deux : il désinhibe. Enfin… Luke n’en a peut-être pas besoin de son côté, mais toi, clairement, c’est définitivement ton cas.

Tu as l’impression de ne pas quoi savoir faire de ton corps, partagé entre ce qu’il te somme de faire et cette réserve qui te colle à la peau depuis à peu près toujours, et qui a rendu laborieux chacun de vos échanges. Encore maintenant, c’est le cas. Pourtant, chaque baiser que tu lui arraches et comme une nouvelle inspiration, et te somme d’en réclamer davantage. Tu as besoin de lui dans tout ce qui le constitue : son âme, son esprit, son cœur… et oui, son corps aussi… sauf que toujours, tu réprimes ce quelque chose qui ne devrait plus l’être. Vos sentiments confessés, vous n’avez normalement pas besoin de davantage. Et il y a ce quelque chose que tu ne lis que trop bien dans son regard, et qui ne peut que trahir votre connivence.

Toutes mes soirées t’appartiennent. C’est ce que tu veux lui répondre quand Luke te confesse qu’il voudrait passer d’autres soirées avec toi… Pas besoin d’attendre la prochaine Saint-Valentin pour ça. Je t’appartiens. C’est la vérité, tu lui appartiens, de ton être, alors pourquoi tout semble compliqué, pourquoi tu noies tes belles déclarations dans ton verre de vin plutôt que de les formuler à voix haute ? Tu ne le comprends pas toi-même, et tu n’en est pas très fier, mais c’est pourtant le cas. C’est sans doute pour ça, parce que les mots te manquent et que le vin t’arrache la gorge, que tu décides de lui communiquer ce que tu ressens de la seule manière qui te semble convenir en cet instant.

Tes lèvres plaquées contre les siennes, ton corps semblent prendre le relais de ton esprit trop prompt à se questionner, et c’était ce dont tu avais besoin. Cette barrière brisée, ta réserve s’effondre d’elle-même, au fond bien trop fragile pour savoir réprimer le flot d’émotions et de sensations qui te submerge chaque fois que tes lèvres goûte aux siennes. Votre baiser, loin d’être chaste, semble te brûler de l’intérieur. Tous tes sens en éveil, ce qui vous environne se brouille, il n’y a plus que vous, vous et ce désir ardent qui te consume et que tu ne veux pas éteindre mais, bien au contraire, alimenter, encore et encore. Contre lui, à lui, en lui, encore et encore, sans plus aucune forme de retenue.

Ton sourire est si naturel et sincère qu’il te prendrait sans doute au dépourvu si tu prenais seulement la peine d’y réfléchir. Mais ton esprit est totalement accaparé par autre chose, en cet instant, et tout le reste n’a pas grande importance en comparaison. Tu ne te verrais clairement pas t’installer autour d’une table, sagement, maintenant, cette table, tu as plutôt envie d’envoyer balader tout ce qui la recouvre pour y allonger son corps et enfin le posséder, le posséder tout entier. Jamais tu n’as brûlé à ce point pour quiconque, c’en serait presque douloureux. Toi non plus tu n’as pas faim. Ou bien seulement faim de lui.

C’est ton être entier qui frissonne quand il glisse la main sous ton haut… tu as l’impression de ne plus être tout à fait maître de toi-même, et en même temps de ne jamais l’avoir été davantage : c’est une sensation exceptionnelle, déroutante… grisante.

Toi aussi tu as envie de lui, terriblement envie de lui… Tu ne prends pas de lui répondre en mot. A la place, c’est un baiser plus passionné encore qui lui répond. L’instant d’après, te voilà torse-nu, ton cou à la merci de ses lèvres tandis que tu t’empresses toi-même, en un geste des plus fiévreux, de le débarrasser du tissu qui recouvre le haut de son corps. Comme en pilote automatique, tu as presque l’impression que c’est un autre qui vient plaquer Luke contre le mur le plus proche, détache sa ceinture avec empressement et glisse sa main entre ses jambes, enivré de désir et de lubricité.



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Dim 15 Mai - 14:54


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Ven 3 Juin - 9:07





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Lun 12 Sep - 17:41


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Ven 30 Sep - 9:08





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Dim 19 Fév - 19:10


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Mer 22 Fév - 9:35





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