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DANS CE PETIT TABLEAU, TU TROUVERAS TOUS LES LIENS UTILES QUAND TU ES EN TRAIN DE RP.
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TERMINÉ [EVENT] Saint-Valentin ft. Harry

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Mer 9 Fév - 16:57




Saint-Valentin
Ft. Parksborn
 
C'était la première fois qu'on invité Peter, le petit bleu de la PTS à l'une de leur soirée après le travail. Même ci il n'était pas un grand fêtard, ça lui faisait plaisir de passé du temps avec les collègues qu'il apprécie en dehors du commissariat. Il avait apporté de quoi ce changer directement à la fin de son poste. Ce petit costume qu'Hannibal lui a offert allait bien lui servir pour les prochaines années. Il ne troqua que l'éternel chemise et tout le soin-soin par un simple tee shirt blanc.

C'était une première pour lui, il n'avait jamais été dans un endroit comme le LUX. Il se demandait même bien comment il a pu entrer aussi facilement. Mais quand il vit le maître des lieux il ne put que comprendre. Lucifer Morningstar dans toute sa splendeur. C'était la garanti d'une très bonne soirée. Enfin, il le pensait. Mais le problème n'était pas les lieux ni l'ambiance qui elle était survoltée, c'était lui. En buvant son soft, observant les gens danser, rire, s'embrasser, Peter sentit un énorme malaise. Un énorme poids se mit soudainement sur ses épaules. Son corps était dans la boîte mais son esprit était ailleurs, il s'inquiétait pour Harry. Il aurait aimé venir ici avec lui. Mais leur dernier rendez-vous... ne s'est pas passé comme prévu. Il ne s'est pas passé du tout d'ailleurs.

Ils devaient déjeuner ensemble après que Peter l'est cherché partout sur le campus la veille. Harry semblait mal de par ses messages. Peter comprenait qu'il avait sans doute besoin de se confier. Dans tout les cas, et peut importe la raison Peter voulait simplement le revoir. Il se plaisait avec Harry. Ils s'entendaient à merveille, c'était, si fluide. Et puis il y a ce déjeuner où Peter patienta seul à table. Inquiet et confus, il mit presque une heure avant que son optimisme s’effrite enfin. Il mit une heure pour se rendre à l'évidence : il ne viendrait pas. C'était un vrai coup de massue pour Peter. Il aurait peut-être du aller le voir chez lui. Il aurait peut-être... Il aurait pu faire un millions de choses mais il en fut incapable. Il commanda un milk shake à cause du serveur qui voulait le foutre dehors. Il le toucha à peine. C'est dans des moments pareil qu'on devrait faire appel à un ami. Sven, Stitch ou bien Mutt seraient sans doute venu à la seconde pour soutenir leur ami. Il n'en fit rien. Après avoir envoyé une tonne de texto plus inquiet les uns que les autres il quitta le restaurant le cœur lourd, la tête en vrac.

Encore aujourd'hui il est sans nouvelle. Et introuvable dans les couloirs. Peut-être l'évite-t-il ? Dans tout les cas, même ci il le croisait... serait-il capable d'aller le confronter ? Surement pas.

Toute cette ambiance commençait a l’étouffer sérieusement. Il n'arrivait pas suivre les conversations autour de lui. Il ne pensait qu'à lui. Et il se maudissait de ne pas l'avoir fait plus tôt. Il s'excusa auprès d'Ella avant de fuir la boîte de nuit. Ses cheveux étaient parsemé de paillettes mais il s'en moquait. Il courait, aussi vite qu'il le pouvait. Sautant par au dessus les gens, les voitures, tout les raccourcis étaient bons pour arriver au plus vite devant sa porte. Essoufflé, il frappa une première fois. « Harry ? Harry c'est Peter ouvre-moi. » il refrappe « Je suis pas là pour te demander des explications je veux juste... je veux juste m'assurer que tu vas bien. Tu peux m'ouvrir, juste cinq minutes ? » 



:copyright:️ Belzébuth



Dernière édition par Peter Parker le Dim 20 Mar - 21:11, édité 1 fois
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Ven 11 Fév - 16:29



Saint-Valentin



feat. Peter



Il n’arrive plus à sortir de chez lui, c’est aussi simple que ça. En fait, il n’arrive plus à rien du tout. Ses retrouvailles avec son père l’ont glacé, remué tant de souvenirs et d’émotions contradictoire qu’Harry se retrouve dans l’incapacité la plus totale de les gérer. Il pensait avoir un minimum de contrôle sur lui-même et sur ses décisions, il pensait avoir dépassé un certain seuil, qui le rendrait apte à affronter sa relation avec géniteur : les faits lui donnent plus que cruellement tort tandis qu’il fait face, sans échappatoire possible, à une réalité bien plus déplaisante mais à l’évidence plus concrète et réaliste : c’est sans doute Norman Osborn qui a raison, son fils est faible, et d’une faiblesse sans nom…

Harry s’en veut terriblement d’avoir posé un lapin à Peter. Il a essayé plus d’une fois de prendre son téléphone pour l’appeler ou au moins lui laisser un message, partagé entre l’envie de lui pondre une fausse excuse et celle de lui expliquer, au moins en partie, songeant que ce serait peut-être plus simple de le faire à l’écrit, mais il n’est parvenu à faire ni l’un ni l’autre. La veille, au moment de s’apprêter rejoindre Peter, il avait senti un poids si solide peser sur ses épaules, puis insidieusement lui comprimer la poitrine qu’il s’est découvert dans l’incapacité la plus totale de faire encore le moindre pas… En réalité, c’est à peine s’il parvenait à respirer… Une véritable crise d’angoisse… Et si Harry devine que se confier à Peter serait sans doute un remède à une partie de ses maux, s’il sait pertinemment que le simple fait de le voir serait d’ores et déjà susceptible de lui mettre du baume au cœur, force lui a été de constater qu’il en était tout bonnement incapable. Ce n’est pas faute d’avoir pensé à lui, pourtant – et pour cause, Harry pense très souvent à Peter, comme cela ne lui était jamais arrivé d’être ainsi hanté par la pensée de qui que ce soit –, mais ce n’était pas assez.

Les yeux fermés, il laisse l’eau de la douche couler sur lui un temps qu’il ne saurait pas réellement identifier, une tentative comme une autre de reprendre ses esprits et de se tirer une bonne fois pour toutes d’une sorte de léthargie qui ne saurait lui faire aucun bien, c’est une certitude… Sans vraiment de succès… Il n’entend pas tout de suite les coups frappés à sa porte, c’est quand Peter frappe une seconde fois que Harry rouvre les yeux, coupe l’eau, et comprend.

Quand il entend la voix de Peter de l’autre côté de la porte, c’est une sensation de chaleur infinie qui le parcourt, le besoin si impérieux d’être avec lui au mépris de tout qu’il lui fait, d’un coup d’un seul, et en soi assez inexplicablement, oublier ses angoisses. Il prend à peine le temps de se sécher et d’enrouler une serviette autour de sa taille (tout de même) avant de se précipiter vers la porte, avec soudainement l’intuition la plus totale et irrépressible que rien au monde ne saurait être plus important que de ne serait-ce que poser les yeux sur Peter.

« Peter ! »
dit-il sitôt la porte ouverte. « Tu es venu exprès pour moi ? » Alors qu’il le regarde, il oublie définitivement d’avoir peur, tout monopolisé par la sensation certaine, unique, de ne définitivement plus garder pour lui ce qu’il tait depuis plusieurs semaines déjà. « Tu rentres ? Je vais nous trouver à boire. »

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Ven 11 Fév - 20:36




Saint-Valentin
Ft. Parksborn
 
C'était peut-être pas une bonne idée de sa part de ne pas vouloir d'explication. Parce qu'il en besoin, il a besoin de savoir se qu'il se passe. Où a-t-il bien pu fauté ? Que se passe-t-il dans la tête d'Harry en ce moment ? Car là, Peter peinait a comprendre. Il surpasse son appréhension et frappe à la porte. Une fois, puis à la deuxième fois la porte s'ouvrir. Son cœur bondit, ses entrailles se retournent littéralement. La situation aurait pu être marrante, comme un air de déjà-vu. Les mots lui manquent, comme coincé au travers de sa gorge. Il l'invite a entrer, se qu'il fit. Il ne veut pas trop s'attarder et tâche de le regarder dans les yeux. Mais a peine a-t-il le dos tourné que son regard vient caresser son épiderme chaud et encore humide. Pourquoi se sentait-il ainsi ? Si... retourné. « Je, je veux bien un verre d'eau » réussit-il maladroitement a articuler. Il se décida alors a observer les alentours pour calmer ce feu qu'il avait aux joues. « Tu.. t'as reçu mes textos ? » demanda-t-il alors qu'il suivait son hôte jusqu'à la cuisine. « Je, je me suis beaucoup inquiété. » Tout avait commencé si simplement, avec une telle fluidité et maintenant, il était déjà face à un obstacle qu'il ne serait déterminer. Il espérait juste... qu'il n'était pas le seul a se faire des films comme il avait tendance à le faire. Même dans ses amitiés.


:copyright:️ Belzébuth

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Sam 12 Fév - 9:31



Saint-Valentin



feat. Peter



« Oui, je les ai reçus, et ça m’a fait du bien, tu sais, de savoir que tu as pensé à moi. C’est vrai, j’aurais dû te répondre, je ne sais pas pourquoi je ne t’ai pas répondu… »

Quand il prononce ces paroles tout en versant un verre d’eau à l’attention, de Peter, toujours pas embarrassé par une semi-nudité qui l’aurait plongé dans l’embarras le plus total s’il était complètement dans son état normal, il les pense. Sur le moment, alors qu’il pose les yeux sur Peter, il est incapable de déterminer au nom de quelles raisons il a pu demeurer distant et muet à son adresse. Il ne veut qu’une chose pourtant, et c’est être proche de lui, et lui parler, encore et encore… Il a envie de blâmer, terriblement, son lui, du passé, celui qui avait préféré rester cloitré chez lui plutôt que de se donner l’opportunité d’être là, auprès de celui aux côtés de qui il voudrait toujours être, constamment.

Cette émotion n’est pas nouvelle. Il l’a ressentie presque dès leur première rencontre : comme une connexion, une sorte d’évidence. Et son incapacité à chasser Peter de ses pensées avait fait le reste. Pour autant, il avait toujours fait preuve de cette sorte de réserve naturelle au moment de ne serait-ce que commencer à assumer ses sentiments. Il en est pourtant bien loin, là, tout de suite. Il a envie de tout dire, de ne plus perdre de temps en tergiversations typiquement « Harryesques »… il fallait vraiment être stupide pour se poser autant de questions quand l’évidence était pourtant à ce point frappante.

« Tiens »,
ajoute-t-il en lui tendant son verre d’eau. « T’as plus à t’inquiéter pour moi, d’accord ? » ajoute-t-il en avançant une main vers lui, qui vient un instant effleurer son visage comme si c’était là le geste le plus naturel du monde. « Tu es là, alors je ne peux qu’aller bien. »

Il ne le lâche pas des yeux, considérant avec une infinie certitude la véracité de ses propos. Il a eu tant besoin de lui, de sa présence, de sa gentillesse… Pourquoi avait-il été si bête, de se priver précisément de ce qui lui faisait du bien ? Il est idiot, voilà ce qui est… à se donner constamment des prétextes à avoir mal. Mais il ne veut plus jamais avoir mal, il veut dorénavant éprouver seulement et constamment cette sensation de vive chaleur qui s’empare de tout son être chaque fois que Peter est dans les parages.

« J’ai plein de  choses à te dire, Peter. »
Tellement qu’il ne sait pas par où commencer. Et celles qui lui viennent n’ont pas grand-chose à voir avec celles qu’il avait eu l’intention de lui partager la veille. Mais son père, et l’angoisse profonde que son retour suscite en lui, lui paraît finalement très accessoire en cet instant. Il sait seulement qu’il ne doit absolument rien omettre, parce qu’il ressent, en cet instant, le besoin plus qu’impérieux que Peter sache absolument tout, dans le moindre détail, et sans aucune exception. « Installe-toi ? »

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Sam 12 Fév - 21:06




Saint-Valentin
Ft. Parksborn
 
Ce n'est décidément pas le genre d'acceuil qu'il s'était attendu d'avoir. Pas que ça le déplaise loin de là, c'est même décidément trop beau pour être vrai. Harry Osborn avait le don d'éveiller en lui de pensées et des réflexions qu'il n'oserait partager à quiconque et qui le gêne lui-même. En plus de ça, il se retrouve toujours dans l'incompréhension. Il s'était tellement inquiété, fit un nombre incalculable de films qu'il ne comprenait pas le comportement de son ami. Il ne serait pas dire en quoi exactement, sans doute au fait que ces derniers jours semblent dérisoire pour Harry. Alors que Peter avait été drôlement affecté par ce changement de comportement. La coupure fût bien trop brutale pour lui. Mais il n'en fit pas référence, ni même une réflexion su sa tenue. Il était bien trop poli et, même ci il se sentait très gêné de tout ce qu'il pouvait ressentir a ce moment précis, jamais il ne voudrait le gâcher.

Son souffle se coupe soudainement au moment de saisir son verre. Cette proximité écrasait ses voies respiratoires. Il s'empresse donc de boire son verre d'une traite, comme imaginant qu'il serait capable d'éteindre ce feu en lui. Alors que sans le savoir, il ne faisait qu’attiser la flamme, et Harry aussi. « Ah oui ? J'ai bien fait de venir alors. » il s'installa gentiment à sa suite. « J'aurais du venir plus tôt. Mais je voulais pas être trop lourd.. Même-ci l'envie y était. Vraiment. » Furieusement. Il entremêla ses doigts, à l'écoute. Se demandant bien a quel sauce il allait être mangé. Parce que c'est ainsi qu'il se sentait en sa présence, dans flatteuse tenue. Une petite biche, prête a être dévoré. « Je me tais maintenant. Je t'écoute, je suis tout à toi. »


:copyright:️ Belzébuth

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Dim 13 Fév - 9:14



Saint-Valentin



feat. Peter



Oui, il a bien fait de venir, c’est même la meilleure chose qu’il pouvait faire. Harry ne réalisait pas à quel point le vide qu’il avait à combler pouvait l’être par la seule présence de Peter. Est-ce que ce n’était pas évident, pourtant ? Mais Harry ne lui en veut certainement pas de ne pas être venu plus tôt, il s’en veut à lui en revanche d’avoir attendu si longtemps alors que chaque moment qu’il passait sans Peter était naturellement un moment gâché.

« T’es jamais lourd Peter, je pourrai te voir tous les jours de ma vie, et je serais toujours aussi heureux que tu sois là »,
répond Harry avec cette sorte de facilité dont il ne discerne même pas l’incongruité en cet instant.

Il s’exprime comme il pense, sans aucun détour, sans aucune forme de réserve, et sans comprendre que ce ne devrait pas être un exercice naturel pour lui, il remarque en revanche à quel point ça fait du bien : parler sans filtre, dire immédiatement ce que l’on a sur le cœur sans s’inquiéter un seul instant des conséquences, parce que pourquoi s’en inquiéter. C’est à peine s’il envisage qu’elles puissent exister. Lui, tout ce qu’il voit, ce qu’il sait et comprend, c’est qu’il a en face de lui la seule personne capable de lui rendre le cœur si léger qu’il a le sentiment de le sentir flotter tel un ballon dans sa cage thoracique. Un sourire charmé étire ses lèvres au moment d’entendre Peter lui assurer qu’il était tout à lui. Harry n’a jamais à ce point voulu que ce soit vrai auparavant.

« Je pense que tu te rends pas compte de ce que tu représentes pour moi, Peter. J’imaginais pas, quand je suis venu chez toi, que je rencontrerai quelqu’un comme toi. Je te jure, j’aurais pu t’écouter parler de toi, de ta vie, de tes goûts pendant des heures et des heures… Je suis reparti de chez toi et je me suis dit que je voudrais partager toutes mes pizzas avec toi. » Il marque une pause. « Je suis heureux depuis que je te connais, tellement heureux. »

Comme c’est simple à dire, comme c’est évident à déclarer ! Les paroles quittent le seul de ses lèvres sans même, semble-t-il, avoir été préalablement réfléchies par un cerveau visiblement en berne, qui pourtant, en temps normal, carburait à cent à l’heure au point de ne jamais, ô grand jamais lui laisser le moindre instant de répit.

« Puis mon père a débarqué, il a mis le bordel dans ma tête, mais tu vois. Il suffit que tu sois là, et je me rends compte à quel point c’est pas important, tout ça. »
Il affiche un fin et doux sourire. « Parce qu’il y a que toi qui comte, Peter. Quand t’es là, y a plus rien d’autre, y a que toi, et j’arrête pas de penser à toi, et j’aurais pu te le dire dès le jour où on s’est rencontrés, mais j’aurais eu l’air d’être cinglé. » Il attrape les mains de Peter dans les siennes, le regard plongé dans le sien. « Mais je m’en fiche d’avoir l’air cinglé, maintenant. »

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Mar 22 Fév - 18:10




Saint-Valentin
Ft. Parksborn
 
Ses yeux devinrent ronds comme des billes alors que son cœur enfle aux paroles du brun. Touché au plus profond de son être comme il ne l'a jamais été. Il devrait répondre quelque chose, c'était le moment ! Mais Harry poursuit aussitôt et au fil de ses mots il peut entendre exactement son rythme cardiaque tambourinait dans sa poitrine. De plus en plus en plus fort, plus rapide. Il en avait vu des films romantique, il en avait entendu des déclarations. Mais jamais de tel à son encontre, jamais de tel avec cette intensité. Il se reconnaît dans chacun de ses mots pour avoir ressenti exactement la même chose. Il était devenu du jour lendemain obnubilé par ce garçon aux cheveux bouclés. Il se demandait , mais pourquoi ? Alors que la réponse était simple, limpide. Juste sous ses yeux depuis tout ce temps.

Son cœur bondit de plus belle quand ses mains se retrouvent ensemble entre celles d'Harry. Le fard lui monte aux joues alors que le monde autour d'eux ne semble plus exister. Ils se regardent, se jaugent, intenses. Peter hoquète, étranglé par l'émotion avant de rire. Pas pour se moquer il était juste ému. Parce qu'un garçon comme Harry Osborn ne pouvait pas s'intéresser à un garçon tel que Peter Parker. Et jamais, il n'avait été aussi heureux d'avoir tord. Il dût néanmoins se calmer pour réussir a s'exprimer « Alors on est tout les deux cinglés. » il poursuivit même dans son propos : « Et je pense l'être encore plus. Parce que, je sais pas- tu crois que c'est normal de penser à la même personne au réveil, en mangeant mes céréales, en prenant ma douche.. » et voilà qu'il se perdait dans les fils de ses mots. L'excitation était si forte en lui qu'il avait l'impression que les battements de son cœur faisait trembler tout son corps. Ce n'était peut-être pas qu'une impression. « J'ai bien peur désormais -et j'en ai la certitude aujourd'hui que je suis fou. Complétement. Raide dingue. Fou de toi Harry, au premier regard. Je ne pouvais pas te laisser partir ce jour-là. Jamais »


:copyright:️ Belzébuth

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Mer 23 Fév - 18:01



Saint-Valentin



feat. Peter



Quelque chose qui ressemble à de l’émotion pure se lit dans les yeux de Peter, dans l’intensité de son regard, dans le vermeil qui lui rosit les joues, dans ce rire nerveux qui s’échappe de ses lèvres et qui est peut-être la mélodie la plus charmante que Harry ait jamais entendue de son existence. Tout ce qui le constitue, tout ce qui émane de lui, le transit en retour d’une émotion tout aussi pure. En cet instant, ce qu’il n’avait osé présumer se présente à ses yeux de façon si claire, si limpide, qu’il se retrouve dans l’incapacité la plus totale de nier l’évidence. Non, il ne le peut clairement pas, et surtout il ne le veut pas…

Peter Parker partage ses sentiments, en cet instant, il en est finalement convaincu, et c’est la pensée la plus belle, la plus bouleversante, qui ait jamais envahi son esprit. Elle plonge tout le reste dans un flou cotonneux, inutile… Car plus rien n’existe en cet instant si ce n’est eux, ce regard où il serait capable de plonger encore et encore, de se noyer, tant qu’à faire, peu importe. Le retour de son père, ses perpétuelles crises d’angoisse, toutes les émotions qui l’avaient presque empêché de vivre et de respirer, tout ça n’est plus rien. Harry a retrouvé son oxygène. Peter est son oxygène.

Les paroles qu’il prononce finalement font naître un doux sourire sur son visage, partagé entre l’amusement et la tendresse. Oui, ils doivent être deux cinglés, mais s’ils ne sont fous qu’en était fous l’un de l’autre, est-ce que c’est si grave que ça ? Harry a envie de penser que non. Et son cœur bat toujours un peu plus fort, comme s’il cherchait à s’envoler hors de sa cage thoracique alors que Peter cherche à lui exprimer combien il ne cesse de penser à lui, constamment, dans n’importe quelle circonstance. Il en est de même pour Harry. Chaque instant, même le plus banal, s’accompagne toujours d’une pensée pour lui… à se demander ce qu’il fait, à s’inquiéter de son état, à s’ennuyer de son absence. A vouloir être avec lui constamment. Cette torture de s’empêcher de lui écrire pour ne pas être trop invasif. Cette souffrance plus grande encore de le rejeter, quand la peur prend le dessus, quand Harry s’inquiète de lui-même au point de songer que le bonheur de Peter ne pourra jamais passer par le sien, cette peur de lui faire du mal…

Mais en cet instant, il en rejette la seule idée. Peter est près, beaucoup trop près, et ses paroles trouvent en lui un écho tel que Harry serait dans l’incapacité purement physique de le rejeter. Il les ressent en des instant comme des aimants qui trouveront toujours leur chemin l’un vers l’autre… unis par quelque chose de puissant, de magnétique, le genre de choses contre lesquelles il se révèle tout bonnement impossible de lutter.

« Ne me laisse jamais partir, Peter »
, répond-il doucement, peut-être trop cryptique, avec au cœur la volonté qu’il lui promette de toujours le retrouver même s’il devait finir par se perdre, un cas de figure qu’il redoute beaucoup trop depuis le retour de Norman Osborn dans son existence. « J’ai trop besoin de toi. Reste avec moi où que j’aille et quoi que je fasse, s’il te plaît. »

Harry abandonne les mains de Peter pour glisser ses doigts sur son visage et le prendre en coupe pour approcher ses lèvres des siennes et enfin l’embrasser, comme il en brûle d’envie depuis ce qui lui semble être une éternité.


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Jeu 24 Fév - 18:40




Saint-Valentin
Ft. Parksborn
 
Peter a toujours prôné a tout va la sincérité et l'honnêteté. Mais là, s'ouvrir de la sorte, clamer haut et fort son attirance pour le bouclé lui aurait été inconcevable. Il fallait un sacré cran pour mettre a nu ses sentiments. Il avait beau être un super héros adulé avec une aisance et un charisme naturel.. sous le masque, c'était une tout autre personne. Il n'avait pas une très bonne vision de lui-même. Surement les traces restante d'une enfance sous le signe du harcèlement. Enfant, Peter ne jouait pas dehors avec ces amis. Il en avait très peu. Ce qu'il aimait c'était être dans son monde, se plonger dans les comics ou bien s’afférer a de multiples expériences scientifiques du niveau d'un enfant. Il avait toujours été le weirdos de sa classe et il n'était pas bien fin. Grosse tête, en soi, la victime idéale pour des attaques physiques et moraux.

C'est grâce au soutiens de May et des conseils de Ben qu'il réussit à s'ouvrir au monde. On lui avait fait changé d'école pour Midtown, une école publique spécialisé dans la science et l'ingénierie. C'est là-bas qu'il se fit son premier et véritable ami : Ned. C'est en grandissant a ses côtés qu'il se sentit de mieux en mieux dans ses baskets. Faut dire que la popularité soudaine de la pop culture l'avait grandement aidé. C'était un travail de tout les jours. Et même ci aujourd'hui ça semblait facile il restait des points... Ou il ne refusait pas un petit coup de pouce.

Et dans le futur il ne pourra jamais assez remercier la personne qui a mis cet étrange truc dans l'eau. Parce qu'il aimerait ressentir cet amour avec cette intensité toute sa vie. Il était tellement épris par ses émotions que la partie réfléchis de son cerveau s'était mis en stand by. La timidité était étouffé par cette flopée de sentiments qui l'entourait tendrement. Il n'allait pas par quatre chemins et ne prenait aucune déviation. Et bon sang, qu'est-ce que c'était libérateur. Les doigts d'Harry viennent se poser avec délicatesse sur son visage. Il le sent, il comprend. « Je te le promet » dit-il dans un murmure. Alors que le temps semble ralentir comme pour mieux le torturer. Il ferme les yeux et là, c'est la plus belle, et la plus douce des explosions. C'était donc ça, avoir des papillons dans le ventre ? Il se sent tout drôle. A la fois cotonneux et surexcité. Ses mains viennent a leur tour irrésistiblement rejoindre ce visage. Il ne savait pas si il faisait, et allait faire les choses bien. Toute ses pensées parasites qui auraient pu le perturbé dans un moment pareil n'étaient plus, elles étaient chassées. Il s'abandonnait et se laissait aller au gré des baisers de ce garçon qui obnubilait ses pensées depuis un certain temps. Il était excité comme un adolescent et ça pouvait certainement ce sentir via sa fougue maladroite. Peter avait en quelque sorte abandonné son adolescence aux prix du poids des responsabilités qu'il s'était juré de porter. Tandis qu'Harry n'a pu vivre pleinement sa vie d'adolescent, si on peut oser dire qu'il en a eu une a cause d'un père trop ambitieux qui ne voulait pas d'un enfant a ses côtés. Et aujourd'hui, la ville leur offrait un cadeau fabuleux : celui de rattraper cette période perdue dans le feu de la passion. Il prit la peine de retirer sa veste qui le gênait dans ses mouvements avant de reprendre là où il en était. Dans la découverte du goût de ces lèvres qui devenaient rosies a mesure de leurs caresses. C'est avec un naturel déconcertant qu'il se retrouva au dessus d'Harry. Ces baisers avaient le don d'embraser son corps entier. Il avait si chaud qu'il ne pensait pas que ça puisse être possible. Il ne savait d'abord où mettre ses mains. Dans un premier temps en appuie sur l'accoudoir. Et la distance finit par se réduire en fil de leurs échanges passionnés. Ca aurait peut être été le moment de lui dire qu'il était inexpérimenté. Que l'idée même le rendait très nerveux. Mais non rien de tout ça ne lui venait à l'esprit. Il se sentait terriblement bien, son corps reposant contre lui désormais, une main jouant dans ses cheveux. Et il y avait cette serviette, qui semblait se faire doucement la mâle au fil de leur échanges et de leur mouvements. Ce n'est pas quelque chose qui allait le perturbé au grand étonnement de tous. Parce qu'il aimait tout de chez Harry. Absolument tout.


:copyright:️ Belzébuth

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Jeu 24 Fév - 21:55



Saint-Valentin



feat. Peter



La réponse de Peter a un effet libérateur, cette promesse, gravée en lui, est de celles qui ne se brisent pas, et Harry, convaincu que jamais il ne la trahirait, se sent plus heureux, plus confiant que jamais. Il sait qu’il pourrait remettre, aveuglément, sa vie entre les mains de Peter, et ne jamais le regretter. Parce que jamais il ne le décevrait, jamais il ne le trahirait. Pour ce qui est peut-être la première fois de sa vie, il éprouve la confiance dans son expression la plus pure, et c’est un sentiment grisant que de songer pouvoir s’abandonner à lui, sans crainte ni réserve, et surtout sans jamais de regret.

Sa promesse est douce et enivrante comme un baiser, ses baisers, eux… Il n’y a pas de mots pour le décrire, quand ses lèvres se posent sur les siennes. Son cœur s’emballe, cogne si fort contre sa poitrine qu’il semble vouloir s’envoler. Sa tête vide de toute pensée qui ne le concernerait pas lui, qui ne les concernerait pas eux, il se laisse enivrer par le contacte de ses lèvres contre les siennes, cette émotion si vive, si puissante, cette impression qu’embrasser d’autres lèvres que les siennes sera toujours vain, parce qu’ils n’étaient faits que l’un pour l’autre. Les deux pièces d’un puzzle, il fallait l’un et l’autre pour que l’image soit totale, complète.

Les gestes de Peter sont fougueux, un peu maladroit, en fait, mais Peter ne paraît que plus séduisant à Harry ainsi, et cette impression de chaleur, de fièvre, Harry ne l’avait jamais ressenti avant non plus. Il ne met rien sur le compte d’une quelconque inexpérience de la part de Peter, pour qui il ne devine pas être le premier. Lui-même a connu d’autres garçons – pas beaucoup, quelques-uns – avant, mais ça ne compte plus à présent. C’est de toute une manière une première fois, puisque c’est leur première fois, et elle comptera, tout naturellement, plus qu’aucune autre.

Harry se laisse basculer en arrière, à présent dos au canapé tandis que le corps de Peter le surplombe. Leurs lèvres semblent soudées l’une à l’autre, comme incapables de se détacher, les mains de Harry s’agrippent au dos de Peter, finalement, se fraient un chemin sous le tissu de son haut. Il ressent le besoin presque viscéral de sentir le contact de sa peau contre la sienne, le grain de son épiderme sous la pulpe de ses doigts.

Ils pourraient s’arrêter là, bien sûr, peut-être même que ce serait mieux… Harry n’a pas conscience de ce qui se joue en lui, de ce qui le motive à exprimer si ouvertement ce qu’il avait jusqu’ici gardé pour lui, mais sous le coup de ces émotions fortes, toutes celles qu’il subit depuis le retour de son père dans sa vie, peut-être qu’il devrait reconnaître qu’il n’est pas en état émotionnel de dépasser une certaine étape avec Peter. Oui, sauf que non. C’est comme si son corps était aimanté au sien. Il est incapable, purement et simplement incapable, de lui résister. De ne pas avoir envie de davantage, et à l’évidence, au moment où sa serviette décide définitivement de se dénouer, son entrejambe parle pour lui.

« Tu me fais confiance, pas vrai ? »
souffle-t-il doucement en invitant Peter à retirer son haut. « Je t’aime, Peter… je veux jamais que ça s’arrête… », reprend-il dans un souffle, une main explorant la peau de son torse, une autre glissant entre ses jambes, par-dessus son pantalon.

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Ven 25 Fév - 18:52




Saint-Valentin
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« Tu sais Pete, la première fois, c'est jamais comme on se l'imagine. Alors relax et tu verras, après tu ne pourras plus t'en passé. « ... » » Je vous censure la suite parce que les détails des ébats de Klenry, avec franchise, il aurait aimé avoir fermé les oreilles. C'était lors d'une soirée bien trop arrosé que les garçons s'étaient retrouvé méconnaissables. Mais arrivé un moment dans la soirée où ils réussirent a parler à cœur ouvert. Et Peter cracha enfin le morceau. C'est vrai et son ami l'avait deviné, il était amoureux. Il avait eu le coup de foudre à la vue de ce garçon qui sonna à porte. Et son intérêt ne fit que grandir au fil de leur échanges. Il était parfait, parfait pour lui.

Mais Peter n'était pas réellement d'accord avec son ami. Spidey est quelqu'un qui vit à l'instint, mais pas Peter. Si il serait une personne a part entière ce n'est pas ce genre d'inquiétude qui frapperait son esprit. Alors que Peter Parker, avait cette manie de toujours vouloir bien faire. Et pour ça, il fallait une certaine préparation, un plan, le cadre idéal. C'était un romantique dans l'âme. Il ne se voyait pas faire autrement qu'à la manière d'un tennage movie à l'eau de rose. Il n'était pas de ceux à se laisser aller a ces genres d'instints n'importe pas. Et certainement pas pendant une soirée trop arrosé pour finir sur un vieux canapé. Ce n'était pas concevable pour lui. Dans ces rêves ils seraient au chaud dans un châlet entouré de neige. Il y aura un feu qui crépiterait dans la cheminé et le cadre serait idyllique pour un rapprochement. Ils auraient lancé un film qu'ils n'auront jamais l'occasion de voir la fin. Mais forcé de constater que Mutt avait raison. Ce qu'on songe et la réalité sont bien de choses différentes. Et ça ne le dérangeait pas. A vrai dire, il s'en moquait complétement, il n'y pensa même pas une seule seconde tant son esprit était loin. Il se laissait complétement submerger.

« Ne me mets plus à l'écart, ça fait trop mal » avoua Peter à voix basse avant de poursuivre « Je veux être là pour toi, à chaque instant. » Il caresse le bout de son nez avec le sien, il est hypnotisé, sous le charme, il n'y avait pas assez de mots pour le décrire. Peter se redresse un instant, assis sur ses cuisses, pour retiré son tee shirt qu'il laissa tombé plus loin. Forcé de constater qu'ils sont tout les deux épris de leurs émotions, épris l'un de l'autre les joues de Peter sont furieusement rouge. Il se repenche vers lui, vers ce ci beau visage.
« Je te fais confiance. » il embrassa sa mâchoire alors que les frissons dans son corps ne se font que plus violent à son touché. Peter sourit, caresse tendrement sa joue et lui dit :
« Alors ne nous arrêtons jamais. Parce que moi je ne compte jamais m’arrêter de t'aimer. » Ses lèvres venaient a se perdre dans sa nuque -sa peau est si douce..- il redresse la tête, son regard embrumé par tout ces sentiments dans le sien. Jamais il n'avait senti en lui, un tel désire envers une personne. Toute était nouveau pour lui et, qu'est-ce que c'était grisant. Il déposa un baiser papillon avant de lui demander
« Sois mon guide Harry. Pour cette nuit et, toute les autres. »


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Sam 26 Fév - 9:38



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feat. Peter



« Je te le promets »,
répond doucement Harry quand Peter lui demande de ne plus jamais la tenir à l’écart, que ça faisait trop mal…

Il ne peut que le comprendre. Lui-même s’était fait du tort plus qu’autre chose, en n’impliquant pas Peter, en décidant d’ignorer ses appels et ses messages, en l’appelant discrètement à l’aide avant de se raviser. Ses crises d’angoisse auraient peut-être été plus moindres ou en tout cas plus supportables s’il avait eu Peter à ses côtés, mais il n’avait pas voulu lui infliger ça, et il avait eu si peur que son père s’en prenne à lui. Et maintenant ? Il n’est pas capable d’avoir peur. Comme si ce mécanisme pourtant très sensible et alerte de son cerveau s’était mis en berne pour ne laisser place qu’à cette émotion pure, vive, brûlante. Le désir plus fort que la raison, l’amour plus puissant que la peur. En cet instant, Harry fait une promesse en laquelle il croit dur comme fer, et pourtant, de retour à son lui rationnel, celui qui étouffait ses sentiments des peurs de leurs répercussions, il y reviendrait peut-être, à contrecœur…

Mais comment seulement y penser en cet instant ? Lui aussi veut être là pour Peter à chaque instant. Ne gâcher aucun moment… En réalité, il serait bien en peine de seulement rester loin de lui pour l’heure tant il ne se voyait pas vivre sans lui – survivre à peine, et encore, pas davantage –, même une seule seconde. Une sensation de pure et agréable dépendance qui lui parcourt les veines et le rend incapable de penser à quoi que ce soit d’autre. Lui dire qu’il l’aime, le dire si simplement, si facilement, lui qui se souvient à peine de la dernière fois où il a prononcé ces mots (sans doute pour les adresser à sa mère), c’est intuitif, c’est normal, c’est logique. Parce que c’est évident… Il l’aime oui, et il n’avait jamais ressenti ça pour personne auparavant. Chaque instant que ses lèvres passeraient loin des siennes serait naturellement un instant gâché, chaque moment où il ne lui serait pas donné de le voir sourire, d’entendre le son de sa voix, serait, tout naturellement, à jeter aux oubliettes.

Il affiche un fin sourire, comblé de la confiance que Peter lui accorde en cet instant, et bien décidé à s’en montrer aussi digne que possible. Il se sent frissonner au contact de ses lèvres contre sa nuque, mais ce n’est rien en comparaison de ces mots dont il s’imprègne, profondément, délicieusement du sens. Jamais il ne cessera de l’aimer… Ces mots, Harry leur garde une place précieuse dans ses pensées, et se promet de ne jamais les oublier. Quoi qu’il puisse advenir. Les derniers mots qu’il prononce, Harry comprend leur sens… L’inexpérience qu’avoue Peter devrait peut-être le pousser à mettre le holà, à suggérer qu’ils s’arrêtent là, à questionner Peter pour être sûr qu’il se sentait prêt… Mais Harry se sentait incapable de tout arrêter maintenant. Ce moment est parfait, absolument parfait. Harry ne veut rien gâcher, surtout pas, mais il le sait, il le sent, que c’est le moment, le bon moment.


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Dim 6 Mar - 19:24




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Lun 7 Mar - 17:26



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Mer 9 Mar - 17:44




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Jeu 10 Mar - 17:30



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Jeu 10 Mar - 19:52




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Cette facilité dans ces idées va lui manquer c'est certain. Dès demain il aura sans doute l'impression d'avoir été un autre. Car autant d'aisance dans les gestes et dans le partage de ses sentiments ne lui est pas commun. Il n'est pas l'heure d'y redouter, il n'y pensait même pas une seule seconde alors que la question se posait belle et bien. Il n'était pas certain que Peter puisse retrouver cette facilité. Où bien peut-être en demandant l'air de son colocataire Regulus pour concocter un nouveau philtre -quand il aura découvert qu'il était sous emprise- Ce n'est pas faire naître un amour superficiel dont il a besoin. Celui ci est déjà là sincère, niché au creux de son cœur. Mais cet aisance qu'il a ce soir, il ne sera pas certain de la retrouver et de l'offrir à Harry. Heureusement que le philtre l’empêchait de réfléchir comme il l'aurait fait a l'accoutumé. Il pouvait se laisser pleinement emporter par l'euphorie du moment, sans aucune crainte. Tout ça été sans doute remis à plus tard. Ce qu'il retient dans l'instant est qu'Harry est heureux à ses côtés. Ça vaut de l'or, il aimerait lui faire partager tout le bien être qu'il lui procure par sa simple présence. Cette sensation de légèreté, d'être entendu, compris et comblé par sa seule présence. Cette instant suspendu dans le vent, il le grave dans sa mémoire. Tout deux épris d'un amour indescriptible, d'une douceur infini, mais si puissant qu'il en devenait violent comme l'ardeur de leurs baisers.

Harry le stoppe, son souffle est court, comme désarçonné. Ils se redressent tout deux en poursuivant leurs baisers. Harry fait taire net ses inquiétudes. Ces mots le touche en plein cœur, il se sent frissonner, d'autant plus en se retrouvant loin de lui. Dans son esprit embrumé ce n'était pas nécessaire. Même le plus sordide des endroits lui aurait convenu le temps qu'il demeurait a ces côtés. Mais c'est une attention qui ne le rend pas insensible, loin de là. Il le suit docilement, prenant soin en s'allongeant d'admirer l’entièreté de ce corps qui lui faisait envie depuis leur rencontre. « C'est toi qu'est parfait » répondit-il finalement dans un sourire, sûr de se qu'il disait, sûr de ses sentiments, sûr... d'en avoir très envie. (heureusement pour eux, car s'était quelque chose qui lui était complétement sorti de la tête, lui d'habitude si prévenant, toujours dans l'organisation)

Sans le quitter du regard il saisit l'emballage entre ses doigts. « J'ai jamais été aussi sûr de toute ma vie » lui assure-t-il en ouvrant le contraceptif sans une once d'hésitation, autant dans ses yeux que dans ses gestes. -les enseignements de May lui sauront bénéfique tout compte fait- C'est maitrisé, même méticuleux. Et puis finalement il relève son regard vers lui, vers ses sublimes prunelles qui semblaient briller comme celles des chats à la faible luminosité des lampadaires extérieur. « Merci d'avoir frappé à ma porte » dit-il dans un murmure. Son visage proche du sien, ses lèvres caressant les siennes il se retrouvait dans l'obligation impérieuse de lui dire. Maintenant, tout de suite. Et autant de fois qu'il le saura nécessaire et plus encore. « Je t'aime, je t'aime tellement... »


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Sam 12 Mar - 16:52



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Dim 13 Mar - 18:04

Peter Parker a écrit:



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Dim 13 Mar - 21:20



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feat. Peter



Magique. S’il devait n’utiliser qu’un seul mot pour décrire cette nuit, c’est celui-là qu’il choisirait : magique. C’est cliché, peut-être, mais qu’importe, il ne voit aucune autre manière plus concrète d’expliquer ce qui, en réalité, ne peut pas s’expliquer en mots. Cette complicité pure, ce sentiment de communion totale, cette impression si certaine d’appartenir à l’autre que rien au monde ne serait susceptible de la tromper… Tout semblait si… juste… si évident… Un sentiment qui le traversait si peu en temps normal… Oui, magique était définitivement le mot. Magique, la sensation de ne plus avoir besoin de réfléchir à quoi que ce soit. Magique, cette facilité qu’il avait eu à exprimer la moindre de ses émotions, en mots comme en geste. Magique la façon dont son cœur se mettait à battre de manière si singulière au contact de sa peau, de son souffle, de ses lèvres. Magique, ce philtre qui avait fait barrage entre lui et ses éternels questionnements.

Ses nuits hantés de cauchemars toujours plus pénibles depuis le retour de son père dans sa vie (et déjà avant), il ne se souvenait pas la dernière fois qu’il s’était assoupi de la sorte, d’un sommeil doux, réparateur, sans rêve… Il n’avait pas si bien dormi depuis… il ne saurait le dire… Alors qu’il avait fermé les yeux, Peter au creux de ses bras, il s’était senti plus à sa place que jamais, dans ce lit et dans ce monde.

C’est un mouvement inhabituel à côté de lui qui l’alerte et le fait se réveiller en sursaut, avec cette impression de panique vertigineuse que l’on ressent quand on se réveille ailleurs que chez soi alors que, quelques secondes auparavant, les vapeurs du sommeil vous avez fait oublier que vous dormiez ailleurs. Sauf qu’en l’occurrence, Harry est bel et bien dans son lit. Mais il n’est pas seul. Les événements de la veille lui reviennent alors par flashs, si irréalistes qu’il serait convaincu de les avoir tous rêvés si Peter n’était pas bel et bien là, assis sur le lit… Pas franchement habillé. Et lui non plus.

Heureusement que Peter rompt le silence, parce que Harry n’est pas sûr qu’il aurait été capable de dire quoi que ce soit de son côté, même si ce n’est qu’un timide salut (qui le rend plus attendrissant encore).

« Euh… oui »,
répond Harry hésitant, ce qui est très loin de la vérité : il n’a pas aussi bien dormi depuis des lustres, en réalité. « Et… hum… et toi ? »

Oh, quelle plaie ! Il se sent nul… est-ce qu’il a bu la veille au point de ne même pas se souvenir avoir bu ? Il n’a pas la gueule de bois, pourtant… et Peter, quel souvenir garde-t-il de cette soirée ? Est-ce que c’est aussi flou que pour lui ? Ou bien est-il le seul des deux…

« Je suis désolé, je sais pas ce qui s’est passé je… »
Il a envie de se filer une paire de gifle. « Non, je veux dire, je suis pas désolé que ça soit arrivé, c’est pas ça… » Eh merde… A ce stade, il ferait mieux d’arrêter de parler. Il n’en a pas fini de s’enfoncer constamment, apparemment. Il se retient de se filer des gifles et ne le fait que maintenant. « T’as faim ? J’ai pas grand-chose mais y a du café et des corn flakes… », reprend-il en se levant, soudainement très pudique au moment de chercher désespérément un caleçon et un T-shirt pour s’habiller un minimum. « Oh merde, midi trente, déjà ? » Dans la panique, il sent ses pensées partir dans les sens. « Peut-être que tu préfères y aller ? Je veux dire… je te chasse pas, pas du tout, tu restes autant que tu veux. Enfin si tu veux, quoi… »

Et voilà comment tout ce qui semblait si simple la veille devient une montagne à gravir. Quelques heures plus tôt, il pouvait lui déclarer son amour de mille façons possibles, et voilà que maintenant, il galère à lui proposer un bol de céréales.

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Lun 14 Mar - 11:46




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Ces souvenirs sont limpides dans sa mémoire, et c'est certainement ça le plus déroutant. Dans ces gestes et dans les mots qu'il a pu dire il ne se reconnaît pas. C'était, comme ci quelqu'un d'autres... Non, non ! Cette idée était trop répugnante. Et il espérait au réveil d'Harry qu'il serait la personne capable de répondre à ses interrogations. Mais à l'évidence, ils étaient tout deux dans ce même bateau. Il hocha doucement la tête en guise de réponse alors qu'il sentait une vague de gêne désagréable l'envahir. Il amorça un geste pour se relever mais se stoppa bien vite dans sa manœuvre en se rappelant que tout était dans le salon. Pour résumer : trop loin pour qu'il l'éteigne d'un bras. Les premiers mots d'Harry l'angoisse particulièrement, et c'était clairement lisible sur son visage qui venait de se décomposer à l'idée que... C'était une erreur ? Qu'il regrettait.

C'est à cette instant qu'il comprit que lui ne le regretter pas. Du moins c'était plus complexe qu'il n'y paraissait. Et il n'était pas certain de savoir comment l'exprimer. Il se souvenait de son aisance de la veille, tout était si facile. C'était comme avoir un mode de pensée complétement différent. Il n'ose même pas le regarder ce relever. Il eut tout juste le temps de constater les marques dans son dos. Les images lui revenant furieusement en mémoire. C'était complétement déroutant. Pourquoi ne se sentait-il pas comme hier ? Qu'est-ce qui lui avait pris ? « Tu peux.. est-ce que tu peux récupérer mes vêtements ? Dans le salon » C'était complétement surréaliste se qu'il se passait. Impossible d'avoir les idées clairs. Et remonter la soirée dans sa mémoire ne l'aidait clairement pas a comprendre comment ils ont pu en arriver là. Alors que la réponse était simple, limpide, sous les yeux de chacun. Mais les barrières s'étaient levé et il ne voyait pas grand chose a travers. « Je veux bien un café » dit il en le voyant arrivé avec ses vêtements. Fin soulagé il s'empressa alors de les mettre alors qu'il n'arriva pas apaiser ce feu qu'il avait aux joues. Tout était devenu si étrange. Le silence pesait mais c'était normal ! Ils étaient tout les deux perdu dans leur pensées, c'était le chaos ! Et pour une des rares fois, Peter ne savait pas quoi dire. Encore moins par où commencer car tout était perturbé dans son esprit. Il avait bien conscience qu'il y avait... il ne serait dire si s'était un problème, mais une force extérieur quelque chose n'importe quoi pour qu'il se retrouve aussi vite dans cette position. Sur le moment tout lui semblait si naturel alors qu'à son réveil, c'était tout l'inverse. Il ne savait pas comment réagir, perdu entre la honte et la joie qu'il est eu le courage de dévoiler le tréfonds de ses sentiments. Il ne pouvait nier la véracité de ses propos et les mots d'Harry.. eux tournaient inlassablement dans sa tête. « Tu... pensais tout ce que tu as dis ? » réussit-il finalement par demander les lèvres encore tout contre la tasse de café. Il se sentait déjà libéré d'un poids de dire ses quelques mots. Même ci il craignait des réponses à ses interrogations. « Tu t'en souviens .. ? » compète t'il car au fond … il ne sait pas si il est le seul a parfaitement se rappeler de chacun de leurs échanges. Sans pour autant comprendre son propre comportement. Il but quelques gorgées, c'était si calme qu'il avait l'impression qu'il pouvait entendre chacune de ses déglutitions. Dis-le Parker, dis-le. Rassemble assez de courage, tout ce qu'il te reste de courage. Jette toi à l'eau. Soit tu plonges, soit tu t'éclates il n'y a pas trente six milles possibilités. « Je sais pas ce qui m'a pris. » Il était confus. Il peinait encore a trouver ses mots, et le courage pour les faire sortir. Alors que la veille, c'était si simple... « Mais, je suis heureux que ça soit sorti » réussit-il par avouer et confronter son regard dans le sien alors qu'il ne rêvait que d'une chose : disparaître sous une cape invisibilité, quelque chose dans le genre. Il ne semblait soudainement plus rien entendre. Rien d'autre que les battements de son cœur qui devenaient violent et frénétiques tant il était anxieux. Incertain des aboutissements de cette conversation.



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Lun 14 Mar - 18:33



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feat. Peter



« Oh euh… oui, évidemment… »


Mal à l’aise, Harry constate seulement maintenant qu’en effet, les vêtements de Peter doivent l’attendre sagement dans le salon, et si l’un et l’autre avaient oublié d’être embarrassés par leurs nudités respectives l’instant d’avant, on ne peut plus vraiment dire que ce soit le cas à présent. Une fois dans le salon, Harry prend la pleine mesure de tout ce qui s’est passé la veille. Ce n’est pas tant qu’il n’en a pas gardé le souvenir qu’il est bien incapable de l’associer à quelque chose de véritablement réel. Ça ressemblait bien davantage à un fantasme sorti tout droit de son imagination… et pourtant… pourtant… les indices sont là, dispersés aux quatre coins de la pièce qui lui confirme que tout a bien eu lieu. Une part de lui en est heureux… heureux d’avoir bel et bien vécu ce moment idyllique. Un autre est tout bonnement paniqué : et maintenant ? Qu’est-ce qui allait se passer ?

Quand il revient dans la chambre et tend ses affaires à Peter, ce dernier accepte un café. Harry, bien moins bavard que la veille, définitivement, se contente de hocher la tête avant de lui préparer ça, offrant à Peter le temps et l’intimité de se changer. Dans un silence qu’il n’arrive pas à rompre, Harry leur prépare deux tasses de café avant de s’asseoir et de boire une première gorgée de la sienne. Une part de lui semble espérer que la caféine lui remettra les idées en place. Mais s’il se sent plus réveillé, il ne se sent pas plus certain de ce qu’il doit faire ou dire en présence de Peter. Tout lui paraît vain, absurde… insuffisant.

Est-ce qu’il pensait ce qu’il a dit ? Il n’a pas à y réfléchir. Les mots lui sont venus, à l’évidence, beaucoup trop facilement pour que ce ne soit pas terriblement suspects, mais cela ne l’empêche pas d’avoir pensé le moindre d’entre eux, de toujours le penser. De le penser, pour tout dire, depuis le jour même de leur rencontre… frappé d’une évidence qui s’était si brillamment manifestée la veille, et qu’il ne sait plus exprimer aujourd’hui. Il devrait simplement le lui dire. Oui, il le pense… oui, il se souviens de tout. Mais la force de son embarras est telle qu’elle le plonge dans un horrible mutisme… Et il s’en veut… Peter va s’imaginer, s’il continue sur cette lancée désastreuse, qu’il s’est joué de lui, que ça lui est égal, qu’il s’en moque. Il n’y a rien de plus faux, pourtant. C’est même tout l’inverse…

Et finalement, c’est Peter qui parvient à rassembler son courage pour eux deux. Il ne sait pas ce qu’il lui a pris. A Harry non plus. A ce stade, bon… Mais ce qu’il ajoute… Harry daigne soutenir son regard, et il se sent à la fois heureux d’entendre ces paroles qui le rassurent tellement, et en même temps navré de l’avoir plongé dans un tel état d’anxiété.

« J’ai tendance à pas dire aux gens ce que je ressens pour eux, c’est un truc que je sais pas faire »,
fait-il finalement après avoir posé avec précaution sa tasse à moitié pleine (et pas à moitié vide) sur le meuble le plus proche pour se rapprocher de Peter. « J’aurais sûrement mis mille ans à te dire tout ça. Non, en fait, peut-être que je t’aurais jamais rien dit de tout ça… » Il glisse doucement une main dans ses cheveux, encore hésitant, mais tout de même décidé. « Je pensais chaque mot de ce que je t’ai dit, Peter. » Il ne sait pas s’il aurait voulu que les choses se passent comme ça, mais il est sûr qu’il aurait voulu qu’elles se passent. Mais sans ce cop de pouce du destin, peu importe l’origine de ce dernier, rien ne se serait peut-être produit. « Je t’aime. »


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Mar 15 Mar - 10:57




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Peter ne pouvait pas en vouloir une seule seconde à Harry d'être aussi silencieux. Lui même ne se sentait pas capable de dire le moindre mot. Il était certain que même ci il essayait il resterait aphone. Bien sûr il aurait aimé être rassuré, qu'Harry lui apporte de lui même un complément de réponse à ses interrogations silencieuses. Mais si il était dans le même état que lui... Cette situation gênante demeura impossible a débloquer.

Seul dans la chambre le temps de s'habiller Peter continuait de s’interroger. Si son propre comportement était troublant a ses yeux, il n'arrivait pas exactement avoir le même sentiment d'Harry. Il n'avait qu'a se remémorer cette déclaration pour sentir son cœur se réchauffer malgré la gêne et l'angoisse qui l'animé de plus en plus. C'était si naturel, si sincère. Que le voir ainsi, aussi fuyant que lui... Non, il ne devait pas penser comme ça. Il devait arrêter de s'inquiéter dans son coin au risque de finir par prendre la fuite le cœur lourd. Il ne voulait pas ça, il voulait dissiper le brouillard, il ne serait pas quitter l'appartement sans en avoir le fin mort. Ca serait trop dur. Il déglutit difficilement, et après avoir remis l'intégralité de ses vêtements, il le rejoint dans la cuisine, toujours dans cette ambiance terriblement pesante. Comme-ci ils venaient tout d'eux avaient fait une grosse bêtise. Et ce n'est pas le cas, pas pour lui même ci... Il n'était pas à l'aise avec la tournure des choses. Il avait fait et dit les choses de lui même alors pourquoi avait-il l'impression … qu'on lui avait volé ce moment ?

Et cette fois-ci son silence n'aide en rien a calmer son angoisse. Le café peine a couler le long de sa gorge tant celle ci était noué. Il poursuivit tout de même après un temps pour récupérer une contenance. Parce que plus rien n'était facile dorénavant. Il réussit a dire se qu'il avait à dire, accompagnant ces derniers mots d'un petit sourire gêné alors qu'il baignait carrément dans l'angoisse, suspendu a ses lèvres. A quel moment a-t-il arrêté de respirer au juste ? Quand il s'est mis a parlé ? Quand il s'est levé où bien.. quand la distance entre eux s'est réduite ?

C'est droit dans les yeux qu'il lui déclare ses quelques mots. Des mots qui l'emporte, qui le transperce, qui le bouleverse. Comme-ci c'était la première fois. Comme-ci il découvrait les sentiments d'Harry Osborn pour Peter Parker. Son cœur se serre, mais plus de douleur dut a l'angoisse. Il sourit, il peut enfin respirer. Le même air que celui avec qui il a passé la nuit, qu'il a aimé et chérit jusqu'à en perdre la notion du temps. Le même air que celui, dont il est éperdument amoureux depuis des mois. « Je les pense toujours aussi. » Il avait déposé sa tasse sur le plan de travail derrière lui. Ses angoisses ne s'étaient pas envolé d'un seul coup, mais ces mots eut le pouvoir de lui donner le courage nécessaire. Parce que c'était ainsi, ils se complétaient parfaitement. Il réduit encore la distance et timidement, il vient déposer un doux baiser sur ses lèvres. Ses lèvres qu'il connaissait par cœur désormais. C'était si limpide, les images lui revenaient en tête comme un film en version accéléré. Ses mains avaient pris place naturellement sur ses hanches et bizarrement, il se sentit pris de cette euphorie, de cette vague d'amour sans aide extérieur. Sans philtre. Leurs lèvres se mouvaient naturellement avec la même passion que la veille. Ca a peut-être toujours été naturel tout compte fait.



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Mer 16 Mar - 18:30



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feat. Peter



Harry ne s’est pas senti lui-même au moment de dire à Peter qu’il l’aimait pour la toute première fois… Il avait certes eu, sur le moment, le sentiment d’être plus que jamais en phase avec lui-même, c’était comme si… une autre version de lui, une version d’Harry Osborn qui n’aurait peur de rien et encore moins de ses émotions, avait pris possession de lui sur le moment. C’était… infiniment déroutant, presque frustrant, quelque part, parce que ce moment passé ne pouvait naturellement plus être récupéré.

C’est ce qu’il a cru, du moins. Mais au moment de voir ce sourire radieux illuminer le visage, Harry réalise que cette confession n’est pas l’affaire d’une seule fois qui lui aurait été dérobée par les circonstances… Il aura toujours d’autres occasions de lui dire qu’il l’aime, et il ne sera pas lâche, il se promet qu’il les saisira toutes si cela peut lui permettre de voir un tel sourire se déposer sur ces lèvres qu’il a plus que jamais envie d’embrasser de nouveau. Tant pis que tout ça se soit passé d’une manière si… absurde, si étrange… Le moment qu’ils partagent en cet instant est, lui, bien réel.

Harry glisse une main dans les cheveux de Peter quand ce dernier approche ses lèvres des siennes pour les embrasser avec douceur, et à son tour, il sourit sans pouvoir s’en empêcher contre les lèvres de Peter… C’est, finalement, aussi simple que la veille, parce que c’est ce qu’il y a de plus naturel au monde, en fin de compte. Le temps s’arrête une fois de plus tandis qu’il se contente de savourer ce baiser, comme l’officialisation de tout ce qui s’est esquissé la veille et aurait pu en rester au stade de souvenir étrange, inexplicable, agréable mais presque irréel.

Non, ce qu’ils vivent est bel et bien réel, et ils peuvent enfin apprécier la nature nouvelle de leur relation… Harry se promet de ne plus jamais étouffer ses sentiments à l’adresse de Peter mais, au contraire, de les exprimer ainsi qu’il l’a toujours souhaité… Mais ces promesses se verront peut-être altérés par ces influences extérieures auxquelles il n’a plus la moindre envie de penser à présent, pour ne plus se concentrer que sur lui, encore et toujours lui.

« Je devrais peut-être m’inquiéter de ce qui s’est passé hier »
, fait-il avec un léger sourire, ses lèvres jamais très loin des siennes. « Mais bizarrement, ça m’est égal. » Il marque une pause. « Tu n’imagines pas depuis combien de temps je me retiens de t’embrasser. » Est-ce que c’était exagéré de dire que ça a été le cas depuis le premier jour ? Absolument pas. Il y a des évidences qui ne s’expliquent tout simplement pas. Celle de ses sentiments envers Peter en fait clairement partie. « Je veux plus jamais te laisser quitter cet appartement », reprend-il avec une sincérité qui le trouble lui-même.

Il a besoin de lui, définitivement besoin de lui. Et plus que jamais, en réalité… Sa présence et sa chaleur lui font oublier ce qui a motivé en premier lieu la distance qu’il a mise entre eux, mais nier le monde extérieur ne l’empêche pas de tourner sans vous.


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Ven 18 Mar - 22:44




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Ft. Parksborn
 
Il peut sentir doucement la pression s'envoler. Harry partage ses sentiments, et c'est la plus belle chose du monde. Lui qui gauchement, cogité sur des stratégies pour savoir si il pourrait être attiré par les garçons. Harry avait raison. Pourquoi s'inquiéter quand on est satisfait du résultat ? Au final peu importait les raisons extérieur qui les ont poussé aussi brutalement l'un verre. Ils en avaient tout deux terriblement envie. C'est un coup de pouce du destin qui leur évita des mois de souffrance a s'aimer chacun de leur côté. Il sourit à son tour contre ses lèvres. Les mots d'Harry le touchant en plein cœur, réchauffant ses entrailles. « Tu te rends compte ? » Il prit alors sa main dans la sienne et vint gratifier son dos d'un baiser. « De toute les barrières qu'on se met au quotidien. Et hier soir.. » pouf, il n'y avait plus rien. Elles étaient toute tombée. « J'aimerais pouvoir être aussi transparent. » Mais sa trop grande timidité lui empêché bien des choses. Même avec les personnes avec qui il se sent le plus à l'aise.

Son cœur fondait comme neige au soleil aux paroles d'Harry. Oh oui qu'il aimerait resté. Qu'il aimerait devenir prisonnier de ses quatre murs. Malheureusement la réalité avait fini par les rattraper et l'horloge continuait de tourner sans eux. « L'idée me plait bien » avoua-t-il en reposant ses mains sur ses hanches, le bout de nez caressant lassivement le sien avec un petit sourire. Il se sentait, plus que bien, il se sentait apaisé. Et c'est bien à contre cœur qu'il du dire ses mots d'une voix calme et doucereuse : « Mais je dois filer. Et toi aussi, t'as loupé combien de cours ? » il ferma les yeux un instant pour visualiser son planning de la journée. A la recherche d'un trou pour se retrouver. Car après tout ils avaient tellement de choses a se dire. Et même ci sur le coup il n'y pensait pas, dès l'instant où il se retrouvera chez lui il sera pris de millier de questions sans réponse. Et de nombreuses inquiétude. Mais là, il était trop bien dans les bras d'Harry pour y penser une seule seconde. « On se voit ce soir. Enfin, c'est pas une obligation hein, c'est une proposition » se perdit-il t'il à dire. On ne le changerait pas.



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TERMINÉ [EVENT] Saint-Valentin ft. Harry
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