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DANS CE PETIT TABLEAU, TU TROUVERAS TOUS LES LIENS UTILES QUAND TU ES EN TRAIN DE RP.
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How to save a life... again. {feat. Vaas}

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Anonymous

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Lun 6 Déc 2021 - 15:56


how to save a life... again.

Cela faisait quelque temps que tu étais arrivé ici et bizarrement, tu commençais à t’y habituer. Certes, ce n’était pas comme là d’où tu venais, mais il y avait certaines personnes qui te rappelaient le peuple d’Arendelle et ça te faisait du bien, ça te réchauffait ton cœur d’ancien renne. Tu avais encore du mal avec ton corps, ce dernier n’étant pas ce à quoi tu étais habitué auparavant, mais tu parvenais, jour après jour, à le dompter, même si par moment ce n’était pas aussi facile que ça…

Ici, tu avais rencontré de nouvelles têtes. Que ce soit via ton logement, tes études ou encore ton boulot. Après avoir retrouvé Elsa, tu avais décidé de l’aider et de faire en sorte que le refuge soit le lieu qui te serve pour ton diplôme de vétérinaire. Tu croisais des tas de gens, chaque jour où tu étais au refuge et tu ne pouvais qu’être heureux. Tu parlais avec, tu nouais des liens et essayait de les aider du mieux que tu pouvais. Y avait même certains clients réguliers et aussi d’autres clients un peu particuliers. Pourquoi particulier ? Car en réalité ces, ou plutôt ce, client ne venait pas pour un animal, non, lui venait pour lui-même. Vaas. Un type assez baraqué, qu’il valait mieux ne pas faire chier et tu l’avais vite cerné. Il venait quand ça n’allait pas, qu’il avait besoin de soin, de point de suture, et même d’opération… Il débarquait à l’improviste, souvent vers la fin de ton poste ou la fin de journée et quand il était là, tu avais l’impression d’être un bad boy. Tu avais lu un truc sur ces personnes, les bad boys, et apparemment, c’est ce qu’on était quand on faisait des choses dans le dos d’autres ou encore des choses pas très morales voir un peu bête. Fermant le volet pour annoncer la fermeture du refuge, tu ne remarquas pas la silhouette derrière toi et c’est après avoir poussé un cri, fait tomber les clés et repris tes esprits que tu entrouvris les lèvres de nouveau, cette fois pour prendre la parole. « Punaise Vaas. Je déteste quand tu fais ça ! » Tu viens alors taper sur son épaule en secouant la tête. Voilà le fameux Vaas.
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Anonymous

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Ven 24 Déc 2021 - 18:07

How to save a life... again. × ft. Sven
Un cliquetis métallique détonna. Le bruit se répandit le long de l’entrepôt comme une traînée de poudre. Une profonde agitation y régnait. Deux individus en sortirent avec une mine horrifiée, leur course les mena vers un vieux pick-up noir. Furieusement, le moteur rugit et l’automobile s’éloigna en trompe vers l’horizon, soulevant derrière elle une fine poussière. Une même agitation régnait au sein du véhicule, deux hommes se disputaient et beuglaient des propos incompréhensibles étouffés par le bruit du moteur. Au même instant, une tête balafrée s’extirpa de la porte métallique. À chaque mouvement, la douleur mordait douloureusement l’entièreté de son corps. Mâchoire crispée et étouffant ses râles rauques, l’homme quittait les lieux en délaissant derrière lui une traînée sanglante. Son corps, luttant désespérément pour rétablir un semblant d’équilibre, tremblait, suait et l’empêchait par moment d’avancer… L’inconscient le guettait et menaçait, s’il venait à tomber dans son état actuel ses chances de survie serait minime, voire nulle.

Appuyée contre sa chair déchirée par le projectile, sa main essayait de minimiser l’écoulement de l’hémoglobine. Maladroitement, son épaule s’appuya contre le mur extérieur du hangar désaffecté, ses doigts se levèrent légèrement dévoilant ainsi l’impact de la balle et sa répugnante blessure par la même occasion. Un ricanement fébrile retentit. ¡Estos hijos de puta lo hicieron! (Ces fils de putes l'ont fait !) Brutalement, il fut rappelé à l’ordre par sa chair meurtrie. Serrant les dents, il cracha hargneusement et souffla bruyamment. Bien, maintenant, il lui fallait un moyen de locomotion. Peu de possibilités s’offraient à lui et le temps lui était compté… Trop faible pour une quelconque altercation physique, il empoigna fermement son glock de sa main libre. Déambulant parmi les voitures d’un parking non loin de l’entrepôt, il repéra sa proie, une jeune femme mordant la vie à pleine dent. Déboulant sans crier, il s’écrasa contre la carrosserie du côté conducteur et pointa l’arme en sa direction. Le visage de la victime se décomposa en voyant la carrure de l’homme et l’arme… Elle bégaya quelque chose d’incompréhensible, mais l’énergumène n’avait aucunement envie d’écouter ses supplications. Il se glissa sur le siège derrière elle. Au refuge d'Ahtohallan… Aucune réponse de la part de la conductrice. Chiale… T’as raison… Mais t'as de la merde dans les oreilles !? Démarre cette putain de voiture ! Son ton était menaçant, son perçant regard l’observait avec insistance. Tremblante, la demoiselle l’emmena jusqu’au lieu souhaité. Malheureusement, elle n’en ressortira pas vivante. A l’abri des regards, le canon de l’arme retira impunément la vie de cette pauvre gamine.

Sans perdre une seconde, il tituba jusqu’à l’entrée. Sven était son seul et unique espoir ! Un jeune vétérinaire, quelque peu faiblard, mais avec un certain potentiel que Vaas essaie de sublimer avec quelques conseils avisés de brute sans cœur. Sa silhouette transpirante et anormalement faible se dressait derrière le jeune homme. Ses jambes essayaient de tenir, mais cela devenait pénible… Difficile… Un cri strident le ramena à la réalité, Sven ne s’attendait pas à voir de la visite, peu étonnant vu l’heure. Vaas leva les yeux au ciel, bazarda son arme vers un fauteuil de la salle d’attente et empoigna fermement le t-shirt de l’adolescent. La prochaine fois, rappelle-moi de te ramener une paire de couilles ! Cracha-t-il entre l’amusement et l’ennui. La pénombre de la pièce empêchait, sûrement, Sven de voir l’état de Vaas, il retira sa main et désigna sa blessure de la tête. Prépare ton matériel ! Je sais… Je sais… Je t’attends en salle deux… Ah oui… J’oubliais. Bouge ton cul ! Difficilement, il articulait ses quelques mots joyeux… Son état ne lui permettait pas de grande folie et la limite s’approchait dangereusement. Lorsqu’il pivota pour se diriger vers la salle, l’équilibre lui manqua et il s’écroula sur Sven. Je vais trouer ces fils de pute ! Putain ! Grogna-t-il furieux.

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Jeu 30 Déc 2021 - 18:21


how to save a life... again.

Vaas était un sacré numéro. La première fois, tu avais eu peur, mais genre carrément peur. Faut dire qu’il a cette tête qu’il ne faut pas faire chier, alors quand tu l’avais vu, le t-shirt en sang suite à une blessure par balle, tu ne savais pas quoi faire. Tu lui avais dit d’aller voir l’hôpital, qu’eux étaient équipés pour le recoudre et le soigner, mais il n’avait fait qu’effacer l’idée du revers de sa main et t’avais littéralement hurlé dessus, alors tu avais fait ce qu’il te demandait, c’était la première fois que tu recousais quelqu’un et le résultat n’était pas dégueulasse, bien qu’il lui avait fallu deux semaines pour guérir complètement.

Ce soir, tu ne t’attendais pas à tomber sur lui. Faut dire que tu ne t’attends jamais à tomber sur ce cher Montenegro, mais il était bien là et ses mots crus, tranchants, eux, ne t’avaient pas manqué. T’étais un peu prude, un peu faible, comme il le disait souvent, mais que veux-tu, t’as vingt ans, t’es jeune, t’essaies de vivre avec ton temps mais c’est compliqué des fois. « Oui, non… ce ne sera pas la peine… » Que tu lui réponds quand il mentionne devoir t’apporter une paire de couilles la prochaine fois. Tu secoues la tête, reprenant tes esprits et tu ramasses les clés pour les mettre dans ton jean. « Fais comme chez toi, c’est un peu ta seconde maison ici, à force… » Que tu dis, dans un souffle, le regardant faire demi-tour pour finalement te tomber littéralement dessus. Tu ne sais pas comment tu as fait mais tu as réussi à le maintenir, glissant une main sur son épaule et tu l’accompagnes jusqu’à la salle numéro deux en le regardant. « Qu’est-ce qu’il s’est passé cette fois ? » Tu aimes bien quand il te raconte ses histoires, surtout que toi tu n’as rien de trépidant à lui dire, t’es le contraire de Vaas, toi t’es gentil, discret, curieux certes mais trop hésitant pour aller dans le tas, comme il le dit si bien. Tu l’installes alors sur la table, allumes les lumières et enfiles des gants avant de l’observer. « Tu as vraiment une sale tête… » Que tu lui dis en secouant la tête alors que tu vas chercher de quoi trifouiller la plaie et surtout la soigner. Tu reviens quelques secondes plus tard, ciseaux, pinces, compresses, cotons, enfin tout l’attirail nécessaires pour guérir cet idiot et tu viens alors doucement glisser tes mains vers sa plaie, le voyant grimacer alors que tu tripotes les deux côtés de son t-shirt. « Tu… Tu vas devoir retirer ton t-shirt et t’allonger, s’il te plaît… » Tu détournes le regard le temps qu’il retire son t-shirt, qu’il jette en boule et quand il s’allonge, tu sais qu’il va crier car c’est froid. « Alors, combien de fois encore vas-tu jouer avec le feu ? Je ne suis pas ton docteur particulier tu sais… » Oui, c’est un peu un reproche, entre Vaas que tu dois recoudre et Nathan que tu caches de temps à autre, ça commence à faire beaucoup. Mais bizarrement, tu les aimes bien ces deux hommes, ils apportent un truc à ta vie, ils te font vivre différemment de comment Anna et Elsa te font vivre par exemple et c’est assez excitant quand tu y penses.
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Lun 3 Jan 2022 - 21:13

How to save a life... again. × ft. Sven
Sa pudeur et son innocence amusaient le pirate… Bien que par moments cela l’agaçait profondément. Heureusement pour le jeune homme, leur rencontre s’était effectuée sur cette île et non-ailleurs. Ce sordide pirate aurait pris un malin plaisir à torturer cette douce et innocente créature jusqu’à ce qu’elle ne devienne qu’un amas de chair larmoyant et totalement soumis. Cependant, sur cet îlot, le contexte était différent et ses compétences lui étaient bien utiles ! Sans son aide, il serait sans doute mort… Une certaine reconnaissance émanait de cette brute, néanmoins, il avait une manière bien à lui de la montrer. Par exemple, cette espèce d’indulgence malsaine empêchait Vaas de coller le canon de son arme contre sa tempe et de lui ôter la vie. La douleur le rongeait. Il gloussa à la remarque de Sven. Quelques fois, il avait bien du courage de lui répondre de la sorte. Cet énergumène en avait massacré pour moins que ça, mais la situation ne se portait pas à de telles incivilités. Affalé sur Sven, les jambes de Vaas le portèrent difficilement vers la table de la salle numéro deux.

Cette mésaventure restait en travers de la gorge de Vaas… Ces novices en la matière, ces crétins avaient osé le doubler. « Deux connards, en quête d’adrénaline... Ils pensent qu’ils peuvent me baiser… Moi !? » La rage était palpable à ce moment-là. Il fulminait de s’être fait surprendre par deux incompétents de la sorte. « Braver les interdits pour mieux me baiser sur le prix de ma came !? Ils le veulent leur putain de grand frisson, vale ? Ces deux petites salopes me supplieront d’arrêter comme deux petites fiottes. Une fois, que je leur ferai découvrir de nouvelles sensations fortes ! » A l’idée de l’horreur qui les attendait, un ricanement retentit. Cette perceptive le réconfortait et le faisait presque oublier son horrible blessure. Lourdement, son corps se posa sur la table d’opération du cabinet. Engourdi, son bras quitta l’épaule de Sven et s’appuya sur l’inox froid. Son regard glacial, insistant suivit le jeune vétérinaire. « Ferme-la et commence ton travail ! » Cracha-t-il, acerbe. Il haïssait la pitié… Cette foutue émotion… La compassion ne changera rien à son état et aux faits. En voyant le matériel médical, il comprit qu’il allait passer un agréable moment avec son médecin préféré… À ce stade, la souffrance n’était plus qu’une vieille amie. Durant toute sa vie, elle l’avait accompagné... Une fois de plus ou de moins ne changerait rien.

Obéissant à la demande de Sven, il ôta doucement son vêtement. Sa musculature se dévoila. Diverses cicatrices et anciennes séquelles y parsemaient sa peau. Loin d’être pudique, il bazarda son t-shirt sur une chaise posée là et lui lança un regard moqueur. Sous la contrainte de sa chair déchirée, des bruits gutturaux s’échappèrent lorsque son dos se déposa sur l'acier inoxydable. La froideur de ce dernier lui procura une sensation de bien-être, contrastant avec la chaleur inhabituelle de son corps, qui essayait tant bien que mal de restaurer son équilibre. Ses prunelles se posèrent sur le néon qu’illuminait la salle de sa lumière stérile, mais le jeune homme l’empêcha de sombrer dans ses pensées. « Increíble… Estoy casi impresionado ! » (Incroyable, je suis presque impressionné) Gloussa-t-il avant d’empoigner férocement le col du vêtement de l’apprenti vétérinaire pour le rapprocher de lui. « Sven… Sven… Tu sais, amigo. Avant, je matais les rebuts… Quand tu n’étais qu’un gosse qui suçait son pouce… » Susurra-t-il étrangement calme. « Donc... Soit tu fais ton putain de travail, soit l’unique chose que tu suceras, ce sera le canon de mon flingue quand je te le foutrais au fond de la gorge. Has comprendido, cachorro estúpido !? » (T’as compris, stupide chiot ?) Hurla-t-il. Aussitôt, il relâcha brusquement Sven et étouffa un râle de douleur. Son interlocuteur avait de la chance, sa plaie l’empêchait de mettre à exécution sa menace, mais elle restait valable. « Aller… Magne-toi… » Insista-t-il, fatigué de l'inaction de Sven.

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Lun 17 Jan 2022 - 16:52


how to save a life... again.

Tu n’étais pas très à l’aise quand Vaas était là. Faut dire que l’homme en impose pas mal et toi tu ne fais guère le poids. Tu fais de la course à pied et tu envisages de te mettre à la musculation mais tu n’as pas le même corps que le contrebandier. Du coup, t’es souvent lésé et tu te retrouves à devoir faire tout ce qu’il te demande, et ce soir, c’est le recoudre, et le soigne, encore. Tu l’interroges un peu sur la raison de sa venue ici, et il utilise des mots crus, beaucoup d’insultes mais tu parviens à comprendre le principal ; il s’est fait avoir par deux abrutis qui ont voulu lui jouer un tour, et au final il a fini avec une blessure par-balle. Tu l’emmènes alors jusqu’à la salle réservée pour les grandes urgences et il te demande de la fermer et de t’atteler au travail. « Chef, oui, chef… » Que tu réponds en secouant la tête, lui demandant, un peu gêné, de retirer son t-shirt pour que tu puisses observer la plaie mais aussi la désinfecter, nettoyer et recoudre.

Tu le vois qui grimace quand il sent le métal froid dans son dos et tu ne peux t’empêcher de sourire car au moins tu sais qu’il est humain et que ce n’est pas un abruti sans sentiments, sensations. « Alors on va commencer… » Puis, sous ces mots, tu te retrouves de nouveau à être très proche du mercenaire, ce dernier t’indiquant qu’il matait des personnes alors que tu ne suçait que ton pouce, mais comment lui dire que tu n’avais pas de pouce étant enfant ? Que tu suçais plus les glaçons et que ces derniers restaient bien trop souvent collés sur ta langue sans que tu ne puisses rien faire à part quémander l’aide de ton frère de cœur, Kristoff. « Tu n’as pas besoin d’être méchant avec moi, tu sais ? Je t’aide, au contraire, donc tu pourrais essayer d’être calme et posé ? » Que tu lui demandes alors que pour te venger, tu viens frotter une compresse imbibé d’alcool sur sa plaie et bordel que ça doit piquer, alors tu ajoutes. « Allez, ne fait pas ton bébé… » Tu te moques clairement de lui mais bon, tu sais qu’il va-t’en refoutre une alors autant profiter du moment présent, c’est-à-dire le temps qu’il se tait et essaie de supporter la douleur.

« Regardons de plus près… » Que tu dis, surtout à toi-même alors que tu amènes la lampe pour bien observer la plaie, tu chopes la pince et viens triturer la plaie pour venir retirer les quelques obus de balle qui sont restés en lui. « Grosso modo tu vas survivre, mais tu vas mettre quelques jours à cicatriser. Heureusement que la balle a traversé ton corps et que t’as pas traîné à venir ici. » Que tu lui dis alors que tu relèves la lampe et vient déposer les éclats dans la coupelle en métal. Tu viens de nouveau frotter la plaie avec de l’alcool puis un cicatrisant et tu y appliques une compresse suivi d’un gros pansement. Tu tapotes légèrement la plaie et viens poser ta main sur la cuisse du ténébreux en le regardant dans les yeux. « Et voilà, tu es quasi comme neuf ! » Puis tu te rends compte d’où ta main se trouve et tu rougis d’un coup, te redressant vivement en tapant ta tête dans la lampe qui t’a servi à opérer et nettoyer Vaas. Tu fais tomber la coupelle et te baisses pour la ramasser en jurant dans tes dents. T’es un peu beaucoup gêné, voilà, c’est dit.
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Dim 6 Fév 2022 - 18:31

How to save a life... again. × ft. Sven
Ses compétences en relation humaine étaient déplorables. Malheureusement, tous ceux qui s’en approchaient d’un peu trop près, en prenaient pour leur grade. Sven, alors qu’il lui sauve la vie, n’échappait pas à la règle. Grommelant dans sa barbe, il attendait que la torture commence. Ce processus douloureux s’effectuait généralement sous anesthésie et surtout par des médecins. Cependant, le trafiquant ne pouvait se permettre de se soigner dans un hôpital. Les doutes, les fouineurs et surtout les flics viendraient l’interroger. À ses yeux, Sven, bien qu’un peu trop confiant en sa présence, excellait et dépassait certains toubibs qu’il avait croisés sur cette île. Un compliment, chose rare venant de cet énergumène, que Sven n’aura jamais l’occasion d’entendre. Flatter l’ego de ses associés n’a jamais été dans son habitude. Dans son entreprise, énerver le patron n’était jamais une bonne chose.

« Putain de fiotte… Je t’ai pas troué la peau ! Je te paie ! Tu veux que je te suce, aussi ? Putain de sentimentale ! » Cracha-t-il férocement. « Je te vais… » Ses mots furent stoppés dans leur élan. Sa mâchoire se crispa. Ses dents se serrèrent sous l’effet de la désinfection. L’alcool ne pardonne pas ! Sa chair brûlait littéralement sous l’effet du produit. Les décharges d’endorphine mélangées à celle d’adrénaline n’apaisaient en rien cette supplique. Son regard furibond se posa sur le vétérinaire qui abordait un léger sourire, fier de sa vengeance. Une soudaine envie de meurtre envers lui naquit au fond des entrailles de Vaas. Intérieurement, il se jura de lui faire payer de cet affront. « Petit… Enfoiré… » Gloussa-t-il entre sa dentition. Son poing serré s’impatientait de s’encastrer contre la mâchoire du jeune homme, mais la douleur matait ses envies d’assassinat. Son esprit combattait la douleur… Hors de question de couiner comme un pauvre chiot ! Durant son ancienne vie, il avait survécu à bien pire que ça. Cet impact de balle ne sera qu’un trophée de plus sur son corps meurtri par d’anciennes scarifications cicatrisées.

Lorsqu’il introduit sa pince métallique. Un râle rauque s’éleva. Cette enflure prenait son pied. La torture s’estompa. La plaie était propre et le risque d’infection dû à des corps étrangers n’existait plus. Son petit discours ne l’intéressa pas, il profitait de cette sensation d’accalmie intense et brève. L’application du pansement ne fut qu’une brève épreuve comparée à ce qu’il venait d’endurer. La main de Sven posé sur sa cuisse l’ôta immédiatement de sa torpeur. À nouveau, ses iris fusillaient le jeune homme. Contre toute attente, le vétérinaire recula, s’assomma contre sa lampe d’opération et fit tomber l’entièreté de son matériel. Un véritable comique de situation. Le rire gras et moqueur de Vaas s’éleva. Relevant difficilement son buste, il s’assit sur la table d’opération. Son regard parcourra l’étendue des dégâts. Affligé, il secoua la tête avant d’enfiler son t-shirt en faisant attention à son pansement.

« Sven… Sven… » Gloussa-t-il. « J’en ai tué pour moins que ça, hermano. » Roucoula-t-il en se remettant sur ses jambes. Il se rapprocha de l’adolescent et le regarda de haut. « Quoi ? Je t’arrache la langue. Ou… Je te coupe la main. » Ses yeux se plissèrent, jugeant le pour et le contre sur sa mise à mort, ici et maintenant. Finalement, il rit et partit en direction de la salle d’attente récupérer son arme précédemment jeté sur un fauteuil. Le pirate revint vers son chirurgien avec un sourire carnassier. « Ou alors… » Le canon de son arme pointa dans sa direction. L’index sur la détente déclencha le mécanisme. Heureusement pour lui, aucune balle ne sortit. « Putain ! Cette salope a enrayé… Merde ! » N’étant pas d’humeur à voir exploser son arme dans sa main, il l’abaissa et repartir vers l’accueil et tenta d’extraire le projectile défectueux de la chambre. « ¡Cachorro afortunado! Tal vez debería mantenerte con vida... » (Chiot chanceux ! Je devrais peut-être te garder en vie...)

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Lun 7 Fév 2022 - 19:13


how to save a life... again.

Franchement, tu n’avais jamais connu quelqu’un comme Vaas. Que ça soit dans ton ancien monde ou dans ce nouveau. Il était vraiment particulier et pour être honnête, si tu aurais pu éviter ce genre d’énergumène dans ta vie, tu l’aurais fait. Tu étais déjà assez perdu avec ta propre vie que tu ne voulais pas qu’on en rajoute, surtout pas un contrebandier qui était aussi aimable qu’une porte de prison. Prison que t’es sûr qu’il avait déjà côtoyé par le passé. Mais tu te rappelais d’un truc que Kristoff disait souvent, sur le fait de toujours être là pour ton prochain, et dans ces moment-là, quand tu faisais le bien, tu pensais à lui, à combien il te manquait. « Honnêtement, tais-toi Vaas, s’il te plaît… » Que tu finis par lui dire, un peu abasourdi par ses mots qui ne font que t’empêcher de te concentrer, ce serait bête de faire pire que mieux alors autant que tu sois entièrement concentré.

Tu ne vas pas mentir, tu t’amuses quand il souffre, car ce sont les seuls moments où tu peux faire le dur et te montrer un peu plus homme, même si vous avez une dizaine d’années qui vous séparent. Vaas t’insultes, te traites, mais toi tu t’en fou, tu te contentes de sortir la balle, ou du moins ce qu’il en reste et finalement quand il est guéri, tu appliques un peu d’alcool, un peu de produit et tu mets un bout de compresse suivi d’un pansement. Mais tu le touches là où tu n’aurais pas dû, tu perds tes repères et tu tombes, renversant tout alors que tu jures dans ton coin, ramassant le tout en étant un peu gêné. Et, la situation change et toi t’es là, à ne rien comprendre. Le plus vieux s’en va et revient mais cette fois avec son arme qu’il avait jeté un peu plus tôt en arrivant ici. « Non mais t’es pas cinglé ma parole ?! » Que tu hurles alors que tu ne sais pas trop quoi faire. Tu peux pas lui jeter un truc à la figure, tu peux pas partir il est près de la sortie. Alors tu t’avances vers lui et tu le regardes en venant taper là où tu l’a réparé. « T’es vraiment ingrat comme mec, la prochaine fois je te laisse là et tu auras une belle plaie infectée, et ça sera tant mieux ! » Que tu dis, furieux sur le coup et encore un peu excité et appeuré par le fait d’avoir une arme pointé sur toi. « Et parle ma langue bordel, j’comprends rien à ton espagnol ! » Que tu souffles alors que tu avances vers la salle de pause. Il te faut un truc à boire, pour essayer de te calmer. Tu prends la cafetière, tu verses un peu de café dans une tasse et tu la passes au micro-ondes, voyant déjà le plus vieux revenir vers toi. « Tu peux partir maintenant que je t’ai soigné, tu vas encore me sortir ton flingue ? » Que tu dis en l’observant, l’air méchant. Tu aurais été un renne, tu aurais pris la posture du renne prêt à charger, mais là tu es humain et du coup tu le regardes juste avec cet air méchant, buvant ton café une fois ce dernier chaud. T’aimes pas trop ça mais bon tant pis, tu fais avec ce que tu as, soit Vaas et un café dégueulasse.
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Sam 5 Mar 2022 - 21:25

How to save a life... again. × ft. Sven
Cinglé ? On pouvait clairement le définir de la sorte. La drogue et d’autres choses avaient ravagé sa raison depuis bien des années, maintenant. Le charmant vétérinaire mettait le doigt sur l’un des nombreux problèmes qu'impactait son interlocuteur. Trop occupé à désenrayer le mécanisme de l’arme, il ignora simplement les propos de Sven. Le pirate savait pertinemment qu’il ne risquait pas grand-chose, même si son énervement était palpable. Ce jeune homme avait le cœur sur la main et adorait aider son prochain, la violence ne faisait pas partie de son caractère. Finalement, après plusieurs minutes de manipulation, le projectile problématique fut extirpé de son endroit. L’arme reprit du service ! Tout était opérationnel et la tester sur l’arrogant petit homme le tentait bien, mais il avait besoin de lui en vie pour l’instant. Ses pas le ramenèrent vers lui. « Hum. Je pourrai te faire un joli trou. Mais ! Attends. Comment elle s’appelle ? Un peu rouquine. Non, brune ? Merde ! Je sais plus… Ah oui ! Anna… Ça serait dommage qu’Annita se prenne une balle perdue en sortant du refuge. »

Son air méchant arracha un rire moqueur à Vaas. Sans sa blessure, il l’aurait déjà massacré et envoyé valser à l’autre bout de la pièce. Malheureusement, le moindre geste violent ouvrira cette foutue plaie. Deux possibilités s’offraient à lui : abattre son médecin traitant ou trouver une nouvelle personne pour rafistoler ses lésions physiques. La première idée le séduisait, mais devoir retrouver un gentil sous-traitant silencieux sur ses activités, l’agaçait. « Tu me soignes. Tu fais le rebelle. T’extrais des balles. Tu te sens comme une racaille, c’est ça ? Hein ? C’est que ça les fait bander de jouer les durs à ces jeunes ! » Gloussa-t-il. « Bordel de merde ! Tu sais quoi ? J’adore ça. Sven ! Sven… Ah… T’es un putain de comique. » Toujours en ricanant, il glissa l’arme dans son étui. Non, il ne plombera pas un renne, pas ce soir. Une autre idée germa. Le vétérinaire souhaitait jouer aux caïds ? Alors, Vaas, dans une grande bonté d’âme, allait lui offrir ce privilège. « Allez, le doc, on remballe. Quoi ? Tu fermais avant mon arrivée ? Je suis un bon patron… Je te ramène chez toi ! » Une manière plus ou moins polie de lui dire qu’ils allaient faire un tour et qu’il n’avait pas intérêt à s’y opposer. « Prends du Fentanyl ! » Lui dicta-t-il avant de tourner les talons. « Je t’attends sur le parking ! »

Sifflant, il repartit en direction du parking. La voiture, et accessoirement le cadavre de sa conductrice, se trouvait toujours au même endroit. Le sang imprégnait l’habitacle du véhicule. « Quelle merde. » Impossible de l’utiliser sans attirer l’attention. Contrarié, il s’assit sur le capot et envoya un message à l’un de ses sbires.

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Dernière édition par Vaas Montenegro le Lun 21 Mar 2022 - 19:38, édité 1 fois
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Invité



Lun 7 Mar 2022 - 19:37


How to save a life... again

Tu avais opté pour t’éclipser dans la cuisine du refuge pour avoir un semblant de tranquillité, tu te disais, ainsi, que Vaas partirait de lui-même et qu’il te laisserait tranquille jusqu’à ravoir besoin de tes capacités de soins pour ne pas qu’il se fasse toper en allant courir à l’hôpital. C’était un peu louche mais tu en avais croisé aussi des personnes pas nettes dans ton ancien monde, Hans par exemple. Du coup, le revoir alors que tu buvais ton café, ne faisait qu’amplifier ta colère. Mais à côté de lui on dirait une mouche qui attaque un lion, en un coup de patte la mouche serait morte et tu ne voulais pas mourir, car dans l’histoire être la mouche n’était pas terrible, jamais. Tu jetais ton gobelet quand le nom d’Anna parvint à tes oreilles. Comment la connaissait-il ? Et pourquoi vouloir s’en prendre à tes proches ? C’était vraiment un abruti cinglé ce contrebandier. « Comment tu connais son nom ? Laisses mes proches en dehors de ça, connard. » Ouais, en compagnie de cette homme presque chauve tu ne mâchais pas tes mots puis surtout pas avoir eu un pistolet pointé sur ta tronche.

Puis, il rangea enfin son arme et déjà tu te sentais mieux. Mais tu n’aimais pas comment il parlait, tes mœurs n’étaient pas les mêmes que toi, surtout qu’en tant qu’ancien animal tu avais toujours du mal avec le contact humain mais surtout face aux personnes comme lui, les abrutis finis. « Qu-quoi ? » Que tu parviens à dire après l’avoir laissé faire son monologue. « Je-ok… » Que tu finis par dire, capitulant en haussant les épaules. Ce n’est qu’une fois Vaas hors de la pièce que tu te demandes où vous allez aller et ce que vous allez faire. Mais tu te dis que moins tu en saurais, mieux ça serait, c’est donc sur cet état d’esprit que tu entrepris de foutre dans ta sacohe, du fameux fentanyl, c’est au cas où des douleurs lui reviendrait, et tu prends aussi une bande, des compresses et de quoi désinfecter, au cas où.

Une fois dehors, tu observes les environs et tu le vois, cet énergumène qui t’horripile et tu t’avances, l’air las et tu l’entend jurer, encore. « C’est bon, je suis prêt. » Que tu siffles presque alors que tu ouvres la portière passagère pour y glisser ta sacoche et y poser tes fesses, reclaquant la porte pour la fermer. Quand le plus vieux te rejoint, tu le fixes et dit. « Tu vas pas aller buter des gens en ma compagnie, quand même ? » T’es certains qu’il en serait capable mais toi tu ne sais pas si tu y survivrais. Déjà quand tu vois un animal mort tu pleures, alors là ça serait trop pour ton petit cœur de renne.
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Mer 23 Mar 2022 - 12:59

How to save a life... again. × ft. Sven
À l’évocation de son amie, Sven se tendit. L’effet était toujours le même. Il suffisait de mêler les proches et n’importe qui devenait subitement plus aimable. Aux interrogations de Sven, le pirate n'offrit aucune explication. Un simple ricanement retendit. Oui, il abusait de son pouvoir et en tirait une certaine satisfaction. Comme il l’imaginait, le docile vétérinaire n’omit aucune résistance. Après tout, le sort d’Anna est entre ses mains.

À l’extérieur, confortablement installé sur le capot du véhicule, il n’eut pas le temps de répondre que le jeune homme se précipita dans le véhicule. Halluciné, Vaas l’observait. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le renne ne se rendit pas compte du cadavre à ses côtés. Cette situation cocasse arracha un rire franc au trafiquant. Retombant lourdement sur ses pattes, il s’approcha de son associé et pointa de son index, le corps inerte baignant dans ses propres fluides biologiques. Dès que la stupeur gagna le visage, Vaas l’empêcha d’ouvrir la portière et gloussa. « Tu te fous de ma gueule ! Pauvre cabot de merde ! Non, sérieusement ? Putain de merde… T’as pas vu le cadavre à côté de toi ? Cachorro estúpido… T’as vraiment de la merde dans la tête ! » Finalement, le trafiquant ouvrit la porte et laissa Sven sortir de cet enfer. Le pirate continuait de rire. Sérieusement, ce qui venait de se passer, dépassait l’entendement. Pourtant, l’odeur nauséabonde aurait dû l’alerter… Ou même les traces sanglantes qui souillaient le tableau de bord, les vitres ainsi que le tissu du siège.

Pendant ce temps, une autre voiture débarqua sur le parking. Un homme, à la carrure assez impressionnante, sortit de l’habitacle du véhicule. « Amène-toi ! N’oublie pas ta sacoche. Sauf si t’as envie de voir ce que Carlos fait avec les petites salopes de son genre ? Non ? Alors, bouge ! » Reprenant son sérieux, il s’installa côté conducteur. Sa patience n’était pas sa plus grande qualité, il beugla en direction du renne, les mots suivants : « Allez ! Bouge-toi ! » Dès que l’employé rejoignit son patron, il démarra en trombe le véhicule. « Tu voulais jouer aux durs, n’est-ce pas ? Être un homme, c’est ça ? Tu te permets certains privilèges… Hein ? Comme faire souffrir un pauvre blessé… Que dirait Anna d’un tel comportement ? Avoue que t’as aimé ça, enfoiré ! » Le timbre de sa voix trahissait clairement son désir de vengeance. Une rencontre avec Anna pourrait avoir lieu. « Bien ! Donc non, Sven… Je ne vais pas aller buter des gens avec toi dans mes pattes. Non… Tu veux devenir un homme ! Un vrai ! Alors, tu vas prendre l’arme dans la boîte à gants et tu iras toi-même tirer sur ces pauvres connards. » Bien entendu, il savait pertinemment que Sven allait contester sa proposition. L’arme en question n’était pas chargée. Le désespoir ou la stupidité conduisait les gens à faire de belles conneries. « Tu me rappelles, Chris. Lui aussi voulait devenir un homme ! Quel dommage… Il est mort au bout de deux semaines de tortures. » À vrai dire, il s’en fichait pas mal du sort de Chris.

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Ven 25 Mar 2022 - 15:10


How to save a life... again

Sur une échelle allant jusqu’à dix, tu penses clairement que tu détestais Vaas au-delà du dix, y a aucun numéro assez long pour exprimer ce que tu ressens pour cet homme à ce moment précis. S’en prendre à toi ? Soit. Tu avais souvent l’habitude quand tu n’étais qu’un pauvre renne. Mais s’en prendre à tes proches ? Non, ça ce n’était clairement pas envisageable. Alors, pour la vie d’Anna et en quelque sorte avoir un œil sur le pirate, tu le suivis, sans broncher, prenant ce qu’il te demanda (voir un peu plus juste au cas où) et fila vers la sortie.

Mais, étant dans un état second suite à ce mélange de colère et d’envie de lui foutre un poing dans la gueule, tu ne remarquas le cadavre à tes côtés que lorsque le plus vieux le mentionna. Tout d’abord tu avais arqué un sourcil puis, à la vision de ce corps, inerte et encore suintant de ses plaies ouvertes, tu eu presque un haut de cœur et tu voulus sortir du véhicule. Bien sûr, il t’en empêcha et quand tu pus enfin sortir du véhicule, pour reprendre ton souffle, tu te mis à vomir après être tombé pour en quelque sorte te dépêcher de sortir du véhicule. C’est vraiment horrible comme odeur et alors que tu t’essuies la bouche en le fixant, tu réponds, simplement. « Tu me dégoutes. » Et sur ces mots, tu observes l’un des larbins du contrebandier amener un nouveau véhicule et tu te dis ; note à toi-même : attendre un peu quand tu sors avec des bandits, on sait jamais ce qui pourrait t’arriver.

Attrapant ta sacoche qui était encore dans la voiture où la pauvre femme était décédée, tu n’ajoutas rien d’autre et l’enfile autour de ton cou alors que tu accélères le pas pour t’asseoir de nouveau du côté passager mais dans le bon véhicule cette fois. « J’aurais été plus rapide si tu n’avais pas tué une innocente, on serait déjà sur la route, abruti. » siffles-tu entre tes dents alors que tu t’attaches et que tu ne peux que soutenir le regard quand il mentionne de nouveau Anna. Mais quel connard quand même, tu n’en crois pas les yeux. « Sans moi tu serais mort Vaas, alors n’oublie jamais que je suis peut-être un enfoiré mais si je peux te voir souffrir tout en voulant te guérir, je le ferais encore et encore. T’as de la chance que je veuille m’occuper de toi… » lui avoues-tu alors que t’es quasi sûr que tu vas regretter tes mots, mais tant pis, ce qui est dit est dit.

Mais la suite tu ne t’y attendais pas. Ok tu allais peut-être assister à de la bagarre, de la violence mais tu ne pensais pas assister à un meurtre ou même en commettre un. Donc quand il te demande de prendre l’arme présente dans la boite à gants, tu secoues la tête, refusant catégoriquement de toucher une arme. « Jamais. Tu te démerdes avec tes armes, je préfère encore user de mes poings que de tenir une arme ! » Tu ouvres cependant la boite à gants, intrigué de voir la fameuse arme mais tu grimaces en t’imaginant la tenir, ou pire tirer avec, et tu refermes la boite aussitôt. « C’est qui Chris ? Je pensais pas qu’un mec comme toi pouvait se soucier de quelqu’un d’autre que sa petite personne… » Que tu avoues alors que tu observes la route que prends Montenegro. Ça promet, tu aurais dû te tirer et le laisser dans sa merde, seul.
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Sam 9 Avr 2022 - 22:14

How to save a life... again. × ft. Sven
Le jeune homme déversa le contenu de son estomac sur le sol. Le regard de Vaas inspirait la moquerie et un certain mépris. Le trafiquant leva les yeux au ciel. Pauvre petite créature fragile ! Ce pauvre gamin n’arrivait pas à maintenir le contenu de son estomac à sa place, alors, qu’il opérait des animaux blessés. Pathétique… Finalement, le caïd perdait tous ses moyens face à un bout de chair inerte. De toute façon, le pirate n’avait pas que ça à faire. S’occuper d’un pauvre gamin ? Non, il avait d’autres projets et si Sven ne se bougeait pas, Anna en pâtirait à coup sûr. Ainsi que la pauvre carcasse de l'ancien animal.

Bien entendu ! Grand défenseur de la cause animale, il ne put s’empêcher de défendre cette pauvre femme. Néanmoins, avait-il réellement des preuves de son innocence ? Peut-être que cette personne avait des travers, des secrets dont elle n’osait pas partager le contenu. Certes, sa candeur restait fort probable, voire certaine, mais dans cette ville, les apparences peuvent être trompeuses ! La rébellion du garçon arracha un rire amusé à Vaas. Décidément, il se comportait comme ses otages. « Regarde-toi ! Le petit garçon a grandi. Il est devenu un homme ! Un pauvre connard parmi les autres. T’es en colère ? Ouais… T’as le droit. Sans toi, sac à merde ? Sans toi, je serai mort ? » A ce moment précis, il ne put s’empêcher de ricanner. La mort, elle-même, ne voulait pas de lui… Trois tentatives de meurtres, trois échecs cuisants… Il en réchappait à chaque fois, mal en point, mais il survivait ! « Tu te sens unique ? Indispensable ? Mais, hermano, t’es rien… Si, je n’ai pas empalé ta putain de tête sur l’antenne de ma voiture, c’est parce que tu m’amuses un minimum ! » Il fit une pause et un sourire carnassier se dessina sur son visage. « Donc, si je suis ta théorie. Je suis un enfoiré et si je veux te voir souffrir… Je n’ai qu’à rendre visite à ta copine et à la torturer, encore et encore ? Putain, mais c’est que t’as raison ! C’est ton jour de chance ! Je passerai la voir. » Annonça-t-il, sans appel. Inutile de faire changer d’avis cette tête de mule, ses plans étaient tout tracé.

Sa proposition ne séduit pas son confrère. Peu étonnant ! Néanmoins, il ne vit aucun inconvénient à un combat à mort. « Je m’en branle de comment les tuer. Tant qu’ils baignent dans leur sang, ça me va ! Donc, vas-y. Fracasse-leur la gueule avec tes poings. » Le jeune homme préférait la fuite, il ne souhaitait pas se confronter à la réalité. Pour l’instant, le pirate n’insista pas. À l’évocation de Chris, une profonde nostalgie s’empara de Vaas. « Chris ? Grosse star du cinéma. Christopher Mintz-Plasse. Ouais, il a découvert la plongée, la jungle, la traque, la déshydratation… La mort. Qu’est-ce qu’on s’est marré ! Putain de comédien de merde… Reposes en paix, Mc Lovin ! » L’ironie était palpable. « Putain, pourquoi ils venaient sur l’île, hein ? » S’interrogea-t-il, amusé. Le dernier point, Vaas n’arrivait pas à le comprendre. Les gens continuaient de venir sur Rook Island, malgré les disparitions… Abrutis de touristes en quête de sensations fortes !

Sa Ranger appuya violemment sur l’accélérateur. Le paysage défila devant eux à toute allure. Un accident à cette vitesse les tuerait sur le coup. Malgré l’état douteux de Vaas, le véhicule s’arrêta devant une vieille bâtisse en ruine. À la fenêtre, des ombres, projetées par la lumière, jouaient une scène de dispute. Des hurlements de colère et des incertitudes s’échappaient de cette vitre. Ses doigts coupèrent le contact. « Bien ! Il est temps de dératiser les lieux. Allez, sors et prends l’arme ! » Lui ordonna-t-il. Sans attendre la moindre réponse de son acolyte, il se dirigea vers le coffre du véhicule et l’ouvrit. « Salut beauté. Ven con papá ! » Chantonna-t-il. Sa main empoigna la crosse du fusil à pompe et rabattit la porte. D’un mouvement sec, un cliquetis métallique se fit entendre. Chargée et prête à l’emploi, l’arme s’apprêtait à déverser son feu destructeur sur ses ennemis.

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Lun 11 Avr 2022 - 19:52


How to save a life... again

Tu n’étais pas au top de ta forme, ça c’est indéniable. En même temps, les animaux morts, tu connaissais. Les humains morts ? Ce n’était pas trop ta spécialité. Habituellement tu t’occupais que des animaux, Vaas était l’exception, enfin, il ressemblait vraiment à un animal par moment mais soit. Reprenant tes esprits en prenant de l’eau que tu avais prévu dans ta sacoche, tu recrachas cette dernière pour rafraîchir ta bouche et enlever ce goût de vomi qui était présent à cause du plus vieux.

Et tu te lâches, du moins autant que tu puisses le faire. Qui aurait cru qu’un gentil jeune-homme comme toi réagirait ainsi ? Tu ne te mettais qu’au niveau de ton acolyte, enfin du moins tu essayais car franchement tu aurais mieux fait de le laisser partir et rentrer chez toi, jouer à la console avec Aelita et tu aurais oublié cet abruti. Mais voulant jouer les héros ou alors pour éviter que le contrebandier ne fasse des conneries, tu l’avais suivi. Puis, il y avait Anna désormais dans l’équation. Il n’arrêtait pas de mentionner le nom de la jeune rousse et tu t’en voudrais à jamais s’il devait arriver quelque chose à tes sœurs de cœur, que ça soit Anna ou Elsa. Et tu savais très bien que tu allais regretter tes dires et le fait qu’il se foute de toi, ça te fout un coup de pression et sur le coup tu en prends aussi pour ton égo. Il te rabaisse si facilement alors que tu sais très bien que sans toi il se serait vidé de son sang. Tu le sais, il le sait mais tu ne cherches pas la petite bête, tu laisses passer, du moins jusqu’à ce qu’il mentionne ta copine, soit Anna et là tu l’observes en soupirant. « T’es vraiment un connard de première… » C’était Nathan qui t’avait déjà sorti ça alors tu trouvais que là, c’était vraiment véridique, contrairement à ton crush.

Mais quand il mentionna l’arme dans la boite à gants, tu secouas la tête en répliquant préféré utiliser tes poings à la rigueur, même si on sait très bien qu’en une patate tu finirais à terre, le plus vieux le sachant très bien aussi mais il s’en foutait, il voulait juste fracasser des mecs. Lamentable. Heureusement, il changea de sujet, mentionnant une personne que tu ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam. « Je ne connais pas mais du coup t’es vraiment dérangé, heureusement que t’as pas de famille ou même d’enfants… » Tu le plaindrais s’il en avait. Enfin tu espérerais surtout qu’il serait plus clément avec eux, mais ce n’est pas gagné ! Heureusement, ou bien malheureusement, tu ne savais pas encore trop juger, vous arriviez à destination. Il avait roulé tellement vite que tu t’étais tenu à la clenche de porte mais aussi la banquette, bref, une fois garé tu repris ton souffle, tu n’avais même pas fait gaffe que tu ne respirais plus le temps de la route. Sortant du véhicule après le plus vieux, tu laisses l’arme où elle se situe, tu ne vas pas y toucher, même s’il te fout un canon sur la tête. Mais, alors que tu observes les ombres dans la vieille bâtisse, tu entends une arme se charger. Tu déglutis alors que tu viens à ses côtés, sacoche autour de ton cou. « Bordel mais tu vas les descendre au pompe ? » Tu mords ta lèvre, gêné et mal à l’aise. Tu joues aux jeux-vidéos donc Call of tu connais et le fusil à pompe faisant beaucoup de dégâts, tu n’as pas envie de ramasser les morceaux. « C’est qui ces gens ? Pourquoi ? » Comme s’il avait besoin d’une raison, pensas-tu en soupirant.
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Dim 1 Mai 2022 - 19:50

How to save a life... again. × ft. Sven
Un sourire trônait sur son visage lorsqu’il l’insulta. Cependant, il n’eut aucune riposte… Sven ferait bien de se méfier de l’eau qui dort. Apparemment, l’impopularité de Chris ne dépassa pas le monde d’origine de Vaas. Dommage ! Il aurait apprécié recroiser cet énergumène et lui infliger le même type de traitements. Un rire amer s’éleva lorsqu’il aborda une thématique assez problématique pour Vaas ! Il possédait bel et bien une famille, mais brûlait, en son sein, une profonde rancœur envers cette dernière. Son passif avec sa sœur expliquait ce sentiment. Ce pauvre homme avait tout fait pour elle ! Il avait obéi au moindre de ses désirs… Toutes ses actions ne comblaient pas l'ego démesuré de cette garce ! Éternelle insatisfaite, elle souhaitait toujours plus ! « Un foutu ramassis de connerie ! » Cracha-t-il avec animosité.

Arriver à bon port et en un seul morceau, le pirate s’empressa d’aller récupérer son fusil. Une fois l’arme chargée, Sven, interloqué par le bruit, s’approcha de lui avec une mine effarée. « Connaisseur ? » Railla-t-il. Intérieurement, il savait parfaitement que le jeune homme n’était pas familier avec les armes à feu. Cependant, grâce à la technologie actuelle, tout le monde pouvait connaître les dégâts d’un tel type d’arme. « Qu’est-ce que ça peut bien te foutre ? Je croyais que t’avais besoin d’action. » Sa moquerie se poursuivait. « Pourquoi ? Qui ? Comment ? Bordel, ferme ta gueule ! T’as envie que je te plombe, amigo ? » Mêlant l’acte à la parole, le canon du fusil se plaça sous son menton. Une seule détonation suffisait à répandre la cervelle du vétérinaire aux quatre coins de ce parking. « Putain de sentimental ! » Son doigt se glissa sur la détente et la pressa légèrement. À tout moment, le mécanisme s’enclenchait et le renne finirait six pieds sous terre.

La dispute s’intensifia entre les deux hommes. Le ton employé s’éleva et plusieurs bruits de verres cassés s’entendirent. Ce remue-ménage attira l'attention du pirate. Son envie de meurtre concernant Sven s’apaisa. « On va s’amuser un peu ! Suis-moi, enfoiré ! Cours, cours, cours ! » Sans plus tarder, il s’élança en direction de la porte d’entrée, il n’attendit pas son coéquipier de fortune. De toute façon, Sven trouverait encore un moyen de faire foirer toute son opération, même si cette croisade consistait à foncer dans le tas et à abattre toute source de vie. Galopant jusqu’à la porte présumée, sa blessure le rappela légèrement à l’ordre. Têtu, ou totalement inconscient, il ignora cet avertissement et poursuivit son assaut. Totalement obnubilés par leur prise de bec, les individus n’entendirent pas le bruit environnant. Leur joute verbale se poursuivait, l’un comme l’autre essayait d’asseoir son autorité sur son complice. Qu’importe, les deux magouilleurs étaient foutus. Seule, la porte d'entrée les séparait de la mort.

Après quelques minutes, l’acolyte de Vaas arriva à sa hauteur. Son index pointa en direction de la sonnette et l'ordonna d'y appuyer. Une sonnerie stridente interrompit la dispute. Méfiant, l’un des deux hommes s’approcha de la porte d’entrée. « C’est qui ? » Novice dans le domaine ou profondément stupide, il déverrouilla la porte d’entrée. Le dernier obstacle abattu, plus rien ne retenait Vaas ! Le canon du fusil se colla contre le bois et la déflagration fut immédiate. Des morceaux volèrent. Un gargouillis immonde résonna. Férocement, son épaule enfonça la porte. « Je vous ai manqué, bande de fils de pute ! » Rugit-il. Le premier complice, allongé sur le sol, régurgitait difficilement son sang. L’explosion de poudre l’avait salement amoché au niveau de l’abdomen. L’individu souffrait clairement le martyre, mais le trafiquant ne comptait pas abréger ses souffrances. « Où est le petit connard qui te sert d’ami ? » Un silence de plomb régnait en maître. Seul, le cliquetis métallique, caractéristique d’un rechargement, s’entendit. Son regard parcourait la pièce à la recherche de l’autre abruti fini.

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Mar 3 Mai 2022 - 16:23


How to save a life... again

Anna. Tu devais penser à elle. C’était pour elle que tu étais là. Pour elle que tu essayais, stupidement, de faire en sorte que ta présence puisse aider le plus vieux à se calmer et à ne pas sortir de ses gonds. Mais tu croyais encore un peu au père noël puisqu’il fallait être fou ou vraiment abruti pour penser que le contrebandier pouvait se conduire normalement. C’est vrai, rien qu’à voir sa tronche dans la rue ça suffisait à ce qu’on se décale sur le trottoir d’en face. Il était assez impressionnant et limite effrayant. Dire que tout était venu de ta première opération que tu lui avais faite. Tu aurais dû le laisser crever sur la table du refuge mais trop bon comme tu étais, tu avais joué les gentils et voilà où tout ça t’avait mené.

A bon port, vous y étiez mais tu ne te sentais pas mieux pour autant. Surtout en voyant l’arme que comptait utiliser le plus vieux. « On est au vingt-et-unième siècle, donc ouais, je connais… » soupires-tu alors que tu te retrouves bien vite avec le canon au niveau de ton menton. Déglutissant tu le jauges du regard. Il serait capable de le faire, tu le sais, mais tu l’implores du regard, comme si tu comptais un tant soit peu pour lui. « Calme-toi, Vaas. Je suis venu de mon plein gré, je peux au moins savoir qui sont les personnes qui vont mourir devant mes yeux, non ? » répliques-tu tout en continuant de regarder les yeux du chauve à crête mais aussi son arme, toujours pointé sur toi et prête à tirer.

Finalement il se recule et c’est grâce au remue-ménage que faisait les inconnus. Soupirant d’aise, heureux de ne pas t’être retrouvé au paradis, tu le suis rapidement quand il te demande de le suivre mais surtout de courir. Tu ne comprends rien de ce que raconte les deux magouilleurs mais toi t’es essoufflé et quand le pirate te demande de sonner, tu arques un sourcil mais t’exécutes, tu voudrais pas mourir, non et puis y avait toujours Anna dans l’équation… Tu aurais tellement envie d’être avec elle actuellement, qu’ici avec l’autre timbré.

Alors que la sonnette retentit, l’un des magouilleurs vient demander qui est-ce avant de déverrouiller la porte. Mais il est con ou quoi ? Penses-tu alors que tu ne comprends que trop tard qu’il doit être en train de mourir après avoir entendu le bruit du pompe mêlé à la porte en bois qui craque. Il rugit et toi tu le regardes et en apercevant le mec qui venait d’ouvrir la porte, allongé, en train de cracher son sang, tu n’en peux plus. Tu te tournes, posant une main sur le mur et tu vomis. C’est trop pour ton petit cœur fragile. Tu essuies ta bouche et alors que Vaas cherche le second, qui a réussi sans trop savoir comment à sortir, tu le vois, devant toi. Il est paniqué et toi tu le fixes et lui te dit de te taire mais alors que tu te tournes vers le pirate et que tu t’apprêtes à parler, tu te retrouves avec un flingue sur la tête, les bras derrière ton dos, l’autre gars t’ayant en quelque sorte attrapé. « VAAS ! » cris-tu alors que l’autre gars vient rire à ton oreille en observant le plus vieux qui vous observe, au loin. « Alors, tu fais moins le malin maintenant, Vaas ? Sale enfoiré ! C’était mon ami ! Je vais exploser la tronche de ce gringalet tu vas voir ! » se met à hurler le pauvre type alors que tu te mets à rire, nerveusement. « Fais-toi plaisirs, il n’en a rien à foutre de moi… » Tu vas mourir. Ca y est, ta vie est terminée.
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How to save a life... again. {feat. Vaas}
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