(Abandonné) Sujet aléatoire - Lydia & Médusa

Medusa à cette époque, découvrait tout juste le monde. Décideuse de sortir de son antre, affronter le monde extérieur, et surtout il le fallait pour accomplir son dessin de vengeance, elle abandonna sa longue robe sombre et le voile recouvrant sa tête. C’était l’occasion pour elle de s’assumer, de profiter de cette nouvelle vie en tant qu’humaine redevenue aussi resplendissante qu’avant. Et quand elle s’aventura dans la rue, portant les tenues modernes, elle fut intrigués de voir soit les gens être indifférent à son passage et ne plus en avoir peur, ou recevoir quelques regards intéressés, ce qui lui rappelait sa gloire d’antan.

Pendant son exploration du monde moderne, elle voulait tout voir, tout découvrir et comprendre. Faisant un rapide saut dans le temps, son expédition vint s’éterniser tard dans le soir. Voyant le soleil décliner, Medusa pensa qu’elle ferait mieux de rentrer. Mais en chemin, elle tomba sur une exposition traitant de l’horreur qui allait ouvrir. Intriguer, la gorgone s’y rendit. Après tout, revoir des monstres serait comme revoir sa famille, et elle était curieuse de voir comme les siens seraient dépeints dans cette immense salle envahit de créatures et tueurs venant du monde entier.

Medusa fut attirait par une représentation de Cerbère. Cet immense canidé à trois têtes crachant des flammes, semblait bondir sur les visiteurs qui entrait dans ce royaume de l’horreur et du cauchemar. "Cerbère... Ils ont essayer de te rendre honneur, mais s'ils savaient." Pendant qu’elle regardait cette vielle connaissance qui fut tantôt allié et ennemi dans la guerre, la lumière se mit à s’éteindre. Surprise, Medusa regarda autour d’elle, pensant voir quelque chose d’important se produire. Mais quand les lumières revenaient, c’était pour découvrir une salle vide, ne laissant qu’elle et une autre femme seules dans cette immense salle.

"J’imagine que ce n’est pas commun de part chez vous ce genre de chose." Ajouta la blonde quand la première femme semblait aussi perdue qu’elle.

Medusa étant redevenue une simple mortelle, ses sens de « monstre » furent absent et elle n’avait rien ressentit, ou perçu quoi que ce soit pendant ce blackout total.

"Ils ont disparus ainsi ? Sans laisser de trace ou faire entendre partir ? Quelle magie est-ce donc ?"

@Lydia Martin

Même si aujourd’hui, la gorgone s’habituait au monde moderne et à la technologie, elle restait une créature née dans un monde remplit de dieux et de magie. La technologie elle, n’était qu’un jouet pour les mortels, leur donnant l’illusion d’être maître de leur destin et du monde où il vivait. Mais face aux pouvoirs des déités, ils ne sont rien avec leur électricités et machineries futuristes. Donc, face à un phénomène étrange, il était naturelle pour Medusa d’accusait sur le coup la magie. Si elle dissimulait encore son ancienne nature, elle ne semblait craindre de trahir son affinité avec l’art des arcanes du moins sa connaissance théorique et témoin de la chose.

En tout cas l’humaine prisonnière avec elle, semblait surprise d’entre cela. Elle aussi devait être plus accoutumer à un appareil de mortel sophistiqué qu’à une baguette magique. Par contre, pourquoi lui souriait-elle ? Et pourquoi donc aussi, venait-elle à sa rencontre ? Elles ne se connaissaient pas, sauf si cette femme aux cheveux de feu fut-elle aussi une ancienne combattante de la guerre des dieux. Sinon, il y avait très peu de chance que l’une et l’autre se connaissent. Quoi qu’il en soit, ce fut au tour de la gorgone de ne pas comprendre les déclaration de sa compère d’infortune. Symbole du choc de deux mondes si opposés.

"Hologrammes ?" Siffla t’elle sans saisir le sens de ce curieux mot.

Etant une survivante des temps anciens, Heartsthone était verser dans le grec ancien. Elle reconnaissait donc le mot « Holos » qui signifiait « entier » et ce qui ressemblait à « graphein » qui voulait dire « écrire ». Mais mit bout à bout, cela n’apportait pas plus de sens pour elle.

La jeune femme aux cheveux de feu celtique s’en alla sur une des portes pour constater qu’elle était fermée. Si Medusa avait encore sa célèbre coiffure, on entendrait siffler d’exaspération cette dernière. Qui aimerait découvrir qu’il était enfermer, privée de liberté sans explication ? Et ce n’était pas de la peur qu’elle ressentait mais de la colère. Le temps où la gorgone ressemblait à une jeune fille apeure fut révolu depuis qu’Athéna l’avait tuer par jalousie. Et donc, la personne qui s’était amuser à leur jouer ce mauvais tour, devra faire face à la furie de la gorgone.

"Je suppose que toutes les issus connaissent le même sort." Sinon, pourquoi juste fermer une porte et laisser les autres ouvertes ? Medusa prit juste quelque secondes pour y réfléchir. "Nous pouvons être sur que cela n’est pas un incident, mais délibérer. Tous ces mortels qui se volatilisent d’un coup et on ne garde enfermer que nous deux, il doit y avoir un but précis."

Pourquoi qu’elles et pas d’autres pauvres humains enfermer avec eux ? Si tout le reste du public n’était pas réel, que ce soit des fantômes ou des projections, c’est qu’on aura employé beaucoup d’énergie pour déployer un piège pour elle. Cherchons à attirer une catégorie de personne en particulier, ou ces deux femmes furent elles visées en particulier. Et pourquoi ? Un ennemi en commun ?