Une dose, une ... peut être dix en faite. | Nicolas
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Jeu 26 Aoû - 10:57
Une dose, une ... peut être dix en faite.
Que fait une héroïne dans cette appartement, dans cet immeuble bien connu pour l'habitation du Dealer ... C'est simple, elle viens chercher sa dose, sa commande. C'était difficile à Gotham, ça l'étais plus encore ici.
J'avais beau essayé de toutes mes forces, je ne me faisais pas à cet endroit, ne pas pouvoir sortir de la ville était comme être en prison, certain s'y faisait très bien mais ce n'était bien plus difficile pour moi. Je n'oubliais pas mes derniers moments , la proposition de Bruce, enfin de Batman, que j'avais décliné ce n'était pas ma fin heureuse, puis Max que j'avais tué de sang froid, il ne me restait qu'une seule vie et je comptais bien la garder.
Je m'étais vengé enfin, que me restait il aujourd'hui ? A quoi servait ma vie ? Je n'avais plus de but depuis la mort de Max. Je continuais néanmoins à sauver les femmes, ou plutôt punir les hommes dans la nuit noir, dans mon costume de chat je m'occupais de ces fils de chiens. Mais voilà, je n'étais pas heureuse et j'avais besoin d'un petit coup de pouce pour ça, à fumer ou à sniffer, peut importe. J'avais besoin de ma dose, au départ ce qui devait être qu'une aide s'était transformé en addiction. J'étais prise au piège et mon dealer était bien content de cela.
Je venais de faire mon achat et je sortais de son appartement pour me retrouver dans le couloir, du bout de l'ongle le prenait un peu de poudre blanche pour la respirer un grand coup avant de mettre les deux sacs dans mon sac à main. Un grand sac à main était pratique finalement. Alors que je m'apprêtais à partir mon regard se posa sur un homme contre le mur qui me regardait de façon étrange et soutenu. Peut être était il simplement dans son esprit, ou peut être était il déchiré mais dans tout les cas il me regardait, et je n'aimais pas ça !
Je m'approchais alors de lui, tête haute et sourcil relevé avant de lui demander d'une voix irritée, sans penser une seconde qu'il était sourd, évidemment.
- T'as quoi à me regarder de la sorte ? Tu n'as jamais vu de femmes de ta vie ?
Ok j'étais pas de bonne humeur, en faite je crois que je n'étais jamais de bonne humeur. J'allais pas lâcher ce mec, dommage que je n'ai pas ma tenue, mon fouet et mes gants me manquaient clairement même si je savais parfaitement me battre, il n'y avait pas de soucie sur ce sujet. Je ne savais pas vraiment comment j'avais réussis à apprendre aussi vite d'ailleurs, peut être un autre coup de mains de mes amis les chats ?
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Sam 28 Aoû - 0:18
D'où il vient, les Indexés comme lui ont besoin de prendre un médicament pour survivre. En fait, il n'a jamais bien su ce que ça faisait, mais l'existence des personnes comme lui étant bien plus courte qu'un humain normal, il prenait sa dose quotidienne sans trop se poser de question. En fait, il aimait en abuser, uniquement quand il en avait besoin. Ce médicament était aussi une puissante drogue pour les Indexés. En gros, une surdose boost considérablement leur capacité. Nicolas était d'ailleurs connu pour être une sorte "d'escroc". Il fait parti des plus fort, son rang est celui de A/0. Mais en réalité son niveau est plus bas. Mais chaque fois qu'il se bat, ou presque, il prend plusieurs pilule de ce médicament, frôlant l'overdose parfois et ça le rend terriblement fort. D'où son rang si élevé qui n'est pas spécialement mérité, mais obtenu avec acharnement en risquant sa vie à chaque fois.
Sa boite s'était drastiquement vidée. Dedans, il ne lui restait que quelques pilules se battant presque en duel pour survivre. C'est pour ça qu'il avait contacté le seul dealer capable de lui fournir ce médicament. C'est le seul qui marchait sur lui, le même que dans le monde d'où il vient. Parfois, il se demande comment ce type à pu obtenir ça, mais à quoi bon demander ? Cette endroit, cette ville n'a rien de normale. C'est donc dans le quartier de Lockwood Hill qu'il se rend, le coin le moins sûr de la ville, mais ça ne le dérangeait pas. Que risque t'il ? Il sait parfaitement se défendre et doit être bien plus fort que la plupart des gens qui l'entoure. Sans compter qu'il ne se déplace presque jamais sans son katana. Ce dernier et rangé dans un tube à dessins de grande taille, dans son dos, histoire que personne ne puisse deviner qu'il a une arme et garder sa secret devant les yeux indiscrets.
Son tour arriva rapidement, le type le connaissait et il n'avait pas besoin de dire un mot pour se faire comprendre. Nicolas donna les billets et on lui donna sa petite boite de pilule. Dans le couloir de l'immeuble, il ouvrit la petite boite, histoire de regarder qu'il y ait bien le compte. Non, il n'allait pas la vider et les compter une à une, mais il estima d'un regard qu'elle soit remplie comme à chaque fois. C'était le cas, il n'avait donc pas de problème. Tout en rangea ses médicaments dans la poche de sa veste, son regard se posa plus où moins dans le vide, perdu dans ses pensées. C'est à peine s'il regardait la femme qui venait de sortir de chez le dealer. Ce n'est que quand elle s'approcha qu'il réalisa qu'elle était en train de lui parler. Merde, il n'avait absolument pas suivi ce qu'elle avait dit, n'ayant pas lu sur ses lèvres de manières immédiate. Ce n'est que la fin qu'il capta "ta vie". Okay, il ne risque pas d'aller bien loin avec ça.
Le regard neutre, il l'observa réellement cette fois. Une parfaite inconnue pour lui, peut-être l'a t'il déjà croisé en ville, mais comment le savoir, il y a du monde ici. Et puis, il ne s'intéresse pas plus que ça aux femmes, sachant qu'il s'intéresse bien plus à sa protégée, Alex. Un sourcil se haussa de manière interrogative, pour l'heure, il n'avait pas envie de parler. C'est rare quand il le fait et face à cette femme énervée, il risque juste de perdre son temps et son énergie. Peut-être même serait-elle du genre à le juger de par son handicap, comme certaine personne de cette ville. A Ergastulum, on le rejettait car s'était un Indexé, ici c'est parce qu'il est sourd. Quel monde étrange quand même... Qui aurait cru qu'un jour, on le repousserait à cause de sa surdité ?
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
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Dim 29 Aoû - 21:44
J'ai envie de le frapper lui et sa gueule d'idiot qui ne semble rien comprendre mais en réalité il n'y ai pour rien ce pauvre gars qui n'est pas si moche et qui est juste un tox'... comme elle. Il semble me regarder différemment quand je termine ma phrase. J'ai clairement envie de sortir les griffes et quand il lève un sourcil j'eclate presque.- Mais t'es complètement bouché ou juste totalement con...? Tu pourrais répondre quand on te parle... T'as pas appris la politesse ? Je pense que je cris un peu trop fort car un homme sort de l'appartement de notre ami aux milles cachetons et me tends un joint tout juste allumé. | Hey la féline... Fumes ça et calmes toi OK ? Il est complètement sourd.. Il a pas pu t'entendre.. Et j'ai pas envie que les flics se ramène OK ? Alors soit mignonne et calmes toi... | Je prend le joins et ai un mouvement d'étonnement quand il m'annonce que ce pauvre mec est sourd. Je me sens conne tout à coup. Je regarde une bande de jeunes qui baissent les yeux au moment où nos regards se croisent. Je prend une grande aspiration que je souffle vers le plafond. OK je me calme...
Mon regard se pose à nouveau sur l'homme et change. Je me calme un peu comme un chat à qui on a donné un bol de lait. Le regard de l'homme esr sur moi il doit attendre ma réaction. Je prend un nouvelle bouffée avant de lui lancer de façon calme espérant qu'il puisse lire sur mes lèvres... Ou pas tant pis.- Je pouvais pas savoir. Bon OK j'aurais pas du m'emporter comme ça... dis je simplement. OK il est sourd et après ? Je suis morte plusieurs fois et j'en fais pas des caisses que je sache. Je lui tends le joins. C'est ma façon de m'excuser un peu comme un chat apporte une souris. A lui de voir ce qu'il veut faire. J'ai envie de me mettre dans un trou de souris et c'est pas vraiment mon genre.
Je me demande un peu ce que je vais faire de ma soirée. J'ai besoin de liquide car cette petite partie chez le Dealer m'a mis à sec. Quelques maisons de luxe et des coffres, voilà ce dont j'ai besoin pour le coup. Mais d'abord je dois me rattraper. Je suis pas méchante, sanglante mais pas pour rien et là j'avoue j'ai un peu honte de moi. Ça ne m'arrive pas souvent certainement ce joins qui me rends un peu plus "peace" alors autant qu'il en profite même si il ne me connaît pas.
Finalement c'est plus fort que moi et je lui lance- ça va fais pas cette tête j'ai pas tué ta mère.... Je me suis excusée, ça va jpense ça suffit... T'es sourd t'es pas mourant... Et quand bien même. dis je avec un sourire et un air non chalant. Il ne me restait plus qu'une vie j'allais devoir quand même en prendre un peu soin. Je n'étais pas certaine que mes adorables compagnons félins me rendrait la vie une seconde fois. J'étais même presque certaine que ça n'arriverait pas.
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Lun 30 Aoû - 1:01
Oui, il n'avait pas fait attention à cette femme alors qu'il était perdu dans ses pensées. Si vous croyez qu'il fait attention à toutes les personnes autour de lui... Ici, il savait qu'il ne craignait rien et si jamais on lui cherche des noises, il n'aura aucun problème à se débarrasser d'un junkie. Parce qu'il vaudrait mieux éviter de le prendre pour un drogué comme eux. Ces médicaments, il en a besoin pour survivre, après... quand il en prend en grande dose, c'est son problème et il en paye pratiquement toujours le prix en frôlant la mort. Donc, il ne se considère pas comme un Junkie, ni même un malade en fait. Juste un type qui doit prendre des fichus médicament pour espérer ne pas mourir jeune. Car oui, la durée de vie des Indexés n'est hélas pas aussi longue qu'un humain normal. Ce que la science peut faire est terrible... Booster les capacités de l'humain, mais réduire son espérance de vie de moitié. C'était un autre monde et une époque sombre où la guerre était terrible et pour gagner, tout le monde était prêt à tout. Lui, n'est qu'un rejeton de personne ayant été "drogué" pour devenir plus fort. Une modification génétique qui se perpétue. Ainsi sont nés les Indexés ou Crépusculaire. Lui, il n'a jamais voulu être comme ça, mais la vie en a fait ainsi, sa mère étant une indexé, il a hérité de ce gêne.
La bonne femme devant lui continue de lui parler, cette fois-ci, il fait attention et lit sur ces lèvres. Bon, sympa, des insultes gratuites. En soit, ceci ne l'atteint pas, il a l'habitude qu'on le traite mal de par sa nature de modifié. Sauf que là, elle le fait gratuitement sans raison juste parce qu'il n'était pas attentif. Doit-il lui répondre ou juste rester silencieux. Garder le silence est finalement plus drôle, juste pour voir jusqu'à quel point elle peut s'exciter. Là, le dealer se pointe en expliquant la vie à cette bougresse. Autant dire que ça lui fait ferme son clapet illico-presto. Intérieurement, le sourd rigole, c'est marrant l'effet que ça fait aux gens de se rendre compte qu'ils étaient en train de s'énerver contre un handicapé. Le joins au bout des lèvres, elle s'excuse, enfin elle dit un truc qui y ressemble sans que ce soit un vrai pardon sincère. C'est qu'elle garde sa fierté. Lui ne fait que arquer un sourcil en l'observant, comme s'il voulait lui dire "tu peux faire mieux que ça".
La femme lui présente le joins, est-ce qu'elle considère ce truc abjecte comme une sorte de calumet de la paix ? Hors de question, il ne touche pas à ce genre de merde. Même la cigarette il n'aime pas alors que Warwick fume. Il est sourd, il a pas besoin de se cramer les poumons et de s'esquinter l'odorat pour rien. D'un hochement de tête négatif, il refuse cette cigarette de l'Enfer dont l'odeur venait irriter ses pauvres narines. Vu l'odeur, il n'avait aucune envie d'imaginer le goût, beurk ! N'ayant toujours pas eut de réponse ou autre de la part de Nicolas elle en rajoute et ça l'amuse. Alors, il se met à sourire largement, un sourire presque carnassier, mais qui se veut plus moqueur cette fois-ci. "Pas bechoin de ta pitié" lui sort-il en articulant de manière approximative. "Ché vu pire que toi. La prochaine fois, tou jugeras po les gens comment cha !" Ouais, il se faisait un brin moralisateur en lui disant qu'elle ne devrait pas juger les gens. Car là, elle l'avait prit pour le roi des idiots, alors qu'il n'était juste pas concentré sur elle et que sans l'ouïe, il ne peut pas spécialement comprendre tout de suite qu'on lui parle. Enfin, il rangea sa boite de médoc dans sa poche, il en a pour plusieurs semaines, sauf s'il joue les héros et en prend plusieurs d'un coup. Son regard se porta sur sa clope pleine de substance, c'était dégoutant, enfin c'est son avis. "Tu devrais arrêter la drogue, ché pas bon et cha te vas pas !" lance t'il avec son articulation pas terrible avant de passer à coté d'elle, d'attraper le joins, de le foutre sur le sol et de l'écraser avec la semelle de sa chaussure. C'était comme une petite vengeance pour le fait qu'elle se soit énervée sur lui à moins que ce ne soit un geste samaritain pour l'aider à arrêter ? Qu'importe, il afficha un petit sourire carnassier qu'elle ne pouvait voir vu qu'il lui tournait le dos pour se diriger vers la sortie.
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
Invité
Sam 4 Sep - 18:02
...
❝ Je ne fais pas vraiment partie des Vilains, mais je ne fais pas non plus partie des Héros ! ❞
Pour une fois j'avais voulu me la jouer sympa. J'allais même donner le joins à ce mec, enfin du moins le partager. Il le refusa, ouai tant pis pour sa tronche, ça en feras. is plus pour moi. Il voulu se la jouer sympa et surtout moralisateur, ce qui me fit lever un sourcil. - Désolé de te décevoir, mais j'pense pas que je pourrais retenir ce genre de leçons. Ouai j'étais pas franchement le genre de gentille petite fille en détresse. Non, j'étais plutôt la mauvaise, celle qui fait des "fuck" et qui sourit fière de sa connerie juste après. Celle qui met des coups de fouets pour moins que ça et qui vole, fais souffrir et punis les mauvais garçons.
Il finit par se lever, affirmant que je devais arrêter les drogues que ça ne m'allait pas . - Ah ouai ? Et c'est quoi qu'y m'irait ? Il ne parlait pas très bien mais je comprenais ce qu'il me disait c'était le principal non ? En faite j'avais aucune pitié pour lui. J'étais morte huit fois quand même , du moins une fois et puis j'avais pris des balles. Bon ok disons que j'étais officiellement morte deux fois. C'était pire qu'être juste sourds non ? Et pourtant j'en faisais pas un fromage non plus.
Mais quand il attrapa mon joins pour le jeter au sol et l'écraser j'avais envie tout à coups de lui arracher les yeux. Je l'attrapais par l'épaule pour me placer devant lui, nous étions déjà au dehors du couloirs où nous avions commencé la discussion. - T'es sérieux ? Tu sais combien ça coûte ?! Putain .... Sérieux merde quoi ! J'en ai fais souffrir pour moins qu'ça ! Tu parles d'un putain de petit joins pour moi ... t'as chopé des pilules à t'en faire crever ... on est tous dans la même galère ok ? Dis je en lui lâchant l'épaule le repoussant un peu violemment. J'étais clairement dégoutté pour ce pauvre petit joins que je n'avais pas eu l'occasion de finir. Il me faisais pensé aux grands qui m'empêchait de faire de la merde quand j'étais en foyer ou dans la rue et j'aimais pas ça !
Je commençais à marcher un peu plus loin, sans pour autant m'éloigner de trop. Après tout je ne vivais pas loin d'ici. Je regardais quand même par instinct derrière moi afin de voir si je n'étais pas suivis. Je savais que j'étais une jolie fille, j'avais un miroir merci, et les hommes ici , comme partout, se croyait toujours propriétaire de toutes les femmes qu'ils croisaient. Heureusement je n'étais pas une pauvre petite fille innocente. Mais pour le coup j'étais énervée, en faite j'aurais adoré me battre un peu, cela m'aurait fait un bien fou ! Mais ce n'était peut être pas de ça que j'avais réellement besoin, après tout si je prenais de la drogue ce n'était pas pour me battre mais plutôt pour ne pas le faire. Pour survivre à ce monde qui n'était pas le mien .
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Jeu 9 Sep - 14:12
Cette jeune femme n'avait nullement l'intention de l'écouter et ceci n'avait rien de vraiment étonnant. Pourquoi est-ce qu'elle écouterait les conseils d'un inconnu ? De plus, les drogués sont trop accros pour pouvoir penser un jour se dispenser de ce qu'ils prennent. Le simple fait d'essayer et en général une torture, un tel supplice qu'ils replongent quelques heures après avoir tenté un sevrage. Le mieux, c'est d'essayer ça dans un service médicalisé, avec du personnel capable d'aider, mais quel drogué fera ça ? Aucun. La drogue c'est leurs Saint Graal, leur petite madeleine de Proust qui leur donne l'impression d'être vivant.
Nicolas tente un acte plutôt culotté, celui ce prendre le joint, de le foutre par terre et de l'écraser sans la moindre pitié. Ouais, c'était osé, mais il en a dans le pantalon et c'est surement la cette brune qui va lui faire peur. Sans plus, il part, content de ce qu'il vient de faire. Ouais, il vient de l'emmerder, mais c'est pour sa santé. Ni une, ni deux, la demoiselle le rattrape et passe juste devant lui, histoire qu'il puisse voir le mouvement mécontent sur ces lèvres. Oh que oui, elle n'est pas du tout contente. Tout de suite, on parle d'argent. Ben ouais, la drogue ça coûte cher, c'est pas nouveau. Son visage reste inexpressif, il la regarde et lit chacune de ces paroles. Visiblement, il aurait pu se prendre une rouste pour ce qu'il vient de faire, mais elle allait s'abstenir de le corriger. Eh bien ? Pourquoi ? De la pitié ? Ceci ne l'étonnerait pas qu'elle l'épargne tout ça car c'est un handicapé. Pfff les gens... Ces pilules n'ont rien à voir avec la drogue qu'elle vient d'acheter. On est loin d'un truc qu'il prend pour le plaisir, histoire de planer dans un autre monde. Non ! Lui, c'est une question de survie, parce qu'il n'est pas humain, juste une abomination de la nature. Le fruit d'une personne ayant prit ce medoc spécial pendant la guerre pour faire d'eux des machines pouvant gagner. Aucun scientifiques n'avaient prévu que ce truc serait transmit de manière génétique aux gosses. Lui, est l'un d'entre eux, un Indexé ou un Crépusculaire comme on aime les nommer d'où il vient. Sans ce truc, il risque de mourir, bien plus tôt qu'il ne devrait, sa vie étant déjà plus courte de part sa nature. Alors, qu'elle ne vienne pas lui rabâcher que lui aussi se drogue, ça n'a rien à voir. Ses yeux marrons continue de la fixer... Doit-il perdre du temps à lui expliquer ? Non, elle ne pourrait pas comprendre. Le silence la fait fuir et voilà qu'elle prend la direction de la sortie de l'immeuble.
A son tour, il sort, sans le faire exprès, il va dans la même direction quelle. Ce n'est pas voulu, c'est juste que c'est la même route. Toutefois, il reste loin derrière, sans se soucier d'elle. Son téléphone vibre et il regarde le message de Warwick qui lui annonce qu'il a commandé des pizzas et qu'il ferait mieux de bouger son cul avant qu'elle n'arrive, sinon, il risque de tout "bouffer". Ceci lui arrache un petit grognement, voilà qu'il va devoir se presser. Mais en relevant les yeux, il aperçoit un groupe d'homme, le genre à foutre la merde, d'un pas rapide, ils traversent la rue pour suivre la brune. Eh merde... on dirait bien qu'il ne pas avoir de part de pizza... Sourd, il ne peut pas savoir si les gars parlent à l'inconnue, mais il pense que oui. Putain, une douzaine de types... comme s'ils n'étaient pas capable d'y aller seule. Ces connards sont du genre à ne laisser aucune chance aux femmes, c'est injuste et dégueulasse, clairement, il déteste ce genre d'attitude. Quand sa commence à devenir trop houleux et presque violent, Nicolas fonce, son katana en main et le premier type dos à lui, il l'embroche. Sa lame argenté à présent tâchée de sang perfore le thorax du salaud et quand il la retire, il voit les mecs se tourner vers lui, l'air choqué et mécontent. Brown laisse alors s'afficher un sourire carnassier. Qu'ils viennent, il va tous les buter...
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
Invité
Lun 13 Sep - 20:30
Cet homme m'avait énervé au plus haut point. Comment avait il pu jeter ainsi mon joins. Comment avait il osé ? J'avais pris la route après lui avoir dit ces quatre vérités mais en partant je vis qu'il me suivait ou du moins qu'il prenait la même direction que moi. Il le manquerait plus que nous soyons voisins tiens, ce serait la meilleure blague du monde... Je levais les yeux aux ciels sans trop le regarder en faite je n'en avait rien à faire qu'il aille chez lui et s'enferme. Les hommes comme lui n'était rien à mes yeux. Même pas capable d'être un minimum charmant ou gentleman. Pfff.
J'étais dans mes pensées et ne vis pas que le sourd n'était pas le seul à mes talons. Je passe dans une ruelle pour atteindre plus vite chez moi quand un mec siffle, enfin ME siffle plutôt. Je me tourne et arque un sourcil.
- Tu m'as pris pour ta chienne ? Désolé mon mignon je suis plutôt chatter...
Mais d'autres arrivèrent, trois puis six.. Une douzaine. Ils affirment que je suis leur chienne pour la nuit. J'affirme que je n'en suis pas sur. L'un d'eux m'attrape par le visage et je lui crache dessus en pleine tête avant de lui mettez un coup de pieds dans le foie. Il me lâche et je me prépare à me battre cherchant des yeux tout de même un échappatoir.
C'est assez soudain que le mec devant moi se fait transpercer. J'ouvre de grands yeux ronds qui se pose sur le sourd de tour à l'heure. Merde alors.. Finalement heureusement qu'il m'a suivie celui là. Un à moins il ne reste encore onze. Je n'attends pas comme une jolie fleur pour m'approcher par derrière d'un des hommes afin de l'étranger il tombe en arrière et je tourne sa tête d'un coup sec dans un CRAC significatif. Plus que dix.
Mon regard se pose sur le sourd et je m'approche de lui. Autant faire équipe pour le cou. Il venait de tuer un mec il était loin d'être mauvais. Et j'avais clairement besoin d'aide. Peut être ne serions nous pas obligé de tous les tuer on pouvait aussi fuir par les toits. Est ce qu'il parviendrait â me suivez ? C'était moins sur.. Certains décidèrent rapidement de fuire, d'autre de se battre c'était au choix de chacun clairement.
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Ven 17 Sep - 21:55
Ces sales types n'ont vraiment aucun sens de l'honneur. S'attaquer à une femme alors qu'elle est seule et ça en étant une douzaine... Nan, mais qui peut vraiment c'en sortir ? Même un homme se retrouvait clairement dans la merde dans une situation pareille. Enfin, quelqu'un d'humain et parfaitement normal. Et encore, prit par surprise et encerclé de la sorte, Nicolas serait du genre à c'en prendre plein la gueule aussi. Alors, c'est logique qu'il aide la jeune femme, comment pourra t'elle réussir à sortir de ce mauvais pas sinon ? Et puis, il déteste ça, voir qu'on s'attaque au plus faible de la sorte. Cette bande de connard, il va la décimer jusqu'au dernier.
Son arrivée se faire remarquer lorsqu'il transperce sa victime, du sang gicle venant salir le trottoirs mais aussi certains types présent non loin de lui. Lui, c'est un homme mort, il finira par agoniser sur le sol une fois son épée retirée. La femme semble un peu surprise, mais ceci n'a pas l'air de l'effrayer plus que ça. Finalement, elle s'attaque à l'un des gars et ceci prend une sorte de tournure en mode "bagarre générale". La nana relou, brise la nuque d'un gars, ça en fait deux de mois, plutôt joli, au moins, elle n'a pas froid aux yeux. Sur la dizaine qui reste, trois types prirent la fuite, n'ayant probablement pas assez de couilles pour se battre contre le duo improvisé qui est à présent dos à dos. Sept mecs qui restent pour essayer de les avoir... ça devrait être faisable.
Le premier qui approche se fait trancher le bras dans une gerbe de sang. Fallait pas venir. Autant dire qu'il est hors combat. Plus que six à présent, ils reculent, ça y est, c'est l'abandon ? Non, l'un d'eux se met à rire, visiblement la situation l'amuse... Et là, il sort un flingue. Arf... il faut toujours que les humains utilisent des armes à feu. Au moment ou il tire, Nicolas laisse ses réflexes surhumain agir et il bloque la balle de son katana. Une seule c'est facile, mais il ne pourra pas le faire avec un nombre trop élevé. Un grognement sourd s'échappe de sa gorge, si d'autres sont armés, ça risque de chauffer pour eux. Brown a beau être fort, il n'est pas à l'épreuve des balles.
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
Invité
Jeu 23 Sep - 11:36
Se battre pour sa vie, cela m'avait manqué je crois. Mais voilà je n'avais pas mon fouet, je n'avais pas mon équipement : mes griffes étaient au placard mais heureusement j'avais plus d'un tour dans mon sac. Heureusement j'étais maintenant accompagnée d'un homme qui savait ce battre, cela me rappelait certain moment avec Batman à m'en faire mal au ventre, ou plutôt au coeur, enfin si il m'en restait un ... Un regard échangé suffisait à se faire comprendre, nous étions dans le même camps, pas besoin de mots pour ça.
Il tue un homme rapidement et de façon sanglante, bien ça fait un de moins et c'est très bien comme ça. Je n'ai pas peur , en faite je suis même rassurée, voir enjouée par ce qu'il se passe, cela m'avait manqué que je veuille ou non l'admettre. Oui je suis ravie en faite. J'en viens à en attraper un pour lui tordre le cou, de façon réelle. CRAC .... plus personne. Mais ce n'était qu'un début. Je crois qu'on fait notre petit effet car trois mecs partent en courant. Ouai ils ont raisons si ils veulent pas mourir. En tout cas il en reste encore sept.
On se retrouve dos à dos, moi et le gars casse bonbon. Bon on verra ça plus tard, on va dire qu'il a rembourser sa connerie d'écraser mon joins tout beau tout neuf. Le premier qui approche perd son bras. Pas de bras, pas de chocolat ... ou pas de combat pour le coup vu comment il pleure sa mère en reculant. Bon un de moins parfait. Je me penche pour récupérer le couteau de combat sur le bras sans corps. Parfait pour moi. Quand le tir part je me propulse avec agilité sur le côté mais le mec relou arrête la balle. Je sais pas comment il a fait mais je m'en fou pour le moment.
Rapidement je saute derrière lui et sans réfléchir lui tranche la gorges. Un a moins. Je fixe les autres et râle tel le chat que je suis au fond de moi. Un autre prend la fuite. Bien casse toi ça fait toujours moins de cons. Je prend le flingue et reviens vers le sourd. Bon on continue à jouer ? Je prend l'arme chargée en main et vise les personnes présentes.
- Si certains veulent rentrer chez leur mère pour pas crever comme vos copains c'est le moment.
Si ils ne sont pas trop cons ils comprennent l'idée, ce n'est pas notre mort qui salira le trottoir ce soir mais bien la leur. Alors je leur laisse le choix, un dernier choix. Après ce sera trop tard pour eux.
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Lun 27 Sep - 21:30
Le combat est une chose que Nicolas n'a jamais refusé. C'est dans son sang, il est après tout un Indexé, la descendance d'un ancien humain soldat a qui on avait injecté un produit spécial pour l'améliorer à l'époque de la guerre. Les scientifiques de l'époque ne s'était pas douté que cette amélioration, cette modification génétique finirait par se transmettre aux enfants, petit enfant et ainsi de suite. Une sorte de nouvelle espèce humaine à donc vu le jour, les Indexés ou Crespuculaire, c'est ainsi qu'on le surnomme. Tous ne sont pas forts, certain sont faibles et sans défense, mais ceci n'a jamais été le cas de Brown. Elevé par son père mercenaire qui c'est toujours servit de lui, le détestant à cause de sa nature. Ouais, un père qui n'avait pas le moindre intérêt pour son fils. Et dire que lui, a toujours imaginé qu'il l'aimait, mais il le détestait, comme tout les autres. Les humains n'aiment pas les Indexés... Triste histoire pour lui. Au final, il c'en est accommodé, ce n'est pas comme s'il avait le choix. Qu'on l'aime ou pas, ceci n'a plus la moindre importance. Alors ici, tuer ne le gène pas, ceci n'a jamais été un problème. En fait, montrer sa supériorité, c'est peut-être même ce qu'il préfère. Tuer ce type fut un jeu d'enfant, tout comme trancher le bras de l'autre. On ne joue pas avec lui, il devrait le savoir.
Certains avaient pris la fuite, trop apeuré et effrayé pour essayer de continuer le combat. La femme ne se laissa pas prier, finissant d'autres gars avant de récupérer une arme à feu. Clairement, il a toujours préféré les armes blanche, d'où son katana qui l'accompagne toujours. N'entendant rien, il imagine qu'elle les menaces, il ne prend pas la peine de la regarder pour voir ce qu'elle dit. Non, il reste concentré si jamais ces idiots chercher à l'attaquer de nouveau. Finalement, c'est la queue entre les jambes qu'ils tournent les talons et partent en courant. On dirait bien que le combat est terminé. Bien que ce soit fini, ceci le démange, il aimerait les poursuivre et les finir, un peu comme ce qu'il avait fait à la bande de Barry... Mais non, pas ce soir, ils auront la vie sauve en espérant que ceci soit une bonne leçon pour les mettre dans le droit chemin, même s'il doute que ceci soit possible.
Dans le vide, il fait un petit geste sec pour faire tomber le sang de sa lame avant de la glisser dans son étui. Son regard marron se tourne vers la demoiselle, il ne pensait pas qu'elle était du genre à se battre. A croire qu'il y a de la surprise chez tout le monde ou presque. Sans rien dire, il fait un petit hochement de tête, histoire de savoir si ça va et si elle n'a pas de blessure. C'est pas son genre de jouer les baby-sitter, mais il veut quand même être certain qu'elle ne soit pas blessée. Puis, il indique qu'il vaut mieux changer d'endroit en faisant geste de partir d'ici. La police a surement été averti ou des témoins pourraient passer. Il a déjà bien assez de conflit avec Chris Redfield pour que ce dernier vienne lui coller le meurtre de ces sales types sur le dos. Et puis, il doute que la demoiselle ait envie de se faire arrêter avec son petit stock de drogue sur elle.
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
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Jeu 30 Sep - 21:00
Bon OK, ça défoule pas mal cette histoire ça fait même un sacré bien à vrai dire. Je le sens bien et je n'ai pas eu peur. J'ai vu la mort assez souvent et d'assez prêt pour ne plus avoir peur. Mon regard se tourne vers l'homme qui était dans mon camps il me fait un signe de tête et je lui en fait un en retours. Moi ça va, mais lui ? Je l'observe un moment il me fait signe de partir, ouai les flics n'allaient pas tarder. Je ne le fais donc pas prier pour le suivre, je garde le flingue ça peut encore me servir. Puis je pars aux côtés de l'homme. J'ai envie de le remercier, il aurait pus me laisser dans la merde mais il ne l'as pas fait.
On passe entre les bâtiments quand j'entends les sirènes des flics... Et merde. Je regarde autours de nous et lui attrapes le bras pour lui montrer l'échelle de secours. - Suis moi... dis je en le regardant avant de grimper rapidement sur l'échelle je suis bien plus à l'aise sur les toits que sur le sol à vrai dire. Je grimpe aussi vite que je peux avant d'entendre gueuler " Ils sont par là...". Je me retourne juste le temps de voir les flics courir dans la ruelle.
Un appartement éteins et sûrement vide d'habitant.. Je soulève la vitre doucement et entre avant d'attraper le bras de l'homme pour qu'il me suive. Je referme la vitre avec précaution et sans bruit avant de lui faire signe de se taire. C'est pas le moment de se faire remarquer. Je lui fais signe de se baisser alors que je visite l'appartement m'assurant que nous sommes seuls. Personne.
Quand il se retrouve à ma hauteur je lui dis sans qu'aucun son ne sorte de mes lèvres.- Merci de m'avoir laissé me démerder. je regarde vers la fenêtre on voit les lumières des voitures de police.- On va devoir rester là le temps qu'ils partent OK ? au pire des cas on pouvait passer par les toits.
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Mar 5 Oct - 16:48
Le combat est terminé, cette bande de malfrat c'en est finalement prit aux personnes qu'il ne fallait pas. Nicolas était clairement le genre de type capable de se battre. Ce n'est pas pour rien que les gens le craignait dans son monde. Quant à la jeune femme avec qui il pensait s'amuser, elle savait sortir les griffes et se montrer tout aussi violente que le sourd. Eh bien, dommage pour eux. A présent, il y avait des cadavres, du sang, des membres coupés, des gueules cassées, des blessés et des fuyards. On peut dire qu'a deux contre autant de personne ils ont fait un beau carnage et ont gagné cette bataille, si ceci n'est pas beau !
Mais vu l'ampleur des dégâts, personne ne voudra croire que dans cette histoire, ils sont les victimes, du moins que la jeune femme est la victime. C'est qu'elle se retrouve avec autant de sang sur les mains que notre cher mercenaire. La police ne voudra jamais croire que Nicolas est innocent, il traine bien trop autour des scènes de crime pour mener sa propre enquête pour qu'on ne l'arrête pas. Alors, il est l'heure de partir, avant que les renforts n'arrivent pour mener leur investigation et chopper les fautifs... Dire qu'ils n'ont rien fait de mal hormis se défendre... Mais tuer reste un crime et prouver la légitime défense ne sera pas chose facile dans ce cas là.
La jeune femme lui fait signe de la suivre et il s'exécute, de toute manière c'est ce qu'il comptait faire. C'est ainsi qu'elle le mène dans une ruelle, on pourrait presque croire qu'elle veut lui tendre un piège vu l'endroit. Mais il n'a pas peur et il doute qu'elle s'attaque à lui, même si elle n'a pas apprécié son geste précédemment avec sa drogue qu'il avait jeté au sol. Elle montre l'échelle et il fait un petit saut pour l'attraper et la faire descendre, histoire que ce soit plus facile pour elle qui est plus petite que lui. Elle passe en premier et remarque tout comme lui, que la police arrive. Lui ne le sait que grâce à la lumière des gyrophare, alors qu'elle doit être au courant depuis plus longtemps grâce au son des sirènes. Ne se faisant pas prier, à son tour, il grimpe et elle l'attire plus haut dans un appartement où toutes les lumières sont éteintes et personne n'a l'air d'être là pour le moment. Nicolas s'y glisse et techniquement, même la police ne pourra pas se douter qu'ils sont à l'origine du carnage. Sur eux, il y a l'odeur du sang, mais il faut dire que leurs vêtements sont tachés... Le sang sa gicle, c'est donc normal qu'il ait vraiment l'allure de deux tueurs en série. La demoiselle l'informe qu'ils vont devoir rester ici, le temps que le police parte. Super... ceci peut durer des heures. Là, ils vont devoir appeler des renforts, faire venir la scientifique, le coroner pour qu'il fasse son rapport sur les blessés. Bref, tout ça va les retenir longtemps et bouger avec des vêtements aussi... sale alors quel la police va roder dans le quartier, c'est une mauvaise idée. Le sourd hoche la tête pour indiquer qu'il a comprit. Puis, il se met à chercher dans l'appartement, peut-être qu'il y a des vêtements à leur taille, au moins, s'il cache ça, ils seront tout de suite moins suspect. Sans plus tarder, il ouvre un tiroir, mais à l'intérieur, il n'y a que des torchons, donc rien qu'il ne puisse mettre sur son dos. Quand il sait que la demoiselle le regarde. Il montre sa chemise blanche tachetée de rouge pour lui faire comprendre qu'avec ça, ils ne pourront aller nulle part...
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
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Jeu 7 Oct - 21:14
Qui aurait cru qu'à deux nous pouvions battre ce petit groupe ? Nous bien entendu. je devais avouer que sans cet homme je n'aurais pas réussis ce coup de maître mais voilà, il avait été là au bon moment et je le remerciais au fond de mon esprit. On s'attends pas les flics pour filer surtout que assez rapidement les sirènes me font tourner la tête, je fais signe au sourd qu'il y a une échelle, je suis plus petite que lui et je ne pouvais pas l’atteindre mais il y parvint rapidement. Je passe la première et il me suit de prêt. Les sirènes se rapprochent et nous partons au plus loin possible. Les murs se teinte de bleus signent qu'on est dans la merde et que les voitures sont proches alors je décide d'entrer dans un des appartements, espérant le trouver vide.
Je n'ai pas peur et j'ai l'habitude de me planquer pour mes vols. Je vois l'homme partir alors je fronce les sourcils puis je le suis, je vérifie qu'il n'y a personne et on peut dire qu'on a une sacré chance ! L'appartement est vide, du moins pour le moment. Quand j'arrive à sa hauteur et qu'il voit mon regard sur lui il me montre sa chemise tâchée de sang et je regarde mes vêtements ... Merde. Je fais une moue de réflexion et fonce vers la chambre, je la trouve au bout de la troisième porte ouverte. J'ouvre le placard, mince cette fille fait au moins trois tailles de plus que moi. Je fouille un peu et sort une robe , ça fera l'affaire. Je prend cette dernière et fonce dans la salle de bain , un gant pour nettoyer mon visage et mon décolleté puis je me déshabille et enfile la robe, elle est trop grande mais ce n'est pas bien grave.
J'attrape un sac dans le placard et y fourre mes vêtements avant de regarder l'homme. A lui de trouver une solution. En attendant je fais le tour de la salle de bain et met un peu de parfum de grande marque avant de trouver le coffre à bijou que je vide dans le sac, qui est maintenant le mien. Je fouine tranquillement, après tout on dois patienter non ? Tant qu'il n'a pas trouver de quoi cacher sa chemise on ne peut pas repartir, enfin si , JE pourrais repartir mais je ne laisse pas quelqu'un qui m'a aidé derrière moi.
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Mer 13 Oct - 20:57
Le duo quelque peu improbable se retrouve caché dans cette appartement. L'occupant n'est pas là, peut-être en vacances, au travail, chez des amis ou quelque part ailleurs. C'est une bonne occasion pour eux, car les flics voudront les coffrer. Après tout, ils viennent de tuer plusieurs types et ça reste des meurtres et punit par la loi, même si cette bande de connard était totalement mauvaise. Partir tout de suite s'avère dangereux. La police va forcément boucler le coin et chaque personne voulant passer va être inspecter. Leurs habits ensanglantés n'échapperont donc pas à un regard avisé et c'est bien pour ça qu'il le montre à la jeune femme, histoire de lui faire comprendre. Alors, elle va se mettre en quête de nouveaux vêtements et lui fait de même. L'ennui... c'est que cet appartement semble être celui d'une femme. Plus il regarde la déco, plus elle a un coté féminin, c'est propre et bien rangé, quoi qu'un peu bordélique par endroit. Il a beau ouvrir des tiroirs, il ne trouve rien. Et ce n'est clairement pas des petites culottes qui vont l'aider à avoir l'air habillé. C'est le désespoir, c'est l'appartement d'une célibataire, qu'est-ce qu'il peut bien faire ? Son regard ne cesse de regarder partout, elle ne pourrait pas avoir un petit copain qui vient et oublie des vêtements ? Non, bien sûr que non ! Ceci serait tout simplement trop beau pour être vrai.
La jeune femme est parvenue à trouver ce qui semble être une robe, trop grande pour elle, mais au moins, au ne peut plus deviner qu'elle vient de se battre et de tuer des gens. Super... et lui qu'est-ce qu'il fait. Ici, il n'y aura aucun vêtement à sa taille, ça va le coincer. Nicolas va vers la salle de bain. Il retire sa veste de costard et sa chemise. Sa chemise de couleur blanche est plus que tacheté et s'il veut sortir d'ici, il va devoir la nettoyer. Bordel... le sang c'est si pénible à nettoyer. Dans l’évier, il fait couler de l'eau froide afin de plonger son habit dedans pour l'imbiber d'eau, puis il frotte, il frotte avec un savon qu'il a trouvé. Tout doucement l'eau se teinte de rouge, mais ça ne suffit pas. Nick vide l'eau, pour remplir de nouveau l'évier et recommencer l'opération, mais c'est coriace, ça ne part pas bien, ça continue de tacher et teinter la chemise. Ceci le fait grogner, ça le gonfle. Une machine à laver ? Peut-être qu'elle pourrait finir le boulot, non ? Le haut est déjà pas mal détaché, mais un lavage à froid supplémentaire pourrait faire des miracles. Sans même essorer le vêtement, il part à la recherche du lave linge qui se trouve dans la cuisine, oubliant qu'il était torse nu, mais il n'est pas spécialement pudique et il doute que le vue puisse déranger cette femme étrange. Quelques minutes pour comprendre le fonctionnement de cette machine et hop il lance le programme qui annonce... une heure... une heure de lavage. Eh bien, on dirait qu'il n'est pas sorti de l'auberge. "Heyy" tente t'il de dire, c'était plus un bruit pour essayer d'attirer son attention que de vrai parole. Puis, il montre du doigt le timer de la machine, histoire qu'elle voit le temps que ça va prendre. Il doute qu'elle veuille rester, rien ne l'y oblige. Sans rien dire, Nicolas regarde en direction de la porte, comme pour lui indiquer qu'elle peut c'en aller si elle le désir.
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
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Mer 13 Oct - 21:55
Cette robe était tout sauf à ma taille et les miennes m'allait bien mieux mais il allait falloir faire avec. Au moins je n'avais plus de sang sur moi. J'allais peut être devoir jeter mes affaires et ça me faisait mal au cœur. Je cherchais celui qui m'avait aidé quand j'entendis un bruit dans la cuisine je ne perdis pas de temps pour rejoindre ce bruit avant de découvrir un homme torse nu qui faisait une machine. Vraiment ? C'était pas idiot ! Mais sa chemise ne serait pas sèche.
J'en profitais pour l'observer un peu, c'était un bel homme on ne pouvait pas le cacher, ce côté bad boy un peu soldat lui allait bien en faite ça le rendait même sexy. Ouai j'étais pas une sainte et je m'en portais très bien. Japprochais d'un pas félin quand il me montra la porte d'un signe après m'avoir montré l'heure sur la machine : une heure., mon visage se tourna vers cette dernière avant de le regarder « Je ne vais pas partir sans toi. Je serais morte à l'heure qui l'est sans ton aide... Ou pire » je sentais un frisson dans mon dos rien qu'à y penser.
Je vont m'assoie sur le plan de travail proche de l'homme. Je regardais la machine. On avait une heure pour parler, bon et vie présentons nous ce serait un bon début non ? Je le touchais du bout du pied pour qu'il me regarde et puisse me comprendre. « Je m'appelle Selina, et toi ? » demandais je calmement. J'étais pas qu'une chieuse, en faite j'étais même plutôt une bonne personne au fond. « On a une heure autant faire connaissance non ? Ces pour quoi t'es cachets que t'a pris tout à l'heure ? T'as pas l'air d'aimer la drogue mais t'en prend... C'est chelou je trouve. » je me levais pour fouiller les placards et le frigo avant d'en sortir deux bières et d'en rendre une à l'homme. Même les femmes aimaient la bière après tout il devait en avoir dans presque tout les logements de la ville. Et on avait une heure à perdre.
Je remontais sur le plan de travail attendant la fin de la machine en fixant l'homme qui m'avait sauvé la vie.
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Lun 18 Oct - 17:51
Sa chemise était dans la machine, à présent, il va falloir patienter une heure avant de pouvoir la récupérer propre, du moins il espère que les tâches de sang seront complétement disparues. La demoiselle est maintenant informé du temps à attendre et par chance, elle ne compte pas se tirer sans l'attendre. Au contraire, elle se pose sur le plan de travail confirmant qu'elle restait là, après tout, sans lui, elle ne s'en serait peut-être pas aussi bien sortit juste avant. C'est vrai que seule contre ces types et sans arme, ça aurait été des plus compliqué. Une chance que Nicolas ne se sépare jamais de son katana et qu'il a de bonne technique pour l'avoir sur lui sans que l'on sache ce que c'est. Les tubes à dessin, c'est dans ça qu'il le cache, pratique, personne ne s'imagine qu'à l'intérieur c'est une arme mortelle qu'il camoufle. A ce qu'elle vient de dire, il hausse les épaules, comme un signe de "de rien", s'il la sauvé, c'est qu'il n'aime pas que les autres c'en prennent de la sorte aux gens. Plusieurs contre une personne... c'est tellement pas équitable, c'est moche d'agir de la sorte.
Regardant ailleurs, par la fenêtre histoire de voir la situation qui n'évolue pas plus que ça dehors, son attention est de nouveau attirée vers la jeune femme qui touche du bout du pied. Son regard se tourne donc vers elle pour lire sur ses lèvres. Elle se présente sous le prénom de Selina et le questionne sur son identité. Il n'aime pas parler, mais il fera un effort, il lui doit bien ça, non. "Nicolas" dit-il simplement du mieux qu'il le fait, les syllabe un peu espacé mais plutôt bien prononcé. Il aurait pu dire Nick, mais ils ne sont surement pas assez intime pour qu'elle le nomme par son surnom.
Continuant d'observer le mouvement de ces lèvres pour la comprendre, elle annonce que vu l'heure qu'ils ont à rester ici, autant passer le temps en faisant connaissance. C'est une bonne idée, même si on ne peut pas spécialement dire que Nick soit l'homme le plus sociable du monde. D'habitude les gens l'évitent et ne perdent pas de temps avec un sourd. Mais là, elle veut bien parler, alors à quoi ça servirait de le repousser ? Elle parle des cachets, du fait qu'il n'ait pas l'air d'aimer les drogués, mais il a tout de même acheté de la drogue. Disons que les choses sont clairement plus compliqués que ce qu'elles ont l'air d'être. Avant de répondre, il la laisse fouiller dans le frigo et prendre deux bières, dont une qui lui revient. Il l'ouvre facilement et proposer à la demoiselle de faire de même avec la sienne si elle le désire. Puis, il se pose contre le mur, face à elle. "Pas drogue ! Médicament !" répond t-il. En soit, c'est sensiblement la même chose, non ? Les médicaments peuvent servir de drogue et rendre addict au même titre que des drogues dures. Sauf que dans son cas, c'est une médicament rare, des cachets que les Indexés comme lui doivent prendre. Ne lui demandait pas d'explication, il sait juste que sans ça, il pourrait mourir. En prendre en grande dose permet de booster ses capacités, mais il peut aussi frôler l'overdose. Ce truc qui peut le sauver, peut aussi le tuer. Techniquement, les Indexés n'en abuse pas, mais Nick... Nick est un tricheur. Un Crépusculaire de rang A/0, l'un des plus fort, mais surtout grâce au médoc, car en vrai son rang est bien inférieur à ça. Mais ça ne concerne que lui. Sa plaque autour de cou, cette dog tag qu'il a gardé, indique toujours A/0, comme par le passé, quand il était dans son monde. C'est fou, il pourrait s'en séparer, mais il garde ce bidule. "Important pour m...m...ma survie !" ajoute t'il, bien qu'il imagine récolter plus de questions qu'autre chose. Mais bon, une heure à passer, non ? "Pourquoi tou te drogue ?" demande t'il en plus, sa prononciation moins parfaite que sur ses phrases précédentes. Il aimerait savoir et en plus ça fait la conversation.
Nicolas Brown
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Ven 5 Nov - 21:14
- Nicolas ... répétais je alors en hochant un peu la tête. Bon le sauveur avait un prénom. C'était un peu étrange comme présentation, comme rencontre. On avait tué des gens ensembles et même si autrefois, dans mon monde, je n'avais pas de crainte que la police me cherche, ici je ne m'étais pas posé la question. J'aurais du car une lieutenant allait bientôt être à mes trousses et c'était pas la plus mauvaise.
Je décidais alors de lui poser une question qui m’intriguait. Il semblait totalement contre les drogues pourtant il se servait chez le même dealer que moi c'était bizarre en mon sens. Avant d'avoir sa réponse je fouille un peu et sort deux bières, il ouvre la sienne et propose de faire de même avec la mienne, je sais le faire mais je le laisse faire. Je n'ai pas envie de faire ma fière ce soir, je ne sais pas trop pourquoi, peut être parce que j'avais donné assez dans ce combat et qu'il m'avait fatigué.
Je me repose sur le comptoir en attendant, écoutant sa réponse. Il a beau avoir une façon spéciale de parler du à son handicap je le comprend, et il me comprend aussi alors pour moi il n'y a pas d'handicapé à ce moment précis. Il m'expliqua alors que s'était des médicaments pour sa survis. Je fis une moue désolé. - Ah merde .. c'est carrément pas cool ça. Il doit en avoir des tas ce mec, le dealer qu'on est allé voir. T'as pensé à lui piquer ses réserves au lieu de payer ? dis je simplement. Voler s'était si simple pour moi, c'était devenu un mode de vie, peut être même une sorte de passion et puis s'était tellement facile, pourquoi payer ?
Je voulais en savoir plus, ce qu'i lavait mais dans un sens je savais que ça ne me regardait pas et puis il me devança en me posant une question ; LA question à vrai dire. J'haussais les épaules en buvant une longue gorgée de bière. - C'est ce qu'il me permets de pas finir folle. J'ai tout perdu en me retrouvant ici ... disons que ça me permets de pas me perdre moi même. dis je doucement, en faite je ne me droguais pas tant que ça, je prenais un oint quand j'avais des crises , ça me permettait de me calmer tout simplement .J'essayais de pas trop en prendre mais parfois s'était beaucoup trop dur à supporter. - Je sais que s'est pas vraiment une excuse mais crois moi ... t'as pas envie de me voir péter un plomb ! dis je sincèrement en relevant un sourcil instinctivement appuyant la vérité de mes paroles.
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Lun 15 Nov - 2:14
La raison pour laquelle Nicolas doit prendre ce médicament, cette drogue, c'est que sans ça, il pourrait tout simplement en mourir. Faut pas lui demander la raison, l'explication totale et complexe. C'est juste comme ça. Dans son monde, il n'est pas un simple humain. Nick est un Indexé. Mais c'est quoi ça ? Autrefois, une guerre faisait rage dans son monde et pour que sa contrée puisse gagner, une drogue a été crée, une sorte de super cocktail pour booster les capacités des soldats. Une injection et hop les voilà plus fort sur le long terme. Sauf que personne n'avait prévu que les descendants de ces soldats aurait une génétique modifié, les rendant tout comme eux, plus fort, plus agile, plus rapide... C'est ainsi que sont nés les Indexés ou Crépusculaire. En échange de cette force hors du commun, leur espérance de vie est bien plus courte que celle d'un humain, et tous ont un handicap. Lui a vu le jour en étant sourd, mais ça peut être d'autre style d'handicap, Doug par exemple à l'air d'un enfant, il ne grandit pas, alors qu'il est surement aussi vieux que lui. Certains peuvent avoir des membres atrophiés, des maladies... ceci varie d'une personne à l'autre. D'ailleurs, leurs forces ne sont pas égales, certains sont faibles et d'autres comme lui très puissant. Son médicament, il en a besoin, c'est tout, c'est comme ça. C'est aussi une drogue, s'il en abuse, ceci boost ses capacités, c'est d'ailleurs grâce à ça qu'il a eut son rang de A/0, l'un des plus hauts chez les indexés, montrant à quel point il est redoutable.
Selina sembla désolé, mais il se fiche pas mal de la pitié des gens. En fait, jamais personne n'a eu de pitié pour lui. Les Indexés sont détestés, les gens ont peur d'eux et les rejettes. La différence... elle créera toujours ce besoin de rejet chez les autres, c'est si triste ! Puis, elle demanda pourquoi il ne volait pas tout chez le dealer. Eh bien, à quoi ça lui servirait ? Ce médicament, il n'en trouve qu'ici, s'il vole tout est-ce que ce type voudra lui en procurer de nouveau ? Il en doute fortement ! "Et après ? Che fait quoi s'il ne m'en vend plus ?" articule t'il avec un peu de difficulté. C'est pas comme s'il pouvait trouver ça sous le sabot d'un cheval. Mais la réflexion vaut aussi pour elle, elle pourrait le dévaliser, lui voler toutes l'herbe qu'il a. Qu'est-ce que ça lui rapporterait ? Il refusera surement de la recevoir de nouveau ou enverra des types à sa poursuite pour qu'elle se fasse tuer.
La femme fumait pour ne pas devenir folle, c'était plutôt étrange comme raison. D'après Nicolas, c'est justement en abusant du joint qu'on devient fou. Disons qu'il peut voir lui même ce que fait l'effet de son médicament prit en forte dose. Il devient fort mais le prix à payer est tout aussi violent. L'overdose, ça pourrait le tuer si personne n'est la pour s'occuper de lui et le sauver. Ceci a déjà faillit arriver il y a plusieurs mois. Quand il aidait Nathan Drake, il n'avait pas eu le choix d'abuser pour survivre contre des monstres. Sans l'intervention de Drake pour le sauver, il serait surement mort. "Votre vie était mieux avant ?" demande t'il en articulant très bien cette fois-ci, bien que les mots étaient prononcés de manières détachés les un des autres. Est-ce que sa vie ici est si horrible que ça ? "Péter les plombs, ché peut-être che qu'il vous faut pour vous sentir mieux et voir que tout va bien ?" Une simple supposition, parfois exploser ça permet de tout remettre à plat et d'y voir plus clair. Ce qu'elle fait c'est peut-être juste retarder l'inévitable.
Nicolas Brown
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Jeu 18 Nov - 22:10
Rester là, attendre que les flics se barrent pour sortir au grand jour en espérant que personne n'entre dans l'appartement, c'était sympa. Cela offrait de l'adrénaline qu'on ne pouvait pas avoir autrement un autre genre de drogue que j'affectionnais particulièrement. Ce soir on était là à discuter, nous deux inconnus qui venaient de se sauver la vie. C'était amusant comme la vie pouvait parfois mettre sur notre chemin des étrangers qui ne le sont rapidement plus du tout. Il parlait d'être malade, ce n'était pas de la drogue qu'il venait chercher mais des médicaments, s'était triste. Je lui soufflais alors l'idée de les voler mais visiblement il était pessimiste. Voler l'actuelle cargaison oui et après ? Il était vraiment pas réfléchi comme garçon.
- Tu as juste à pas de faire repérer. Soit pas idiot. Après tu continues à en acheter de temps en temps histoire de pas éveiller les soupçons ou mieux ... tu va à la source. Notre Dealer là, c'est pas lui qui créer les médocs il doit bien avoir un revendeur. dis je tranquillement. Entrainer les gens vers le mal s'était un peu mon dada, en faite je ne faisais même pas vraiment exprès c'était juste de la logique pour moi. Pourquoi se faire chier quand on a juste à prendre aux autres. D'ailleurs je commençais doucement à avoir un petit pactole bien planqué histoire de me barrer de ce quartier merdique.
Puis on passa par ma vie à moi forcément. Quand il me demanda si c'était mieux avant je soupirais regardant le plafond une seconde avant de le regarder à nouveau en replaçant une mèche derrière mon oreille. - Pour être honnête non. J'ai toujours eu une vie de merde. J'ai faillis avoir mon "happy end" mais j'ai préféré la vengeance. dis je en soupirant. - Dès que je me laisse aller j'ai la mort qui me suit, j'ai été tué plusieurs fois, heureusement j'ai plusieurs vies, mais il m'en reste qu'une ... j'crois que je suis pas faite pour l'bonheur tu vois ? dis je calmement. Ouai en faite j'avais rien et je n'avais jamais rien eu ça ne changerais pas ici bas.
Un petit silence s'installa entre nous, seul le bruit de la machine et des sirènes de flics au dehors faisaient que le moment était un peu moins stressant, finalement je me permise de lui demander, en touchant le bout de son pied comme la première fois pour attirer son attention vers moi. - T'as quoi comme maladie ? ouai ça me regardait pas mais au final on avait rien d'autres à foutre que parler alors alors autant poser les questions non ?
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Mar 23 Nov - 23:41
Voler le dealer ne l'intéressait pas, même de manière discrète. Ce médicament est hyper rare et il ne l'a que quand il lui demande à l'avance. Jusque là, il n'a jamais cherché à savoir comment ce type se les procurait où s'il les fait lui même. Mais autant rester honnête sur ce côté là. Car sans ces trucs, il risque de passer l'arme à gauche et ça serait dommage. Bon d'en un autre côté, en les ayant, il peut aussi passer l'arme à gauche s'il en abuse pour booster ses capacités physiques. Ouais, c'est plutôt ironique, il prend un truc qui d'une certaine manière le maintient en vie, mais qui peut aussi le tuer. La vie est parfois bizarre, mais il c'est comme ça. Pour répondre à la demoiselle, il se contenta d'hocher la tête de manière négative, histoire de lui faire comprendre, qu'il ne le fera pas.
Dans son monde, la personne qui lui fournissait les médicaments étaient docteurs et les avoirs été déjà un mission assez difficile. Donc, il n'a pas envie de rendre sa vie ici plus compliqué à cause de quelques pilules qu'il peut se procurer de manière normale et presque légale.
Nick la questionna sur sa vie, comment elle était avant. Vu ce qu'elle répondait, il était presque désolé qu'elle ait eu une "vie de merde". A croire qu'on est pas tous chanceux. Lui-même ne peut pas dire qu'il en a eu une merveilleuse, mais il n'a pas non plus était malheureux. Sans tout comprendre, elle parlait de mort, il pensa que c'était une sorte de... de métaphore. A sa réflexion sur le bonheur, il secoua la tête, pas vraiment d'accord avec ce qu'elle disait. Tout le monde à le droit au bonheur, il est parfois juste un peu difficile à trouver. "Ché faux ! Tu le trouveras, j'en chuis chur !" affirme t'il avec son articulation approximative et une esquisse de sourire.
Puis sa nouvelle question le concerna. Ce n'est pas vraiment une maladie qu'il a. C'est compliqué à expliqué. C'est la nature même de sa personne qui pose problème. On pourrait dire que c'est au niveau génétique. Les gens comme lui, les crépusculaires ou indexé ont une espérance de vie courte. C'est le résultat de la science. "Pas malade ! Ché compliqué. Che viens d'un endroit où la guerre a fait des ravages. Pour gagner, mon pays à créer un chérum. Cha boostait les soldats, plus fort, plus rapide, plus puichant... Les enfants de ché soldats on chubit des modifications génétiques. Che chuis l'un d'eux. Plus fort, plus rapide, plus agile... Et chourd..." Il fit du mieux qu'il le pu pour expliquer ça. De sa vie, il n'a jamais eu à le faire car tout le monde connait cette histoire chez lui. C'est le passé de là il a vécu. Il se trouve qu'il est un enfant, un descendant d'un soldat. Les modifications qu'ils ont eu on du modifier leur ADN et ceci c'est répercuté sur leur progéniture. "Les gens comme moi, on est pas normaux. On a tous un handicap. Moi, chuis chourd, d'autres grandissent pas, chertain ne peuvent pas marcher. Et notre puissance n'est pas égale." Nicolas fait parti des Indexés les plus dangereux et les plus fort, mais il y en a des tas qui sont très bas niveau. On peut dire qu'il a de la chance. "Notre espérance de vie est courte également." Là, il montra la petite boite de médicament, comme pour lui répondre que c'est à ça que ça sert, le maintenir en vie le plus longtemps possible. Inutile de s’apitoyer sur son sort, c'est ainsi, il ne va pas se plaindre. Depuis le temps, c'est un homme parfaitement endurcie.
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
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Dim 28 Nov - 21:52
Me retrouver là avec un inconnu n'était pas en soi une habitude, à vrai dire j'étais plutôt du genre solitaire, je ne m'attachais pas aux gens, je ne leur devais rien et c'était parfait comme ça. J'avais voulu m'attacher à Bruce et voilà comment je le vivais aujourd'hui, c'était une souffrance journalière au point où je devais me droguer pour supporter la douleur. C'était assez étrange à expliquer mais je crois que je n'avais jamais aimé être dans ma vie. A la base je ne voulais qu'une histoire d'amour avec Max, celle que l'on peut voir dans les séries idiotes américaines, ouai s'était ça mon Happy End. Basique et tellement ennuyant, j'aurais voulu une petite maison et une barrière blanche, un chien dans le jardin qui joue avec un gamin. Mais aujourd'hui s'était différent, j'étais différente. Je n'avais que haine et colère en mon coeur et je ne pouvais pas supporter cette idée qu'un jour je pourrais être heureuse.
D'ailleurs en parlant de bonheur je proposais à Nicolas de voler ses médicaments mais il semblait rejeter l'idée en bloc, je finis par hausser les épaules à croire que tout ceux que je rencontrais étaient contre le fait de voler, je devais bien admettre que je ne comprenais pas vraiment la chose. Voler était facile et puis si l'on vole les bonnes personnes finalement, personne n'en souffre non ?
Je finis par lui parler un peu de ma vie et surtout du fait que je ne pense pas avoir une Happy End. Je me vois bien mourir dans une attaque, mon fouet à la main et du sang sortant de ma bouche. Oui s'était gore mais je voyais bien ma finalité comme ça. Qui vivra verra comme on dit. Quand il affirme que j'ai tord j'eus un petit sourire reconnaissant. Ci il savait ... Mais je n'ajouterais rien, pas la peine d'entrer dans des opinions totalement déviantes, surtout que ni l'un ni l'autre ne pouvait être sur de la finalité de ma vie.
On en vint alors à sa vie à lui. Je l'écoutais à mon tour, et clairement je ne m'attendait pas à une histoire comme celle ci. Je l'écoute les yeux ronds de surprises quand il me parle de sa vie. - Donc chez toi, des scientifiques ont changer les gens pour le propre petit plaisir de l'état et de l'armée et à niquer la vie de leurs gamins ... Wow quels fils de putes ! Au moins j'étais sincère, comment pouvait on faire ça ?! Finalement je restais silencieuse jusqu'au BIP de la machine, je descendis du plan de travail pour prendre la chemise et lui rendre, dehors la police était toujours là. - Prêt pour aller passer inconito ? dis je avec un petit sourire en coin le laissant se changer avant de rejoindre la porte d'entrée.
J'attrapais un chapeau devant l'entrée pour le mettre sur ma tête histoire de me cacher un peu et de rendre mon look plus sympa il était temps d'y aller avant que les propriétaires de l'appartement n'arrivent sur place. Je descendis alors les étages avant de commencer à marcher dans la rue, pas trop rapidement pour ne pas attirer l'oeil mais pas trop doucement non plus pour ne pas ... attirer l'oeil. Je pris le bras de Nicolas pour qu'il me regarde avant de dire à voix basses. - On se sépare pas tant qu'on est pas sortie du quartier et qu'on a plus de flics au cul. Ok ? Le but n'était pas de jouer solitaire pour le coup, un couple qui a l'air amoureux marchant dans la nuit parait inoffensif.
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Mar 7 Déc - 2:03
Est-ce que c'est jouer avec la vie des gens d'avoir fait en sorte que les soldats soient plus forts pour gagner la guerre ? Peut-être que oui, mais c'était une mesure importante, sinon ils auraient perdu et qui sait ce qui aurait pu arriver. Oui, c'est moche ! Les scientifiques ont fait ça pour sauver tout le monde, un truc bricolé surement à la va vite, sans des tas de tests. Quoi que personne ne pouvait imaginer que ça changerait la génétique et que ça se répercuterait sur la descendance de ces gens, créant en quelque chose sorte, une nouvelle espèce d'humain. Inutile de les penser chanceux... Naître avec un handicap c'est loin d'être un bonheur. Nicolas c'en sort bien, il est juste sourd, mais d'autres n'ont pas sa chance, ça peut-être très invalidant. Être un crépusculaire, c'est pas une partie de plaisir, encore moins quand on sait à quel point les gens "normaux" les détestent. Toutefois, il ne contredira pas les paroles de Selina. Jouer à dieux, ça ne devrait pas être permis, mais ce n'est pas pour autant que les gens comme lui doivent être interdit de vivre. Comme tout le monde, il a des sentiments, des faiblesses, des envies et même des défauts.
Sans l'ouïe de la jeune femme, il n'aurait pas deviné que la machine était fini. Ce n'est que quand elle se déplaça pour l'ouvrir qu'il comprit que c'était bon. Sa chemise était de nouveau blanche, propre et avec une bonne odeur de lessive. Bon, elle était encore humide, mais bien assez essoré pour qu'il puisse l'enfiler et vu l’absence de sèche linge, il ne va pas attendre qu'elle soit sèche. Une fois sur ses épaules, il remit sa veste de costard noir, au moins personne ne pourra voir la différence entre le sec et le mouillé et puis c'est encore la nuit, donc ça devrait faire "couverture" pour ne pas voir ce type de détail. A la question de la jeune femme, il hocha la tête, histoire d'indiquer qu'il était prêt.
En peu de temps, ils se trouvèrent hors de l'immeuble. C'était calme, enfin ne pouvant rien entendre, il ne pouvait pas entendre les voix lointaine des policiers sur la scène de crime qui réfléchissaient pour savoir qui avait fait ça. Selina le tenait au bras, un peu comme un couple. Ceci le dérangeait un peu, avoir des contacts rapprochés c'était pas dans ces habitudes. Mais il devait jouer le jeu du petit couple d'amoureux qui rentre de soirée pour ne pas avoir l'air suspect. Sur les lèvres de la demoiselle qui avait attiré son attention, il lu ce qu'il devait faire. Il se contenta d'hocher la tête pour montrer qu'il avait compris. En gros, ils doivent sortir du quartier, se trouver loin de la police avant de pouvoir se séparer, ce plan lui convient. Pour partir, ils devaient passer de l'autre côté de la rue, soit de l'autre côté du massacre. On les verra, c'est certain. Avec un peu de chance, on les ignorera. Mais un flic les aperçus. Lui ne pouvait pas entendre les injonctions de ce dernier qui leur demandait de se stopper. N'oublions pas que Nicolas est sourd, alors, ça pourrait être un milliard de décibels qu'il n'entendra jamais rien. C'est Selina qui va devoir le lui faire remarquer. Même devant les flics, il pourra être sourd, ça ne dérangera pas. Quelqu'un qui entend peut bien aimer une personne qui n'entend pas, n'est-ce pas ?
Nicolas Brown
(c) Vent Parisien
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Mar 21 Déc - 22:45
Notre programme était simple, attendre que sa chemise soit lavée avant de partir de cet appartement, sortir du quartier tranquillement, l'air de rien et enfin se séparer pour rejoindre chacun son appartement. J'avais hâte de retrouver mon lit et mon chat à vrai dire. La soirée avait été bien trop mouvementée pour moi. J'avais pas vraiment l'envie de continuer comme ça même si la compagnie de Nicolas ne me déplaisait pas vraiment. Finalement la machine s'arrêta, on pouvait bouger avant que les locataires ne reviennent. Je regardais un instant l'homme se rhabiller avant de terminer de me préparer pour rejoindre la sortie.
Nous marchions simplement dans la rue alors que les sirènes des policiers se faisaient entendre encore et encore. C'était effrayant et mon coeur battait à une allure folle. La prison ? Non c'était pas pour moi. Je ne perdis pas de temps pour prendre le bras de Nicolas afin d'avoir l'air d'un couple, c'était le minimum que nous pouvions faire. Il faisait nuit et j'espérais de tout coeur qu'on ne nous demanderait rien, qu'on pourrait rentrer simplement. Je demandais à Nicolas qu'on reste ensemble le temps de sortir du quartier et donc des flics. C'était plus pratique d'être un couple amoureux non ?
Malheureusement mon coeur manqua de s'arrêter quand un policier nous cria de stopper net. Je serrais le bras de Nicolas et m'arrêta, autant ne pas avoir l'air suspects en essayant de fuir pas vrai ? - Bonsoir monsieur l'Agent. dis je simplement. L'homme nous regarda l'un puis l'autre avant de demander. Madame, Monsieur. Avez vous entendu ou vu quelque chose d'étrange ce soir ? Je regardais alors Nicolas puis le policier. Oh oui, j'ai entendu des coups de feux, j'ai voulu appeler la police mais quelqu'un avait du le faire car rapidement j'ai entendu vos sirènes. Est ce que quelqu'un est mort monsieur l'agent ? J'étais douée pour jouer les idiotes et visiblement cela semblait fonctionner. Et votre ami n'a rien entendu ? Je regardais Nicolas avant de dire à l'agent. Mon petit ami est sourd, alors malheureusement non. Au moins c'était sincère enfin presque.
J'espérais de tout coeur que ça suffise et que Nicolas ne dise ou fasse rien qui ne gène cela. J'attendais calmement le coeur battant que ce policier nous invite à circuler pour pouvoir avoir la paix.
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Mar 28 Déc - 20:47
Voilà, la liberté n'était plus très loin. Enfin, ils vont quitter ce quartier, du moins c'est ce que le sourd espérait. Techniquement, ils n'ont plus de tâches de sang visible. La chemise de Nicolas était presque bien propre, bien que totalement humide, ce qui n'était pas des plus agréable, mais il s'en contentera jusqu'à ce qu'il soit rentré. Sa veste de costard camouflait ça. Par contre, du sang avait giclé sur celle-ci, mais du rouge sur du noir, ça ne devait pas se voir, mais il la fera nettoyer une fois rentré chez lui, juste pour être sûr.
Le duo s'en allait, bras dessus, bras dessous, tel un couple qui rentre ou sort se balader. Il était tard, ça pourrait sembler étrange, mais rien n'interdit les gens à sortir au beau milieu de la nuit. Nicolas évita les barrages de police, ça serait gênant qu'on vienne les stopper.
Puis, Selina se stoppa sans qu'il ne comprenne pourquoi. Il s’apprêtait à protester quand elle se tourna pour s'adresser à quelqu'un. Merde, c'était qui ? Un policier... merde, il n'est pas inconnu de leur service vu qu'il est détective privé et qu'il aime empiéter sur leurs affaires pour les résoudre avant eux. Mais ce jeune homme, surement tout nouveau ne le connaissait pas et Nick non plus. Avec l'obscurité, il n'avait pas bien vu les mouvements des lèvres de l'officier, mais la jeune femme était en train de lui parler. La lumière était mieux orienté sur elle, ainsi, il pouvait plus facilement lire ce qu'elle disait, approximativement, la question devait porter sur ce qu'il s'était passé du genre s'ils ont vu ou entendu un truc. La jeune femme ajouta que Nick était sourd, ce qui était vrai. Le mercenaire se contenta d'observer l'homme et d'hocher la tête par la positive. De toute sa vie, il n'a jamais entendu un son et ne pourra jamais en entendre.
L'agent ne les retint pas plus que ça, ce qui était une bonne nouvelle. Jouant encore le jeu du faux couple, ils quittèrent le quartier jusqu'à être sûr que la police ne fasse plus de ronde. "Ché bon, il n'y a plus de flic." A cette phrase, il reprise de la distance, le contact physique de la sorte n'a jamais été ce qu'il préfère. "Che rentre. Fais gaffe !" indique t'il en tournant les talons et prenant la direction de chez lui. Pourtant, ce n'est pas vraiment ce qu'il fit. Nicolas s'assura qu'elle puisse rentrer sans être dérangée, que personne ne l'agresser ou lui fasse du mal. A croire qu'il devient vraiment un type bien.
[Je pense qu'on peut finir le RP ici ? Si tu veux faire une dernière rep bien sur]
Nicolas Brown
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