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[Abandonné] Quiproquo [Jughead]

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Anonymous

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Lun 23 Aoû - 18:53



Quiproquo




C'était arrivé le matin même. Comme ça, sans raison, sans explication. Il s'était réveillé et l'avait trouvé sur sa table de chevet, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde, comme s'il l'avait retiré la veille avant d'aller se coucher. Cette apparition tout sauf désiré avait eu le mérite de le réveiller aussi sec. C'est un signe, c'est un message, Regulus ne sait pas l'expliquer d'une autre manière. Cet objet maudit, celui qui a entraîné sa perte, se trouve bien là, et ne bouge pas. Il cligne plusieurs fois des yeux dans l'espoir de le voir disparaître au nom d'il ne sait quel miracle - rien ne se passe. Il est là, bien tangible entre ses doigts, et ce n'est pas une illusion où un tour que lui jouerait son esprit encore endormi. Non, rien de tout ça : le médaillon de Serpentard est bien là, et semble le narguer de toute sa brillance tandis qu'il le considère comme s'il s'agissait d'une bombe à retardement - et à ses yeux, c'est précisément ce dont il s'agit.

Il
est là. Il est venu chez lui. C'est sa manière subtile de le menacer, Regulus en est absolument convaincu. Il a retrouvé sa trace, il sait ce qu'il a fait, et il va se venger... violemment, cruellement. Toutes les appréhensions du jeune sorcier trouvent corps dans ce bijou par trop clinquant. Il lui faut plusieurs longues minutes pour faire le choix d'essayer de l'ouvrir, et l'horreur le saisit d'un coup. Ce n'est pas une copie. Est-ce que ça pourrait être... Non.... ce n'est quand même pas...

Depuis son arrivée ici, Regulus est constamment angoissé. Il sait plus ou moins bien le cacher, mais jamais cette émotion ne le déserte. Ce qu'il ressent en cet instant dépasse néanmoins le seuil de l'angoisse simple, c'est de la terreur pure et dure qui l'assaille. Pourquoi là ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi cet enchaînement presque incompréhensible des événements après plus de deux ans sans que rien ne se passe ? D'abord le retour de ses pouvoirs, puis le retour de son frère, et maintenant ça... On joue avec ses nerfs, c'est évident... Et lui, il n'évite pas le piège, il fonce droit dedans, même en sachant ce dont il s'agit, même en comprenant pertinemment que c'en est un, de piège.

Regard à son réveil-matin. S'il continue comme ça, il va se mettre en retard. A contrecœur, il se décide à s'habiller et à préparer ses affaires. Après une longue hésitation, il se décide à enfiler l'horcruxe autour de son cou, il ne peut pas juste le laisser traîner nonchalamment chez lui. Le métal brûle sa peau sous sa chemise mais il tente de faire abstraction. Et ainsi s'écoule sa matinée à la librairie, dans un état presque second. Regulus a songé à se confier à Belle au sujet de ce rebondissement, mais il n'a finalement pas osé. Il ne veut pas la mêler à ses problèmes, ni elle ni personne. Même si son fardeau déjà trop lourd le devient de plus en plus à supporter. Alors qu'il s'applique à ranger quelques livres dans les rayonnages, la porte s'ouvre, et tinte la clochette caractéristique de l'arrivée d'un nouveau venu.

"Bonjour",
salue-t-il mécaniquement avant de réaliser que la personne qui vient de faire son entrée ne lui est pas inconnue. Ou du moins le crois-tu. "Oh, salut Arthur, qu'est-ce que tu viens faire ici ? Tu cherches un livre en particulier ?"



Codage par Libella sur Graphiorum
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Anonymous

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Lun 13 Sep - 20:17


Quiproquo
Regulus & Jughead


La soirée avait été plutôt tranquille dans cette grande maison que leur avait laissé la lune rouge, souvent faite de lecture, écriture ou de soirée cinéma, Jughead et Betty avaient élu domicile dans leur petit nid d’amour et ils y étaient biens ça c’était certain ! Et l’étudiant en lettre aimait ses cours, ses professeurs, son rythme de vie bien qu’un problème planait dans sa vie : la page blanche. Avec cette fâcheuse habitude de se lever tard, le garçon loupait toujours l’ouverture de la librairie et détestait y aller en plein milieu de l’après-midi où cet endroit devient souvent noir de monde dans un si petit espace. Et cette page blanche, elle le hantait depuis quelques jours, il en faisait part à sa chérie c’est sûr, mais elle ne pouvait rien faire contre ça, alors il tournait en rond dans cette grande maison, travaillant ses essais pour les cours, mais aucune ligne ne sortait sur ce fichier word.

Les cours ne commençaient que cet après-midi, c’était décidé il allait aller à la librairie, peut-être y trouvera-t-il de l’inspiration et de quoi écrire au moins une ligne pour commencer à broder quelque chose. Il avait donc enclenché son réveil pour un sept heures pétantes pour le matin à venir. C’est en étant motivé par cette sortie qu’il s’endormit rapidement.

Sept heures pétantes. Le réveil sonne et comme tous les matins, Jug avait du mal à émerger, voir même à éteindre ce fichu réveil, à contrario Betty était déjà apprêtée pour sa journée. Il se leva tant bien que mal et entreprit sa routine matinale : café, petit-déjeuner, brossage de dent, habillage : un jean, un t-shirt sombre, son bonnet, sa veste des Serpents en cuir et il était déjà en train de se diriger vers la librairie, la musique dans les oreilles et son sac en bandoulière. Jug entre dans la boutique de livres, un vrai paradis sur terre.

Son “- Bonjour” sort automatiquement de sa bouche avant de foncer droit sur une étagère de livre jusqu’à ce que le vendeur l'interpelle, le regardant droit dans les yeux en le nommant d’un prénom qui n’est pas le sien. Le regard de l’étudiant en dit long, il pointe le doigt vers lui-même. “- C’est à moi que vous parlez ?”.
Le garçon de la librairie semble si convaincu par l’affirmation que Jug semble troubler.

- Je pense que vous devez me confondre avec un autre non ? Dit-il, assez perplexe en s’approchant du libraire.


@Regulus Black
(c) DΛNDELION & IRIS
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Mar 14 Sep - 19:01



Quiproquo




Regulus est immédiatement décontenancé par le comportement de celui qu’il pense être son ami. Si le but est de lui faire une blague, le jeune homme a bien du mal à comprendre en quoi celle-ci peut bien être supposée être drôle… Il ne prétendrait pas connaître Arthur Swann sur le bout des doigts, ce serait clairement exagéré, mais du moins assez pour être pris au dépourvu par son attitude… c’est pas le genre de farce auquel il s’amuserait. Pourtant, même en y regardant de près, Regulus a bien du mal à admettre qu’il puisse vraiment y avoir erreur sur la personne, tant son interlocuteur ressemble à Arthur. C’est pas juste qu’ils ont la même carrure et le même visage, d’ailleurs, même leurs voix ont l’air de se ressembler… Perturbant…

Le libraire ne sait pas exactement combien de temps s’écoule avant qu’il ne se décide à répondre quelque chose, sans doute de bien trop longues secondes qui ne peuvent avoir que le don d’être embarrassantes autant pour l’un que pour l’autre. Il faut qu’il dise un truc, au moins qu’il s’excuse de s’être ainsi trompé, mais cette ressemblance le laisse si perplexe qu’une part de lui continue de se demander s’il ne serait pas, quand même, en présence d’Arthur. Peut-être que ce dernier s’est trouvé… un sens de l’humour particulièrement relatif.

« Euh oui, pardon », s’excuse-t-il d’un ton un peu renfrogné.

S’il est une chose que Regulus Black déteste – entre autres nombreuses autres, car à bien y regarder, Regulus n’apprécie pas franchement grand-chose –, c’est bien ces situations embarrassantes, le sentiment de honte, de se taper l’affiche. Il a tant et tant veillé à son image, à être le plus irréprochable possible, et ce presque toute sa vie, que laisser entrevoir ses failles, même au détour d’un innocent quiproquo, exige déjà beaucoup de lui et le met dans une position d’inconfort particulièrement déplaisante. Il s’attend à tout instant à ce que son interlocuteur se paie sa tête, notamment, même si ça n’a pas du tout l’air d’être dans son attention, pourtant.

« Vous ressemblez à quelqu’un que je connais – mais je veux dire, vous lui ressemblez vraiment, comme deux gouttes d’eau, c’est pour ça... »


Il cherche à se justifier plus qu’autre chose, mais en vérité, et lui-même le sait, il devrait juste laisser couler et ne pas insister davantage. En attendre autant de sa part serait toutefois mal le connaître. Qu’est-ce que ça peut lui faire, à lui, dans tous les cas, d’apprendre qu’il est le portrait craché d’un gars qu’il connaît. Sûrement que ça lui fait juste une belle jambe, au bout du compte, et ce serait après tout bien normal. Finalement, Regulus se ressaisit. C’est pas tout de s’être donné en spectacle, mais en attendant, il est sur son lieu de travail, alors c’est peut-être l’occasion, au bout du compte, de se rendre un peu utile. Et enfiler sa casquette de libraire dissipera peut-être un minimum le sentiment d’embarras qui l’anime.

« Bref. Je peux vous aider ? Vous cherchez un livre en particulier ? »





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Dim 19 Sep - 22:23


Quiproquo
Regulus & Jughead


Arrivé dans cet endroit qu’il affectionne tout particulièrement tant sa passion pour l’écriture et les livres s'occupait le plus clair de son temps. Il ne pensait pas se faire surprendre de bon matin en ouvrant la porte de la boutique. Le libraire qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam lui avait littéralement sauté dessus avec un prénom qui n’était pas le sien, totalement persuadé qu’il s’appelait Arthur. Jughead ne savait pas du tout qui était cet homme, lui qui ne voulait qu’arpenter les étagères de bon matin pour trouver la perle rare.
Une incompréhension s’était installée entre les deux jeunes hommes, un moment de gêne qui fut vite brisé par le libraire qui avait l’air de ne pas en croire les yeux qu’il s’était tout simplement trompé de personne. Ce dernier avait l’air totalement mal à l’aise de la situation avant de se justifier que Jug ressemble parfaitement à son ami. Le garçon au bonnet semble interloqué mais plus gêné par le jeune homme qui semblait stupéfait. Il préféra le rassurer.

- Ce n’est rien, le matin c’est parfois compliqué de bien se réveiller. Dit-il avec un sourire timide, typique de sa personne. Il exprimait peu ses sentiments, et était plutôt mal à l’aise dans ce genre de situation présente. “Peut-être que vous l’attendiez, vous vous êtes fait surprendre”. Que quelqu’un lui ressemble comme deux gouttes d’eau commençaient à lui mettre la puce à l’oreille que le monde dans lequel il était tombé n’était pas si rose qu’il le pensait.
Le garçon revint à son métier premier de libraire et Jug à son rôle de client voulant se faire conseiller, malgré qu’il aimerait bien mener l’enquête sur cette intrigante situation.

- Oui vous pouvez peut-être m’aider. Je suis étudiant en littérature et j’ai besoin d’un livre de l’époque médiévale, plutôt écrit à cette époque ou bien quelque chose qui en parle.

Si les deux jeunes hommes ne semblaient pas se connaître, ils allaient au moins parler de leur passion première : les livres.


@Regulus Black
(c) DΛNDELION & IRIS
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Invité



Mar 21 Sep - 18:37



Quiproquo




Regulus affiche un sourire qui ressemble franchement davantage à une grimace quand son interlocuteur met sa confusion sur le compte de la fatigue, du fait que c’est le matin. Il n’aime vraiment pas ça, il n’aime pas ça du tout, même. Déjà, il estime qu’il est tout à fait capable de raisonner convenablement de bon matin, ensuite, ce n’est pas juste la fatigue qui le fait délirer. D’accord, d’accord, faut qu’il passe à autre chose et fasse oublier ce fichu quiproquo, mais quand même… Vraiment, mais vraiment, ce gars ressemble comme deux gouttes d’eau à Arthur. Il l’invente pas, ça. C’est juste un fait. Avéré et certain. Et même quand il lui parle, c’est dur de s’ôter de la tête cette ressemblance.

Alors certes, leurs phrasés, leurs intonations, ne sont pas les mêmes, et quand on y regarde de près, on peut déceler quelques menues différences, mais si les deux devaient se retrouver dans la même pièce, le jeune sorcier gage que son interlocuteur comprendrait immédiatement sa confusion et ne blâmerait plus le fait qu’il puisse éventuellement être trop fatigué (hérésie !).

Bref, bref, plutôt que de tergiverser plus longtemps sur la question, il est sans doute temps qu’il fasse ce pourquoi il est payé, pas vrai ? Jughead est ici parce qu’il a des livres à acheter, et si Regulus peut l’éclairer de ses lanternes, il le fera bien évidemment. Il est là pour ça, après tout. Il le fait pas toujours de gaieté de cœur et avec beaucoup d’enthousiasme, ça ne l’empêche pas de bien connaître son travail, et de le faire du mieux possible.

« L’époque médiévale est devenue une notion encore plus vaste qu’elle ne l’était d’où je viens. Elle rencontre de nombreuses interprétations et de nombreux sens en fonction de l’endroit d’où l’on provient soi-même. Mais je devrais trouver de quoi faire pour vous malgré tout. Quel siècle vous intéresserait ? Plutôt fin ou début moyen-âge ? Sur quelle zone géographique ? On a rentré quelques ouvrages sur la chanson de geste et les récits épiques du XIVe siècle, si ça vous intéresse. »


Quand il retrouve son rôle de libraire, Regulus peut se montrer particulièrement efficace et professionnel. Il n’est pas commerçant, le rapport client n’est pas son fort, mais en revanche, il connaît très bien son domaine, on peut dire qu’il le maîtrise sur le bout des doigts. Et il est toujours plus à l’aise quand il s’attarde sur ce dernier plutôt que sur ce qui, autrement, le tourmente.

Et dernièrement, ce n’est certainement pas les raisons d’être perturbé qui lui manquent. Raison de plus pour se focaliser sur tout autre chose et ne surtout pas revenir constamment sur ce qui commence à prendre trop de place dans sa vie et lui fait vraiment, vraiment peur. Dans tous les cas, il n’y échappera pas, il le sait bien, il le sait pertinemment, même. Mais ici et maintenant, il peut ne pas y penser et s’efforcer d’être le meilleur libraire possible. Pour Regulus, qui a toujours voulu être le meilleur en tout, c’est nécessaire.



Codage par Libella sur Graphiorum
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