J'avais établi mon domaine non pas dans les cieux nuageux mais dans les cimes de gratte-ciels, régnant avec une main ferme sur un empire corporatif sans égal. Mon bureau, situé au dernier étage d'une tour impressionnante, dominait la ville avec une vue qui semblait défier le firmament lui-même.
Ce jour-là, comme tous les autres, je contemplais mon royaume urbain alors que la lumière du crépuscule enveloppait le monde de ses doigts dorés. Les mortels, petits pions dans mon jeu divin, s'étaient éparpillés dans leurs foyers, laissant derrière eux le silence des halls vidés. Seule Daphné, mon assistante dévouée, restait, s'affairant parmi les papiers et les murmures des machines qui ne dormaient jamais.
Soudain, le grondement tranquille de cette routine bien huilée fut interrompu. Un homme, dont le visage ne me disait rien et l'aura révélait un mélange de détermination et de mystère, pénétra dans le sanctuaire de mon pouvoir. Daphné, toujours protectrice de mon temps comme Cerbère l'était des portes de l'Hadès, tenta de le dissuader. « Monsieur est très occupé, et ne reçoit que sur rendez-vous », dit-elle avec une fermeté polie mais inébranlable. L'homme, cependant, ne semblait pas prêt à reculer si aisément. Il répliqua que c’était important, et sa voix me sembla porter un écho de commandement, ce qui ne m’était pas inconnu.
Curieux de cet intrus qui osait ainsi défier les usages du monde des affaires, je décidai d'intervenir. « Laissez-le entrer, Daphné. Quelqu'un qui cherche à me voir avec tant de ferveur a sûrement une raison valable. » Ma voix, imprégnée du tonnerre lointain, fit sursauter légèrement mon assistante, qui s'empressa d'obéir.
L'homme s'approcha alors de mon bureau, chaque pas mesuré résonnant sur le marbre comme le destin qui se déroule. Il se tenait là, robuste, les yeux brillants d'une intensité qui me rappelait les héros de jadis. Ma mémoire, nourrie des épopées et des drames des âges, ne reconnaissait pas cet homme. N'était-il point un héros oublié des chroniques, un nouveau bellérophon prêt à défier l'ordre établi? Non, ce n'était pas possible, et pourtant...
« Prenez place, je vous écoute. » Il m’aurait été facile de déterminer l’identité de cet homme en usant de mes pouvoirs, mais je n’aimais guère abuser de cela. Il y avait dans ce monde des choses qui amenaient la politesse et le respect au rang de magie, en un sens, aussi préférais-je faire usage de ces méthodes humaines. « Votre regard m’est familier. »
...
(c) princessecapricieuse
Heracles Alexikakos
▿ Ton univers : L'illiade et l'Odyssée
▿ Date de naissance : 25/01/1992
▿ Age : 32
▿ Métier : Coach sportif
▿ Quartier : Lookwood Hll
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Immortel
▿ Régénération
▿ Force Surhumaine
▿ Pointes de flèches trempées dans le sang de l'hydre
▿ Pseudo : Trinty
▿ Avatar : Christian Hogue
▿ Copyright : Prettygirlavatars / Em (gif)
▿ Disponibilités rp : Open
▿ Autre(s) compte(s) : Integra hellsing - Doctor Twelve - May Parker- Nicholas Saint North - Sarabi Rock
▿ Messages : 1365
▿ Points : 4940
▿ Date d'inscription : 28/01/2023
Dim 9 Juin - 16:24
Here you are at last
Tes pas te portaient vers ce grand building qui s’élevait au loin sur Baker street avenue. Tu avais enfin toutes les cartes en main pour aller à SA rencontre. Ta rencontre avec ton oncle Hadès, avant sa mystérieuse disparition, t’avait fait énormément douter. Il avait semé les graines de la méfiance dans ton esprit et l’amnésie complète de ta vie passée avait servi d’engrais pour les faire germer même si tu l’avais trouvé fourbe et trop pressé de faire passer son frère pour le méchant de l’histoire. Jour après jour, ces idées n’avaient pas quitté ton esprit et tu avais tout mis en œuvre pour tenter de cerner qui était ton géniteur et si tu devais lui accorder ta confiance ou si tu devais aller avoir à le combattre.
Tu avais fait effectuer des recherches tant sur sa vie personnelle que professionnelles et tu avais passé de nombreuses heures horribles, assis sur les chaises inconfortables de la bibliothèque, la pire expérience de ta vie soit dite en passant. Armé de toutes ses informations, tu tenais à te faire ta propre opinion maintenant et voir si ton intuition, concernant ton oncle, allait se concrétiser. Arrivée devant la Thunderbold holding, tu passes la porte d’un pas, la tête haute et tu t’adresses à la femme qui défend l’entrée tel un dragon et qui t’annonces que son patron ne reçoit que sur rendez-vous. Tu poses tes mains bien a plat sur le bureau, fixe avec assurance le regard du cerbère derrière son bureau et appui chaque mot qui sorte de ta bouche pour lui montrer ta détermination.
« C’est important. Je dois absolument le voir. Je ne partirais pas d’ici sans l’avoir vu. Et s’il faut que je campe ici, je le ferai. Alors prenez votre téléphone et appelez le. »
La voix qui résonne et rebondit sur les murs du hall d’entrée te tire un sourire, mais fait sursauter la dragonne. Sans un regard pour la fameuse Daphnée, tu marches d’un pas sûr et confiant vers le bureau d’où sors cette voix semblable à un coup de tonnerre. Tu t’assois sans un mot dans le fauteuil face à lui et prends le temps de l’observer sans te cacher. Tu comprends ce que Selina et toutes les femmes lui trouvent. Il a un charme certains malgré son âge et une assurance hors pair. Cette assurance et cette confiance en lui que tu retrouves chez toi et qui prouve bien votre lien de parenté.
« J’aurais aimé dire la même chose, mais je n’ai que peu de souvenir de ma vie d’avant, mais je pense que mon regard vous fait penser à celui que vous croisez chaque matin dans votre miroir Père. » Fait tu en appuyant sur le dernier mot. « Car une chose dont je suis certain est que je suis votre fils. Enfin, l’un de vos nombreux fils. Celui que votre femme déteste plus que tout. »
Tu ne sais pas si elle est ici, mais tu ne crains plus Héra. Tu n’es plus ce jeune demi-dieu qui luttait pour sa survie depuis sa plus tendre enfance et tu seras prêt à lui montrer si elle avait le malheur de vouloir tenter de te tuer à nouveau
Dans les bureaux de sa société de holding, Zeus, maître des cieux et des entreprises, se tenait immobile, ses yeux perçants fixés sur l'homme assis en face de lui. La révélation d'Heracles, affirmant être son fils, résonna dans l'air comme un écho lointain. Le dieu, maintenant vêtu d'un costume impeccablement taillé, ressentit un mélange de fierté et de défi. Dans le monde moderne, Zeus avait troqué sa toge divine pour les vêtements des mortels. Il n'avait jamais abandonné son essence divine, mais il avait appris à jouer le jeu des humains, à manipuler les fils de la destinée depuis les hauteurs de sa tour corporative. Il inclina légèrement la tête, son regard s'adoucissant un instant avant de reprendre cette lueur d'acier.
« Mon fils… » Celui qu’Héra détestait le plus, celui qui, donc, portait en partie son nom pour l’apaiser quelque peu… « Heracles. » Sa voix tonna, vibrante de puissance et de gravité. « Le temps et l'oubli n'ont pas terni ta détermination. Si ta mémoire est fragmentée, sache que ton cœur reste fidèle à la bravoure de notre lignée. »
Zeus se leva de son siège, son mouvement fluide et empreint d'une majesté naturelle. Il fit le tour de son bureau, ses pas résonnant sur le marbre froid. La silhouette imposante de l'homme-dieu semblait projeter une ombre sur le monde entier. « Héra, ma reine, a toujours été... farouchement protectrice de son royaume, et parfois de manière excessive. » Il soupira, un souffle qui semblait émaner des profondeurs mêmes du mont Olympe. « Elle voit en toi un rappel constant de mes errements, mais cela ne change rien à la vérité de ta naissance. »
Il s'arrêta devant une grande fenêtre, contemplant la ville en contrebas. La lumière du crépuscule baignait les gratte-ciels d'une lueur dorée, comme si les cieux eux-mêmes rendaient hommage au dieu parmi les hommes. « La mémoire est une chose étrange, Heracles. Les souvenirs peuvent être effacés, mais les vérités essentielles, les liens de sang et de destin, demeurent. Je te reconnais comme mon fils, et je ne te laisserai pas errer dans l'ombre de l'incertitude. »
Zeus se tourna de nouveau vers Heracles, ses yeux perçant le jeune homme comme pour sonder son âme. « Dis-moi, que cherches-tu ici, maintenant ? Veux-tu des réponses sur ton passé ou cherches-tu à forger un futur différent de celui que les dieux ont tracé pour toi ? » Il tendit une main puissante, un geste à la fois d'invitation et de défi. « Quelle que soit ta quête, sache que je suis ici, prêt à t'aider, si tu es réellement mon fils.» La présence de Zeus était écrasante, son aura divine enveloppant la pièce. Il savait que ce moment était crucial, non seulement pour Heracles mais pour lui-même. En ce monde moderne, les enjeux étaient différents, mais la quête de pouvoir, de respect et de vérité restait la même. Si cet homme était bien le fils de Zeus, il était évident que le PDG de Thunderbolt holding allait faire en sorte de jouer son rôle de père… mais s’il s’agissait d’un traître, envoyé par un autre traître, disons Hadès, peut-être, alors la fureur de Zeus détrônerait tous les tonnerres de l’univers, ce qui n’était pas rien, bien évidemment. Pour l’heure, les yeux d’Heracles étaient une preuve que Zeus avait une certaine familiarité avec lui. Les liens du sang étaient possibles, il y avait de nombreuses chances que ce soit le cas, mais sans certitude, le roi des dieux ne pouvait que se dire qu’il y avait aussi la probabilité qu’il s’agisse d’une arnaque pour lui soutirer de l’argent.
...
(c) princessecapricieuse
Heracles Alexikakos
▿ Ton univers : L'illiade et l'Odyssée
▿ Date de naissance : 25/01/1992
▿ Age : 32
▿ Métier : Coach sportif
▿ Quartier : Lookwood Hll
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Immortel
▿ Régénération
▿ Force Surhumaine
▿ Pointes de flèches trempées dans le sang de l'hydre
▿ Pseudo : Trinty
▿ Avatar : Christian Hogue
▿ Copyright : Prettygirlavatars / Em (gif)
▿ Disponibilités rp : Open
▿ Autre(s) compte(s) : Integra hellsing - Doctor Twelve - May Parker- Nicholas Saint North - Sarabi Rock
▿ Messages : 1365
▿ Points : 4940
▿ Date d'inscription : 28/01/2023
Sam 20 Juil - 18:38
Here you are at last
Tu ne cilles pas sous le regard perçant qu’il porte sur toi. Tu restes nonchalamment assis dans le fauteuil, ton regard accroché au sien comme dans une sorte de défi. Si l’homme face à toi est bien ton père, tu sais qu’en aucun cas, il ne baisserait pas les yeux face à toi et tu en feras de même, refusant de t’abaisser devant lui. Il est le maître des cieux, un dieu à part entière, alors que toi, tu as n’as eu ce titre que sur la fin de ta vie, mais ta fierté est bien plus forte que ta raison et tu continues de le défier du regard. Vous semblez si diffèrent et pourtant si semblable. Lui dans son costume, sûrement sur mesure, la barbe bien taillée face à toi, ton jean troué, ton tee-shirt blanc qui met en valeur tes muscles et tes nombreux tatouages et votre volonté commune d’être pris au sérieux et de dominer la conversation.
« Lui-même »
Tu ébauche un sourire quand il te fait un compliment. Il sait qu’il ne pouvait pas faire mieux que de te complimenter sur ta bravoure pour te faire baisser ta garde un instant. Ton orgueil et ta fierté peuvent être des avantages, mais aussi une de tes faiblesses, car tu aimes que l’on reconnaisse tes talents.
« Excessive est un mot bien faible pour la qualifier »
Et pour qualifier ce qu’elle t’a fait subir tout au long de ton ancienne vie.
« Dois-je encore me méfier de son courroux ou devrais-je me réjouir de savoir qu’elle n’a pas rejoint cette île en même temps que nous, car je sais que tu n’as pas arrêté tes errances comme tu les nommes ? J’ai eu la chance de rencontrer l’une d’elles. Une magnifique femme chat qui parle de toi en terme élogieux »
Et avec qui tu as partagé un beau moment sur la plage en tentant de lui faire oublier le moment passé entre les bras de Zeus. Tu es passé de manière naturelle au tutoiement en miroir de l’attitude de ton père. Tu croises tes jambes lentement quand son regard quitte la magnifique vue sur la ville que tu aperçois au loin à travers la fenêtre, et qu'il vient le reposer sur toi.
« J’ai perdu la mémoire en arrivant ici. J’ai longuement recherché mon passé, et cela, de nombreuses manières. J’ai rencontré ton cher frère Hadès qui a fait le récit de mon histoire, mais à sa manière. »
Comme tu l’as compris plus tard.
« Je ne sais pas ce qui fait que je ne me rappelle pas et je me battrais pour comprendre, mais le passé reste le passé. Je suis ici pour voir l’avenir. Pour retrouver une famille. Mais avant tout cela, je me dois d’être sûr que c’est aussi ce que tu souhaites.»
Car s’il a décidé de changer complétement de vie, tu feras avec et tu t’adapteras.
« Si je suis vraiment ton fils ? Comment pourrais je te démontrer cela ? Vas-tu toi aussi me faire faire subir des épreuves pour prouver qui je suis ? »
Dans les bureaux baignant dans la lumière dorée du crépuscule, je fixai Heracles, reconnaissant dans ses yeux le reflet de ma propre détermination. Je ne voyais pas un simple mortel, mais un héritier digne de notre lignée divine. L’ombre d’Héra planait toujours sur nous, mais ici, dans ce monde moderne, ses colères semblaient bien lointaines et sans grande portée.
Heracles, dans son jean troué et son tee-shirt blanc, dégageait une énergie brute, presque sauvage, contrastant avec l’élégance sophistiquée dont je faisais preuve. Pourtant, nous partagio cette aura indéniable de puissance et de fierté. Mon compliment avait temporairement adouci le jeune homme, mais la méfiance et la détermination subsistaient dans son regard. Je laissai mon regard s’attarder sur Heracles, cherchant à déceler la vérité derrière son attitude provocante. Son sourire, bien que légèrement arrogant, révélait une part de lui-même qu'il tentait de masquer : une vulnérabilité née de l'incertitude de sa propre identité. Ses paroles résonnaient en moi, rappelant les errances passées, les amours éphémères et les colères inextinguibles d’Héra. « Héra… » soupirai-je, son nom vibrant d’une résonance ancienne. « Elle a toujours eu un don pour la cruauté, surtout envers ceux qui rappellent mes erreurs. Mais ici, dans ce monde, son pouvoir est limité. » Mon regard se perdit un instant dans le lointain, contemplant les gratte-ciels dorés par le soleil couchant. « Quant à mes errances, elles sont ce qu'elles sont. L'histoire d'un homme qui, malgré ses fautes, cherche à comprendre et à rectifier. »
Je revins à lui, mes yeux brillant d’une intensité divine. « Cette femme-chat… Je me souviens d'elle. Une rencontre marquée par la passion et le désir de comprendre les mystères de ce monde moderne. Mais sache ceci, Heracles, mes errances ne définissent pas mon essence. Elles sont des chapitres d’une histoire plus vaste, celle de notre lignée. » Cette femme était venue pour me cambrioler, nous avions fini par nous unir charnellement. Je l’avais même laissée s’en aller en emportant quelques joyaux que les mortels trouvent précieux.
« Heracles, » dis-je d’une voix vibrante de l’autorité et de la tendresse d’un père. « Les épreuves du passé appartiennent à une autre époque. Nous ne sommes plus sur les rives de l'Alphée, ni au pied de l’Olympe. Ce monde exige d'autres formes de courage et de résilience. »
Je fis un pas vers lui, mes yeux cherchant les siens avec une intensité brûlante. « Tu es venu chercher des réponses, et non des défis supplémentaires. Je vois en toi le même feu qui brûle en moi, cette volonté de fer que rien ne peut briser. » Mon regard se fit plus doux, empreint d’une émotion sincère. « Je n'ai pas besoin de te mettre à l'épreuve pour savoir que tu es mon fils. Le simple fait que tu te tiens ici, face à moi, avec cette détermination, est une preuve suffisante. »
Je me tournai vers la grande fenêtre, contemplant la ville en contrebas, ses lumières scintillantes comme un reflet moderne des étoiles de l’Olympe. « Notre avenir, Heracles, ne se forge pas dans la souffrance des épreuves, mais dans l’union de nos forces et de nos volontés. Ensemble, nous pouvons accomplir bien plus que séparément. »
Je me retournai vers lui, mes yeux brillant d’une lueur d’espoir et de conviction. « La famille reste une valeur sûre et primordiale à travers les âges. En arrivant ici, Zeus lui-même, qui se tient devant toi, s’est retrouvé dans la position d’un humain, pauvre mortel, sans pouvoirs, sans puissance… Un Zeus mortel parmi les mortels… et se retrouver dans ces circonstances en ayant sa mémoire, ce fut pour lui une épreuve bien difficile. Mais depuis son arrivée, Zeus a eu l’occasion de retrouver quelques personnes de la famille, quelques liens forts qui lui ont donné l’envie de renouer avec ces liens du passé… » Cette partie de ma vie me semblait à présent si lointaine que j’en avais une vision presqu’extérieure. « Hadès, Artémis, Poséidon, Apollon et même Pan… Notre si beau panthéon n’est jamais très loin. » Je tendis une main ferme et résolue vers lui, un geste empli de promesses. « Je t’offre non pas des défis, mais une alliance. Une famille retrouvée. Ensemble, nous pouvons affronter ce monde moderne, avec ses propres batailles et victoires. » Puis j’ajoutais, d’un ton paternel : « Heracles, accepte cette main tendue non comme un défi, mais comme un lien. Un lien de sang, de destin et de pouvoir. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir digne de nos légendes. »
...
(c) princessecapricieuse
(753 mots)
Heracles Alexikakos
▿ Ton univers : L'illiade et l'Odyssée
▿ Date de naissance : 25/01/1992
▿ Age : 32
▿ Métier : Coach sportif
▿ Quartier : Lookwood Hll
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Immortel
▿ Régénération
▿ Force Surhumaine
▿ Pointes de flèches trempées dans le sang de l'hydre
▿ Pseudo : Trinty
▿ Avatar : Christian Hogue
▿ Copyright : Prettygirlavatars / Em (gif)
▿ Disponibilités rp : Open
▿ Autre(s) compte(s) : Integra hellsing - Doctor Twelve - May Parker- Nicholas Saint North - Sarabi Rock
▿ Messages : 1365
▿ Points : 4940
▿ Date d'inscription : 28/01/2023
Jeu 15 Aoû - 19:52
Here you are at last
Je ne cesse d’observer Zeus dans chacun de ses mouvements, dans sa manière d’être. J’analyse chaque mot, chaque attitude pour y puiser des souvenirs ou des lambeaux de cette vie qui m’a été enlevé sans que je n’en comprenne la raison. Je vois en lui, une part de moi. Une manière d’être qui ne m’es pas étrangère. Un peu comme si un coin de mon esprit voulait lever le voile sur cette partie de ma vie. Une nouvelle étape dans l’avancement de ma nouvelle vie maintenant que j’avais accepté de le rencontrer. J’avais mis du temps à me décider, ne sachant que croire après ma rencontre avec mon oncle, mais je ne regrettais pas d’avoir sauté enfin le pas.
Je ne cherche pas à me cacher de lui, je reste moi-même. Je fixe son regard sans sourciller, je ne baisserais jamais les yeux même pas devant le maître de l’olympe. Soit il me prend comme je suis, soit cette conversation sera la dernière. Savoir qu’Héra est présente, mais des pouvoirs limités me fait sourire. Ainsi, mon géniteur avait toujours sa femme à ses côtés, mais n’avait pas changé sa manière de faire, ni d’être. Une belle constance que j’admirais
« Je connais bien son amour du mal et qu’importe ce qui la motive. Elle reste ta femme, mais sache que si elle vient me tester, pouvoir ou pas, je ne la laisserais plus me manipuler comme elle l’a fait. Je ne suis plus cet enfant sans défense. Et ton attachement à elle...» Car je ne doute aucunement des sentiments qui l'animent « Cet amour que tu lui portes, ne m’empêcheras pas de l’affronter. Quant à tes escapades. Qui suis-je pour juger, moi qui passe de bras en bras pour le plaisir d’une heure ou d’une nuit ? »
Et je ne changerais cela pour rien au monde même pas pour Edwin.
« Si ces escapades sont une histoire de lignée. Voilà qui prouve bien que je suis ton fils. »
Ma réponse fuse au milieu dans un grand éclat de rire. Rire qui s’éteint face à ce regard pénétrant de mon père. Je suis étonné de la tendresse qui j’entends dans sa voix. Cette tendresse qui me manquait sans que je ne m'en aperçoive. J’accepte avec un sourire ce pacte de non-agression et de reconnaissance. Les mots sont inutiles entre vous à ce moment-là. Je sens comme une connexion entre nous qui se crée maintenant que vous avez mis à plat tous vos griefs.
« Nous le pouvions aussi avant, mais trop de choses nous séparer. J’’ose espère que ce nouveau monde ne nous séparera pas à nouveau. Je n’ai rien contre un travail en commun tant que nous restons unis et que tu tiennes ta femme loin de moi.»
Car si j’ai changé et que je veux bien croire qu’Héra soit quelque peu différente ici, je ne peux m’empêcher de me méfier d’elle. Je tends ma main vers la sienne après un moment d’hésitation. Acceptez de s’unir à lui, de retrouver une famille n’est ce pas ce que je suis venu chercher ? Ce pour quoi je fais tout pour retrouver ma mémoire ? Je ne sais pas ce que cet avenir commun me réserve, mais je trouve plus stratégique d’accepter plutôt que de regretter plus tard de ne pas l’avoir fait.
« Je veux bien tenter l’aventure familiale et voir ce que peux donner notre association. Je n’ai rencontré qu’Apollon à ce jour» En plus d’Hadès qui a disparu peu de temps après votre rencontre « Je passe ce deal avec toi, mais je ne peux pas m’avancer pour toutes ces personnes dont tu me parles et que je n’ai jamais vues. Je ne peux pas leur accorder ma confiance sans les connaître. Parle-moi d’eux et dis-moi quel est ce grand dessein auquel tu nous destines, que je sache ce que je vais combattre et dans quels buts. »
Je me levai de mon siège, laissant derrière moi la vue époustouflante de cette ville moderne, étendue à mes pieds tel un tapis scintillant d'or et de lumière. Chaque pas résonnait dans ce bureau spacieux, où le marbre froid du sol contrastait avec la chaleur de mes pensées. Heracles, mon fils, se tenait devant moi, le regard franc et perçant, comme s'il cherchait à travers moi une vérité qui lui échappait encore.
Je plongeai mon regard dans le sien, y cherchant l'étincelle divine qui, malgré les âges, malgré les épreuves, brûlait toujours avec une intensité renouvelée. « Heracles, » commençai-je d'une voix qui portait en elle le poids des millénaires, « tu as parcouru un long chemin pour en arriver ici, pour te tenir devant moi, ton père, non pas en suppliant mais en égal. Et cela, je le respecte. »
Je marquai une pause, laissant les mots se poser comme une brise avant l'orage. « Je sais que Héra, ma fidèle épouse, t'a causé bien des tourments. Son pouvoir, bien que diminué en cette époque moderne, reste une force avec laquelle il faut compter. Mais sois assuré, mon fils, que je ne permettrai plus qu'elle te traite comme autrefois. Je comprends ta méfiance, ton besoin de protéger ce que tu es devenu. »
Je m'approchai de lui, mes yeux brûlant d'une lueur déterminée. « Ce que tu viens de dire… cet attachement que j'ai pour elle, cette complexité que tu ressens… Tout cela est le reflet des dieux que nous sommes. Nous sommes capables de tant d'amour, mais aussi de tant de cruauté. Cette dualité, ce paradoxe, c'est ce qui nous définit, ce qui fait de nous ce que nous sommes. Mais, Heracles, ne laisse pas la méfiance guider chacun de tes pas. Je t'assure, ce monde a changé. Nous devons, nous aussi, évoluer, non pas pour nous plier à lui, mais pour le conquérir d'une manière différente. »
Je pris une inspiration profonde, sentant le poids de mes responsabilités, de ce que j'allais dire. « Tu demandes à connaître nos frères et sœurs, à comprendre quel est ce dessein qui nous réunit à nouveau. Sache que cette époque est une terre d'opportunités, un terrain fertile pour notre héritage. Hadès, Artémis, Apollon… Chacun a trouvé sa place, son domaine. Hadès, malgré sa disparition mystérieuse, demeure le maître des ombres. Artémis, elle, continue de veiller sur les espaces sauvages, même si ceux-ci sont désormais réduits à de simples parcs naturels. Quant à Apollon, sa lumière brille toujours à travers les arts, la musique, et la science moderne. »
Je m'arrêtai, observant l'effet de mes paroles sur Heracles. « Mais ce n'est pas seulement la famille qui nous lie. C'est cette force qui nous pousse à vouloir plus, à défier les limites imposées par ce monde. En nous réunissant, nous ne cherchons pas simplement à recréer ce que nous avons perdu, mais à forger quelque chose de nouveau, de plus grand encore. »
Je tendis à nouveau la main vers lui, cette fois avec une fermeté encore plus grande, un geste empreint de la certitude d'un dieu qui connaît son destin. « Ce que je te propose, Heracles, c'est de transcender les limites des simples mortels. Ce monde moderne a ses propres dieux : l'argent, le pouvoir, la technologie. Mais aucun d'eux ne pourra rivaliser avec ce que nous sommes capables de créer ensemble. »
Je fis une pause, laissant les mots s'ancrer dans l'esprit de mon fils. « Notre association n'est pas une simple alliance de sang, elle est une fusion de nos forces, de nos volontés. Tu veux comprendre ce que nous aurons à combattre ? Ce sera l'ignorance, la faiblesse, la peur. Ce monde moderne, bien qu'il semble éclatant et invincible, est en réalité fragile, vulnérable. Nous pouvons l'élever, le rendre digne de notre héritage divin. Mais pour cela, il nous faut être unis, être forts. »
Je fis un pas en arrière, croisant les bras, imposant ainsi une distance qui laissait à Heracles l'espace nécessaire pour réfléchir à ce que je venais de dire. « Ce que je te demande, ce n'est pas de faire confiance aveuglément à ceux que tu ne connais pas encore, mais de faire le premier pas vers eux, de les découvrir comme tu te découvres toi-même. Chaque dieu, chaque déesse a son rôle à jouer dans ce dessein plus grand. Et toi, Heracles, tu es le lien, le pont entre notre passé glorieux et ce futur incertain mais prometteur. »
Je laissai mon regard dériver à nouveau vers la ville en contrebas, ses lumières scintillantes rappelant les étoiles du firmament d'autrefois. « Si tu acceptes, nous commencerons par retrouver les autres, ceux qui, comme toi, cherchent leur place dans ce monde en perpétuelle évolution. Nous reformerons un panthéon, non pas pour dominer, mais pour guider, pour inspirer, pour montrer aux mortels ce que signifie réellement la puissance divine. »
Je me retournai enfin vers lui, mes yeux brûlant de cette lueur divine, de cette flamme qui jamais ne s'éteint. « Heracles, qu'en dis-tu ? Es-tu prêt à marcher à mes côtés, à explorer cette nouvelle ère, à affronter ensemble les défis qui nous attendent ? Ensemble, nous écrirons un nouveau chapitre de notre légende. Et ce chapitre, mon fils, pourrait bien être le plus grand de tous. »
J'attendis sa réponse, sentant que le moment était décisif. Chaque seconde qui passait nous rapprochait d'une nouvelle destinée, d'une ère où les dieux, jadis oubliés, allaient à nouveau marcher parmi les hommes, non plus en tyrans, mais en mentors, en protecteurs de ce monde qui, plus que jamais, avait besoin de notre lumière.
• • •
PRETTYGIRL
(939 mots)
Heracles Alexikakos
▿ Ton univers : L'illiade et l'Odyssée
▿ Date de naissance : 25/01/1992
▿ Age : 32
▿ Métier : Coach sportif
▿ Quartier : Lookwood Hll
▿ Côté cœur :
▿ Dons/capacités/pouvoirs :
▿ Immortel
▿ Régénération
▿ Force Surhumaine
▿ Pointes de flèches trempées dans le sang de l'hydre
▿ Pseudo : Trinty
▿ Avatar : Christian Hogue
▿ Copyright : Prettygirlavatars / Em (gif)
▿ Disponibilités rp : Open
▿ Autre(s) compte(s) : Integra hellsing - Doctor Twelve - May Parker- Nicholas Saint North - Sarabi Rock
▿ Messages : 1365
▿ Points : 4940
▿ Date d'inscription : 28/01/2023
Sam 12 Oct - 20:46
Here you are at last
Entendre qu’il me percevait comme un égal et qu’il respectait cette part de moi, qui s’affirmait face à lui, te fit bien plus plaisir que tu n’avais osé l’imaginer. Étais ce d’être enfin reconnu pour ta force, ton caractère, celui que tu étais devenu ou juste, car tu étais à la recherche d’une fierté paternelle ? Qu’importe. Tu comprenais et acceptais enfin, que ton choix de venir te présenter à lui était la bonne chose à faire. Malgré la fierté d’être reconnu par ton géniteur, tu n’avais pas marché tes mots en parlant de son épouse. Tu ne te cacherais pas derrière des non-dits et si tu devais accepter de te placer à ses côtés, tu le ferais en toute franchise même si cela devait faire chapeauter votre association. Tu pourrais réfléchir à certaines concessions, elles ne seraient jamais en faveur d’Héra. Au moindre faux pas de sa part, tu frapperais fort et tu seras sans pitié.
« Je prends cela comme une promesse Père et je saurais te la rappeler si elle décide de s’attaquer à moi. Je te promets de ne pas l’attaquer sans raison. Tu seras mis au courant avant que je ne m'en prenne à elle. Je te laisserais le pouvoir de la remettre dans le droit chemin, mais sache que ma patience n’a pas grandi dans ce monde. Je ne pourrais pas retenir mon courroux bien longtemps. » Entendre de la bouche du Roi de l’Olympe qu’il te considère toi aussi comme un dieu et non pas comme un bâtard, un demi-dieu, né de l’amour fugace entre ta mère humaine et celui qui te fais face, te fais gonfler la poitrine de fierté.
« Je comprends et j’entends ce que tu veux m’inculquer. J’ai tant d’amour à donner, mais aussi peu de patience comme je viens de te le dire. Je veux bien essayer de baisser ma garde comme tu me le demande, même si je trouve cela dangereux. Cette vie est peut-être différente de ce que nous avons vécu dans notre monde, mais j’ai besoin de le voir avant de l’accepter. »
Il est vrai qu’ici, tu as trouvé l’amour, un peu comme ton père avec Hera. Tu as trouvé l’homme qui arrivait à t’apaiser. Le seul qui te faisait sentir détendu a son contact. Alors tu voulais bien laisser une chance à cette nouvelle vie et a cette association pour conquérir ce nouveau monde. Tu l’écoutes sans broncher t’expliquer son plan pour ce nouveau pays. Il a cette facilité pour parler, captiver les foules. Tu comprends pourquoi tout le monde, tombe sous son charme. Tu te reconnais en lui. Non pas par cette aisance pour parler en public, tu es bien trop brut et sans filtre pour être un bon orateur. Non, tu te reconnais dans cette envie d’être reconnu, de te retrouver au sommet. Il te demande de mettre ta méfiance de côté et de donner une chance aux autres membres de la famille, c’est une concession que tu es prêt à faire. Pas à abattre toutes tes protections, mais à ouvrir une porte et voir comment cela va se passer. Cela serait faire preuve de lâcheté de tourner le dos à son offre et tu n'es pas un lâche. Même si tu te sens à part, par rapport à tes frères et sœurs. Ils semblent tous avoir trouvé leurs places dans cette société, alors que toi, tu te cherches encore. Mais peut être es tu à la porte de cette révélation et que ton association avec ton père fera la différence.
« Tu sais motiver tes troupes et tu n’es pas Zeus pour rien. Je veux croire en ton combat, et même si je ne peux te promettre de baisser complétement ma garde, j’accepte de faire un pas dans leur sens et de rencontrer cette fratrie qui est la mienne. Tu peux compter sur moi et tu as mon soutien. Ce monde a besoin de protecteur et qui mieux que nous pouvons l’être pour eux. Tu as su me convaincre en me disant que tu ne voulais pas dominer, mais accompagner, aider, inspirer. Mes poings et mes armes sont à ta disposition. À la disposition de ce panthéon que nous allons recréer ensemble. Côte à côte et non plus chacun de notre côté. Toi qui as le rôle de général d’armée. Comment penses-tu mettre en pratique ce beau discours ?»
Tu es homme d’action et pas de parole. Tu acceptes de le suivre, mais tu veux que ses paroles ne soient de belles idées en l’air, tu veux voir ce que cela représente concrètement.
Je pris un instant pour scruter ce fils puissant et farouche qui me faisait face, en quête d'une confirmation que mes paroles ne resteraient point de vains discours. Dans ce bureau aux reflets d'or, où la lumière déclinante enrobait chaque objet d'un éclat mystérieux, j'écoutais sa demande avec une gravité nouvelle, conscient que la promesse faite entre un père et son fils, surtout d'une trempe telle que la nôtre, se devait d'être forgée dans l'action et la vérité.
Je laissai échapper un léger sourire, reflet d'un sentiment profond que peu de mortels auraient pu deviner. «Tu veux de l’action, et tu veux la voir concrète, Heracles. Voilà qui me plaît ! Nous n’avons pas traversé les âges pour nous enliser dans des discours de salon ou des alliances fantomatiques. »
Je levai une main et désignai d’un geste ample la vaste vue sur la ville. « Ces humains, en bas, vivent dans un monde saturé de faux dieux. Ils vénèrent des entités de métal et de chiffres, persuadés que le pouvoir s’achète et se vend. Mais ils ignorent… oh, combien ils ignorent le véritable sens de la puissance. Ils tâtonnent dans une obscurité faite de doutes et d'illusions. Alors que nous… nous, Heracles, nous leur apprendrons à voir la lumière, la force, la vérité dans la grandeur d’âme et l’acier du corps. »
Je me tournai vers lui, la conviction brûlant dans mes yeux comme la foudre prête à frapper. « Voici ce que nous allons faire. Nous rassemblerons ceux de notre lignée – Apollon, Artémis, ceux qui demeurent encore éparpillés dans ce monde. Chacun d’eux a sa place, mais cette place doit être affirmée, dirigée, comme les piliers d'un temple dont les mortels auront besoin pour échapper à leur propre ruine. »
Je repris, d’une voix douce mais implacable : « Mais toi, Heracles, tu as un rôle particulier. Non seulement par ta force, qui est légendaire, mais aussi par ce lien direct que tu as toujours entretenu avec le monde des humains. Tu es celui qui marche parmi eux, qui comprend leur souffrance et leurs désirs. C’est toi qui seras notre émissaire sur le terrain. Les premières épreuves, celles que tu réclames, te seront réservées. Tu les mèneras à bien, avec moi à tes côtés, jusqu’à ce que notre nom redevienne une légende vivante. »
Je m’avançai de quelques pas, jusqu’à me tenir devant lui, dominant légèrement sa stature puissante. Ma main se posa avec une autorité naturelle sur son épaule. « Nous commencerons par nous imposer dans les cercles d'influence de ce monde moderne. Que ce soit dans les finances, la technologie, les arts, ou encore les sciences, nous ferons en sorte que le nom de Thunderbolt Holdings, et plus encore celui de Zeus et de sa lignée, devienne un synonyme de réussite et de respect. »
Un sourire calculateur s’étira sur mes lèvres. « Et pour te donner une première mission, puisque ton impatience te brûle, je t'enverrai trouver Apollon. Notre frère solaire a pris pour habitude d’influencer le monde à sa manière, naviguant entre les milieux artistiques et scientifiques. Son génie est indéniable, mais son goût pour l’excès peut le rendre imprudent. Tu le retrouveras, et tu lui rappelleras la grandeur de notre cause commune. Montre-lui que tu es digne du sang qui coule dans tes veines, et qu’il en est de même pour lui. »
Je reculai d’un pas, laissant à Heracles l’espace nécessaire pour digérer mes paroles, avant d’ajouter, d’une voix où vibrait une énergie aussi sauvage qu’indomptable : « Car oui, nous serons une famille unie dans le pouvoir, mais ce pouvoir ne s’obtient pas sans rigueur, ni sans sacrifices. Ces épreuves ne seront pas des coups du sort. Elles seront le ciment de notre alliance. C’est cela que je te propose, Heracles : non pas de vagues promesses, mais des conquêtes concrètes, des succès tangibles, bâtis avec la force de notre héritage et la détermination de nos âmes. »
Je croisai les bras, les yeux fixés sur lui avec une intensité divine. « Alors, mon fils, qu’en dis-tu ? Es-tu prêt à entamer cette première épreuve, à prouver, par l'action et non les mots, que tu es véritablement celui qui pourra marcher à mes côtés dans ce monde d'ombres et de lumières ? »
• • •
PRETTYGIRL
Contenu sponsorisé
Here you are at last || ft. Heracles Alexikakos
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum