▿ Ton univers : Je suis une partie de chaque univers existant en ce monde.
▿ Métier : Je vous ai amené ici, mon rôle est désormais de veiller sur vous, en quelque sorte.
▿ Côté cœur : J'aime à ma façon chaque membre de cette ville isolée. Je vous ai amené ici et je vous resterai fidèle.
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▿ Pseudo : Ran94, Halay et Christmastown.
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Ven 7 Mai 2021 - 23:42
Sujet aléatoire - Tarzan & Oksana
La nuit était tombée depuis peu sur la ville. Trois personnes arrivent au même endroit sans trop savoir pourquoi. Le lieu est désert, hormis quelques ruines qui traînent par-ci par-là, et semble sorti tout droit d'une autre époque : le futur. La végétation, tout autour d'eux, est différente, inquiétante. Mais ce n'est pas le pire.
Soudain, un épais brouillard orangé apparaît. Il semble étouffant, peut-être même est-il dangereux. Vous n'y voyez rien à un mètre, mais il faut se mettre à l'abri le plus vite possible. Chose qui semble compliquée puisqu'il ne semble y avoir aucun bâtiment aux alentours. Bonne chance !
⊹ Vous ignorez ce qui vous a poussé à vous rendre dans ce lieu. Vous y êtes arrivés un peu par hasard, selon le souhait de la ville. ⊹ Le brouillard envahit la zone très rapidement. Il recouvre tout. Vous n'y voyez rien.
Comment Villanelle a-t-elle atterri ici ? Elle n'en a pas la moindre idée. Ce dont elle est certaine, en revanche, c'est que l'endroit où son GPS a décidé de l'arrêter n'a absolument rien à voir avec le centre commercial promis, à la place, elle a l'impression de ne même plus se retrouver au même endroit. Elle a tenté, sur son téléphone, de se repérer sur le plan, mais rien à faire... On pourrait l'avoir téléportée dans une autre dimension que ça ne ferait pas une grande différence. Merveilleux ! Elle est ravie, vraiment ! Dans une heure, elle doit participer à l'inauguration d'une marque de prêt-à-porter, et comme c'est parti, l'événement se fera sans elle. Elle pousse un soupir, passe une main dans sa longue chevelure blonde tandis qu'elle s'efforce de comprendre et d'interpréter ce qui se trouve autour d'elle. Elle est certaine de n'avoir jamais les pieds en ces lieux. Et pour cause, si àa avait été le cas, elle s'en serait souvenue à coup sûr.
A l'horizon se perdent quantité de débris, restes d'une cité de verre et de métal, comme celles que l'on observe sur les illustrations d'utopies futuristes. Qu'est-ce que c'est que ce bordel, encore ? Est-ce qu'elle a atterri par mégarde dans un décor de film ? Dans ce cas, elle a peut-être intérêt à rester et à fouiner un peu. Qui sait si elle ne pourrait pas décrocher un petit rôle, ou même de la figuration, sur un malentendu. Jouer la comédie est une des rares choses en ce bas monde qui lui donne le sentiment d'exister, d'exprimer, de ressentir. C'est toujours par l'intermédiaire des alias qu'elle se crée, bien sûr, ce n'est jamais vraiment "réel", mais ce n'est jamais déplaisant, en revanche, et surtout, c'est le meilleur remède qu'elle connaisse à son ennui.
Elle fait quelques pas prudents, s'éloigne de la voiture, explore son environnement en oubliant pas de jeter l'œil en arrière de temps à autre pour s'assurer que son véhicule ne s'est pas fait la malle dans le processus (on n'est jamais trop prudent, pour le coup). Elle essaie de donner du sens à ce qu'elle trouve autour d'elle, et ce n'est pas gagné. Et ce n'est pas prêt de s'arranger.
La météo n'était pas au beau fixe, certes, le ciel gris et épais, mais rien n'explique pour autant cette brume épaisse et basse qui enveloppe l'espace, doucement mais sûrement. Mais le plus étrange, c'est la couleur de ce brouillard qui s'épaissit à vue d'oeil. D'un orange peu engageant. Bon, elle laisse tomber. Elle n'a pas signé pour ça. Elle n'a signé pour rien du tout, en fait. Elle va retourner à sa voiture.
Sauf qu'elle n'y voit plus à un mètre, à présent. La gorge lui gratte... Elle commence à avoir peine à respirer... Est-ce qu'elle fait une crise de panique ? Ce serait une première ! Ou bien il y a autre chose. Ce brouillard, qui l'étouffe. Merde. Elle tâtonne, en quête de son véhicule, mais ne sait même plus dans quelle direction se rendre. C'est à ce moment-là qu'il lui semble distinguer une silhouette, effacée dans la brume de plus en plus épaisse.
"Il y a quelqu'un ?"
Sa voix a porté fort et est rapidement étouffée par une quinte de toux. Bordel.
codage par LaxBilly.
Invité
Dim 13 Juin 2021 - 18:19
La super bonne idée de se perdre à cet endroit à une heure pareille, l ancien seigneur de la jungle n'avait rien d'autre à faire de son temps ? A l'évidence non, il trainait sa zone, était curieux de visiter ce lieu étrange. Il se situait non loin de la ville, avait un air futuriste: Un lieu désertique entouré d'une étrange végétation rempli de veilles ruines. A son habitude, Tarzan avait pris son poignard et quelques affaires de secours si jamais ça tournerait au vinaigre. Cette fois ci, il se força à marcher, à rester sur la terre ferme pour éviter tout accident problèmatique. Il n avait pas envie de revivre sa mauvaise expérience du soir avec la jeune femme Misa dans la grotte; C'était un jour horrible pour lui, son égo mal placé qui l avait bien punie cette fois là. En gros, il était mal tombé d un arbre, s'était gravement blessé la jambe - avait donc du mal a se déplacer- et avait eut la joie de devoir se battre contre un animal sauvage et dangereux. Quel plaisir, sérieusement le prince de la nature avait bien eut peur ce jour la même si ca ne lui avait aucunement retirer son désir d explorer des terres inconnues sans prendre de grandes mesures. La, le jeune homme aux cheveux d'or nourrissait sa légendaire curiosité en fouillant une ruine. Il y trouva pas grand chose cependant, juste des veilles pierres et des bouts de bois qui se battaient en duel. Il lâcha l affaire, la grosse planche qu il tenait entre les mains et décida d'aller voir ailleurs. Il aurait continuer ainsi pendant une heure ou deux si ce n'était le couché du soleil, la nuit commençait à tomber. Tarzan n allait plus rien n y voir d'ici une heure ou deux et le temps de retourner chez lui, c'était bel et bien le moment de rentrer. Toutefois, sur le chemin, le prince de la nature se vit couper dans son élan, surpris par un étrange brouillard orange. Celui-ci était apparu de nulle part, il l aurait vu arrivé autrement, pris étrangement vite possession des lieux. Le problème ? il était très épais, même pour la vision du cœur sauvage, et lui donnait cette impression d’étouffement. L’homme singe mit par réflexe sa main devant son visage, ferma un peu ses yeux, tentait d avancer ainsi. Il espérait trouvé une issue or à la place il tomba sur une jeune femme qui semblait tout aussi perdue que lui.
« Je suis Tarzan, moi aussi je crois que je me suis perdu. »
La première chose à faire était de la rassurer, de se faire bien voir, ce que l ancien seigneur de la jungle fit avec un petit sourire sur les lèvres. Il fallait penser à la suite or il avait aucune idée pour le moment du comment ils allaient pouvoir se sortit de cette situation critique.
« avez-vous une voiture ou un moyen de joindre quelqu un ? »
Lui n’avait ni l un ni l autre, et oui il avait encore oublié son portable chez lui
Invité
Lun 14 Juin 2021 - 17:12
Sujet aléatoire
Villanelle ne sait pas si elle doit se sentir totalement rassurée ou non quand elle entend une voix masculine répondre à sa question. Oui, la jeune femme préfère ne pas se retrouver seule dans ce bourbier, mais alors qu'elle se voit presque incapable d'y voir à plus d'un mètre, et alors qu'elle n'a pas la moindre idée de quel genre d'individu peut avoir pour habitude de fréquenter ses lieux, elle fait le choix de ne pas se sentir spécialement soulagée. Ceci dit, elle se rassure comme elle le peut. Elle était la tueuse la plus douée qui ait jamais officié pour les Douze, une sociopathe et une machine de guerre, elle n'a pas grand-chose à redouter de grand-monde. Si ce n'est peut-être de cette fichue fumée orange qui commencerait doucement mais sûrement à l'asphixier.
Une chance quand on rencontre toutes les peines du monde à éprouver la moindre émotion, elle n'est pas prise de panique, elle serait davantage... curieuse. Elle n'a pas envie de mourir, certes, elle tient à la vie, mais elle n'éprouve pas cette peur viscérale de la mort qui la ferait passer en mode panique. Non, elle reste résolument calme au regard des circonstances, tandis qu'elle tente d'orienter ses pas en direction de la voix de l'homme, qui se fait de plus en plus proche. Soit ils parviendront à mieux s'en sortir à deux, soit ils seront deux glands perdus dans un marasme orange, va savoir. Au moins, l'homme paraît avoir quelques idées, qui ne sont pas les plus absurdes. "J'essaie de rejoindre ma voiture depuis tout à l'heure", lui répond Villanelle, qui de son côté omet de se présenter. En même temps, la situation n'invite pas forcément à une discussion des plus courtoises, quoi qu'il en soit. Ils ont bien mieux à faire, l'un comme l'autre, que de tailler le bout de gras, alors autant y aller franchement, à ce stade. "Et évidemment, j'ai laissé mon portable à l'intérieur..."
En même temps, même si elle avait son téléphone, elle n'est pas sûre qu'elle serait capable de ne serait-ce que distinguer son écran dans cette satanée purée de pois... A tous les coups, d'ailleurs, même s'il avait été techniquement possible de contacter quelqu'un, elle est prête à parier que ça n'aurait pas fonctionné, parce que pour une raison X ou Y, il n'y aurait pas eu de réseau ou bien son téléphone serait miraculeusement tombé en panne. C'est le genre de choses auxquelles on finit par s'habituer, à force, quand on a roulé sa bosse depuis plus de deux ans dans cette ville comme c'est leur cas à tous ici. Rien ne se passe ainsi qu'ils le voudraient, jamais. Et encore moins dans ce genre de circonstances. Nouvelle quinte de toux pour Villanelle. "Il faudrait réussir à voir au-dessus de la couche de brouillard. Je monte sur vos épaules, ça vous va ?" suggère-t-elle comme si c'était la chose la plus naturelle du monde à proposer à ce type qu'elle vient de rencontrer et dont elle ne sait même pas à quoi il ressemble, qui pourrait très bien être un psychopathe comme elle, dans le fond.[/size]
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