Je roule, je roule, je roule et je déboule ma poule. Nique les poulets, j’en fais mon petit-déjeuner, fils de jardiniers.
Allez tous vous faire enculer, enfants de salopes remplies de foutres. Vos mères sont les plus grosses mégères de l’univers, avec la bouche pleines de glaires des enfers.
Même Satan ne voudrait pas d’elles dans leurs terres, encore moins portant un string de guerre.
Quelles bandes de vermines sans âme ainsi que pitoyable. En compagnie de ma Bugatti, j’enfreins cette putain de loi de salope.
J’emmerde les règles de la société, qu’elles aillent toutes se faire rincer le derrière avec du sperme de taureau en décomposition.
En avant la chanson anti-contrefaçon, anti-constitution et ant-ifloraison.
C’est moi qui mène le chemin, fifrelins consanguins.
Que vos pantins de parrains, finissent à terre comme des chiens.
Seuls les plus forts, survivront au temps des morts.
Mange tes morts fils d’Ygor, le roi des dinosaures.
À qui il manque des neurones, autant que de la libido de dirlo.
Nique ta mère, la fille de la boulangère, tu serais beaucoup mieux à la guerre.
Sinon c’est moi qui t’enterre, pauvre tâche sans valeur.
Je vais t’apprendre la mort, face d’herpès vénéneuse.
L’écart se creuse entre moi et mes dix doigts de bosseuse.
Arrête de faire la ténébreuse ou je te plante la perceuse dans les poumons, face de fion immonde.
Aujourd’hui c’est moi qui fais la loi, ferme là toi, qui pense être au-dessus de moi : c’est bien moi qui tiens le volant : je vais te faire klaxonner d'un coup, miniminou.
Fais voir ta boîte à camembert, que je l’entartre encore plus qu’elle ne l’est déjà, face de rat.
Avale ta dose mortelle, pour finir condamnée à perpétuité comme ces enfoirés, qui ont décidé de raser l’humanité.
Je peux encore continuer toute la journée à t’insulter, sale fumier.
Pendant que je m’amuse à rouler à 300 KM à l’heure, un coq semble rôder dans les parages, alors je roule encore plus vite rien que pour l’emmerder. On va voir ce que ça va donner petit enculé.