L'Arrestation Du Diable

**Invité**

Présentement, j'ai un gros dossier pour la journée, je dois arrêter un certain Lucifer Morningstar. Apparemment c'est un gros calibre dans le domaine. Ce fumier aurait décapité chacun de ses rivaux. Et aurait offert en guise d'avertissement la tête de ses victimes à ses ennemis.

De plus, il aurait cambriolés un millier de foyers en prenant soin de trancher la gorge de chaque père et mère de famille, en écrivant leurs noms sur les murs et devant leurs gosses. C'est abominable, je vais en profiter pour lui glisser deux trois coups dans la mâchoire pour le calmer, le boss m'y a autorisé.

En temps normal, j'suis quelqu'un qui prône la bienveillance, mais pas avec ce genre d'individu tordu. Qu'il aille en enfer, ce Lucifer !

Bon pas le temps de se poser, j'sais où il bosse cet enfoiré. Dans une usine de fabrications de jouets. Manque plus qu'il ait un passif, avec les mômes ...

On a de sacrés dépravés dans ce monde, pas mieux que ceux qu'on avaient dans le mien.

Ce qui compte c'est qu'ils soient coffrés et mis hors d'état de nuire, voir isolés de tous.

Qu'on entende plus parler de ces merdes infames.

En parlant de crotte, de la pire espèce pour être polie, je suis juste devant son usine de détraqué.

Et j'vais aller l'arrêter à ma manière.

- Bonjour, vous êtes bien Monsieur Lucifer Morningstar ? Vous êtes en état d'arrestation, pour de multiples homicides dont des décapitations envers d'autres criminels et des homicides volontaires sur des civils au cours de très nombreux cambriolages. Tu vas le payer sale ordure, c'est moi qui vais m'occuper de ton cas au commissariat, tous mes collègues sont en congés excepté mon boss.

En prenant le temps de lui détailler ses péchés, je le menotte sèchement tout en l'emmenant avec moi dans le véhicule de police.

- J'en ai vu des ordures comme toi dans mon parcours, mais tu es la pire d'entre toutes et t'attends pas à ce que je te ménage pendant ta garde à vue. Tu mérites bien pire qu'une simple prison de haute sécurité à perpétuité fils de pute.

Jettes-tu brièvement un coup d'œil au diable que tu as à l'arrière.

▿ Date de naissance : 01/01/1983

L'Arrestation Du Diable

L’orgueil est une fleur qui croît dans le jardin du diable.

Cela aurait pu être une journée calme, Lucifer n’avait pas de commande en cours… Pas quelque chose donc il s’occupe en particulier en tout cas. Il aurait bien sûr prendre une commande au pif, c’est ce qu’il aurait probablement fait ces cinq dernières années. Mais là, non, il voulait simplement en profité pour souffler un peu et, à la grande surprise de ses anciens employés, s’occuper des papiers de l’entrepris sans qu’on ait eut besoin de le lui répéter des dizaines de fois. Passé un moment, le blond repoussa la pile de papier, il avait mal à la tête, ressentait un certain besoin de sucre, mais au moins, ça c’était fait – et il avait tout pu classer, décidément, ses employés ne le reconnaissait plus -. Il s’étira et quitta son bureau dans l’objectif de se dégourdir un peu les jambes. Cela aurait pu être une vraiment bonne journée où l’ancien souverain des enfers arrivait à passé outre sa dépression…

Mais tout avait mal tourné. Il était dans la fabrique en elle-même quand la porte s’ouvrit à la volée… Hein ? Voilà maintenant un agent qui lui demandait de confirmer son identité, il pensa une seconde que ce puisse être lié à l’effraction, bien que cela avait semblé être réglé. Mais il n’eut que le temps d’ouvrir la bouche que l’autre continuait à parler. Hein ? Comment ça en état d’arrestation ? Les yeux de l’homme s’agrandir alors qu’il était complètement éberluée par la situation. Des homicides ? Des décapitations ? Sérieusement ? Des cambriolages ?

« Pardon ? »

Il était trop sur ébahit par l’incongruité de la situation pour se débattre contre la paire de menotte qui se refermèrent autour de ses poignets. Hein ? Non, mais, il n’allait pas commettre des meurtres alors qu’il avait toujours reprocher aux Pêcheurs. Ce qui s’en rapprochait le plus aurait été les Extermination, mais ce n’était pas lui qui tuait... Quand au vol… C’était adhérant, il n’en avait jamais eut besoin, même quand il était arrivé sans ressources dans ce monde, il avait eut ses talents d’artisanat. Si il avait ses pouvoirs, cela ne se passerait pas comme ça. Sans ses capacités, il n’avait clairement pas la carrure pour lutter contre lui. Pourtant, quand il commença à l’entraîner vers la voiture de police, Lucifer fit alors ce qu’il pouvait pour ne pas se faire entraîner, cherchant littéralement à planter ses talons dans le sol - ce qu’il n’était pas capable de faire bien sûr – juste pour ne pas se laisser faire avec cette… face ? Machination ? Il n’en savait encor rien.

« Vous devez faire erreur sur la personne ! »

Il n’eut pas l’occasion de poursuivre. Bien, il n’allait donc pas avoir le choix, hein ? En tout cas, celui là allait clairement entendre parler de lui ! Et le voilà qui le traitait d’ordure, vraiment très pro ce flic, la colère monta de plus en plus dans le coeur de Lucifer. Non seulement on le diffamait, mais en plus on l’humiliait. Malgré la fureur qui brillait dans son regard, l’ange déchu ne se répartissait pas d’une certaine noblesse.

« Je vous ait dit que vous faite erreur et croyez moi, je compte bien vous faire payer ce traitement, quel est votre matricule. »

Il ne savait pas si il pouvait vraiment faire quoi que ce soit, mais dès que cela serait régler, il irait consulter ses… contact qui s’y connaissait probablement mieux que lui et il comptait bien se venger pour que son Orgueil soit ainsi piétiné. Si il avait été celui qu’il était encore cinq ans plus tôt, il aurait été sous sa forme démoniaque et cet idiot aurait regretter amèrement. La surprise ne lui avait pas permit de se débattre et là, à l’arrière de cette voiture, ce n’était pas comme si il pouvait faire grand-chose… Son téléphone peut-être ? Il pensa à Lilith, mais avait un peu honte de l’appeler dans cette situation… Stolas ? Il lui avait déjà été d’une grande aide… mais pourrait il le faire dans cette situation. Hum… Il allait tenter de se débrouiller seul pour le moment.

Arya

**Invité**

Quelle abomination ce type, il mériterait clairement de finir avec les ordures de la poubelle du restaurant du coin.

- C'est ce que tu vas demander au seigneur, quand tu te retrouveras dans le couloir de la mort enfoiré

Là où il mérite d'aller sans aucun problème. Chaque type dans son genre, n'ont pas à être épargnés, par la gentillesse d'une quelconque autorité.

On répond à l'injustice par l'injustice et dans le cas inverse à de la bonté par de la bonté rien d'autre, la loi de cause à effet : l'on reçoit en retour ce qu'on a planté.

Si l'on plante de mauvaises graines dans nos pensées, elles seront multipliées à l'avenir mais rien de mauvais ne peut arriver avec de mauvaises pensées.

- Tu connais beaucoup de Lucifer sur Terre ? À ma connaissance il n'existence qu'un seul diable et c'est bien toi, pauvre tâche.

Qu'il croupisse en enfer, dans un premier temps sur terre et puis aux enfers.

- Comment penses-tu pouvoir te venger par quels moyens qu'il soit ? Sachant que tu seras isolé à perpétuité, sans possibilité de pouvoir contacter qui que ce soit ?

Après quelques minutes de route, infernale, nous arrivons près du commissariat.

Rapidement, je l'attrape par la chevelure, l'emmenant dans la salle d'interrogatoire avec une chaise des plus minables.

Par la suite, je rejoins mon chef, qui me détaille la suite de l'affaire.

Et à contrecœur je lui emmène un café, sous les directions du Chef.

- Alors, elle n'était pas trop longue, l'éternelle attente ? Bon, monsieur le diable en personne, j'ai pas l'habitude d'interroger des criminels. En réalité, mon métier est d'arrêter des sous merdes comme toi et de les livrer à la police, alors tu devras te contenter de quelques coups dans la figure et un peu d'interragoitaroire à ma manière.

Ensuite, je dispose des photos de nombreux crimes qu'il a commis et qu'il reconnaitra sans doute.

- Cela t'excite sale tordu, d'égorger les parents de pauvres enfants qui sont maintenant orphelins ? Et dis moi, qu'est-ce qui t'a poussé à commettre ces atrocités ? De la psychopathie en puissance ou simplement de l'ennui et de la frustration d'un dépravé en devenir ? Et pourquoi t'être donné du mal à écrire leurs noms sur les murs ? Pourquoi avoir fais tout ça ? Je te préviens si tu parles pas, je vais devoir employer la manière forte et c'est pas mon patron qui s'en souciera.

▿ Date de naissance : 01/01/1983

L'Arrestation Du Diable

L’orgueil est une fleur qui croît dans le jardin du diable.

Lucifer tiqua quand l’homme parla de demander quelque chose au seigneur et il se crispa. Le Seigneur, il écoutait encore moins que le Paradis, lui parler ne changerait rien, il le savait probablement mieux que quiconque et cela l’irrita encore un peu plus. Le poing de l’homme se serra violemment. Décidément, il avait une sainte horreur de ce que les humain faisaient de ce libre arbitre qu’ils avaient grâce à lui. Il lui avait fait par de son erreur et il lui avait alors demander si il connaissait plusieurs Lucifer sur telle, ajoutant qu’à sa connaissant, il n’y avait que lui. Le blond roula alors des yeux. Non, mais quel idiot. Il savait même qu’il n’était pas le seul, après tout, il avait cherché sa femme et sa fille, il avait aussi chercher Stolas. Il le fixa alors à travers le rétroviseur brûlant de fureur. Puis, il repris la parole, sa voix vibrant de colère :

« Vous êtes mal renseigner, il suffit d’ouvrir le bottin pour voir que je ne suis même pas le seul Lucifer Morningstar dans cette ville ! Ou peut-être êtes vus trop feignant pour bosser vos dossier. »

Le regard de l’Ange Déchu brûlait de rage. Heureusement pour lui que Lucifer n’avait pas tout ses pouvoir et peut-être aussi qu’il n’ait pas eut l’esprit suffisamment clair pour l’empêcher de lui passer les menottes. Bien qu’il semblait maintenant chercher à s’en débarrasser. Cela commençait à devenir très irritant. L’Enfer, il connaissait, il le dirigeait. La solitude, c’était son quotidien depuis douze ans… a une période prêt. Cependant, quand il lui parla d’être isolé à perpétuité et sans pouvoir contacter qui que ce soit. La colère de Lucifer monta encor d’un cran alors qu’il lâchait froidement :

« C’est ça votre sens de la justice, refuser les droits les plus élémentaires en plus de faire la plus grosse connerie de votre vie ? Après tout j’ai droit à au moins un appel que je sache. »

Il ne changerait pas d’avis, hein, il resterait sur ses pensés fausses. Comment allait-il expliquer cela à Lilith ? Bien sûr, elle le connaissait et pourrait clamer son innocence, mais le blond doutait que même ça l’autre le crois. Lucifer continua de s’abîmer les poignets avec le métal quand la voiture s’immobilisa. L’autre l’attrapa par les cheveux et le trimballa en dehors de la voiture et dans le commissariat. Il avait envie de tout brûler, les flics dans cette ville n’étaient ils donc que des incapables ! Quoi que, au moins, la femme avait fait un minimum son taff. Ses dents grincèrent à force qu’ils les serre. Il fut pour ainsi dire jeter sur une chaise das une salle d’interrogatoire et la colère brûlait en lui, le consumant de sa chaleur.

Il resta seul quelques temps, mais cela faisait longtemps que la solitude ne lui faisait plus peur, pareil pour la douleur… Cela faisait partie de sa vie. Finalement, l’Imbécile – c’est ainsi qu’il le voyait maintenant – revint avec du café… C’était une blague ? Il commençait à en avoir assez. Et le voilà qui continuait avec ses menaces et qui parlait de faire appel à la violence. Il mit des photos au sol et l’homme y jeta à peine un regard. Il déglutit et détourna les yeux, ne tenant pas vraiment à voir ça. Mais voilà encore que l’autre parlait d’utiliser la manière fort eet Lucifer craque, se levant pour frapper la table de ses mains encore menotter – vu sa taille cela n’était pas très impressionnant -, puis, il recommença :

« Quand allez vous comprendre ? Je. N’ai. Jamais. Vu. Ces. Personnes. Ce. N’est. Pas. Moi. Qui. Ai. Commis. Ces. Horreur ! »

Il était dégoûter par la situation. Il voulait juste pouvoir rentrer chez lui et que cette histoire se finisse, juste pouvoir avoir la clef de ses menottes et… machinalement, il avait légèrement bouger le poignet en pensant à ça et, dans un petit bruit métallique, une clef était apparu devant lui, sur la table sous le regard interloquer du roi des Enfer. Est-ce que cette clef pouvait ouvrir les menottes ? Est-ce que cela voulait dire que certaines de ses capacité revenaient ? Un sursaut d’Orgueil. Ainsi, il n’était pas complètement sans défense. Sans laisser le temps à l’homme de comprendre, il tendit la main et s’empara du petit objet métallique qui lui permis en effet de se débarrasser des menottes. Ah, cela faisait du bien.

« Écoutez, je ne comprend pas pourquoi vous vous acharnez et parlez de violence… A moins que vous ne souhaitiez des aveu sous la contrainte… Oui… En fait, ce qui vous intéresse c’est d’avoir un coupable, peu importe qu’il soit le véritable coupable ou pas. Mais je n’avouerais pas des calomnies. On m’accuse de vol, à quoi bon si je peux avoir ce que je veux, comme cette clef ? »

Non, cette fois, loi où pas, il n’allait pas se laisser faire, il ne le laisserait pas le toucher. Les flics n’étaient pas mieux que les Cieux. Pleins de règles, trop de règles et ils ne les respectaient pas eux-mêmes.

Arya

**Invité**

- Ferme là, sale tordu, c’est moi qui cause ici. Depuis quand le diable possède des doublons ? C’est ça prend moi pour un con, même le roi des cons et tu finiras avec une seule dent dans la mâchoire.

Je ne m’étais jamais autant mis en rogne de toute ma vie, j’ai toujours prêché la bonté et la bienveillance mais comment peut-on rester serein avec un tel individu ?

Sa tête va finir dans son cul, s’il continue à me répondre de la sorte.

- Les monstres comme toi, devraient même pas avoir le droit à la parole, alors le fait que tu puisses au moins être nourri et blanchi soit la meilleure chose qu’il puisse t’arriver.

Adviendra qui pourra sale rat.

- Toutes les preuves sont contre toi, sombre merde. Je devrais plutôt t’épargner mon discours et te laisser à mon boss, qui est encore moins clément. On a retrouvé ton adn sur les lieux du crime, des vidéos de toi filmées par les vidéos de surveillance, comment peux-tu rétorquer, que tu n’es pas fautif ?

J’vais le passer à tabac, ce malfrat des enfers, il comprendra ce que ça fait de souffrir dans sa vie.

- Je veux que tu avoues que tu as commis tous ces péchés, rien ne peut te sauver, absolument rien. Tu me traites de quoi là ? Tu penses vraiment que je violenter un innocent pour me sentir bien dans mes baskets ? Mais quelle taré es-tu ? Tu vas me dire que tu es le sosie de ce tueur en série ? Et puis quoi encore ? Tu n’auras rien absolument rien à part te prendre des coups de poings. Tu veux pas parler ? Ok …

Aussitôt je commence les choses sérieuses, en l’attaquant de front, on ne m'a pas formé dans la dentelle.

J’ouvre le bal par une première droite dans la mâchoire. Il va le payer ce connard pour toutes les atrocités qu’il a commis.

▿ Date de naissance : 01/01/1983

L'Arrestation Du Diable

L’orgueil est une fleur qui croît dans le jardin du diable.

La patience de l’Ange Déchu était mise à rude épreuve. Il voulait bien jouer le jeu de ce nouveau monde, mais ces calomnie et cette violence, c’était trop pour lui et il n’était pas sûr de pouvoir garder son calme bien longtemps. Il se contenta de claqué la langue irrité ;

« Depuis que nous venons tous d’endroit différent probablement. Et je commence à me demander si ce qualificatif ne vous sied pas en effet. »

Une colère, froide et sourde. Les poings – maintenant libres – serrés, il semblait à deux doigts de lui envoyé une droite bien senti… Mais il n’était clairement pas aussi costaud que lui sans ses capacité. Cela ne ferait donc qu’empirer son cas. Il se contentait donc de rester droit comme un I tremblant de rage. Il continuait de l’insulter et de l’énerver. Qu’il sache, ce n’était pas dans les droit des forces de l’ordre d’agir ainsi et, encore une fois, il se promis de le lui faire payer d’une façon ou d’une autre. Et ça continuait. On avait trouver son ADN sur les lieux du crimes ? Hein ? Mais comment auraient ils pu le savoir ? On ne lui avait jamais prélever son ADN. Tout ça lui semblait de plus en plus être de la connerie.

« Si il y a vraiment une vidéo, je demande à la voir. Puisque ça ne peut tout simplement pas être moi qui y figure. Je le répète encore une fois. »

Avait-il soufflé entre ses dents, commençant clairement à perdre patience comme le montrait son point qui se serrait et se désertaient encore et encore. Il ne voulait pas l’écouter, pour changer, il restait sur ses points de vue, faux. Et quand il plongea sur lui pour le frapper, l’Ange Déchu fut soulager d’avoir des capacités de combat suffisante pour lui échapper – sa taille aidant aussi quelque peu d’ailleurs – mais il voulait juste mettre de la distance entre eux deux et il y eux comme un déclic une sensation qu’il n’avait pas ressentit depuis qu’il vivait ici. Ses ailes jaillirent dans son dos, heurtant son agresseur qui se trouvait encore trop près à son goût. Sauf qu’il y avait autre chose pour le distraire, ses ailes. Il les regardait comme un gamin qui découvrirai ses cadeaux au pieds du sapin.

Oui, sa colère était sacrément retombée, deux de ses anciens dons, ce n’était pas peu et cela le réconfortait un peu, Un air enfantin passa sur ses traits, juste quelques instants de plus avant qu’il n’étende ses ailes, tentant de se faire plus menaçant qu’il ne pouvait l’être dans ces circonstance. Voilà qu’il devenait plus sur de lui, une petite poussée d’Orgueil supplémentaire, cela ne faisait pas de mal. Son regard noir se posa encore une fois sur l’homme qu’il comptait bien tenir à distance avec ses ailes.

« Je commence à être fatigué de votre petit manège… Alors soit vous passer cette vidéo et vous constatez que vous avez de la merde dans les yeux et que vous vous êtes planté. Soit vous continuer de vous acharner dans vos connerie et – que vous le vouliez ou non – je contacte ma femme et je peux vous assurer que je me débrouillerait pour signaler le moindre écart à la loi que vous ayez pu faire et que vous regretterez d’avoir croiser ma route. »

Une menace, oui, mais il restait toujours droit comme un I, entouré des ses ailes. Et soyons honnête, même avec elle, il était difficile de le trouver vraiment inquiétant, ce qui n’en rendait les accusation qu’encore plus ridicules à son goût.

Arya

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