Kiss or kill, i did not choose [PV Haarlep Mephisto]

Face à l'église dans laquelle Haarlep organisait ses messes un peu particulières, Penny fronça le nez. Lorsqu'elle avait entendu parler de lui pour la première fois, elle avait cru qu'il s'agissait d'un démon et elle n'était toujours pas complètement sûre que ce ne soit pas le cas, mais il avait réussi à la convaincre de ne pas le vaincre pour le moment. Il fallait reconnaître que s'il ne servait pas spécifiquement le bien, il était difficile de le qualifier d'être dangereux. Il aimait le pouvoir et on ne pouvait pas dire qu'il se prive de chercher des adeptes pour l'obtenir. Mais elle avait pu constater qu'il ne forçait personne à le suivre et que pour un arnaqueur, il ne ruinait pas vraiment ses victimes.

Elle avait la conviction qu'il ne refusait pas une petite aide financière de ses fidèles de temps en temps, mais même pour un gourou de secte ordinaire sans le côté entité divine, il était plutôt soft en ce qui concernait la manipulation mentale. En fait, il semblait même avoir certaines exigences concernant la façon dont ses adeptes décidaient de lui rendre hommage. Il semblait falloir que ça leur apporte quelque chose. Quelque part, aussi limité que ce soit en ce qui concernait le potentiel machiavélique, cela permettait d'apporter un peu de réconfort à des gens qui en avaient réellement besoin et qui avaient réellement envie que ça se présente de cette façon là.

Au fond, Penny voyait un peu plus chez lui les choses qu'il pouvait apporter à d'autres que celles qu’il leur prenait et c'était la raison pour laquelle elle lui rendait régulièrement visite, même si une part d'elle-même se disait que c'était pour surveiller qu'il ne se mette pas à dévier vers des activités moins respectueuse de ses adeptes. La vérité, c'était qu'elle savait qu'il ne dévierait pas de sa ligne de conduite, et elle le trouvait plus intéressant que menaçant, ce qui expliquait qu'elle lui porte assez d'intérêt pour lui rendre visite. Elle entra dans l'église vide à cette heure de la journée, mais elle savait qu'il était quelque part à faire elle ne savait pas trop quoi de spirituel.

« Hey, le bouc sacré ? T'es dans le coin ? C'est la débouqueteuse qui passe ! »

Penny aimait bien la façon dont Haarlep lui répondait sur le même ton qu'elle. Il y avait quelque chose de particulièrement agréable à se chamailler avec quelqu'un qui acceptait cette rixe. Elle n'était pas sûre que l'individu le comprenne mais sa façon de ce chamailler avec lui n'était pas vraiment la même qu’avec tout le monde. Et si elle pouvait le faire, c'était qu'elle ne le considérait plus vraiment comme un ennemi, même si elle n'était pas tout à fait sûre de pouvoir réellement le voir comme un allié. Qu'il ait compris ou pas le degré avec lequel ils étaient proches, cela viendrait à coup sûr.
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« Oh tu sais, ça ne marche que pour les églises qui pratiquent la magie blanche. Et je n'ai jamais été très fan des églises, en général. Cela dit, je dois admettre que la tienne en jette. Tu as du goût pour un vieux bouc. »

Elle ne mentait pas en disant cela. Ce n'est pas qu'elle soit fan de quelque chose qui ressemblait à un château diabolique, mais l'architecture et la façon donc avait été aménagé l'intérieur, c’étaient des choses qui démontraient à quel point son interlocuteur avait justement du goût, même s'il avait le mauvais goût de tourner davantage du côté des forces du mal. En tout cas, c'était ce qu'elle croyait, parce que ce n'était pas l'exacte vérité. La vérité, c'était qu'elle ne comprenait pas l'objectif pas si malveillant quoiqu'un peu sectaire de l'organisation de cet homme, ce qui en faisait un ami ennemi. Cela dit, c'était objectivement le cas de à peu près tout les hommes.

Haarlep avait cet étrange pouvoir de pouvoir passer d'un corps masculin à un corps féminin. C'était un spectacle assez impressionnant auquel elle avait déjà assisté mais qui ne manquait pas de la fasciner à chaque fois. En plus, elle la trouvait plutôt mignonne en fille, même si elle ne pouvait pas être sûre que la sagesse féminine lui soit offerte en même temps. Même dans ses pensées, elle le taclait ou la taclait. C'était vraiment impressionnant de se dire qu'il n'y avait pas un moment où elle n'entretenait pas cette fausse rivalité, ce qui signifiait très probablement qu'elle représentait beaucoup plus pour elle que ce qu'elle voulait bien dire.

« Rassure-moi, t'as pas l'intention de me tripoter si je te dis que tu m'as manqué aussi ? Cela dit, ça me gênerait moins dans cette tenue. Tu t'es vachement améliorée d'un seul coup, c'est impressionnant. »

Si au début, elle voulait lui chercher des noises, si elle se demandait toujours s'il ne préparait pas un coup bas, elle trouvait finalement plutôt amusant de joujouter avec lui de cette façon. C’était un peu surprenant quand on considérait le fait qu’elle était d'une nature à vouloir ne jamais pardonner tout ce qui ressemblait à quelque chose de maléfique. Mais la vérité, c'était qu'à bien y réfléchir et à tout considéré, Haarlep ne lui semblait plus si maléfique depuis bien longtemps. Ce n'était pas un ange, loin de là, mais elle non plus ne l'était pas. Et il ne tuait personne.

« Madame Vieux Bouc ? » lança-t-elle, dubitative. « Je ne suis pas sûre que ça sonne assez élégamment pour quelqu'un de ton degré. Et s'il y a une vieille chèvre ici, que ce serait plutôt moi. Non, il faudra que je trouve un autre nom pour la femme que tu voudrais être. Peut-être Lady Cornée, pourquoi pas. »

Le taquiner sur la féminité en lui n'était pas moins plaisant au moment où il se transforma en une charmante demoiselle. Elle en serait réduite à le taquiner sur cette forme là, mais ce n'était pas une chose désagréable pour autant. En fait, la seule chose qui pouvait être désagréable dans toute cette histoire, ça ce ne serait qu'un déplorable manque de sens de l'humour, ce que ni l'un ni l'autre ne pouvait ce reprocher d'avoir. Il lui mentionna qu'elle n'était pas si irrésistible que ça lorsqu'elle parla de se faire tripoter et elle fit alors une grimace.

« S’il y avait besoin d'être sexy pour se faire tripoter, ça se saurait. Pour la plupart des satyres avinés, le fait d'avoir un vagin nous prédispose naturellement à ce genre de petites attentions disgracieuses. Fort heureusement, homme ou femme, tu es suffisamment distinguée pour t'épargner ce genre de comportement déplaisant. Cela dit, tu ne me feras pas croire que tu n'as jamais été tenté de déplacer ton petit véhicule pour aller se frotter à ceux des autres. Je peux admettre que ce soit le cas de certaines personnes, mais j'ai de gros doutes en ce qui te concerne. »

Il lui demanda son aide et elle le regarda d'un air intrigué. Le sérieux dont il faisait preuve à ce moment-là ne semblait avoir rien de commun avec la façon dont il parlait un instant auparavant et qui paraissait avoir un rien de malice. Il lui tendit une tenture qu'il voulait apparemment exposer dans son entrée et sur laquelle il y avait un texte. Elle ne fit d'abord pas ce qu'il avait demandé, fronçant les sourcils devant ce texte dont elle lut les détails. Elle ne s'était jamais intéressée de près au culte que cet homme défendait, partant du principe qu'une secte était forcément mauvaise, mais encore fallait il argumenter sur le fait que cet endroit soit une véritable secte. Ce n'était pas qu'elle ne l'ait pas cru sincèrement, mais elle avait pu se tromper, ce qu'elle n'admettrait de toute façon jamais devant lui.

« C'est ta doctrine ? » demanda-t-elle avec un rien de curiosité en l'aidant à l'étendre afin qu'il puisse l'observer comme il en avait exprimé l'envie.

Apparemment, le surnom que Penny avait trouvé a la nouvelle forme de Haarlep ne convenait pas à celui-ci. Ou en l'occurrence, à celle-ci actuellement, puisque voilà qu'il s'était transformé en femme. Elle aimait bien cette faculté qui lui donnait le sentiment que sa personnalité pouvait s'enrichir de ces différents aspects. Même si elle s'amusait à prétendre qu'elle ne l'aimait pas et qu'elle le prenait pour un démon diabolique, c'était loin d'être la vérité. Elle commençait surtout à estimer qu'il pourrait devenir un bon ami.

« Si tel est votre volonté, très chère, qui suis-je pour m'y opposer. »

Bien entendu, il ne pouvait s'empêcher de la provoquer sur le chapitre de la sexualité. Ce n'était pas nouveau qu'il se taquinait sur tout ce qui pouvait être désagréable pour le genre humain. Mais en réalité, il en fallait beaucoup pour que les sujets abordés gênent l'un ou l'autre. Encore une chose qu'ils avaient en commun. Elle fronça les sourcils, avant de s'écrier d'un ton faussement choqué en réponse à sa remarque désagréable, malgré le fait qu'elle ne s'en sentait pas réellement offensée.

« Comment pourrais-tu le savoir ? Tu as été vérifier peut-être ? »

Si c'était la première fois qu'elle se faisait traiter de gourgandine, ses petites-filles n'avaient jamais manqué de lui faire des remarques sur le nombre de maris qu'elle avait eu. D'après ce qu'elle avait cru comprendre, c'était quelque chose qui était une plaisanterie coutumière dans la famille Halliwell. Visiblement, Haarlep avait eu le mot, ce qui la fit sourire malicieusement. Elle n'était pas du genre à sauter sur tout ce qui bougeait. Elle avait peut-être eu beaucoup d'époux mais elle n'était pas si frivole que ça.

« Pour être honnête avec toi, j'ai éprouvé beaucoup de plaisir en compagnie de différentes personnes. Mais nous étions toujours mariés. Nous ne sommes simplement pas restés. Ce sont des choses qui arrivent. »

Elle se rendait bien compte qu'elle n'avait jamais pensé à lui demander les détails de ce qui se passait pendant ces fameuses réunions dont elle avait toujours supposé maladroitement que c’étaient des genres de sabbats, impliquant tout un tas de choses interdites. Elle n'aurait jamais pensé que les conseils qu'il pouvait donner soient aussi éclairés et bienveillants. Elle ne pensait plus vraiment qu'il soit malveillant, en réalité, mais tout cela était d'une extrême sagesse qu'elle n'avait pas compris qu'il possédait à la base. Ça ne voulait pas forcément dire qu'elle allait le reconnaître. Penny Halliwell n'était pas forcément très doué pour reconnaître ses erreurs.

« A cet endroit, ça me semble parfait, sauf que tes adeptes ne pourront pas lire ce qui est écrit au plus haut. Ça dépend si c'est très important, ou si tu as de grands adeptes. S'ils sont grands tu peux bien tout placer comme tu veux. S'ils sont petits, il vaut mieux placer à hauteur d'œil, même si ce serait très beau vu de loin. En tout cas, tu m'as l'air de donner de sacrés bons conseils. C'est pas gourou que tu aurais dû faire, mais psy, tu aurais aidé un max de gens. »

Une chose qui était vraiment très importante aux yeux de Penny, c'était cette façon que Haarlep avait de considérer le consentement comme une chose essentielle à toute relation sociale. La notion de succube et d'incube impliquait généralement que l'être en question était de nature démoniaque, mais elle avait appris qu'avec lui, les choses pouvaient être plus compliquées. Il avait certes une nature démoniaque, mais ça ne l'empêchait pas d'être une victime dans son histoire de base et de ne pas chercher pour autant affaire du mal à des innocents. Elle n'aurait pu avoir aucune pitié s'il l'avait fait.

Elle ne pouvait pas forcément dire qu'elle se doutait qu'il affirmerait refuser de vérifier la nature de son intimité dans son consentement, mais elle savait bien que ce serait le cas, qu’il l'affirme haut et fort ou pas. C’était une des choses qui commençait à lui faire douter qu'elle doive véritablement le combattre, même si elle avait encore du mal à dissocier démons et ennemis dans sa tête. Mais sa façon de mentionner le côté un peu coquin de sa personnalité semblait convaincue et par ailleurs, dénuée de tout offense. Elle ne se sentait d'ailleurs pas offensée et elle alla même jusqu'à afficher un petit sourire mystérieux.

« Je dirais que je peux l'être, mais seulement sous certaines conditions, et certainement pas au point de m’amuser avec plusieurs personnes dans la même période. Mais tu n'as pas tout à fait tort », admit-elle, malgré tout.

Penny n'avait jamais vraiment compris pourquoi elle était populaire. Un certain nombre de personnes avait tendance à penser qu'elle était plutôt du genre à émasculer un homme plutôt qu'à coucher avec lui. Elle avait pourtant eu plusieurs maris et elle avait profité de chacun d'une manière des plus agréables. Elle reconnaissait tout de même qu’aucun d'entre eux n'avait pu rester très longtemps son époux, principalement parce qu'elle était clairement incapable d'oublier son premier mari et de le remplacer de façon durable, du moins, dans son monde d'origine.

« J'ai eu une brève, mais intense histoire avec une femme du nom de Minerva McGonagall. Je crois que cela aurait pu être bien plus, mais elle a soudainement disparu. Je tenais assez à elle pour prendre soin de la fillette qu'elle avait adoptée depuis sa disparition, mais je dois reconnaître que cet état fait selon lequel il y a un certain nombre de personnes qui disparaissent mystérieusement me laisse quelque peu préoccupée. »

Lorsque Haarlep voulut s'occuper de sa bannière à exposé, les échanges et les bavardages n'étaient plus de mise. Il avait sa façon de se concentrer et Penny savait bien qu'il ne fallait pas l'en empêcher alors elle préféra se porter à son secours plutôt que de chercher à acquérir son attention sur des sujets secondaires. Et puis, c'était normal d'aider un ami. Elle était néanmoins surprise par ce que la bannière annonçait comme un plan ou un projet qui ne correspondait absolument pas à l'idée qu'on se faisait d'un démon. Elle ne put s'empêcher de l'interroger à ce sujet.

Mais sa façon d'aider les autres ne ressemblait pas à la manière dont la plupart des gens le prévoyaient. Il était évident qu'il ne se sentait pas à l'aise avec la façon de faire ordinaire et elle était persuadée qu'il était vraiment important qu'il fasse les choses à sa manière car c'était encore la façon la plus prometteuse de venir en aide à quelqu'un. Aussi se plongea-t-elle dans une profonde réflexion en l'entendant commenter ce qu'il préférerait faire et en se disant qu'elle n'avait pas la moindre idée de la façon dont elle devrait s'y prendre pour l'aider à réaliser ce souhait. Il n'était pas facile de faire comprendre à quelqu'un qui avait un problème la nature de celui-ci et de le faire accepter de se faire aider.

« A la base de la pyramide… c'est intéressant, sauf que je n'ai pas la moindre idée de ce qui se trouve à la base de cette pyramide. Si quelqu'un ne sait pas qu'il a un problème, comment l'amener à le découvrir sans être proche de lui et sans avoir auparavant reçu la moindre information à son sujet ? C'est un sacré défi que tu t'imposes là. Je ne dis pas que tu ne peux pas y arriver mais je ne vois pas du tout le chemin à emprunter, même pas un tout petit peu. Tu as des idées ? »

Penny ne faisait absolument aucune difficulté pour exprimer ce qu'elle pensait à l'égard du genre de choses que constituait les relations avec un autre être humain. Mais il s'agissait simplement de ce qu'elle en pensait, elle. Elle n'avait pas pour habitude de juger les autres sur leur comportement sexuel. Ou alors, c'était pour dire à ses filles qu'il valait mieux ne pas accorder trop d'importance aux hommes. Mais elle n'allait certainement pas dire ça a son vieux comparse, qui n'avait pas pour lui-même l'avantage d'être de sexe féminin, du moins, pas tout le temps. Elle lui sourit malicieusement.

« Ca te plairait bien, n'est ce pas ? Mais non, je n'ai rien à redire là-dessus. Chacun fait bien ce qu'il veut, ce n'est juste pas ce que moi, je préfère. J'aime bien me focaliser sur mon seul partenaire. »

Ce n'était pas vraiment réjouissant de se dire qu'il avait passé beaucoup de temps avec des gens qui n'avaient pas assez d'importance pour qu'il se rende compte de s'ils étaient encore là ou pas. Mais lui n’en avait pas l'air triste et elle ne savait pas si elle avait le droit de se sentir triste pour lui. Après tout, lui-même n'avait pas l'air de l'être. Peut-être que c'était finalement une façon de vivre et qu'elle n'avait qu'à le respecter. Elle avait toujours pensé qu'il n'y avait pas d'amitié facilement faisables sans un respect mutuel des façons d'être de chacun.

« A vrai dire, je n'ai remarqué que peu de disparitions jusqu'à présent. Mais il y avait une personne qui m'était chère, Minnie justement et également ma fille Prue. C'est pour ça que je m’en suis rendu compte. Mais du coup, j'ai pris en charge la fillette que Minnie avait adoptée et que je considérais déjà comme de ma famille. »

Qu’il soit homme ou qu'elle soit femme, Penny avait remarqué que c'était quelqu’un qui aimait à philosopher, en particulier sur la nature des gens. Penny devait bien reconnaître que la plupart des gens à problèmes ne le manifestaient pas généralement facilement. Ils ne le reconnaissaient pas et il fallait parfois les pousser pour qu'ils se fassent aider. D'un autre côté, elle était convaincue qu'il était sincère en disant qu'il fallait trouver le moyen de leur venir en aide. À sa manière, il les attirait sûrement dans quelque chose d'agréable dans l'espoir d'ouvrir un peu une coquille bien trop fermée.

Cela pouvait être mal perçu et accentuer le côté un peu démoniaque de Harleep. Mais plus elle le fréquentait, ou la fréquentait en l'occurrence, plus Penny se rendait compte que le résultat qu'il voulait obtenir n'avait rien de malveillant, bien au contraire. Elle ne trouvait pas ça si étrange de se dévouer aux autres, mais elle n'aurait jamais pensé que quelqu'un le ferait de cette manière. Si c'était une manière assez curieuse de procéder, elle ne voyait pas pour quelles raisons il faudrait le lui reprocher alors que ça ne faisait de mal à personne, et que cela pouvait même aider un certain nombre de gens.

« Je ne sais pas si tout le monde est trop coincé. Mais je peux te dire que la plupart des gens le sont. Malgré tout, je suis à peu près sûre que la plupart des gens ne veulent pas rester en souffrance. La question qui se pose et surtout de savoir s'ils sont capables de prendre les mesures qui s'imposent. Personnellement, je n'en suis pas sûre. Mais je reste persuadée que si tel est le cas, tu leur offres un moyen créatif de détecter leurs problèmes et d'essayer d'y pallier. C’est quand même important, je pense. Je n'aime pas ce titre de collectionneuse de maris. Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas aussi collectionner les femmes », acheva-t-elle avec un clin d'œil coquin.