Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHow Deep Is Your Love
AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  



 


DANS CE PETIT TABLEAU, TU TROUVERAS TOUS LES LIENS UTILES QUAND TU ES EN TRAIN DE RP.
▿ N'oubliez pas de recenser
vos personnages dans le bottin des personnages


— VOIR LE RÉPERTOIRE DES PERSONNAGES A-H & I-P & Q-Z

How Deep Is Your Love

Aller en bas
Anonymous

Invité



Sam 3 Fév - 22:38

Avant d’enfin pouvoir te retrouver, j’ai dû en enterrer des corps. Probablement une dizaine, probablement une centaine, qui sait. À vrai dire, j’ai perdu le compte, après toutes ces années sans toi.

C’était comme devoir traverser les enfers, continuellement. Sans pouvoir faire quoi que ce soit, hormis subir les châtiments de Satan.

Et même si cet endroit est indubitablement génial, je ne donnerais rien en échange pour pouvoir y retourner à nouveau.

Torturer en soit, ce n’est pas si mal, mais lorsqu’il s’agit de subir des sévices … Là c’est une toute autre histoire.

Des soirées j’en ai passées, en pensant à toi, à rêver de toi … Sans pouvoir retrouver à nouveau ton doux visage. Le même que j’ai embrassé ce qui pourrait ressembler à une éternité.

Jusqu’à récemment, l’éternité représentait toutes ces années, sans t’avoir à mes côtés.
En revanche, je n’ai cessé de te rechercher, absolument de tout par, au sein de cette gigantesque ville.

Au départ, c’était sans succès apparent, mais il se trouve qu’un jour : ce fut la bonne.
Du côté de la baie vitrée, je pouvais percevoir ta chevelure resplendissante d’une obscurité indescriptible.

Et puis tes yeux perçants, n’importe quel être humain sur cette planète, les mêmes qui ont transpercé mon coeur.

La première fois que j’ai posé mes yeux sur toi, j’ai immédiatement su : que je t’aimerais pour l’éternité.

Notamment quand j’ai découvert, qui tu est réellement au fond de ton être, je ne pouvais que éperdument tombé amoureux.

Grand timide que j’étais, je n’osais pas prendre les devants et tu l’as fais à ma place.

Donc je peux clairement dire, que j’ai eu beaucoup de chance. Dans le cas contraire, si t’étais une fille comme les autres, tu ne m’aurais jamais ne serait-ce que posé les iris sur ma personne effacée.

Et je t’en serais à jamais reconnaissant, d’avoir été la femme de ma vie, bien que notre histoire n’est pas encore finie. Je dirais même qu’elle est loin d’être terminée.

Nous avons tant à apprendre l’un de l’autre ainsi que de choses à accomplir. Tous deux, sommes en âge d’avoir à présent des enfants et de fonder une belle famille.

À tes côtés, je ne pourrais qu’être un meilleur homme, un homme plus créatif : plus fier, davantage ambitieux et authentique.
Et rien ni personne ne se mettra en travers de notre relation, je t’en fais la promesse.
Quelques années en arrière, je t’avais même fait la promesse d’être l’esclave de notre relation, quoi qu’il en coûte. Puisque je ferais assurément tout par amour ainsi que pour ton extraordinaire personne.

En ce moment même je t’observe comme un enfant en surpoids, devant une confiserie. Bon, c’est visible à des kilomètres, mais je ne peux m’en empêcher. Tu es d’une beauté rare ainsi que inégalable.

Néanmoins, après avoir passé des semaines à passer à seulement t’observer puis à discuter, je me devais de te retrouver bientôt à mes côtés. Et après t’'avoir saluée, je t’avoue la vérité.

<< Je t’ai menti, en réalité, je te connais. C’est moi Joel Glitcher, ton petit copain d'il y a quelques années. Je n’ai jamais cessé, d’essayer de te retrouver depuis qu’on est partit. Et je t’avouerai que je n’osais pas, te dire la vérité. C’était beaucoup plus simple de prétendre que je n’étais qu’un inconnu. Mais, cette période est révolue. Alors, je te propose qu’on se donne rendez-vous, ce soir : à la tombée de la nuit, au cimetière de la ville, je t’ai réservée une surprise. Histoire de rattraper le temps perdu. Qu’en dis-tu ? Enfin, si t’as pas autre chose de prévue, bien sûr >> Venant me masser la nuque tout en rougissant.

Afin que je puisse te reconquérir, une fois de plus et cette fois la dernière avant qu’on ne se remette ensemble pour la fin des temps.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité



Lun 5 Fév - 21:10

La noirceur était partout dans mon atelier. En faite c'était un peu comme la demeure des Addams : sinistre. Forcément je m'y sentais chez moi. La plupart des clients pensaient que c'était une idée révolutionnaire de l'artiste - allias moi - afin de faire le buzz et faire connaitre plus encore ce lieu avec un côté angoissant...ils avaient terriblement tord. Je me sentais juste bien mieux dans ce milieu ci, je me sentais un peu plus chez moi.

Je n'étais pas foncièrement malheureuse en ce moment car j'avais retrouvé mon père et l'espoir de revoir un jour le reste de ma famille. Les Addams me manquaient terriblement, même mes frères commençaient à me manquer, c'était pas peu dire. Un autre être humain me manquait aussi même si il n'était pas à proprement parlé un Addams. Joël. Ce garçon qui pouvait mourir à tout moment à cause de ses allergies avaient su faire naitre en moi un intérêt que je n'aurais pas crus possible. Il m'avait aidé pour fuir cet horrible camps de vacances pour jeunes et était finalement devenus un peu mon Gomez.  Mais comme tout les autres il avait disparut.

Chez les Addams une chose était sur , un couple c'était pour la vie. Pouvez vous imaginez Père avec quelqu'un d'autre que ma sublime mère ? Evidemment que non voyons ! Nous aimions très peu, alors quand l'on tombait amoureux c'était jusqu'à la mort...et au delà évidemment. Joël n'était plus et je ne comptais pas retomber un jour sous le charme d'un autre homme. D'ailleurs il faudrait que la mort soit proche de lui et...c'était presque impossible. Même ce tueur en série avec sa poupée n'avait pas pu m'offrir un émoie.

Un client entre dans l'atelier, je le reconnais et lui fais un signe de tête. C'est un régulier qui semble aimer mes œuvres mais plus encore je le vois parfois m'observer à travers la vitre, il n'est pas très discret et cela m'intrigue parfois. C'est un bel homme un brun assez énigmatique. Je suis assise à mon bureau comme souvent quand je fais le tri de mes papiers. Je déteste ça mais je n'ai pas le choix, dans ce monde il faut passer par là. L'homme s'approche de moi et je lève un regard vers lui. Je le fixe sans un mot, si il s'approche c'est qu'il a quelque chose à me dire non ? J'aurais pu tout imaginer...sauf ça.

Un silence lourd se fait quand il a finit de parler. Mon regard est toujours fixé sur lui. Je penche un peu la tête sur le côté avant d'entrouvrir les lèvres pour enfin briser le silence. «   Tu m'as fais attendre. » dis je simplement comme un couteau en plein coeur avant d'ajouter finalement.  «   Le cimetière, à la tombée de la nuit. J'y serais.   » dis je alors simplement, regardant un moment mes papiers avant de relever à nouveau les yeux vers lui. «   Les années te vont bien. » Un compliment, c'était déjà beaucoup pour moi. Mon coeur brûlait doucement mais je n'allais certainement pas le faire paraitre. J'étais néanmoins fortement intriguée par la surprise qu'il me réservait.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité



Mar 6 Fév - 18:04

Je suis de nouveau heureux, en dépit du fait que je n’ai pas réellement obtenu ce que je veux, c’est à dire : ta splendide personne.

Ma princesse gothique favorite, celle qui écrase tout sur son passage et qui ne laisse personne ne serait-ce que l’approcher.

Celle dont je suis fou, celle qui m’obsède, qui s’introduit dans mon esprit. La plus charmante femme de l’univers, la même qui portera nos enfants.

La créature la mieux foutue, dont j’ai eu la chance de pouvoir explorer, malgré son côté froid prononcé.

Rien au monde, n’est plus excitant que toi, euphorisant que l’ensorcelante, trentenaire que tu représentes. T’observer, te regarder, c’est comme de découvrir un cadeau tout droit venu des enfers.

C’est à dire, un endroit chaleureux, pour les tyrans : possédant une beauté indéfinissable, que tu as sue m’apprendre à apprécier.

La meilleure chose qui puisse m’arriver c’est de pouvoir à nouveau, me réchauffer contre toi et ton corps de déesse.

Même Athéna en rougirait, c’est une certitude. Ton enveloppe corporelle, est parfaite, celle dont n’importe quel homme rêverait d’explorer.

D’ailleurs, comme tu le sais à présent, je t’ai préparé une diabolique surprise.
Ce dont j’ai hâte c’est d’avoir ta réaction, lorsque tu réaliseras, que je suis et que j’ai toujours été celui qui est destiné à être ainsi que finir avec toi.

Nous sommes nés, pour vivre ensemble, évoluer ensemble et finir ensemble. Et rien, ni même l’univers, ne pourra nous arrêter.

<< Tu m’en vois navré, je ferais absolument tout pour que tu me pardonnes >>
Et qu’on soit accro l’un l’autre, mais si j’ai l’impression de l’être considérablement plus que toi.

<< Parfait, je te promets que tu ne seras pas déçue >>
La déception n’a jamais existé dans notre couple, je l’espère bien.

<< Merci du compliment, elles te vont autant >> D’un sourire de passionné, comblé.

<< Je te laisse, je dois aller commander des livres à la librairie, à ce soir >>
Embarrassé, rougissant un tantinet. Avant de m’en aller, sans oser l’embrasser.

Et le reste de la fin de journée, je ne cesse de réfléchir, après être rentré aux côtés de mes livres. Puis, je réalise qu’il est déjà bientôt l’heure d’y aller, alors je m’empresse de me préparer un peu stressé.

Par la suite, je saute dans ma Jeep Wrangler, arrivant euphorique sur les lieux.

Le cimetière est décoré de lumières teinture sang. Les lieux possèdent avec ce décor sanguinaire ainsi que lugubre, une atmosphère unique.

Je suis persuadé qu'elle va adorer. Avec tous ces faux cadavres, ces objets morbides au possibles, dont des faux yeux retirés de leur orbite, c’est spectaculaire pour une personne lambda mais ordinaire pour nous deux ainsi que la famille Addams.

Me connaissant, j’aurai même pu le créer de toute pièce, cet endroit avec des membres humains ainsi que de vrais corps.

Tout a été mit en place avec minutie. Une fois que j’entends, du bruit au loin, j’ai la ferme conviction que c’est elle qui vient d’arriver.

Alors, je m’empresse de la rejoindre, enthousiasme.

<< Bonsoir Mercredi, tu es toujours autant ravissante, qu’à notre première rencontre. D’ailleurs, l’endroit devrait te rappeler quelque chose. Que dirais-tu d’un dîner façon Addams, comme au bon vieux temps ? >>
Je l’invite à me rejoindre ainsi qu’à s’installer à cette table, dont la nappe est splendidement ensanglantée. Et dont les couverts, sont faits de faux membres humains mais très ressemblants, à l'œil nu. << Je te laisse découvrir l’entrée, je suis persuadé, qu’elle va te plaire >>   J'invite ma moitié à s'asseoir, en m'occupant de sa chaise. Le repas n’est qu’une petite partie du puzzle. Je te réserve la meilleur partie pour la toute fin.

<< Je me demandais, tu es arrivée ici depuis longtemps ? Cela fait d’interminables années, que j’espérais te revoir un jour. Je vous cherchais désespérément tous, mais spécifiquement toi >>


Le simple fait qu’elle soit présente à mes côtés, fait tambouriner à une vitesse fulgurante, mon cœur de garçon timide.

<< Écoute, je vais être honnête avec toi, si je t’ai fais venir ce soir : c’est parce que j’aimerais qu’on se remette ensemble, comme avant. Est-ce que tu penses que tu pourrais m’aimer comme, on s’était aimés éperdument fut un temps ? Parce que me concernant, je n’ai jamais cessé de t’aimer, depuis toutes ces années. Je t’aime Mercredi et je t’aimerais toujours >>
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité



Mer 20 Mar - 15:24

Joël et moi c'était une longue histoire. Il n'avait rien de comparable à mon père ou à un Addams mais le fais qu'une simple allergie pouvait le tuer m'avais plus et m'avais rapproché de lui. Pourtant aujourd'hui il semblait changé, il n'avait plus de lunettes, il ne semblait pas essoufflé, avait il au moins encore une allergie ? Je ne pouvais néanmoins pas nier une chose, il avait quelques choses d'effrayant, de malaisant, qui le rendait presque irrésistible à mes yeux. Quand il me proposa ce rendez vous je l'acceptais évidemment mais sans plus de fioriture, je n'étais pas Debbie après tout.

Lui par contre semblait fou de joie, ce qui me fit arquer un sourcil. Toujours raide amoureux de ma personne, je dirais même totalement possédé par ma simple présence il ne voulait pas me décevoir après ces années d'absence. Je ne pouvais que le comprendre, mais je le plaignais tout de même. Il part, sans un baiser, sans une marque d'affection. Je l'observe repartir jusqu'à ne plus voir son ombre. Mon regard ce pose sur une de mes oeuvre, sans vraiment l'observer. Hum..mon coeur bat un peu plus rapidement qu'à l'accoutumé. me dis je simplement à moi même, presque surprise de cela. Puis je retournais dans mes papiers sans vraiment réussir à m'y concentrer.

La journée se termine et devant mon grand miroir j'essaie plusieurs robes toutes noires évidemment. J'en choisi une plutôt classique du moins pour une addams ( La Robe ) Dans mon cabriolet noir - une petite folie que je me suis faite en vendant plusieurs peintures à des prix indécents. - J'arrive au rendez vous. Tout à été fait pour me plaire, même si je suis un peu déçu que les cadavres soit faux. Je ne fais qu'à moitié attention à la décoration car je sens mon poul s'accélérer .

Je l'observe un peu de haut alors qu'il me complimente affirmant que j'allais aimer tout ce qu'il avait préparé pour moi. Je m'asseoir alors à table et regarde les couverts, de vieux couverts auraient pu me convenir mais je remarquais tout de même qu'il faisait des efforts. « Ce monde m'a au minima changé, un minimum tout au moins. J'aurais pu me contenter de moins mais j'apprécie le geste. . » dis je simplement d'un ton neutre.

Il commence à me poser des questions. « Je suis ici depuis quelques années également, j'ai eu la surprise de voir que j'avais vieillit et que j'étais seule. Enfin tu devais visiblement pas être bien loin mais je n'aurais pas pu te reconnaitre. . » dis je alors en l'observant un peu « Tu n'as plus besoin de lunettes ? . » demandais je simplement.

Je l'observe alors qu'il m'avoue que ses sentiments n'ont pas changé. « Je n'ai connu personne depuis toi, je pense donc que c'est envisageable mais je dois savoir jusqu'à quel point ce ...voyage, t'as changé. . » dis je en l'observant de haut en bas. « Cet endroit est assez étrange pour parvenir à me faire rencontrer des gens des plus bizarre. J'ai appris à me débrouiller seule et à monter mon entreprise. Je suis confortablement installée maintenant mais je demeures seule. . » dis je en l'observant. « je ne saurais pas contre quelqu'un pour m'aduler mais...comme autrefois, je te plains. . » avouais je simplement en plongeant mon regard dans le sien.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité



Mar 9 Avr - 20:24

Comment ne pourrait-t-il pas changer qui que ce soit après tout ?

- Tu mérites bien plus que cela pour être sincère, si j’en avais les capacités, je décrocherais la lune pour toi et je la couvrirais de sang humain.


Sans aucune once de culpabilité, parce qu’on ferait tout par amour, pas vrai ?

- À mes yeux tu t’es radieusement embellie, tu es la version la plus aboutie.


Et la plus sexy.

- En effet, j’ai beaucoup trop changé, en bien mais pas tant que cela comparé à toi.

Parce que tu es la beauté incarnée, l’être le plus prestigieux qu’il soit, la femme la plus chic du multivers.

- Eh bien, nullement, j’ai gagné considérablement en santé depuis que je suis arrivé. Un ami m’a même conseillé de me mettre à la musculation.

Je lui plairait sans doute davantage avec une musculature harmonieuse.

- Si tu parles uniquement de physique, il m’a métamorphosé en Apollon. Si tu songes au plan spirituel, je dirais que mon esprit s’est amplement libéré de tous les tourments et complexes que j’avais à l’époque. À présent, je suis un homme en paix avec lui-même, surtout lorsque j’ai découvert que tu es présente au sein de cette somptueuse ville.

La femme la plus respectable de l’univers et la plus ravissante de plus, a signée son retour bien avant ce que j’imaginais. Et c’est la meilleure des nouvelles, puisque maintenant nous allons pouvoir profiter de nos nombreuses années de jeunesse et de vieillesses devant nous.

- Les gens d’ici sont atypiques mais authentiques, contrairement aux jeunes de la colo.

De vrais garnements, qui ne cessaient de me maltraiter.

- Tu as toujours sue tout faire toute seule. Tu ne l’es plus, désormais, Mercredi.

Mes iris brillent de milles flammes, soudainement.

- Alors, je suis l’homme de la situation, ma chère petite amie. Que dirais-tu d’un dessert à la crème sanguinaire ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité



Dim 14 Avr - 22:25

Joël avait toujours été pour moi un sorte d'esclave que j'apprenais à apprécier. Il n'était pas comme les autres mais même si j'avais toujours voulu un amour comme celui de mes parents je n'en étais pas capable, du moins je ne l'avais jamais été. Je n'étais pas aussi sentimentale que ma mère j'étais froide, macabre et blasée de bien des choses. Pourtant Joël avait toujours été là, plus encore il m'avait retrouvé jusqu'ici, des années plus tard. « Mais tu ne les as pas. Penses tu que la lune rouge avait quelconque avoir avec du sang ? » demandais je en regardant le ciel, cette lune rouge, cette nuit là était tellement étrange, tellement merveilleuse et intrigante.

Il me complimenta alors que je le regardais. « Tu t'es embelli également, les années te vont bien comme je te l'ai déjà dis. » dis je alors d'un air pourtant neutre même si je devais avouer qu'il me plaisait. Un petit " hum " 'est tout ce que je répondis quand il affirmait qu'il allait mieux. Une allergie ne pouvait donc plus le tuer, cela était moins...agréable à savoir. Il n'était pas aussi meurtrier, sociopathe que ma famille ou moi même mais il avait ce petit plus qui le rendait intrigant : la mort pouvait le prendre à tout moment. Visiblement ce n'était plus le cas, j'étais un peu déçu.

Je pose mon coude sur la table avant de mettre mon visage de porcelaine sur ma main pour regarder Joël. « Si j'en conclus tu es donc totalement en vie et en forme, et tu n'as plus aucun soucie, tu es...en paix. » répétais je avec un petit dégout dans la voix. « Je ne sais pas si tu es l'homme de la situation aujourd'hui. » dis je en me relevant faisant quelques pas dans le cimetière. « Ce que j'aimais en toi s'était cette noirceur, cette mort qui te collait comme une sangsue partout où tu allais tu étais différent...tout comme moi. » dis je en réfléchissant.

J'étais déçue peut être même étrangement...triste. Je retrouvais le seul amour que j'avais connu jusque là et finalement il était devenue comme tout le monde ? C'était vraiment injuste. « Je n'ai pas envie de monsieur tout le monde, celui que l'on peut trouver n'importe où. Je veux un sociopathe, un homme jouant avec la mort, un homme intéressant. » dis je simplement avant de m'approcher de lui pour caresser sa joue du bout des doigts. « Pourrais tu au moins encore tuer pour moi ? » demandais je en le fixant.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé




Revenir en haut Aller en bas
 
How Deep Is Your Love
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MAD WORLD :: FLOOD :: Archives :: rps-
Sauter vers: