Il était enfin arrivé !!!!! Ce fameux SMS que tu attendais avec impatience depuis presque une semaine. Tu n’avais pas quitté ton téléphone des yeux pendant tout ce temps. Tu avais bien vu, le regard incrédule de tes clients qui n’avait pas l’habitude de te voir regardé ton téléphone sans cesse. Tu étais plutôt du style a l’oublié facilement chez eux après une séance et à revenir le chercher en courant après t’être aperçu de sa disparition. Et que dire du sourire amusé de tes amis proches qui avaient bien compris que tu pouvais filer à tout moment pour rejoindre ton bibliothécaire sexy, s’il te le demandait, mais tu n’en avais que faire, ce message était trop important pour toi.

Tu ne te souvenais pas, d’avoir ressenti une peur aussi intense que le jour où Integra Hellsing, t’avais appelé pour t’informer qu’on lui avait signalé qu’Edwin avait quitté la bibliothèque et qu’il avait juste dit qu’il avait un rendez-vous à honorer. Lui qui ne mettait jamais les pieds en dehors de l’université, car il craignait le monde extérieur ne pouvais pas avoir cela sans une raison impérieuse. Tu avais appelé tous ceux qui auraient pu comprendre ce qui l’avait poussé à aller contre son instinct de conservation, mais personne n’avait été en mesure de te donner la moindre information. Sa réapparition quelques heures plus tard, t’avais fait l’appeler en urgence pour prendre de ses nouvelles avant de sauter dans tes vêtements pour le rejoindre, mais après quelques paroles rassurantes, il t’avait demandé de lui laisser un peu de temps avant de venir qu’il se remette et puisse reprendre son souffle. Et le fameux message t’invitant à le rejoindre venait enfin d’arriver.

Tu ne peux pas partir tout de suite et laisser tomber ta cliente en plein exercice. Tu prends donc ton mal en patience, affichant, des signes d’impatience dont tu ne fais jamais preuve en temps normal et que tu tentes de cacher au mieux. À la fin des exercices, tu prends rendez-vous pour la prochaine séance et files sous la douche, refusant de retrouver Edwin, ton corps couvert de sueur. Enfin prêt, tu attrapes ta veste et ton sac avant de quitter le club de sport. Heureusement pour toi, l’université n’est pas loin de la bibliothèque et tu pourras y être assez rapidement. Tu prends quand même le temps de faire un détour par la pâtisserie du quartier pour ramener un assortiment de gâteaux et des smoothies, mais comme tu sais qu’il aime les mets sucré et file vers la bibliothèque aussi vite que possible.

À l’entrée de l’université, tu salues l’agent d’accueil qui commence à bien te connaître et files rapidement dans la bibliothèque à la recherche de la silhouette typique d’Edwin et de son chapeau, que tu aperçois non loin de là. Arrivée près de lui, tu poses ta main doucement sur son épaule pour ne pas lui faire peur, et reste au contact pendant que tu l’étudies de la tête aux pieds pour vérifier qu’il n’a aucune blessure physique visible avant de te détendre un peu et de parler sans retirer ta main, tu n’as pas encore prêt à le lâcher.

« Mince Sexy. J’ai eu si peur. C’est si bon de te retrouver. Comment vas-tu ? »

Il ne te semblait pas blessé, du moins pas physiquement. Tu prends le temps de l’examiner de la tête aux pieds pendant qu’il échappe à ton contact et range un livre. Tu ne te formalises plus de ces mouvements qu’il fait assez souvent pour s’éloigner de toi. Au début, tu prenais cela pour du rejet, tu pensais qu’il ne voulait pas te revoir. Tu avais vraiment détesté ces moments jusqu’à comprendre que cela n’était pas contre toi, mais que cela faisait partie de sa manière d’être et de vivre. Autant toi, tu étais très tactile, autant lui avant du mal avec tous ces gestes d’affection. Cela n’était pas facile pour toi de lui laisser un tel espace, mais tu voulais bien faire cela pour lui et c’était ce genre de concessions qui t’avais fait comprendre que tu avais faire cela pour lui et c’était ce genre de concessions qui t’avais fait comprendre que tu avais des sentiments pour ton sexy.

« Je veux bien un café oui. »

Demandes tu avant de te diriger vers son appartement en parlant

« Je vais beaucoup mieux maintenant que je vois que tu vas bien. Tu ne peux pas savoir comment j’ai eu peur pour toi, Edwin.»

Tu pourrais continuer à lui laisser le temps de se faire à ta présence, de comprendre ce que tu ressens pour lui mais tu as vu que tu pouvais le perdre et cela avait complétement changer ta manière d’approcher les choses. Tu en avais discuté avec Nala et elle t’avait fait comprendre qu’Edwin, ne savait pas, qu’il se pensait une conquête lambda au milieu de tes autres conquêtes et tout cela était ta faute. Tu ne lui avais jamais caché, ton coté libertin, ton besoin de multiplié les conquêtes, mais sans jamais lui dire ce que tu ressentais pour lui de peur de le perdre alors aujourd’hui, tu allais te livrer comme tu ne l’avais jamais fait avant. Tentant le tout en priant les dieux de ne pas le faire fuir.

« J’ai passé les jours les plus angoissants de ma vie Edwin. Je n’ai jamais autant regardé mon téléphone et vérifier qu’il était allumé et avait de la batterie. Je craignais de louper ton appel, j’avais peur de ne plus te revoir. Qu’est-ce qui t’es arrivé, Edwin ? Pourquoi as-tu quitté les murs protecteurs de l’université et a tu eu besoin de temps pour te remettre ? »

Tu espères ne pas lui faire peur avec tes révélations, mais le poids qui enserrait ton cœur jusqu’à aujourd’hui est en train de se relâcher et tu ne peux te retenir de tout lui avouer.

Tu commences à faire un bout de chemin en direction de son appartement avant de t’apercevoir qu’il ne te suit pas et qu’il se dirige vers la salle de repos. Mais… Et mince… Tant pis pour le calme et la confidentialité. Tu ne comprends pas toujours sa manière de penser, mais tu t’adaptes comme c’est lui. Il est le seul a arrivé à te faire faire ce genre de chose et ne s’en aperçois même pas. Tu comprends mieux les conseils de Nala. Edwin ne comprendra pas si tu ne lui dis pas. Cela ne fait pas partie de sa manière de penser. À toi non plus d’ailleurs, mais il faut bien que l’un de vous fasse le premier pas et tu ne vas pas rester dans ce non man’s land de non-dit, où aucun d’entre vous ne comprend ce que pense l’autre. C’est décidé, tu vas lui dire ce que tu ressens et voir comment il le prendra. Mais avant cela, tu veux comprendre ce qui lui est arrivé.

Mais non !!!! Ton esprit hurle de ne pas le laisser dire cela même si tu sais qu’il a raison, mais tu ne veux pas l’entendre. Non ! Il ne disparaîtra pas. Pas tant que tu seras à ses côtés. Cela fait très caprice mais tu t’en fiche. Tu ne l’interromps pas, trop curieux de savoir ce qui s’est passé et quelle magie a pu le faire sortir de la bibliothèque et affronter la ville. Assis sur le canapé, tu bois ton café à petites gorgées jusqu’à ce qu’il tende son poignet pour te montrer le tatouage qu’il a reçu. Ton doigt trace chaque ligne une à une, insistant sur celle qui a disparu.

« Cela veut donc dire que tu as encore deux épreuves qui t’attendent» Dis-tu les dents serrées « Cette ville ne ménage personne. Tu as bien fait de faire ce qu’ils te demandaient, mais je ne te laisserais pas y aller seul la prochaine fois. Il n’y avait pas marqué que tu devais faire cela seul non ? Qu’on t’il demandé à cette jeune fille ?»

Tu prends sa main et le tires doucement vers toi pour le faire s’installer sur tes genoux.

« Viens. S’il te plaît »

Tu as besoin de te rassurer, de sentir sa peau sous tes doigts. Tu sais que les contacts sont compliqués pour lui mais tu as appris comment l’aborder et le ton de ta demande montre bien que cette fois-ci, tu as vraiment besoin de le prendre dans tes bras et qu’importe que vous soyez dans une salle ouverte aux quatre vents dans laquelle n’importe qui pourrait rentrer et vous surprendre. Tu ne vois que lui pour le moment et qu’importe ce qui se passe autour de vous.

« Je sais que cela peut paraître fou Edwin, mais je ne te laisserais pas affronter cela seul. Je ne le peux pas. Je ne sais pas comment je vivrais si je ne pouvais pas te voir, t’entendre ou t’écrire chaque jour. Tu es unique Edwin. Unique pour moi. Je n’ai jamais ressenti cela pour quelqu’un d’autre avant toi. »

Tu as beau être amnésique, tu sais que c’est vrai et que tu n’as jamais aimé comme cela. Tu viens l’embrasser, trop dans l’émotion pour ne pas lui montrer par des gestes ce que tu ressens.

« Je t’aime Sexy. »

Murmures tu contre ses lèvres. Tu n’en as rien à faire qu’il se perde dans son monde, qu’il ne soit pas psychologiquement stable. Tu l’aimes comme il est et tu espères juste ne pas le faire fuir avec une telle déclaration.

« Et bien, vous aurez une troisième personne avec vous dans cette épreuve. Je ne te laisserais pas vivre cela seul et rien ne me fera changer d’avis. »

Tu lui tiendras tête, car tu sais que répondre à ces demandes est une épreuve pour lui. Il doit aller contre ses peurs et ses angoisses. S’il tient absolument à y aller avec son amie et bien, tu aideras cette personne aussi, si cela peut faire plaisir à Edwin, mais tu seras là, surtout pour lui.

Tu l’attires en douceur sur toi, le laisses s’installer pour l’embrasser tendrement avant de lui avouer tout l’amour que tu lui portes. Tu n’as jamais dit cela à personne ou du moins tu n’en as pas le souvenir mais qu’importe le passé, on t’a offert une nouvelle vie, il est temps pour toi de regarder l’avenir et de ne pas rester bloquer dans le passé comme tu le fais depuis si longtemps. Et ton avenir est actuellement assis à califourchon sur tes genoux, ses lèvres non loin des tiennes et tu te battras pour lui, pour vous-même si tu ne sais pas vraiment comme faire quand il s’agit de sentiment. , tu approcheras cela comme un combat. Une conquête. Qu’importent les épreuves, tu les vivras à ses côtés.


« Peut-être. Mais tu ne pourras pas m’empêcher de tenter, jour après jour de te sauver et de  te tendre la main pour t’empêcher de sombrer. »

Tu ne nies pas que son avenir est sombre. Il a vécu des choses que peu pourrait supporter, du moins si tu en crois le peu qu’il t’a raconté sur son passé, mais il était seul face à ces épreuves et tu te jures que cela ne sera plus jamais le cas.

« Laisse-moi t’aimer et te montrer qu’il peut y avoir une étincelle d’espoir à laquelle tu peux essayer de te raccrocher dans les moments difficiles. Laisse-moi être celui qui te guide vers cette petite flamme. »

Tu sais que cela peut paraître fou pour lui, qu’il n’a plus connu cet espoir depuis si longtemps et qu’il ne veut peut-être pas t’entraîner dans son monde, mais tu te battras, même contre lui s’il le faut pour lui prouver que tu ne lâcheras pas et que tu ne fais pas de promesse en l’air. Tu attends, anxieux sa réponse à ton aveu et viens chercher ses lèvres pour un nouveau baiser quand il te dit qu’il tient à toi.

« Tu es le seul pour qui j’ai des sentiments n’en doutes jamais. »

Car tu ne veux pas qu’il pense que tu vois tes autres amants ou maîtresses différemment.

« Éphémère ou pas, laisses nous une chance Sexy. Je comprends ton envie de ne pas m’emporter avec toi dans ton monde, mais ce n’est pas parce que tu ne veux pas que je ne te suivrais pas ou que je ne ferais pas tout pour te montrer que ton avenir n’est pas tout tracé. Qu’il y a peut-être un autre chemin. Un que l’on n’a pas encore trouvé. Crois-moi, je suis difficile à tuer voire impossible. »

Tu ne peux t’empêcher de caresser ses reins au travers du tissu de sa chemise pour te rassurer en sentant tes mains sur ta peau, car tu ne sais pas comment lui annoncer la suite sans le faire fuir.

« Je ne veux pas avoir de secret pour toi et il faut que tu saches ce que j’ai découvert. »

Tu prends une grande respiration avant de te lancer.

« Je ne fais pas que porter le nom d’un demi-dieu de l’olympe. J’ai découvert que j’étais cette personne et je suis en train de récupérer ses pouvoirs. Je ne pas vraiment contre quoi tu te bats, je vois bien que tu luttes et fais tout pour ne pas sombrer dans la folie, mais laisse-moi t’offrir ma force et la partager avec toi. Je ne suis pas invincible, mais j’ai des ressources pour me battre à tes côtés. Cela vaut la peine d’essayer non ? »

Tu te mets à nu devant lui, tu lui livres le fond de ta pensée, tu ouvres ton cœur comme tu ne la jamais fait. Tu prends un grand risque en faisant cela. Malgré les épreuves que tu as vécues et dont le souvenir refait surface petit à petit dans ton esprit, tu n’as jamais fait cela pour personne, mais Edwin mérite que tu prennes ce risque. Quand tu es avec lui la vie, prends des couleurs que nuls autres ne te fait voir. Tu veux être à ses côtés, le protéger, l’aimer comme personne ne l’a jamais fait. Il fait remonter en toi, ce besoin de protection que tu ne peux maîtriser. Tu sens que tu lui en demandes beaucoup en lui demandant de te laisser l’accompagner dans ses cauchemars, mais tu ne peux pas t’empêcher de le faire.

Tu te figes en l’entendant dire non d’un ton aussi ferme. Les idées contradictoires se bousculent dans ton esprit en l’espace de quelques secondes. Tu détestes que l’on te refuse ce que tu offres et venant de la part d’un autre qu’Edwin, cela se serait terminé mal, mais ton sexy enchaîne en expliquant que cela ne le gêne pas que tu sois à ses côtés et que tu l’accompagnes dans sa vie quotidienne. Il refuse juste de te laisser te perdre dans ses cauchemars, et même si tu n’arrives pas à savoir ce qu’il a vraiment vécu, tu te détends un peu et le laisses poser ses conditions. Tu ne prends pas le temps de réfléchir longtemps avant de lui répondre et de reprendre tes caresses sur ses reins.

« Si ce sont tes conditions pour que je puisse rester à tes côtés, je les accepte, mais saches que je le fais pour toi et que je tuerais quiconque te feras du mal en dehors de ton monde. »

Et c’est une promesse que tu ne fais pas en l’air. Il est tien et rien, ni personne ne te le prendra.

Tu refuses d’avoir des secrets et te confies à lui sur tes origines. Tu n’aimes pas le froid qui s’empare de toi quand il quitte tes genoux. Il ne part pas, car il a peur de toi. Il le fait pour mieux réfléchir et cela te fait sourire et te rend fier. Voilà qui prouve bien que ton contact, l’empêche de penser normalement. Tu sauras utiliser cela à bon escient pour lui faire perdre la tête dans tes bras.
Il ne remet pas en cause ta force et l’accepte sans peur. Tu ne lui feras aucun mal et il en a conscience, il craint pour ton mental. Dans son monde, tu pourrais devenir une arme létale et tuer des innocents et tu ne te le pardonnerais jamais. Tu te lèves et viens le rejoindre pour prendre sa main avec douceur et l’embrasser. Tu aimerais tant le reprendre dans tes bras, mais tu ne veux pas le bousculer. Cette conversation est assez bouleversante pour le moment.

« Je te le promets. Je t’écouterais quand l’on sera face à des soucis de ton monde, mais en échange, je serais celui qui te protégerait des autres dangers de ce monde. »

Un juste compromis selon toi.

« Cette bibliothèque, est-elle vraiment l’endroit où tu es le plus en sécurité sexy ? J’ai vu que tu pouvais partir dans ton monde quelques fois et rien ne peux t’en faire revenir. Est-ce que cela ne sera pas plus prudent de demander à vivre dans un appartement de l’université légèrement éloigné de tous ces vieux livres ?  »

Maintenant, que tu sais que son monde touche le mental des gens, tu as beau avoir accepté de ne pas le suivre dans ses cauchemars, tu mettras en place tout ce qui est possible pour ne pas le perdre. Ce ne serais pas l’éloigner de sa zone de confort. Il resterait dans un endroit qui le rassure et tu serais plus rassuré tout aussi.

« Je pourrais y poser quelques-unes de mes affaires. Je ne veux pas t’imposer ma présence tous les soirs, mais j’ai bien l’intention de passer plus de temps avec toi maintenant que tu veux bien de moi à tes côtés. »

Alors ça, c’est sûr, il ne pourra jamais t’empêcher de vouloir le protéger. Il peut poser ses conditions. Te demander de ne pas te mêler des soucis de son monde, car cela ne ferait que ramener des ennuis supplémentaires si ceux, qu’il appelle les grands anciens, te prenne sous contrôle et t’utilise, mais tu ne le laisseras jamais t’empêcher de veiller sur lui et de te sacrifier s’il le faut. Tu acceptes donc ses conditions sans rentrer dans les détails pour que tu n'aies pas à négocier avec lui. Tu serais pris entre deux feux, car tu es incapable ou presque de lui dire non mais aussi incapable de le voir en danger sans agir.

Tu as conscience que cette université ne fait pas que des recherches sur l’ésotérisme. Tu as bien vu que la directrice était associée avec Alucard et pour avoir rencontré cet être hors norme, tu ne le vois pas avoir un poste de chercheur. Il fait plus dans la menace et la destruction, mais cela t’importait peu tant que cela ne mettait pas Edwin en danger. Or, tu as bien vu que Melle Hellsing faisait tout pour protéger ton sexy et les gens qui vivaient à l’université et cela te rassurait de savoir qu’un être aussi létal qu’Alucard soit de son côté plutôt que du côté de ses ennemies et qu’il serait là pour protéger ton homme en cas de soucis.

« Alors nous avons un accord et tu as ma parole que je m’y tiendrais. »

Tu as beaucoup de défauts, tu peux être impulsif, brutal s’il le faut. Tu peux tuer si tu considères que c’est pour la bonne cause, mais tu es un homme de parole. Tu la donnes rarement et as peu de gens, mais tu la respectes coûte que coûte.

« Très bien, on garde ton appartement là où il est.»

S’il s’y sent en sécurité, tu ne tiens pas à l’en sortir. Tu préfères le savoir rassuré et qu’il est un endroit dans lequel il se sente à l’aise. Tu ris quand il parle de tes affaires dans son appartement. Oui. Bon. Tu avais déjà commencé à laisser quelques vêtements ici et là. Au début sans y faire attention et ensuite un peu pour marquer ton territoire.

« Oups. Oui un peu. Mais à partir d’aujourd’hui, je vais m’installer plus officiellement. Je te préviendrais quand je ne passerais pas et tu pourras toujours me prévenir si tu veux avoir l’appartement pour toi. Pour y inviter d’autres hommes ou femmes avec qui tu aimerais passer la nuit. Je ne voudrais pas t’empêcher d’avoir d’autres amants ou maîtresses si c’est ce que tu désires. Tu es celui que j’aime, celui qui a mon cœur. J’ai des sentiments pour toi, sentiments que je n’ai pour aucune de mes autres conquêtes et je tiens à ce que tu le saches et je veux que tu aies cette même liberté si tu le désires. »

Tu es franc, tu ne tournes pas autour du pot, car c’est la seule façon de penser d’Edwin et tu t’y conformes pour être sûr d’être compris et entendu.