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(abandonné) ⌜fb⌟ ⊹ (( le cas regulus black et d'autres joyeusetés )) — .・✧ walburga & tom.

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Anonymous

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Mar 5 Sep - 12:55

L’étau se resserrait autour de toi. Tu le sentais. L’angoisse montait. Tu avais l’impression que tu n’y échapperais pas malgré tout ce que tu mettais en place pour retrouver ta place et ta puissance d’antan. Ta fragilité, tu l’avais sentie le jour où tu avais surpris Regulus Black, le traitre, avec ton précieux collier entre ses mains. Malheureusement pour toi, aucune occasion ne s’était encore présentée pour que tu puisses récupérer ton dû. Au lieu de cela, tu devais encore vivre, caché comme un rat, chez cette ignoble moldue dont le fils Black s’était entiché. Un amour contre nature qui te donnait des nausées quotidiennes et que tes instincts les plus féroces voulaient supprimer au plus vite — encore un sorcier qui s’apprêtait à entacher son propre sang, surtout un sang aussi noble que celui de la famille Black. Si tu restais chez elle, c’était simplement parce que sa résidence t’offrait une place de choix dans l’espionnage de Regulus, mais aussi pour la recherche du précieux horcruxe. Tu crus qu’il l’avait laissé chez Jo. Ce n’était pas le cas. Et tuer Regulus ainsi que Jo était exclu des possibilités pour le moment, pas avant d’avoir retrouvé l’objet. Il fallait encore être patient, une sagesse dont tu étais totalement dépossédé depuis aussi loin que tu t’en souviennes. D’autant plus que la course aux horcruxes n’était pas le seul problème que tu devais éluder. Puisqu’Albus Dumbledore et Gellert Grindelwald étaient ici, tu n’étais pas sans savoir qu’une guerre se préparait dans l’ombre. Une guerre contre toi, contre Gellert, parce qu’il ne fallait absolument pas que l’un de vous règne dans la petite tête trop pacifiste à ton gout de l’ancien directeur de Poudlard. Mais toi tu voulais répandre ton chaos, arracher ce pouvoir qui t’avait échappé dans ton monde et que tu pouvais désormais rêver d’avoir dans ce nouvel univers où tout était à faire. Il te fallait donc une armée, rassembler tes fidèles, anciens comme nouveaux du moment qu’ils étaient nombreux. Tu en avais retrouvé certains comme Nagini, la plus importante dans ce combat et d’autres comme Barty n’attendait qu’un signe de ta part. Toutefois, malgré les quelques alliés, cela n’était toujours pas suffisant — gourmand dans tous les domaines, tu en voulais toujours plus, parce que tu voyais toujours plus grand que toi. Et plus vous étiez nombreux, mieux c’était.

En fouinant chez Jo March en laissant toujours une oreille trainer, tu avais entendu lors d’une conversation qu’elle avait eue avec Regulus que Walburga Black était sur cette île. Une information que tu ne manquais pas de retenir puisque la mère de Regulus était loin d’être une inconnue pour toi. En effet, vous étiez allés ensemble à Poudlard, dans la même maison, même si Walburga était ton ainée d’une année seulement. Tu ne l’avais pas spécialement fréquentée lors de tes années d’études, mais tu n’avais pas oublié l’attachement de Walburga pour des valeurs que tu chérissais toi aussi, notamment la préservation de votre sang et la suprématie des sangs purs sur tout le reste. Ironique quand on sait que tu es toi-même un ignoble sang mêlé. Tu avais tout fait en tout cas durant ton cursus pour que toustes oublient ce détail en mettant particulièrement en avant le fait que tu étais le dernier hériter du noble Salazar Serpentard et que tu n’avais, de fait, rien à prouver à qui que ce soit. Tu te souvenais aussi de Walburga pour sa fidélité. Envers toi et le reste de votre combat jusqu’à la mort tragique de son fils qu’elle imputa injustement aux mangemorts alors qu’il avait provoqué de lui-même sa chute au travers de son ignoble trahison. Rien que d’y penser… Tes envies de meurtre remontaient en flèche et il était de plus en plus ardu de les contenir. En tout cas, rapidement, tu pensais qu’il était judicieux de rendre visite à Walburga d’une part en souvenir du bon vieux temps si on peut dire et d’autre part pour discuter du cas épineux qu’était son fils et voir si elle pouvait t’aider au moins dans la chasse aux horcruxes sans révéler leur nature ou dans la guerre qui s’annonçait. Tu ne doutais pas de la fidélité de Walburga si tu avançais les bons arguments avec elle. La mort de Regulus n’apparaitrait que comme un détail, d’autant qu’il s’était lui-même mis dans cette situation.

Tu débarquais chez elle un soir de pluie juste après les derniers cours de la journée à l’université auxquels tu assistais frauduleusement, mais avec l’aval du doyen que tu tenais grâce à un odieux chantage. À aucun moment cela ne te venait à l’esprit qu’elle puisse mal prendre ta visite en raison de ce qu’elle pensait de la mort de son fils. De toute manière… Si elle se montrait trop virulente ou trop impolie à ton gout… Tu saurais résoudre le problème avec ta baguette qui n’était jamais trop loin ou même avec tes dons qui ne nécessitaient pas l’usage de ce bout de bois. Tu toquais alors à sa porte et lui offrais un sourire, ce même sourire qui avait trompé tout le monde à Poudlard, lorsqu’elle ouvrait. « Bonsoir Walburga. » Tu marquais une pause. Tu la toisais du regard. « J’ai appris que tu étais toi aussi ici, alors je me suis dit qu’il serait de bon ton de te rendre visite. En souvenir du temps où ta famille et moi étions alliés. » Le son de ta voix transpirait tout sauf la sympathie malgré toute l’hypocrisie que tu y mettais. La menace était toujours là, planante, ainsi que le recours à un quelconque service puisque tu ne te déplaçais jamais par pure sympathie. Tu ne doutais pas du fait que Walburga te reconnaîtrait puisque tu avais la même tête qu’au temps où vous étiez à Poudlard. D’ailleurs, tu n’attendais pas qu’elle t’invite à rentrer pour t’avancer sur le pas de la porte. « Tu ne changes définitivement pas, dis-moi. Toujours ce petit air frigide au visage. » Tu étouffais un rire avant de reprendre cette expression de marbre au visage. Les faux semblants avaient assez duré.
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Anonymous

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Mar 5 Sep - 13:13

Le cas Regulus et d'autres joyeusetésLes retrouvailles avec Regulus, d'abord, puis avec Sirius avaient mis Walburga dans tous ses états. Ses deux fils étaient vivants, fidèles à eux-mêmes. Tous deux avaient conservé leur caractère respectif. Regulus était plus calme, plus secret que ne l'était Sirius, qui lui était toujours aussi emporté. Toujours aussi insolent. Walburga était furieuse de savoir que tous deux avaient refait leur vie au point de s'attacher à ces misérables moldus. Au point de trahir une fois de plus les valeurs de la noble famille Black. Mais au-delà de son état de fureur, la sorcière, en tant que mère, était inquiète. Sirius avait fait le choix de quitter la famille depuis des lustres, et si à présent qu'elle l'avait retrouvé elle ne comptait pas renoncer de sitôt à l'idée de le remettre sur le droit chemin, elle ne s'attendait cependant pas à ce qu'il s'assagisse de plein gré. Regulus, en revanche... était une source autrement plus troublante de préoccupation. Il lui cachait quelque chose. Il avait beau avoir hérité de la sournoiserie de ses parents, ce jeune homme restait son fils, et une mère savait ces choses-là. Walburga l'aurait volontiers laissé garder ses secrets, si elle n'avait pas la douloureuse impression que ce qu'il ne lui confiait pas était d'une importance capitale. Mais cela ne faisait rien. Regulus était un bon fils, il ne se tairait pas éternellement, pas si elle continuait de se montrer présente pour lui. C'était dans son plus grand intérêt, quoiqu'il en soit, s'il ne souhaitait pas que les méthodes qu'elle employait deviennent plus... brutales. La sorcière ne prenait qu'un plaisir modéré à employer la force sur les membres de sa famille, mais elle en reconnaissait l'efficacité, et dans l'urgence, la patience n'était pas l'une de ses vertus.

Assise dans son fauteuil près du feu de cheminée, elle écoutait distraitement le battement des gouttes de pluie sur les carreaux tout en contemplant les flammes. Habituellement, un tel temps l'aurait plongée dans un état de lubricité tel qu'elle n'aurait su résister à la tentation de faire venir l'un ou l'autre de ses amants. Mais elle était trop distraite, ces derniers temps, trop anxieuse pour s'abandonner aux bras repoussants de ces pathétiques moldus qui se satisfaisaient avec plaisir du mépris qu'elle daignait bien leur accorder. Les hommes qu'elle avait séduits n'étaient qu'un jeu pour elle. Un jeu qui perdait de sa saveur à présent qu'elle retrouvait sa famille.

Fort heureusement, Walburga fut efficacement arrachée de son état de mélancolie nostalgique par les coups portés à sa porte. Sourcils froncés, elle quitta son siège. Elle n'attendait aucune visite. S'agissait-il de Regulus ? Ou d'un Sirius repentant ? Non. Cette dernière hypothèse était absurde. Sirius était trop borné pour reconnaître ses torts.

Dans un soupir, elle ouvrit la porte, pour se figer face à l'homme qui se trouvait sur le seuil. Il était là. D'une beauté et d'une jeunesse aussi trompeuses qu'au temps où ils étaient camarades à Poudlard. Tom Jedusor. Lord Voldemort.

« Mon Seigneur. Quelle surprise. »

Sa voix était soyeuse, d'un calme qu'elle ne ressentait pas. Elle referma la porte derrière lui, prenant ce temps où elle lui tournait le dos pour inspirer longuement, yeux clos. Une visite personnelle du mage noir le plus puissant de tous les temps n'était jamais de bon augure, et Walburga n'avait pas la naïveté de penser qu'il s'agissait d'une visite de courtoisie. Comment l'avait-il trouvée ? Quel intérêt avait-il à se présenter ainsi chez elle ? Les questions étaient nombreuses. Mais elle devinait que les réponses, elles, seraient partielles.

Retrouvant un visage impassible, elle se tourna finalement vers lui, le détaillant avec prudence de ses yeux clairs.

« Les Black, les véritables Black, sont fidèles au Seigneur des Ténèbres, » rétorqua-t-elle sur le même ton de calme feint et de courtoisie. « Ma nièce Bellatrix n'est-elle pas votre partisane la plus loyale ? »

La menace qui colorait le ton de son visiteur nocturne ne lui échappait pas. Elle devinait, après qu'il ait fait mention de sa famille, que sa visite ne la concernait pas directement, ce qui était un piètre soulagement et n'empêchait pas une méfiance légitime de s'emparer de son esprit.

Lorsqu'il mit un terme aux faux-semblants et aux politesses d'apparat, elle en fit de même, continuant néanmoins de le détailler du regard. Il était si jeune... Plus jeune qu'elle, presque aussi jeune que Regulus. C'était une vision troublante, comme s'il n'était qu'un spectre, de ceux qu'elle côtoyait dans son ancienne vie, lors de ses dernières années de démence et de solitude. Troublée, et souhaitant savoir lequel des membres de sa famille avait bien pu provoquer la colère du sorcier, elle papillonna des yeux et reprit, d'une voix plus grave, plus sérieuse :

« Que me vaut réellement l'honneur de votre visite ? »
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Anonymous

Invité



Dim 24 Sep - 21:57

Qu’importe où Tom passait, sa présence alourdissait invariablement l’air. Il en avait totalement conscience, de la même manière qu’il savait très bien que la politesse et l’amabilité de Walburga n’étaient que des faux semblants, de l’hypocrisie propre à son milieu. Il ne s’en formalisait cependant pas ; d’une part il s’en moquait et d’autre part, comme Walburga l’avait si justement souligné « Les Black, les véritables Black, sont fidèles au Seigneur des Ténèbres. » Il profitait d’ailleurs de cette précision pour répondre à sa question. « Bellatrix est, de loin, ma dévote la plus prolifique. Mais, je ne crois pas que son attachement à ma cause soit la raison de tous ces crimes, même s’ils y participent sûrement. » Parce que Lord Voldemort part toujours du principe que quiconque l’entoure est possiblement un traitre ou motivé par autre chose que sa cause, même cette très chère Bellatrix — ô douce paranoïa quand tu nous tiens ! D’autant plus qu’il soulevait un point intéressant : Bellatrix n’avait pas besoin de raisons concrètes pour tuer et pour déverser sa folie. Alors, le faire pour lui ou pour un autre… Mais puisque Bellatrix paraissait très sincère, il n’empêche que sa dévotion le laissait indifférent. Sauf quand il s’agissait de l’exploiter pour ses intérêts, bien entendu. Faire des compliments n’était pas son genre, dans tous les cas. Il ne fallait pas s’attendre à une autre réponse venant de sa part.

Les mains dans son dos, il suivait Walburga à travers sa demeure. Le parquet craquait son ses pas fermes et lourds qui permettaient, sans qu’il ne s’en rende compte, d’asseoir un peu plus sa présence en ces lieux. Son déplacement dans le salon était sur le même acabit. Tom voulait occuper l’espace afin de montrer à son hôte que, même s’ils se trouvaient chez elle, c’était lui qui dominait autant la conversation que l’endroit. L’air avait changé, devenant soudainement plus électrique dès qu’ils avaient, tous deux, cessé de s’aventurer sur le terrain du paraitre. Si Lord Voldemort sentait le regard troublé de Walburga sur lui, le sien, en revanche, était plus teigneux, voilé de noir, ternissait davantage plus le bleu de ses yeux à peine perceptible d’ordinaire. Planté devant elle, les mains toujours nouées derrière son dos, Tom ne se laissait pas avoir par ses battements de cils — vaine tentative de la part de la maitresse du lieu, ce genre de parade n’avait strictement aucun effet sur lui. Il s’attardait plus sur la gravité de son ton, adoptant le même pour répondre à sa question : « Vois-tu, Walburga, j’ai un problème. » Il se remit à marcher d’un pas lourd autour d’elle avant de s’arrêter devant la fenêtre. Il ménageait le suspens en regardant avec nonchalance la pluie cogner contre la vitre, tandis que la nuit enveloppait la ville dans son épais manteau.

Quand il se décida enfin à parler à nouveau, il tournait lentement sa tête de trois quarts vers elle pour la toiser du coin de l’œil. Le son de sa voix était bien plus profond, presque en colère. « Et il concerne ton cadet, Regulus. » Il pivotait vers elle, décroisant ses mains. Il était définitivement furieux et sa froideur rendait le tout plus dangereux. « “Les Black, les véritables Black, sont fidèles au Seigneur des Ténèbres” » répétait-il non sans un certain cynisme, prenant même une voix plus aiguë dans une tentative d’imiter son interlocutrice avant de reprendre immédiatement sa voix caverneuse et alourdie par sa véhémence. « Ne me ment pas, Walburga ! » crachait-il. Les traits de son visage se durcissaient, faisant disparaitre ceux plus angevins lorsque le démon aux allures de serpents remontait à la surface. Même sa voix sifflait : « Comment peux-tu oser prétendre m’être fidèle, toi, alors que je sais que tu estimes que ton fils est mort à cause de ses activités au sein de ma lutte ? » La dureté de son ton tranchait l’air d’un coup net, rebondissant avec fracas contre les murs du salon. Il s’était même rapproché d’elle, la surplombant de sa grandeur. Seuls deux ou trois pas les séparaient.

Il laissait trainer un bref silence, le temps de reprendre le contrôle et d’afficher à nouveau cette colère froide et terrifiante. Ses traits étaient toujours aussi durs alors que ses airs angéliques revenaient progressivement. En revanche, sa voix était toujours aussi sifflante. « Je vais te dire, Walburga, ton fils est surtout mort à cause de son avidité manifeste et de sa volonté de me trahir. » Un rictus malsain s’installait au coin de ses lèvres. Il aurait adoré aller dans les détails, mais malheureusement, il ne savait pas exactement ce qu’il s’était passé. Il avait simplement fait les liens dans sa tête à cause (ou grâce) à ce qu’il s’était passé dans leur monde ou ici. « Voix-tu, en dépit de l’éducation rigoureuse que tu lui as donnée, ton fils n’est ni plus ni moins qu’un sale petit voleur de bas étage. Son crime est si crasse que je crois même que cette sale race de moldus ne s’avilirait pas de la sorte. » Il l’insultait. Volontairement. Parce que sa colère était trop grande et par simple plaisir de rabaisser son fils qui ne valait strictement rien à ses yeux désormais. Sa vindicte repartait de plus belle, élevant le ton tout en tentant de garder le contrôle de sa rancune. « J’offre une place de choix à mes côtés à ton fils et c’est ainsi qu’il me remercie ? En me volant ? Accompagné de la chose contre nature qui te sert d’elfe de maison en plus ? » Il étouffait un rire amer avant de s’écarter d’elle de quelques pas et de lui tourner le dos. Il se dirigeait vers la fenêtre à nouveau. Observer la pluie semblait l’apaiser, mais ce n’était qu’un leurre. « Ne m’insulte plus en me parlant de fidélité envers moi alors que tout ce qui est sorti de ton ventre, Walburga, a été uniquement synonyme de constante déception et traitrise. » Il lui jetait un bref regard en coin avant de s’attarder sur le déluge.
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