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Que feriez-vous par amour ? ☕ Hannibal Lecter

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Anonymous

Invité



Ven 17 Déc - 11:44

@Hannibal Lecter
Que feriez-vous par amour ?

Cela faisait plusieurs jours que Martin campait différentes positions stratégiques au sein de cette ville. Il avait pour objectifs de voler des documents administratifs dans plusieurs cabinets de professionnels de santé, notamment les médecins, les psychiatres et les spécialistes en neurologie et en cardiologie dans les cliniques privées. C'était impossible pour lui de couvrir tout le personnel de santé, alors il avait dû faire une première sélection en se basant sur ce qu'il savait d'Andrés, et surtout sa maladie : la myopathie de Helmer, qui ne se traite pas à la légère. Il avait fait pareil avec les pharmacies mais sans succès pour le moment, car la ville était aussi grande que l'espoir qu'il avait de retrouver cet homme : c'est à dire infinie. Hannibal Lecter était un psychiatre faisant partie de sa liste : le premier pour dire vrai. Des échos qu'il en a eus, Martin avait pensé que si Andrés avait eu un suivi psychiatrique ici, pour quelques raisons qui soient comme un internement en prison, ce serait surement vers ce Lecter qu'il aurait raconté des histoires farfelues. Andrés n'aurait jamais eu la démarche d'aller consulter, mais Martin ne voulait pas passer à côté de quelque chose, d'une piste. C'était juste au cas où.

L'ex braqueur devenu petit bandit connaissait maintenant les habitudes de ce psychiatre. Il connaissait ses horaires, les véhicules qu'il empruntait, à quelle heure il prenait ses repas et ses pauses pipi, la couleur du boxer de son client hier... Bref il était prêt, du moins il le pensait. Attendre le milieu de la nuit, rentrer, crocheter la serrure, voler les documents, et repartir en ne laissant aucunes traces. Le plan était plus simple que fondre 90 tonnes d'or à la banque nationale d'Espagne. Mais ce qu'il ne savait pas était que ce bureau était en réalité l'antre d'un monstre. S'il l'avait su, il n'aurait peut-être pas mis les pieds si naïvement finalement. Il avait déjà perdu l'usage d'un oeil, que risquait-il cette nuit ? Martin était venu en moto qu'il avait garé deux rues plus loin. Sa tenue était celle d'un voleur : un bomber noir, un bonnet de la même couleur, une paire de rangers patrol, et des gants en cuir. Sa montre indiquait 2:28 AM quand il se présenta devant le cabinet. Ici la rue était calme alors il commença a crocheter les portes. A l'intérieur, il activa son chronomètre après avoir désactivé l'alarme. Martin savait que son temps était compté maintenant : il avait 19 minutes et 33 secondes précisément avant que le service de sécurité reçoive une notification comme quoi l'alarme était désactivée.

Dans le bureau Martin ne s'attarda pas sur les détails, il se dirigea directement vers les étagères pour fouiller dans les dossiers avec une délicatesse surprenante. Son but n'était pas de saccager ce bureau, juste trouver un nom imprimé sur une feuille. Quand un classeur semblait contenir des informations sur les patients, il s'installait sur le bureau de Lecter pour mieux feuilleter. Il avait seulement allumé la petite lampe du bureau pour s'éclairer. « Por favor... Por favor Dios. Por amor, dame una pista. Cualquier cosa.» - Si te plait... S'il te plait Dieu. Pour l'amour, donne moi une piste. Quelque chose. S'était-il murmuré pour se donner du baume au coeur. Mais il ne trouverait rien dans ce bureau, si ce n'est des ennuies. En effet il se figea en entendant de légers bruits de pas de l'autre côté de la porte du bureau. « Mierda. ».  - Merde. Il n'avait pas le temps de ranger le classeur ouvert, Martin se contenta simplement d'éteindre la lumière. Le braqueur était monté à l'étage et se cachant derrière une bibliothèque, il sorti son arme à feu qu'il chargea. La porte s'ouvrit dans un grincement, avant de se refermer : il n'était plus seul.

Venir en pleine nuit n'était pas dans les habitudes de cet homme, du moins de ce qu'il avait observé. Martin comprit alors qu'il venait de se faire avoir. Mais à quel point ? Il sortit de sa cachette, et mis en joue le visiteur en contrebas : il s'agissait du Dr. Lecter. Son plan restait inchangé, il allait juste devoir improviser. « Tranquilo, Tranquilo. » - Doucement, doucement. Martin descendit lentement les marches sans quitter le Dr. des yeux. « Au moindre mouvement brusque, même ta mère ne sera pas capable de te reconnaître. Si tu cries, tu perds tes couilles. Si tu sors ton téléphone, tu perds ta main. Si tu parles sans que je te cause, tu perds la seconde. Compris ? » Ils étaient face à face, simplement séparés par le bureau. « Je ne pensais pas qu'on se rencontrerait si rapidement, je dois dire que tu es plus sexy plus près. » Les tutoiement, les allusions sexuelles, étaient uniquement là pour montrer qu'il contrôlait la situation. Mais son ton se durcit. « Maintenant assis-toi, calmement ! Je n'en ai plus pour longtemps. » D'une main il tenait toujours en joue Hannibal, de l'autre il ralluma la lampe et feuilleta de nouveau le classeur. Ses yeux, dont un seul était encore fonctionnel, faisaient l'aller-retour entre le médecin et les feuilles. « Dites-moi Docteur Lecter, que feriez-vous par amour ? » Lui parler, l'occuper, et le vouvoyer cette fois-ci. Mais le classeur ne contenait rien d'intéressant finalement. Alors il le laissa, et Martin s'assit dans le fauteuil en face du docteur pour écouter sa réponse, et lui poser d'autres questions.

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Hannibal Lecter

Hannibal Lecter

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▿ Ton univers : Hannibal
▿ Date de naissance : 19/02/1972
▿ Age : 52
▿ Métier : Psychiatre
▿ Quartier : Lockwood Hill
▿ Côté cœur : Que feriez-vous par amour ? ☕ Hannibal Lecter B0a5162e2533374719d863eae06a40ca
Could he daily feel a stab of hunger for you and find nourishment at the very sight of you? Yes.
▿ Dons/capacités/pouvoirs : Aucun pouvoir.
▿ Pseudo : Oly
▿ Avatar : Mads Mikkelsen
▿ Copyright : L'écureuil
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Mar 21 Déc - 9:01


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Que feriez-vous par amour ?


L’impression déplaisante d’être observé, épié. Même si les circonstances s’y prêtent plus que largement et qu’Hannibal semble s’être payé le luxe d’avoir su se faire plus d’ennemis affichés dans cette vie que dans la sienne, il n’est pas dans les habitudes du psychiatre de céder à la paranoïa. En revanche, il est dans ses impératifs les plus absolus de céder à la prudence la plus totale quand l’absence de celle-ci pourrait avoir des répercussions d’un ordre par trop conséquent sur lui, sur sa carrière, mais pas seulement. Hannibal n’est plus seul dans l’équation. Et cela change certaines de ses considérations. C’est une intuition qui l’a encouragé à retourner dans son cabinet psychiatrique à une heure si indue. Ce n’est pas la première fois qu’il cède à une intuition de la sorte (finalement, sans doute est-il au moins un petit peu paranoïaque, mais on pourra à tout le moins lui reconnaître qu’il a de bonnes raisons à cela), mais cette fois-ci, elle ne l’a visiblement pas trompée. Sur ses gardes, il pénètre la pièce…

A première vue, tout est à sa place, à l’exception d’un classeur laissé ouvert sur son bureau. Hannibal allume la lumière et, d’un pas prudent se rapproche de son bureau pour examiner le classeur ouvert, attention focalisée sur ce que chacun de ses sens pouvait lui instruire de la situation. Son flair – infaillible on le sait – est le premier à l’alerter de la présence de l’intrus, à l’étage. Il lève le regard au moment de découvrir un homme, encore un inconnu pour l’heure, arme braquée sur lui, qui l’exhorte dans un espagnol impeccable, qui laisse suggérer que c’est sa langue natale, de demeurer tranquille, ce qu’il fait, se composant une attitude tranquille en dépit de la menace évidente représentée par cet homme. Combien de fois a-t-il eu un revolver braqué dans sa direction ? Bien trop de fois pour qu’on puisse le qualifier d’honnête, ça c’est certain.

Hannibal le suit du regard, presque sans ciller, tandis que l’homme, dans toute la vulgarité qui le caractérise (et qui sied davantage aux « porcs » dont il garnit son assiette), l’exhorte à ne surtout pas bouger ou prévenir qui que ce soit. Oh, Hannibal n’a pas la moindre intention de demeurer sans se défendre, mais pour l’heure, il cherche surtout à comprendre à qui il a affaire et quelles peuvent être les intentions plus précises de son interlocuteur, qui pour l’heure en passe par une phase classique d’intimidation qui, là encore, le laisse de marbre. Là encore, il faudrait sans doute s’inquiéter du nombre de psychopathes sans doute autrement plus dangereux que son interlocuteur qui ont cherché chacun leur tour à le déstabiliser. Il obéit donc, impassible, quand l’homme lui demande de s’asseoir, et lui laisse le loisir de feuilleter le contenu du classeur, qui en l’occurrence ne contenait rien de compromettant.

"Tout ce qui est nécessaire",
répond Hannibal d’un ton très calme quand son interlocuteur lui demande ce qu’il serait susceptible de faire.

Oh, la liste est aussi longue que celle des personnes pour qui il ait jamais ressenti de l’amour est courte. Will. Mischa. Fin de la liste. Mais que n’a-t-il pas fait pour eux ? Que ne ferait-il pas pour eux ? Le pire plus que le meilleur, pourrait-on arguer sans se tromper… Mais dans un cas comme dans l’autre, l’impulsion initiale a été la même. Fâcheux sont ces élans du cœur qui abandonnent à l’autre une part de votre raison. La vie était par bien des aspects plus simple avant Will. Mais aussi ô combien moins intéressante.

"Plutôt que de poursuivre de dévaliser mes documents et ma bibliothèque, il serait sans doute plus avisé de me donner directement le nom de la personne que vous cherchez. Je ne sais rien refusé à un homme qui me tient en joug."

Cette dernière phrase est particulièrement fausse, mais marque une décontraction affichée, contrastant naturellement avec une situation qui ne s’y prête pas le moins du monde.




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