It’s time to die, asshole !
Ma très chère prime, ne sait pas ce qu’il l’attend.
Le meurtrier de ma mère est encore en vie je ne sais comment mais une chose est certaine c’est qu’il va mourir aujourd’hui et de manière inhumaine.
Parce que lorsqu’on arrache une maman à son enfant, c’est comme si lui on crevait le cœur.
Laissant du sang couler jusqu’à ce qu’on finisse par en crever.
Et ça ne cessera de me hanter, tant que je ne l’aurais pas crevé, cet enculé.
J’en ferais de la pâtée, que je jetterai aux hyènes d’Harley.
En vérité, je vous ai menti, je ne suis pas seule à agir : mais plutôt en très bonne compagnie, une certaine Yelena Belova s’est présentée à moi, le moment opportun.
Ce fut l’occasion de finaliser mon projet, d’en venir aux mains et de saigner ce fils de consanguins.
Toute ma vie, j’ai été hantée par la disparition de ma mère et c’est cette ordure de Fatabite, qui est toujours en vie.
C’est inconcevable qu'il vive sa meilleure vie auprès de ses amis.
Alors que ma créatrice, a périe sous la puissance de ce connard, de docteur psychothique.
Des ordures il en existe par millions, mais lui c’est un sacré morceau.
Que je dégusterai avec plaisir comme un veau, en le mâchant sans dire un mot.
Savourant chaque parcelle, de son corps, qui m’a causé tant de tort.
Le manger ne ramènera pas maman à la vie, mais elle l’empêchera de revenir, lui.
Qui m’a tant pris et qui s’en est sorti en arrivant ici.
Et sûrement en train de rire aux éclats, un verre de vodka à la main.
La seule chose que je ne dégusterai pas seront ses yeux, les mêmes qui ont observés ma mère mourir.
Ils finiront en pâte, comme celle qu’on utilise pour de la pizza.
Et atterriront dans les tréfonds du néant.
Cette tête de gland ne mérite même pas, d’avoir un destin clément.
Seulement la torture et une mort progressive, qui durera autant que je le désire.
Cette nuit, je retrouve la tueuse à gages, dans mon Penthouse luxueux :
<< Bonsoir Yelena, êtes-vous prêtes à écraser cette fourmille en ma compagnie ? Je vous sers du thé ou du café ? La nuit va être longue >>
Et terriblement sanglante, j’en foutrais même sur les murs, histoire de les peindre et de faire un picasso : de cet alcoolo.
Que ses dents volent, que sa langue soit coupée, que ses couilles soient mutilées : que son cul soit troué.
Et que justice soit rendue !
<< Juste avant qu’on se charge de cette vermine, vous venez d’où ? Parce que des femmes talentueuses, comme vous : ça ne court pas les rues >>