LE FIANCE VOLEUR ▿ Peach & Morgan

Le réveil fut difficile. Chaque partie de son corps était douloureuse, comme si elle s’éveillait d’un long sommeil. Pourtant, elle ne se souvenait pas s’être couchée. Elle se souvenait encore moins s’être allongée sur un sol qui lui était totalement inconnu. Comprenant immédiatement que quelque chose n’allait pas, la blonde s’était levée aussitôt pour analyser les alentours. Mais elle ne reconnaissait rien. Absolument rien. Cette maison lui était inconnue. Jamais elle n’était venue ici avant ce jour. Mais alors que faisait-elle là ? Comment était-elle arrivée dans cette maison ? Était-elle victime de la ville ? Après tout, Peach avait de nombreuses fois entendu ce genre d’histoire. Des habitants de l’île se réveillaient dans des endroits qu’ils n’avaient encore jamais vus. Et jusqu’alors, Peach n’avait jamais été touchée par ce phénomène étrange. Mais si la blonde avait bien compris une chose ici, c’était que personne n’échappait jamais à la ville et à cette chose qui la dirigeait.

Peach ne savait pas comment l’expliquer, mais elle ne se sentait pas à l’aise ici. Elle ressentait quelque chose, un sentiment qui lui criait de courir, de fuir le plus loin possible. Mais elle n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit, puisque des bruits s’étaient fait entendre. Il y avait du mouvement derrière la porte d’entrée. Ne sachant pas à quoi s’attendre, Peach préféra se faire discrète en allant se cacher dans une autre pièce, histoire d’avoir le temps d’analyser les personnes qui venaient d’entrer.

Peach n’était pas du genre à fuir, mais elle ne voulait pas prendre de risques inutiles. Lorsque ce groupe d’hommes était entré, elle n’avait pas vraiment réfléchi et avait couru jusqu’à la pièce la plus proche. Elle ne connaissait rien de ces personnes, elle ne savait pas ce qu’elle faisait là et ne connaissait nullement cet endroit. Si elle voulait éviter de se retrouver avec des ennuis, elle devait prendre le temps d’analyser les choses.

Après quelques secondes de non-action, cachée dans l’ombre à écouter les hommes qui se trouvaient dans la pièce à côté, la blonde se décida à agir. Elle n’allait pas attendre caché, même si cette solution était sans doute la plus prudente. La jeune femme commença alors à fouiller la pièce dans laquelle elle se trouvait. Si elle voulait en apprendre plus sur les gens qui vivaient ici et sur l’endroit en lui-même, elle devait commencer par fouiner. Mais cette première pièce était petite et la blonde en avait rapidement fait le tour. Malheureusement pour elle, elle n’avait rien trouvé d’intéressant. Il fallait sans doute passer à la pièce suivante.

En passant la tête à travers la porte, Peach pu apercevoir quelques hommes, mais heureusement pour elle, ils se trouvaient tous de dos. Dans le plus grand des calmes et le plus grand des silences, la jeune femme se faufila en dehors de la pièce afin de rejoindre une pièce voisine. Mais en entrant dans cette pièce, la blonde remarqua qu’elle n’était pas seule. Il y avait une autre personne devant elle. Inutile de faire demi-tour puisque cette dernière l’avait sans doute déjà vu. « Qui êtes-vous ? » Chuchota-t-elle pour ne pas se faire entendre des personnes qui se trouvaient dans la pièce principale. « Vous vivez ici ? » Demanda-t-elle presque aussitôt en continuant de chuchoter. Peach avait posé la question, mais elle était presque certaine de connaître la réponse. Cette jeune femme semblait se cacher elle aussi et si elle vivait là, elle aurait sans doute déjà donné l’alerte en voyant une inconnue chez elle.

Peach ne comprenait pas bien ce qu’elle faisait ici. Elle ne connaissait rien de cet endroit, ni des personnes qui se trouvaient à quelques pas d’elle. C’est sans doute pour cette raison, qu’elle avait préféré rester cachée en les voyant entrer. Habituellement, la blonde se serait mise à les combattre – ou à essayer de les combattre – sans aucune hésitation, mais cette fois-ci, elle avait voulu se montrer plus prudente.

Après avoir essayé de changer de pièce – discrètement, bien entendu – elle était tombée sur une jeune femme au visage inconnu. Que faisait-elle là ? Vivait-elle ici ? Ou, comme elle, était-elle arrivée ici comme par magie ? Pour en avoir le cœur net, Peach lui posa la question, même si, à première vue, Peach était prête à parier que cette inconnue ne vivait pas ici. Et la réponse de Morgan ne se fit pas attendre. La jeune femme se présenta dans un premier temps, avant d’offrir une réponse à Peach : non, elle ne vivait pas dans cette maison. « Peach. » Se contenta-t-elle de répondre dans un murmure, craignant d’être entendu par les personnes qui se trouvaient dans l’une des pièces voisines. La blonde s’approcha alors de Morgan - elle n’avait visiblement rien à craindre d’elle. « Non, je ne vis pas ici non plus. » Commença-t-elle par dire. « Je me suis retrouvée ici sans trop savoir comment. J’étais ailleurs et en une fraction de seconde, je me suis retrouvée ici. » Peach n’entrait pas vraiment dans les détails, se doutant que l’inconnue avait sans doute vécu la même expérience. « Comme vous, je suppose. » Ajouta-t-elle alors pour avoir la confirmation de Morgan.

Les deux venaient d’échanger quelques mots, mais Peach le savait, elles ne devaient pas traîner ici. Elles avaient deux solutions. La première était de sortir pour affronter ces inconnus. La seconde était de tenter de fuir en se faisant discrètes. Et même si Peach était une personne courageuse, elle préférait la seconde option. « On doit essayer de sortir d’ici avant de se faire repérer. » D’une minute à l’autre, n’importe qui pouvait débarquer dans cette pièce, elles ne devaient donc plus traîner. « Est-ce que vous avez remarqué quelque chose depuis votre arrivée dans cette maison ? Une potentielle issue ? Un moyen de s’échapper ? »

Il fallait trouver un moyen de quitter cette maison au plus vite. Mais comment ? La porte d’entrée était bloquée par tout un groupe d’hommes qui ne semblaient pas être de bonnes personnes. De plus, ni l’une, ni l’autre ne semblait connaître cette maison. Et pour couronner le tout, Morgan n’avait rien pu voir avoir de venir se réfugier, malheureusement, Peach n’était pas plus avancé. À la question de la brune, Peach, secoua négativement la tête. Visiblement, il n’y avait rien dans cette pièce, alors elles devaient fouiller les autres.

Avant de quitter la pièce, Peach avait attrapé le premier objet qui lui tombait sous la main. « On va devoir être prudentes. » Commença-t-elle à dire. « On doit quitter cette pièce puisqu’il n’y a rien ici. » Elles n’avaient pas le choix, elles ne pouvaient pas attendre ici que ces hommes repartent. Ici, elles étaient en danger, elles devaient quitter cette maison sans tarder.

Peach s’avança alors la première, passant, dans un premier temps la tête. Elle ne voyait pas grand-chose, juste quelques ombres qui provenaient de la pièce principale. Là-bas, il y avait une entrée, mais elle était inaccessible. S’y rendre, c’était se montrer et se montrer, signifier se mettre en danger et devoir se battre. Elle ne savait pas combien ils étaient et ne savaient pas si à deux, elles seraient assez fortes pour les combattre tous. « On y va. » Dit-elle alors en voyant qu’elles pouvaient passer sans presque aucun danger.

« Il faut fouiller cette pièce. » Elles n’avaient pas le choix. Elles devaient faire le moins de bruit possible, mais elles devaient chercher de quoi se défendre – mieux que ce que Peach avait attrapé – et une sortie potentielle.

Il n’y avait rien dans cette pièce. Il fallait fouiller le reste de la maison. Attendre ici n’était pas la meilleure des solutions. Les deux femmes devaient rester prudentes et discrètes. Les inconnus ne se trouvaient pas bien loin d’elles et ils pouvaient les surprendre à n’importe quel moment. Si elles n’avaient pas le choix, Peach était prête à se battre et à tout faire pour sortir d’ici en vie. Il était hors de question de prendre peur face au potentiel danger que représentaient ces hommes. Seulement, elles ignoraient toutes les deux leur nombre, elle ignorait tout de leur capacité à se battre, de leurs armes – s’ils étaient armés – ou de tout autre chose pouvant les désavantager. Elles ne pouvaient pas foncer tête baissée, elles devaient trouver un moyen de sortir d’ici et si elles n’avaient pas le choix, alors oui, elles iraient se battre. Mais avant ça, elles devaient trouver de quoi se défendre, de quoi se battre en cas de besoin.

Une fois dans une autre pièce, Peach commença à fouiller, disant à Morgan de faire la même chose. La pièce n’était que peu éclairée, mais elles devaient faire avec. Si elle allumait la lumière, elles se feraient surprendre, sans aucun doute. Morgan avait, malgré tout, trouvé de quoi se défendre, une sorte de pelle d’après ce que Peach arrivé à distinguer. « C’est parfait. » Si Morgan devait se battre, elle allait pouvoir s’en servir. En regardant tout autour d’elle, Peach n’avait rien trouvé d’autre qu’un long bâton. Ça allait devoir faire l’affaire, parce qu’il n’y avait rien d’autre à portée de main. « Il n’y a rien ici. » Une fois encore, la pièce semblait sans issue. « Je crois qu’on va devoir les affronter. » Dit-elle en parlant des hommes qui se trouvaient dans l’autre pièce. Puisque la seule issue semblait être la porte par laquelle ils étaient entrés.

Dans un premier temps, les deux femmes devaient trouver une arme. Les inconnus n’étaient pas loin d’elles et à tout moment, ils pouvaient les trouver là. Elles devaient alors avoir de quoi se défendre, même si Peach savait se battre, ils étaient nombreux et elle ne connaissait rien d’eux. Peut-être étaient-ils dotés d’une force surhumaine ? Peut-être avaient-ils des pouvoirs ? Ou des armes puissantes ? Quant à elles, elles n’avaient pour arme qu’une pelle et un bâton. Mais elles n’avaient pas le choix, ces armes allaient être leurs seules armes.

Après avoir fouillé une deuxième pièce entièrement, Peach avait compris qu’il n’y avait rien ici non plus. Sans doute n’y avait-il rien qu’importe la pièce qu’elles allaient fouiller. La blonde avait l’impression que leur seul moyen de sortir d’ici, c’était l’affrontement. Elles allaient devoir affronter ces hommes. Morgan semblait d’accord avec ce plan et s’était avancé dans l’autre pièce avant de regarder par la porte. Les hommes étaient toujours là, mais Peach n’arrivaient pas à voir combien ils étaient exactement. « Vous voyez combien ils sont ? » La question, tout comme la réponse, était importante. Leur combat n’allait pas être le même, ni leur plan, selon s’ils était trois ou s’ils étaient une dizaine. Dans les deux cas, Peach avait une idée du comment agir, mais elle préférait ne pas foncer tête baissée et attendre la réponse de Morgan quant à leur nombre.

C’était décidé, elles allaient se battre contre ces hommes puisqu’elles n’avaient pas le choix. Avant de se lancer tête baissée dans ce combat, elles devaient savoir combien ils étaient. Il y avait plusieurs voix différentes, plusieurs bruits de pas. Peach ne pouvaient pas donner de chiffre exact, mais elle était presque certaines d’en compter au moins six ou sept. Mais ce n’était qu’une approximation. Certains pouvaient garder le silence depuis le début. Ou peut-être qu’ils avaient, pour certains, des voix trop similaires pour être distinguées par une personne qui ne les connaissait pas, qui les entendait mal et qui ne les voyait pas. Puisque Morgan avait une vue sur eux, elle pouvait informer Peach quant à leur nombre. D’après elle, ils étaient dix. Mais pour Peach, ils étaient au moins dix, parce que certains d’entre eux pouvaient ne pas être visibles par la jeune femme qui venait de les compter. « D’accord. Ça va le faire. » Dit-elle sans savoir si elle croyait vraiment en ce qu’elle disait. Après tout, elle s’était déjà battue contre plus de monde. Elle était prête à se battre à nouveau. Et la jeune femme qui l’accompagnait dans cette mésaventure, semblait prête à se battre. Elle ne semblait pas craindre le combat, les coups ou les blessures. C’était une bonne chose. Elles étaient toutes les deux prêtes. « Pour réduire le nombre et ne pas avoir à se battre contre tout le monde d’un coup, on devrait peut-être essayer d’en attirer par ici ? Qu’en dîtes-vous ? » Peach ne savait pas si cela pouvait fonctionner, mais elle savait que dans les films qu’elle regardait parfois ou dans les livres qu’elle lisait à quelques reprises, cela fonctionnait. Si elles arrivaient à en attirer peu à peu ici, elles pourraient s’en débarrasser plus facilement que si elles devaient se battre contre dix hommes – au moins – d’un seul coup.

Contre une dizaine de personnes, elle pouvait se battre. Plus encore si la jeune femme qui l’accompagnait savait se battre elle aussi. Et au vu de ses réponses, elle savait sans doute. C’était une bonne chose. À deux, si les autres personnes étaient bien que dix et s’ils n’étaient pas trop armés, elles pourraient se défendre et éviter une potentielle mauvaise fin pour elles deux.

Pour ne pas foncer tête baissée, Peach réfléchissait à la meilleure chose à faire pour réduire un peu le nombre. Ce n’était pas si facile, elle n’avait pas vraiment d’idée sur le comment faire, mais elle savait que c’était une bonne idée et la jeune femme qui l’accompagnait semblait du même avis. « Je ne sais pas. » Répondit-elle honnêtement, dans un premier temps. Elle ne savait pas ce qui pouvait attirer un des hommes ou quelques-uns seulement et non tous. Elle ne savait même pas ce qui pouvait en amener au moins un. Seulement, elle voulait essayer, si ça ne fonctionnait pas, alors elles iraient se battre directement dans la salle où ils se trouvaient tous. La question serait réglée et si elles réussissaient à tous les combattre sans que rien de mal ne leur arrive, elles pourraient sortir d’ici et rentrer chez elles pour reprendre leur vie et oublier cette mésaventure, même si Peach, devait bien avouer qu’elle aimait bien ce qu’elle était en train de vivre malgré le danger. L’action, elle avait toujours aimé ça et la pointe de danger qui se trouvait là n’était qu’un petit plus. « Nous pouvons essayer de faire du bruit pour les attirer. Ils se demanderont peut-être ce qu’il y a et enverront un ou deux hommes vérifier ? » Une solution bateau qui paraissait un peu bête et qui n’allait peut-être pas fonctionner.

Faire du bruit, ce n’était pas l’idée la plus originale, mais Morgan n’avait aucune idée sur le comment les attirer ici pour disperser le groupe. Et honnêtement, Peach n’avait pas plus d’idée qu’elle. Sauf qu’elles n’avaient pas le temps d’élaborer un plan, elles devaient agir vite pour s’en sortir vite. Peach en avait assez d’être cachée, elle en avait assez de devoir se faire discrète pour ne pas être vue. Elle avait envie de se battre pour avoir la vie sauve.

Morgan semblait d’accord avec l’idée de les attirer en manifestant leur présence par le bruit. Elle n’avait rien répondu, mais son signe de tête et le bruit qu’elle avait fait aussitôt, le montrait. Alors Peach fit de même. Il fallait espérer que tous les hommes ne viennent pas d’un coup, mais bien en groupe. Rapidement, les voix s’étaient stoppées et des bruits de pas s’étaient fait entendre, de plus en plus forts. Ils approchaient, ça fonctionnait. Peach ne savait pas combien ils étaient, mais ils étaient plusieurs, leurs ombres étaient nombreuses et leurs bruits de pas étaient trop lourds pour n’appartenir qu’à un seul d’entre eux.

Peach n’eut qu’une seconde pour apercevoir le premier homme, mais elle avait pu voir ses vêtements. Ils étaient tâchés. Tâchés de… sang ? Sans oublier le couteau qu’il tenait dans l’une de ses mains. Il était prêt à attaquer les deux femmes. Alors elles étaient véritablement en danger ici. Peach n’avait donc aucun scrupule à avoir. Elle pouvait frapper et ôter la vie si nécessaire. Sans hésiter, Peach avait levé le bâton - qu’elle n’avait pas lâché depuis qu’elle l’avait trouvé - et avait frappé le premier homme. Elle avait frappé si fort qu’il était tombé au sol. Pour être mieux armée, elle avait attrapé le couteau qu’il tenait dans la main et l’avait glissé dans ses poches avant de recevoir un coup qui l’a fit chuter au sol. Il avait sacrément de force celui-là. Mais Peach ne s’était pas laissé abattre, elle avait repris le couteau pour lui planter dans la jambe, afin de le déséquilibrer et une fois debout, elle l’avait frappé de toutes ses forces avec le bâton. « Vous n’avez rien ? » Demanda-t-elle à Morgan qui avait dû se battre elle aussi. « On y va. » Elles devaient aller dans la pièce principale. Les inconnus savaient qu’elles étaient présentes et le combat avait fait du bruit, ils allaient rappliquer d’une minute à l’autre. Maintenant qu’ils étaient moins nombreux, il était sans doute mieux de les combattre là-bas.

Le combat avait enfin débuté. Les premiers hommes avaient été blessés, sonnés et neutralisés. Peach avait reçu quelques coups durant le combat et se disait que c’était peut-être le cas pour sa compagne d’aventure. « Ça va. » Répondit-elle simplement. Elle avait quelques blessures, mais rien de très grave, en réalité, ça ressemblait plus à quelques égratignures et elle allait sans doute avoir quelques bleus, mais rien de très grave. Puisqu’elles estimaient toutes les deux allées bien, elles pouvaient donc continuer de se battre pour sortir d’ici en vie. Les hommes qui se trouvaient dans la pièce principale savaient désormais qu’elles étaient là, ils s’attendaient soit à les voir neutralisées par leurs amis, soit à les voir débarquer, mais ils s’étaient sans doute préparés à devoir les affronter.

Peach avait eu raison, à peine étaient-elles entrées dans la pièce principale que l’un des hommes s’était jeté sur elle. N’ayant pas eu le temps de réagir, elle était tombée sur le sol, faisant tomber quelques objets avec elle. Cet homme-là était plutôt fort et il était difficile pour Peach de s’en débarrasser seule. Elle avait essayé de le frapper et de le repousser, mais rien n’y faisait, il était dépourvu d’une force quasiment surhumaine. Comprenant qu’elle n’allait pas y arriver seule, malgré sa détermination, Peach allait devoir demander de l’aide. « Morgan, j’ai besoin d’aide. » Elle savait que sa compagne d’aventure avait ses propres problèmes, puisqu’il y avait d’autres hommes dans la pièce, mais elle espérait pouvoir compter sur elle pour au moins la dégager de ce mauvais pas. Une fois libérait, elle pourrait se défendre seule.