(abandonné) i wanna know you. (w/ godric)

Seules les lumières des réverbères illuminent le chemin où se faufile Jason, en panoplie de policier, l’œil le plus vif possible. Un appel a été transféré au commissariat pour du tapage nocturne, alors il s'est dit qu'il irait jeter un coup d’œil. Seul, sans l’approbation de ses collègues dont les effectifs frisent le ridicule la nuit. Autant conclure cette ronde rapidement et il pourra retourner au chaud, un café à la main qui lui réchauffera un tant soit peu le cœur. Jason n'a pas l'habitude de travailler aussi tard dans la nuit, alors son cerveau a besoin d'un maximum d'aide pour rester éveiller. Quoi de mieux que de s'abreuver de cette boisson aux effets existants. Fut un temps où il se serait adonné à une autre boisson, peu commune ici et beaucoup plus efficace et addictive. Heureusement, cette période de sa vie est complètement révolue et il n'a plus touché à ce truc depuis des années, mise à part quand Warlow l'a soigné de son sang contre son gré.
Le parc désert ressert ses ombres sur lui à mesure que ses pensées le tracassent au point de ne plus se concentrer assez pour émettre un avis sur l'appel. Alors Jason, dans un éclair de lucidité, essaye d'éloigner les souvenirs qui l'attaquent soudainement et de reprendre du grain de la bête. En parlant de bête, son ouïe détecte un son guttural non loin de là. Tiens, un chat peut-être ? Pourtant, le bruit se promeut d'une succion et d'un faible gémissement finissant en un gargouillement hautement glauque. Qu'est-ce qui s'passe pour l'amour de Dieu ? Ce n'est pas un bruit d'animaux normal et la curiosité de Jason est rapidement mise à l'épreuve.
L'effroi est sans appel lorsque le trentenaire tombe nez-à-nez avec un prédateur sanguinaire en train de dévorer sa proie, du moins c'est ainsi qu'il lui semble apercevoir la scène dans la pénombre générale. Instinctivement, alerté par le danger, Jason dégaine son arme et la serre fort entre les paumes de sa mains, au point de faire blanchir ses phalanges. Son myocarde accélère si vivement qu'il a l'impression d'être englouti par ses battements féroces. Il s'avance doucement, sans aucune indiscrétion alors que les semelles de ses chaussures éraflent la pelouse du parc. La priorité est d'éloigner le prédateur de ce pauvre homme allongé au sol, non ? Jason ne tient donc plus en place et vocifère : - Police ! Écartez-vous de lui ! C'est un putain d'ordre ! Le blond rajoute une couche voyant que l'ombre prédatrice tarde à réagir à ses beuglements d'officier de police. - J'ai dit, laissez-le tranquille, lâchez-le et retournez-vous, les mains en l'air. Si vous tentez quoique ce soit, j'vous plombe la poitrine. C'est compris ? Jason n'a jamais été un agent raffiné et très procédurier. Bien au contraire. C'est le genre de mec à bousculer un peu les ordres -la preuve, il ne serait pas là seul sinon- et à en faire qu'à sa tête. Des traits de caractère qui lui ont valu plusieurs sommations et remontrances. Mais il retombe toujours sur ses pieds et ne se laisse pas faire, ce qui lui permet notamment de rester en vie ? Alors, pourquoi changer ?
Ses prunelles restent figées sur la silhouette sanguinaire qui lui rappelle finalement un peu trop certains souvenirs à Bon Temps. Et il n'a finalement pas tord, ce qu'il s'en rend compte une fois qu'il voit clairement le vampire en face de lui. Bizarre, il me rappelle quelqu'un..., se dit-il, non sans abaisser son arme au poing. Ses paupières se plissent pour mieux percevoir les traits du visage de l'attaquant, essayant de détecter la ressemblance derrière les filets de sang qui tâche une grande partie de sa bouche et sa mâchoire. - Easy, j'ai déjà maté des types de ton genre, alors ne tente rien., lâche Jason dans un ton peu assurant, essayant toujours de replonger dans les méandres de son passé.

L'adrénaline est ponctionnée par chacun de ses battements de coeur, poussant l'hormone à se répandre dans tous les vaisseaux sanguins et à se disséminer ensuite dans les méandres de ses muscles en action. Jason aime tellement cette sensation de stress et d'euphorie, les mêmes qu'il expérimentait lorsqu'il se droguait au sang de vampire. Évidemment, cette époque est révolu puisqu'il a vécu les conséquences de l'addiction que cette substance produisait en lui. Il était finalement réduit à être un animal, poussé dans ses retranchements par ses instincts sauvages les plus bas, comme le sexe et la poussée d'envie meurtrière. Il avait fait un trait dessus, bien que ça n'ait pas été facile et qu'il ait du s'associer à une secte pour s'en sortir. Les merdes ont la facilité déconcertante de lui tomber dessus, et pourtant Jason trouve toujours un moyen de les surmonter et les dépasser, comme s'ils n'avaient jamais existé. C'est l'impression qu'il donne en surface, mais en vérité il tire beaucoup de ses erreurs et essaye de ne pas les recommencer. Il est juste très bon à cacher les cicatrices qui juchent son corps et son esprit. Aussi, il ne touchera plus à cette drogue, du moins volontairement, c'est ce qu'il s'est promis à lui-même. Il y a eu des déviances puisque Warlow lui en a fait boire contre son gré (et dans une autre vie, Eric Northman, mais ça il ne le saura probablement jamais). Saleté de vampire. Il n'est pas sans mentir que cette expérience de sa vie lui a fait regretter certains choix et certaines affinités pour les morts vivants, allant jusqu'à les haïr à un moment donné. Il y a eu des exceptions bien sûr, notamment avec Bill, le mec de sa petite soeur. Leur relation a été difficile au début, mais Jason a pris le temps et l'honnêteté pour accepter le fait qu'il soit bon pour Sookie. Les vampires avec lesquels il s'entendait bien se compte néanmoins sur les doigts d'une seule main.
Et Jason ignore encore maintenant que l'un d'entre eux se tient à ce moment précis devant lui.
Tout ce qu'il aperçoit, en cette nuit brumeuse, dans ce parc à moitié éclairé, c'est un vampire assoiffé de sang de sa victime. Les poils de son corps se dresse irrémédiablement sur son épiderme, car l'officier de police sait exactement quoi s'attendre avec cette créature en joue. Il connaît leur faiblesse, mais il connait également leurs forces, et celles-ci sont nombreuses, impitoyables et mortelles. Il sait qu'il n'a plus le droit à l'erreur, depuis l'instant où il a alpagué le mort vivant. Heureusement que l'adrénaline réveille tous ses sens et qu'elle lui permette d'être plus obtus. Sa voix est forte et emplie d'assurance lorsqu'il parle pour qu'aucune peur ne transparaisse de son comportement. En effet, il ne ment pas au vampire, il a déjà eu affaire à des crocs sur pattes de son genre. Il en a déjà tué, mais pas dans la même situation que celle à laquelle il fait aujourd'hui face. La créature vient de se nourrir sur sa pauvre victime et est donc au maximum de ses capacités, ce qui signifie qu'il n'a pas le droit à l'erreur. Jason serre davantage son arme de poing et vise le coeur du vampire, ses muscles contractés au cas où il doit tirer sur la gâchette. On ne lui donne pas des balles en argent au commissariat alors il devra faire avec et espérer que le coup ne fasse diversion, le temps qu'il ne trouve une solution argentée. Peut-être bien que ma croix en argent suffira ? Merci grand'ma. C'est inespéré qu'elle soit à nouveau autour de son cou. Depuis qu'il s'est réveillé dans ce nouveau monde qui n'est pas le sien, ni celui des autres d'ailleurs, et qu'il peine à retrouver sa famille, il s'est mis dans la tête d'arborer ce bijou qui les lui rappelle. Bref, des tonnes d'idées lui passent à l'esprit, mais le sang immaculé qui dégouline de la bouche du vampire ne cesse de le déconcerter et de répandre des vagues de frissons dans tout son corps, l'empêchant de mettre de l'ordre dans sa tête. Lorsque le vampire parle avec assurance et une pointe de malice, Jason sent sa bouche devenir petit-à-petit pâteuse, sous l'emprise d'une nouvelle peur. Fuck, fait pas ta tapette. Il se donne des raclées à lui-même avant que ses prunelles ne lève peu-à-peu le voile sur la situation, révélant à sa stupeur les traits d'un jeune visage dont il ne peut que se souvenir. Un éphèbe doté d'une âme plus ancienne que toute celle qu'il a pu jusqu'alors croiser. - Vous ? Le vouvoiement est de connivence malgré la surprise qui le laisse pantois, l'arme toujours au poing mais les bras fébriles. L'adrénaline diminue et bientôt des contractions douloureuses lui rappellent qu'il n'est qu'un humain et qu'il ne peut pas rester indéfiniment dans cette position. Seulement, ses yeux parcourent encore le corps, notamment le visage, du fameux vampire martyr comme s'il ne croit pas ce qu'il voit, ni ce qu'il entend. Pourtant, il s'agit bien de lui, de Godric, le père d'Eric Northman. Celui-là même que la Communauté du Soleil a voulu occire et a finalement réussi puisqu'il s'est offert au levant. Le voir en chair et en os, bel et bien "vivant" et non pas en tas de cendres, son tatouage distinctif quoique intriguant toujours plaqué au buste, donne à Jason une pointe d'espoir dont il a désespérément besoin. Si Godric est revenu ici, alors Sookie ne peut être très loin ! Au plus profond de lui, il est également heureux de revoir le vampire, aspirant un profond respect à son encontre, et ce depuis qu'il l'a rencontré. - Je. Pardon, j'suis désolé. Je n'voulais pas vous pointer et vous menacer, je ne vous ai pas reconnu dans le noir., bredouille rapidement Jason, laissant tomber ses bras et rangeant rapidement son arme dans le dispositif accroché à sa hanche. Il se demande un instant si Godric lit dans ses pensées, car il répond tout de suite à la seule inquiétude qui lui colle à la poitrine, c'est-à-dire le sort de l'humain allongé par terre, à moitié mort ou à moitié en vie -ça dépend dans quel sens on regarde la situation. - C'est vraiment lui ? Jason ne connait pas les détails, mais il a en effet entendu parler de cette affaire au commissariat. Un type déséquilibré, disaient certains. Lui pensait qu'il méritait la peine de mort pour ce qu'il faisait. On dirait bien que Godric a exaucé un de ses vœux. - La Shevreport PD vous remercie. Il est mort ? Parfois, Jason a besoin d'un peu de temps avant de comprendre certaines choses, mais le corps inanimé du meurtrier vient de toute façon répondre à sa question. - Bon débarras ! Un taré en moins dans la ville. Je m'occuperai du rapport, et je n'ai rien vu, ni rien entendu., sort-il dans sa verve habituelle, avec son accent chaud du sud et sa gestuelle contagieuse, avant de se concentrer à nouveau sur le vampire sauveur d'enfants. Un bon vampire, comme Bill. Comme quoi, l'instinct de Jason ne se trompe jamais. Alors quand les prunelles de Godric se plante dans les siennes, c'est sans peur qu'il entre dans sa conversation, malgré des tâches de sang qui restent collées à sa peau diaphane et sa chemise légère et un cadavre planté dans le gazon à deux mètres à peine d'eux. - En effet, j'ai du mal à abandonner mes bonnes habitudes. Le trentenaire fait référence au badge de police qu'il porte fièrement et sans tracas à sa veste proprement repassée -un des seuls vêtements auquel il fait attention chez lui. Il se rend compte soudain de sa bourde et tente tant bien que mal de se reprendre. - C'est que j'me suis engagé dans la police à Bon Temps et que j'suis même devenu shériff, après que vous... enfin, vous voyez ce que j'veux dire. Le sort de Godric lui est toujours resté en travers de la gorge, ayant eu une part dans sa capture et, par extension, dans sa mort tant voulue par la Communauté du Soleil. Il s'était excusé auprès du vampire ancestral, mais cela n'avait pas suffi à reposer sa conscience. Une main sur la nuque, la massant dans un regard gênée, et Jason décide alors de changer rapidement de sujet. - J'ai croisé Eric au Fangtasia. Il ne rajoute aucune autre information, sachant pertinemment que le lien entre le blond et le brun est plus que fusionnel. Inutile de parler mal d'Eric en présence de Godric, Jason sait que la suite de leur conversation se passera mal. - Sinon, personne d'autre. Enfin, vous, ce soir. La peine est remplacée par une pointe d'espoir, un sourire naissant du coin de ses lèvres. - Vous avez rejoint Eric au Fangtasia, c'est cool. Vous n'auriez pas croisé Sookie par hasard ? Puisqu'il n'a pas confiance en Eric, il essaye donc de récolter des informations d'autres bouches, beaucoup plus honnêtes et respectueuses, et étrangement charnues et carminée. What the fuck man ? Parfois, Jason trouve ses pensées trop dévergondées et pas assez normées, surtout depuis qu'il a rêvé de Warlow de façon très -trop- homo-érotique. Warlow, l'ennemi numéro de sa famille, c'est dire combien ces images encrées en lui le torturent la nuit. Range cette pensée déviante tout de suite dans ton cervelet à la con. - Hum. Il vous reste du sang... ici., fait signe l'aîné Stackhouse en pointant fébrilement le creux de ses lèvres. Plus il parle, plus il s'enfonce, alors il décide de ne rien dire jusqu'à ce que sa gêne s'en aille accompagnée de ses pensées pas très chrétiennes.

Tu m'étonnes... Qui ne serait pas chanceux de pouvoir ressusciter des morts et vivre une seconde vie ? Le destin était tombé sur Godric, un vampire, alors que tout autre individu aurait pu renaître de ses cendres tel un phoenix. Ses parents par exemple. Sa grand-mère. Mais non, c'était Godric qui avait hérité de la chance, et personne d'autre. A vrai dire, cela ne chiffonne guère Jason, puisqu'il avait apprécié l'attitude du vampire dans leur monde. Le voir, ici, en chair et en os le surprend, certes, mais ne le met pas dans une situation indélicate. Son coeur prend même la nouvelle comme étant un bon revirement dans le déroulement de sa nuit de garde.
Avec tout le respect que lui inspire la créature de minuit, le Stackhouse ne le laisse pas en joue et s'excuse platement pour l'avoir pointé de son flingue. Un réflexe professionnel, rien de plus, mais il souhaite que le vampire le sache et qu'il ne s'imagine pas qu'une tension perdure entre eux, du fait de leur passif. Étrangement, du plus loin qu'il s'en souvienne, Godric lui a toujours inspiré confiance, et c'est ce sentiment qui l'a amené à se rebeller contre la Communauté du Soleil. Le cadavre de l'assassin d'enfants qui gît encore devant eux en est la preuve entière et intarissable. Pendant que Jason se baisse pour contrôler le pouls inexistant du criminel, il se demande comment Eric Northman peut être le "fils" de Godric, ce vampire qu'il considère sage et noble. Aussi, le compliment que ce dernier lui fait lui va droit au coeur et le fait sourire. C'est vrai qu'il ne s'imagine pas faire un autre métier que celui-ci, c'est comme si le destin l'avait choisi pour être flic. Il a mis certes plusieurs années à s'en rendre compte et il a certes compromis sa réputation fut un temps, mais il est finalement arrivé à se trouver, à trouver sa voie.
- Hum, oui, Pam, j'la connais, mais je n'ai pas encore eu le plaisir de lui parler. Le ton est vaguement ironique, car le mépris n'a jamais été caché de la part de la suceuse de sang vis-à-vis de son égard. La distance est donc de mise, des deux côtés, et cela leur va à ravir... pour l'instant, car aux vus de leur caractère respectif, l'étincelle pourrait rapidement s'enflammer. Godric semble porter beaucoup d'affection pour Eric et Pam, et c'est sûrement un ressenti que le blond ne comprend pas et n'essaye d'ailleurs même pas de comprendre. S'il peut se tenir loin de Northman, cela lui sied à ravir. Mais il est prêt à comprendre ce qu'un lien entre vampire et infant peut signifier pour l'un et l'autre parti. Est-ce que c'est comme devenir parent pour une seconde fois ? Ou est-ce que leur relation implique plus ? Beaucoup plus ? Un instant, Jason s'imagine Godric et Eric avoir des sentiments amoureux, ou purement charnelle et le rouge lui traverse bientôt les joues. Le carmin qui tâche encore la lèvre inférieure du vampire ne fait qu'empirer la situation et le plonge dans un malaise sans précédent. Putain de merde. Arrête de penser à ça. Mais c'est comme si, depuis cette nuit où il a fantasmé de Warlow, un déclic s'est fait profondément en lui et qu'il ne peut plus réprimer certaines images, certains désirs, sauvages. Alors, ce n'est que d'une oreille qu'il entend Godric complimenter sa soeur et c'est d'un mouvement de la tête vague qu'il reçoit sa paroles. Ses yeux et pensées sont fixés sur quelque chose d'autre, plus attirant, plus alléchant qu'il ne voudrait l'être. Finalement, il crève l'abcès, pensant pouvoir se défaire de sa curiosité malsaine et soudaine envers le suceur de sang, mais la réaction de ce dernier ne fait qu'empirer la chaleur qui lui monte au cou. Ses prunelles ne lâchent pas d'un fil le mouvement de sa langue lorsqu'elle vient lécher le carmin, non sans avidité. Arrête. Il va s'en apercevoir. C'est sûrement cette idée même qui le refroidit quelque peu, car Jason porte Godric en respect, ayant conscience de ses millénaires d'existence et de sa sagesse impénétrable. C'est comme si tu fantasmais sur un vieux vétéran d'la guerre, bordel. L'idée germe, se développe et cohabite avec sa matière grise... à un tel point qu'il reprend rapidement la raison et arrive à plus ou moins calmer ses ardeurs, le temps de décliner avec politesse la proposition du vampire. - Oh. Heu, j'aimerai bien, mais... Serait-ce de la déception à l'idée de devoir refuser l'offre du brun ? Mais oui, c'en est bel et bien ! Si seulement, un corps ne gisait pas à seulement trois mètres d'eux dans un parc public. D'ailleurs, le regard de l'agent de police se porte sur le meurtrier en question, comme pour illustrer ses plates excuses. - Il faut que je m'occupe de ce cadavre. Le devoir avant tout. Est-ce que Godric le prendra mal ou comprendra-t-il sa décision professionnelle ? Jason l'ignore et c'est donc dans le brouillard qu'il essaye de devancer la réaction du vampire. - Je peux pas le laisser pourrir ici, et j'aurais probablement un rapport à écrire. Évidemment, je préciserai pas que vous étiez présent au moment des faits. Cela va d'soit. C'est le moins qu'il puisse faire pour quelqu'un d'aussi juste que Godric. - Mais je note. Pour le café. J'veux dire, ce sera un plaisir de s'revoir. C'est maladroit, à la Jason Stackhouse, mais il a maintenant l'impression de se rattraper et d'éviter de froisser Godric. Au fond de lui, il sait qu'il regrette déjà de ne pas pouvoir accepter son offre, car découvrir le mort-vivant autour d'un café serait une occasion en or. Jason parie que le brun a des histoires à raconter, plus rocambolesque et excitante les uns que les autres.

hj: