Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityhere's johnny ! (jim)
AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  



 
▿ N'oubliez pas de recenser
vos personnages dans le bottin des personnages


— VOIR LE RÉPERTOIRE DES PERSONNAGES —
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

here's johnny ! (jim)

Aller en bas
Auteur
Message
Fallon Carrington

Fallon Carrington

here's johnny ! (jim) Tumblr_inline_plx8j0nG7p1s7rrlb_540
▿ Ton univers : dynasty.
▿ Date de naissance : 17/01/1993
▿ Age : 31
▿ Métier : CEO d'une version 2.0 de Carrington Atlantic.
▿ Quartier : baker street avenue.
▿ Côté cœur :
here's johnny ! (jim) E66fb7792a922dee8e340dc6ca4b89111c1879b8

when you lose someone, but it goes to waste, could it be worse ? Lights will guide you home, and ignite your bones, and I will try to fix you.

here's johnny ! (jim) 0512382a9a0e3f3b01eaa220c87b0ded5c6ff7dd

▿ Dons/capacités/pouvoirs : Aucun pouvoir.
▿ Pseudo : iwbys
▿ Avatar : elizabeth gillies
▿ Copyright : rainbow-stars
▿ Disponibilités rp : disponible (2/4)
▿ Autre(s) compte(s) : Tyrell & Rhaenyra & Anibal & Samantha & Ryan & Kenzi & Billy & Darlene & Ágata & Christian
▿ Messages : 608
▿ Points : 329
▿ Date d'inscription : 13/10/2022
▿ Notes :
here's johnny ! (jim) Tumblr_inline_pthgw3dqK11rooebp_540

rue & rin

here's johnny ! (jim) Tumblr_inline_pl04xpeQ9X1s7rrlb_540


MessageSujet: here's johnny ! (jim)   here's johnny ! (jim) EmptyMar 18 Oct - 2:06

here's
johnny !
Pour une fois qu’il pouvait profiter d’une journée de repos vis-à-vis du travail, Billy avait pensé qu’il réussirait à rendre cette journée productive. Son appartement était une véritable porcherie depuis qu’il n’y rentrait que pour dormir au point où il ne serait probablement pas étonné d’y trouver l’un ou l’autre colocataire insectoïde qui ne partagerait hélas jamais le prix du loyer. Et si tout avait initialement bien commencé et qu’il avait sincèrement pensé être en train de réussir à faire quelque chose de ses dix doigts, la flemme s’était finalement emparée de lui dés l’instant où le bruit de l’aspirateur avait cessé de lui détruire les tympans. Et bien vite, la bonne résolution avait commencé à se faire la malle alors que sa conscience le confortait dans l’idée qu’avoir déjà réussi à faire ceci était plutôt pas mal et qu’il pourrait toujours reprendre ça une prochaine fois – lorsqu’il n’y aurait pas LE film qu’il voulait absolument voir depuis des années qui passerait à la télé.

D’accord, en connaissant son vécu, regarder Shining n’était peut-être pas l’idée la plus brillante qu’il ait pu avoir : s’il y avait une personne dans ce monde qui savait à quel point un père n’avait pas besoin d’un hôtel glauque pour perdre les pédales et menacer sa propre famille, c’était bien lui. Pourtant, l’idée que ce soit un classique du cinéma avait fini par surpasser ses appréhensions. D’autant plus que ça ne restait qu’une fiction – dans le pire des cas, il cogiterait peut-être dessus l’espace de quelques nuits mais les cauchemars finiraient par se tasser bien plus rapidement que les mauvais souvenirs. C’était en tout cas ce qu’il s’était retrouvé à penser lorsque le film avait débuté, bien que son malaise n’eût fait que de s’accroître au fil des scènes au point où son corps semblait presque vouloir essayer de fusionner avec le faux-cuir du canapé. L’espace d’un instant, son esprit se bloqua en croyant qu’il y était finalement parvenu alors que son corps lui donnait l’impression de se faire aspirer contre son gré. Essayant vainement de garder le contact avec la réalité, le blond se força à fermer les yeux en tentant désespérément de garder sa respiration sous contrôle avant de sentir une étrange odeur métallique. Ses yeux s’ouvrèrent pour s’écarquiller instantanément devant la véritable scène de crime qui semblait s’être déroulée dans les couloirs de l’hôtel. L’hôtel. Que foutait-il dans un hôtel ? Pire encore, dans cet hôtel ? Un rire dément franchissait ses lèvres : il devait s’être endormi devant son poste de télé, ou être simplement en plein bad trip. Tentant de garder son calme en se convaincant que tout ça n’était qu’une illusion, le jeune homme se passa une main sur le visage avant que son regard ne se porte à nouveau en direction de l’extrémité du couloir où il se… trouvait toujours. Les corps avaient disparu, le sang également. Mais pas le reste du décor. Et cette fois, il sentit sa tension commencer à monter d’un cran alors que son premier réflexe fut d’aller tambouriner à la première porte qui se présentait à sa gauche, espérant faire suffisamment de bruit que pour réussir à attirer l’attention de quelqu’un susceptible de lui venir en aide.

« IL Y A QUELQU’UN ? rugissait-il alors d’une voix où perçait l’affolement en dépit de sa tentative de vouloir garder la face, sentant déjà qu’une crise d’angoisse commençait à prendre part de tout son être. »


Pando
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité


MessageSujet: Re: here's johnny ! (jim)   here's johnny ! (jim) EmptySam 22 Oct - 20:15

Here's Johnny ! | feat. @Billy Hargrove

Jim passait la porte de sa maison située à l’orée du bois aux alentours de vingt heures. Après la journée éreintante qu’il venait de passer, autant vous dire que le presque cinquantenaire en avait littéralement plein les bottes. Il n’attendait qu’une seule chose : s’affaler sur son canapé, avaler deux-trois bières, grignoter et sombrer dans un sommeil profond et réparateur avant de répéter la même merde le lendemain. Débarrassé de ses chaussures et de son uniforme qu’il avait de plus en plus de mal à supporter, surtout après des journées aussi longues, Jim prit la direction de sa cuisine pour y dégoter quelque chose de mangeable et de quoi boire : un gigantesque pot de glace à la vanille avec la fameuse bière feraient très bien l’affaire en guise de repas pour ce soir. Il n’avait pas l’énergie pour se préparer quoique ce soit et la flemme de recevoir un potentiel livreur s’il commandait quelque chose. S’écroulant dans son canapé dans un soupir, par automatisme, il allumait la télévision. Si pendant trois quarts d’heure il zappait de manière intempestive pendant qu’il dégustait sa glace sans jamais se fixer plus de dix minutes sur un programme, il finit par se rabattre sur le film diffusé pour ce soir sur la dixième chaine : Shining de Stanley Kubrick. Parfait pour s’endormir. Jim n’avait jamais été apeuré par cette adaptation du roman éponyme de Stephen King. Il voyait des horreurs pires que celle-ci à son travail. Surtout, quand on avait fait le Vietnam comme lui, on était aseptisé à la violence, qu’importe sa nature. Il devenait de plus en plus difficile de faire peur à Jim Hopper en raison de son vécu et des atrocités qu’il essuya plus tard à Hawkins et en Russie qui surpassent de très loin tous les très bons films du genre. Durant les premières minutes, l’officier somnolant se souvenait que King détestait l’adaptation de Kubrick et il ne lui donnait pas totalement tort. Toujours dans l’exagération, Jim trouvait même le film nanardesque. M’enfin, c’était plus son côté provocateur pour pas grand-chose qui parlait là.

Au bout d’une quarantaine de minutes de film et la moitié de son pot de glace entamé et de sa bière sifflée, Jim sombrait dans un sommeil profond. Il n’avait pas entendu le fracas de sa bouteille qui se brisait sur le sol, ni même sentit les secousses qu’il y eut quand la télé l’absorbait dans le film. Il avait tellement de sommeil à rattraper que, même s’il y avait l’Apocalypse sur terre, il ne l’entendrait même pas. C’en était presque risible. De toute manière qu’il soit endormi ou non ne changeait rien à la situation. Il ne pouvait réchapper à ce qu’il attendait : être piégé dans le film.

Lorsque Jim ouvrait enfin les yeux, il se trouvait sur un canapé dans le hall de l’hôtel, juste en face du couloir qui menait au fameux ascenseur qui avait la fâcheuse habitude de vomir des cascades de sang. Interloqué, le policier se frottait les yeux, marmonnant quelque chose d’incompréhensible qui voulait probablement dire « c’est quoi ce bordel ? » s’il n’avait pas autant mâché ses mots. Quand il fut un peu mieux réveillé, il balayait ses alentours du regard avec curiosité, les sourcils froncés. Bien évidemment, il reconnaissait l’hôtel du film au premier coup d’œil vu le nombre de fois qu’il l’avait regardé, mais ça n’expliquait toujours pas ce qu’il foutait là. Regarder le film était une chose, mais se retrouver dedans en était une autre et Jim n’avait aucune envie d’expérimenter la peur et l’angoisse induite dans l’œuvre de King. Non sans inquiétude, il se levait de son fauteuil et parcourait les couloirs, sur le qui-vive. Il priait ce Dieu auquel il ne croyait pas particulièrement pour ne pas croiser Jack Torrance.

Au gré de son vagabondage, Jim atterrit dans le fameux hall gigantesque où Jack Torrance avait l’habitude de s’asseoir pour écrire. Le bureau était bien là. Sa machine à écrire aussi et les doutes de Jim se confirmaient quand il vit coincé dans la machine à écrire la fameuse feuille sur laquelle était répété inlassablement : « All work and no play makes Jack a dull boy. » Sans qu’il ne sache expliquer comment ni pourquoi Jim Hopper était bel et bien dans Shining. « Bordel de merde, bordel de merde… » marmonnait-il en prenant sa tête dans ses mains et en les glissant ensuite dans ses cheveux avant de les agripper férocement. Comment allait-il faire pour se sortir de ce merdier ? Pas le temps de s’attarder là-dessus : soudain, il entendait un vacarme pas possible en provenance des couloirs, en haut des escaliers. Il n’était donc pas tout seul. Etait-ce les personnages du film qui se trouvaient là ou quelqu’un d’autre piégé comme lui ? Pour en avoir le cœur net, il gravissait quatre à quatre les marches (ce qui l’essouffla considérablement) puis il traversait plusieurs petits couloirs en courant avant de tomber sur Billy Hargrove. Il s’arrêtait alors net à plusieurs mètres de lui. « Hargrove ? » questionna Jim avec incrédulité. Il n’avait malheureusement pas eu le temps de connaitre plus que cela le garçon qu’il avait croisé deux, trois fois dans Hawkins, mais il se souvenait surtout de son sacrifice dont sa fille et les autres lui avaient parlé quand il les avait retrouvés bien longtemps après. Mais ce n’était pas du tout le moment ni l’endroit pour parler de ça. Ils étaient dans une situation totalement merdique dont il fallait se sortir. « Mais qu’est-ce que tu fous là, kid ?! C’est quoi de bordel, je comprends rien ! » Jim n’en avait pas l’air comme ça, mais il était probablement aussi angoissé que Billy. Il connaissait le film, il savait que l’hôtel et ses occupants allaient les attaquer. Mais… étrangement… il était soulagé de constater qu’il n’était pas tout seul dans cette galère.
Revenir en haut Aller en bas
Fallon Carrington

Fallon Carrington

here's johnny ! (jim) Tumblr_inline_plx8j0nG7p1s7rrlb_540
▿ Ton univers : dynasty.
▿ Date de naissance : 17/01/1993
▿ Age : 31
▿ Métier : CEO d'une version 2.0 de Carrington Atlantic.
▿ Quartier : baker street avenue.
▿ Côté cœur :
here's johnny ! (jim) E66fb7792a922dee8e340dc6ca4b89111c1879b8

when you lose someone, but it goes to waste, could it be worse ? Lights will guide you home, and ignite your bones, and I will try to fix you.

here's johnny ! (jim) 0512382a9a0e3f3b01eaa220c87b0ded5c6ff7dd

▿ Dons/capacités/pouvoirs : Aucun pouvoir.
▿ Pseudo : iwbys
▿ Avatar : elizabeth gillies
▿ Copyright : rainbow-stars
▿ Disponibilités rp : disponible (2/4)
▿ Autre(s) compte(s) : Tyrell & Rhaenyra & Anibal & Samantha & Ryan & Kenzi & Billy & Darlene & Ágata & Christian
▿ Messages : 608
▿ Points : 329
▿ Date d'inscription : 13/10/2022
▿ Notes :
here's johnny ! (jim) Tumblr_inline_pthgw3dqK11rooebp_540

rue & rin

here's johnny ! (jim) Tumblr_inline_pl04xpeQ9X1s7rrlb_540


MessageSujet: Re: here's johnny ! (jim)   here's johnny ! (jim) EmptyDim 20 Nov - 20:01

here's
johnny !
Sa terreur ne fait que de monter d’un cran alors qu’il entend des bruits de course au niveau des escaliers. À ce stade, ça pouvait être absolument n’importe qui… ou n’importe quoi. Pendant un instant, c’est à son tour de détaler alors que l’une de ses mains tente d’ouvrir frénétiquement toutes les portes dont il parvient à tourner la poignée. Pourquoi avait-il fallu qu’il ait le réflexe stupide des personnes dans ce genre de films en se mettant à crier pour attirer l’attention ? Désormais, il est fait comme un rat et allait mourir à nouveau sans avoir rien accompli de sa vie – sauf qu’au lieu de se sacrifier pour en épargner d’autres en réussissant au moins à se rendre utile comme ça avait été le cas la première fois, il allait juste périr comme un loser au milieu d’un couloir supposé être fictif. Impeccable. C’est lorsque le bruit atteint finalement son étage et que chacun de ses membres semble prêt à défaillir qu’il entend soudainement une voix l’interpeller et si son sang lui donne l’impression de se glacer dans ses veines, une vague de soulagement l'assaillant lorsque ses yeux ont enfin l’occasion de reconnaître la personne qui se trouve face à lui.

« Hopper ? » La surprise se lit sur les traits de l’adolescent, presque autant que son hésitation quant à la façon dont il est supposé réagir. Revoir quelqu’un d’Hawkins lui provoquait toujours une succession de sentiments mais avec Jim, tout devrait être plus facile qu’avec Nancy. Il n’avait eu qu’à voir la façon dont elle s’était crispée lorsqu’elle l’avait aperçu à la station-essence, se rappelant certainement encore de tous ses anciens méfaits au point de craindre qu’il s’en prenne à elle d’une façon ou d’une autre – et comment pourrait-il la blâmer ? Combien de fois avait-il essayé de convaincre l’ensemble des autres qu’il était le monstre qu’ils le soupçonnaient tous d’être ? Après la fois où il avait menacé de rouler sur trois gamins simplement pour intimider Max, il n’y aurait rien eu de particulièrement surprenant à ce qu’il soit prêt à s’en prendre à une femme enceinte. Avec l’ancien shérif, il avait au moins l’avantage que ce dernier ne le connaisse pratiquement pas. Au pire, peut-être aurait-il entendu certains échos à son sujet, mais il ne devait en théorie pas le haïr autant que la plupart des personnes l’ayant autrefois fréquenté plus ou moins de leur plein gré.

« Qu’est-c’que j’en sais, moi ? » Sous l’effet de la panique, il en oublie ses bonnes résolutions et pendant un court instant, il ferme les yeux pour tenter de se les rappeler. Cette ville était une opportunité en or de se refaire une vie, d’effacer son ancienne réputation et de repartir sur de bonnes bases. Depuis trois ans, il se tenait à carreaux : pas d’écart de conduite significatifs, pas d’ennemi en vue ou de quelconque contact avec son géniteur susceptible de le faire à nouveau vriller – tout allait pour le mieux. Même s’il ne comprenait rien à ce qui était en train de se passer, laisser libre-court à sa mauvaise humeur sur quelqu’un qui était supposé lui servir de potentiel allié ne sonnait définitivement pas comme étant l’idée du siècle. « J’veux dire… j’étais juste censé regarder le film à la télé ce soir, puis… je n’ai rien compris à c’qui s’est passé. D’un coup, j’me suis retrouvé ici et… c’est juste un mauvais rêve, hein ? » Faire son mea-culpa n’a jamais été son point fort et cette justification serait certainement la chose la plus proche d’excuses qu’il serait capable de fournir pour l’instant. Sa salive a étrangement du mal à glisser dans sa gorge lorsqu’il tente de déglutir, conscient que l’adulte ne pourrait jamais réussir à le rassurer même avec la meilleure volonté du monde : ils étaient aussi perdus l’un que l’autre face à ce qui leur tombait sur le coin de la figure et peu importe ce que la suite leur réservait, ils allaient devoir improviser pour réussir à s’en tirer. En admettant qu’ils aient une chance d’y parvenir, en tout cas.

« Après toutes ces conneries d’Upside Down, de monstre à tentacules et de possession, j’vais me retrouver à crever à cause d’un putain de film… » Se déplore-t-il en se passant une main sur le visage, se disant qu’à condition qu’il survive à cette journée, il ne regarderait plus de truc horrifique avant un sacré bout de temps. Fini de trouver les personnages se retrouvant en scène dans ce genre de situations particulièrement ridicules, ou d’avoir envie de secouer ceux qui se retrouvaient figés sous l’effet de la terreur : il était désormais officiel que personne ne pouvait comprendre ça sans se retrouver en situation réelle. « Vous avez un plan ? »


Pando
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


MessageSujet: Re: here's johnny ! (jim)   here's johnny ! (jim) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
here's johnny ! (jim)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MAD WORLD :: FLOOD :: Archives :: rps-
Sauter vers: