Sujet aléatoire ▿ Nines & Nathan.

Laueee

Nathan aimerait passer juste « une journée normale » sans se soucier de quoi que ce soit, qu’aucun problème ne lui tomberait dessus. Il était tenter de faire du boulot de bureau, aidait aux archives du musée, ou bien lors d’études d’objets récupérer. L’aventure, il voulait la mettre un peu de côté et sa femme n’était pas contre. Elle aussi aimerait bien souffler et avait fort à faire avec les nombreuses vidéos à montés et envoyés de leurs dernières expéditions.

Mais voila, on aimait pas sur cette île, laisser les gens en paix, juste leur accorder quelques instants de répits. Nathan se surprit à chantonner, au lieu de juste parler alors qu’il se rendait à pieds au musée. Au début, il pensait être juste inspiré par un air qui le motivé à chantonner. Alors il ne s’alarma pas. Puis, petit à petit, à chaque fois qu’il désirait dire quelque chose, même la chose la plus insignifiante comme un simple bonjour à un passant, il se surprenait encore à chanter et parfois de manière soutenue. C’était étrange et perturbant, surtout quand un jeune homme l’interpella, semblant aussi possédé par le démon de la chanson.

-Quel jour merveilleux, de vous rencontrer ici mon fabuleux…
-Oh oui ! C'est une belle journée Supercalifragilisticexpialidocious !

Nathan ne pouvait s’empêcher de lui répondre sous un ton plus enjoué comme s’il vivait la Mélodie du Bonheur. Trop émotif ? Un besoin de s’exprimer ? Un vrai mystère car Drake ne savait comment le maîtriser et encore moins s’arrêter. C’était comme si le don de la parole fut remplacée par celui du chant. Sa façon de chanter n’était pas celle d’un grand chanteur pop, c’était la voix grave d’un homme normal qui se défendait plutôt bien.

-Seriez vous la solution à mes soucis, pour arrêter de chanter tout ce que je vis ?

La question surprenait l’archéologue, qui d’un coup, comprenait que ce pauvre jeune homme, vivait le même malheur. Damnation ! Pendant que nos héros poussaient la chanson, même l’auteur se sent obligé d’écrire en rimes, à croire que cela m’endoctrine.

-Je souffre comme vous du même maléfice mon ami ! Comment espérez vous alors que je sache vous guérir ?

C’est comme demander à un malade de vous soigner ! Alors que lui-même est malmené. Nathan regarda autour d’eux, pour voir si d’autres vivaient le même malheur. Le monde environnant, semblait bien portant. A croire qu’il n’y avait que eux deux, qui étaient pesteux.

-Mais que nous arrive t’il alors qu’il n’est pas encore midi ? Pourquoi juste nous en ce beau jour ?

Je sens que cela va vite devenir agaçant pour tout ceux dans l’assistances, obligé à suivre cette histoire, qui risque d’être dérisoire.

Nathan qui pensait avoir tout vu et tout vécu en arrivant sur cette île, le voila lui ainsi qu’un étrange compagnon, souffrant d’un bien curieux mal. Être motivé de chanter était une chose. Mais la c’était pire, il ne pouvait pas s’empêcher de pousser la chansonnette juste en ouvrant la bouche. Même essayer de dire un bonjour, se faisait de manière mélodieuse et élaborée. Il se demandait bien comment cela lui est arrivée, mais il ne voyait rien qui aurait put provoquer ceci. Ca lui est tomber dessus comme ca, sans raison. Peut-être qu’avec son compagnon d’infortune, ils trouveront une cause commune.

Et encore, comme si ce n’était que la parole. Son visage, suivit du reste de son corps, semblaient se rebeller contre lui, devenir indépendant. Comme si tout son être avait envie de monter une pièce de Broadway avec cet inconnu, qu’ils répétaient une comédie musicale qui promettait d’être grotesque.

-Mais nous voilà compagnons d’infortune, prêts à en découdre.

Cela n’était en rien encourageant, Drake se surprit à imiter « le cri » ce célèbre tableau bien horrible.

-Pourquoi ? Qu'avons nous fait pour être châtié ? Quel ange avons nous vexé pour être malmené ?

Il ne savait pas d’où lui sortait ces idées imagées. En réalité, il lui suffisait de penser à quelque chose, vouloir dire un truc même tout bête et tout simple pour que ce soit traduit de la sorte. C’était déroutant.

L’inconnu se présenta sous le nom de Nines et Drake cru comprendre ce qu’il voulait dire. Un traducteur particulier en effet ils avaient. Par contre, le jeune homme avait une sacrée poigne, sa main sur son épaule se resserrait comme s’il voulait refuser de le lâcher.

-Enchanté ! Mon nom est Nathan, mais on peut me surnommé le chantant à présent. Ou bien le blessé si vous continuez à me serrer !

Il voulait exprimer juste qu’il le serrait un peu fort, mais voila ce qui en sortait. C’était énervant car justement, Drake avait l’impression de devoir réfléchir autrement pour parler, comme communiquer à un étranger qui ne parlait pas la langue, sauf qu’ici, ils pouvaient se comprendre. C’était d’un compliqué, de quoi rendre la chose plus déroutante qu’elle ne l’était.

-Mais dites moi mon jeune ami, pensez vous que nous sommes frappé de maléfice ? Ou pire que nous soyons possédés par quelques esprités amusés ?

Que quelqu’un prenne le contrôle de leur corps ? Il y songeait voyant qu’il ne contrôlait plus ses mouvements ni ses paroles.

Laueee

Tout ne tarda pas à s’expliqué, du moins pour ce jeune étranger. Ce dernier lui expliqua, qu’androïde il lui glissa. Nathan fut bien surprit, c’était le premier robot qu’il vit. Mais au fond avec tout ce qu’il a vu sur cette île, il n’était pas étonné d’en rencontrer un en ville. Sa curiosité était grande, des questions lui venait en bande. Mais il y avait plus urgent à gérer, comme arrêter de chantonner. Parlant de données et programmes brisés, l’aventurier se montra partager.

-Vous êtes un robot j'en suis fort aise ! Mais moi je suis humain depuis ma genèse.

A moins qu’il fut convertit en machine entretemps, mais Drake ne verrait pas comment. Nines était devenu humain après tout, donc ce mal ne devait concerner les machines c’est fou. Nines rappela que dans ce pays la magie existe, et donc qu’il ne fallait pas exclure une réponse fantaisiste. Un sorcier ou quelque farfadets, s’amuseraient à les tourmentés ? Face à la magie, Drake était apathie.

-La magie ? Que nénie ! J’ai jouer les magiciens pendant mon enfance, mais ce ne fut pas transcendant. Magie vous dite, c’est bien sadique. Car je suis archéologue, grâce à ce vieux Hérodote. Quand nos ancêtres parlaient de magie, moi j’y voyais biologie.

A noté de ses nombreuses aventures à travers le globe, où dans les ruines reculées, on parlait d’esprits hantant ces anciennes pierres. De démons en colère et malédiction. A chaque fois Nathan découvrait que tout avait une explication. Qu’aucun dieu en colère ou revenant n’avait maudit le pauvre mortel, que tout était lié à une substance naturel.

-Réflechissons donc à ce que nous avons fait dans la journée, juste avant que ne débute notre spectacle chantonner.

Revoir quelques détails précédant cette crise, pourrait les aider à y voir mieux. Sans doute un détail commun aux deux jeunes gens, une rencontre ou un quelconque objet croisé, qui pourrait les avoir irradier de cette « maladie » fort comique.

Laueee

Chaque rencontre prétendument surnaturel qu’avait fait Nathan par le passé, s’expliquait toujours de manière rationnelle. Un virus, un agent chimique faisant muté ce genre de chose. Mais depuis qu’il était arrivé sur cette île, sa perception du réel c’est élargit. La magie… La vraie comme on pourrait voir à la télévision ou sur internet. Des gens tirant leur puissances de forces inconnues qui défiaient les lois de la nature.

-Je crois, que tout le monde en à vu, et que personne n'avait bu.

L’idée suggérer fut que chacun se remémore sa journée, afin d’identifier un dénominateur commun pouvant expliquer leur triste condition. Nathan n’oublia pas qu’il parlait à un androïde à l’apparence humaine bien trompeuse. Il n’avait rien contre ce genre de machine, il n’en avait vu jusque la que dans les films. Mais ce qu’il entendait, n’avait rien d’une routine d’un robot, du moins qu’on pas comme il l’aurait imaginer.

-Je ne voie rien qui provoquerait tout cela. Ce que vous me dites est d’un banal. Mais êtes vous bien un homme de fer ? Votre vie semble si humaine. Bien plus biologique que bionique. A moins qu’on considère l’humain comme machine, à cause de sa vie répétitive.

Nine cependant semblait surprit que Nathan ne croyait pas en la magie, du moins le pensait-il car il n’avait rien comprit.

-Une prétendue machine qui croit en la magie, voila qui peut faire sourire. Non je n’y croyais pas avant, car ce n’était que du vent. Mais depuis avoir fini ici, tout est devenu possible.

Nine attrapa Nathan pour le faire danser, voila que ca remontait. Bien que surprit, Drake se laissait faire pour tenter un tango avec son nouvel ami. Tout cela l’inquiétait car il se demandait jusqu’où irait cette perte de contrôle.

-Quant à moi comme toi, je me suis levé ! Petit déjeuné et bise à la famille avant d’y aller. Direction le boulot, je suis passer par ici. Et c’est la que mes mots se sont changés comme par maléfice. Et puis je t’ai croisé aussi paumé, que voila un compagnon inespéré !

Laueee

Cette Lune rouge ne faisait pas que transporter les gens d’un monde a un autre, mais pouvait changer leur nature aussi. Nathan se souvenait de rares rencontres où les gens rencontrer étaient… Autre chose. A l’exemple de Pearl qui avait expliquer être une sorte de pierre magique extraterrestre. A dire vrai, Drake ne se souvenait pas de tous les détails, mais cela lui permit d’ouvrir son esprit et comprendre, accepter l’existence d’êtres fabuleux.

Les voila tous les deux embarquer dans un tango. Ce spectacle grotesque n’avait aucun sens. Le thème musicale et le style changeait du tout au tout constamment, c’était comme un sketch où on représentait chaque type de musique et de chorégraphie sans lien. Nathan n’y comprenait rien, mais il était obligé de suivre comme un spectateur de son propre corps.

-Oui très bonne idée ! Voyons si d'autres semblent aussi illuminés ! Ou dans l'espoir que cela vienne à se terminé !

A travers un pas de danse, chacun venait à s’éloigné de plusieurs mètres. De son côté, Nathan fixa la foule qui passait devant faisant à peine attention à lui ou à ses pas de danses à la Charleston. On se croirait à New-York où l’excentricité était légion à tel point qu’elle devenait commune. Drake essaya de rester concentrer, voir si quelqu’un chanterait ou danserait, hélas personne ne semblait être posséder par le démon du chant comme lui.

-Qui a envie de chanter ? N’ayez pas peur étranger ! Je peux vous comprendre ! N’ayez envie de vous pendre ! Je suis prisonnier de ce sort, j’aimerais qu’on m’en sort !

Malheureusement, aucun retour ne venait.

Laueee

Il fallait croire qu’ils n’étaient que deux frapper par ce maléfice. Personne dans le coin ne semblait porter par le chant et la danse comme eux, ils étaient les seuls clowns à animés la rue. Cela aurait rassurer Nathan de trouver une ou deux personnes de plus vivant le même calvaire. On aimait savoir qu’on était pas le seul malade, que nous n’étions ainsi ni maudit ni fautif et qu’ainsi, une solution existait. Malheureusement, ce n’était pas le cas pour eux deux. Pourquoi ? Difficile de réfléchir quand on ne faisait que s’agiter et lâcher constamment des vers.

-Peut-être y'a t'il d'autres gens ailleurs en ville, qui comme nous s'agitent. Cela mérite une visite, mais c'e'st quasiment impossible !

Cette ville était immense, ne faisant que croitre et décroitre, sans parler de sa périphérie soumise au même phénomène. Peut-être que dans le quartier d’à côté, ils en croiseront, mais comme la cité prenait plaisir à les tourmenté, elle pouvait faire que jamais ils ne croisent d’autres infectés.

Nine l’androïde semblait avoir une idée. Nathan l’écouta avec attention, alors que son partenaire venait le prendre dans ses bras pour effectuer quelques pas de danses dignes de Ghost ou de Grease. Drake se laissait faire comme si tout était normal, comme s’il connaissait déjà la chorégraphie qui lui venait naturellement alors qu’il ignorait ce qu’il se passait vraiment. L’idée donc de Nine serait de jouer le jeu et de continuer d’avancer comme si de rien était. Drake eut quelques suspicions.

-Vous croyeux qu’on devrait faire avec ? De continuer d’avancer comme une vachette ? Que tout pâtirait de soi même ?

Un peu trop simple, cela lui rappelait cette stupide astuce consistant à faire partir un air de musique dans la tête où il fallait la chanter. Nathan n’y croyait pas trop, mais au vu de leur situation…

-Soit ! Tout est bon à essayer ! Tant qu’on est pas désespérés.

Laueee

Suivre le rythme, ne pas résister et se laisser aller ? Cela ressemblait à cette solution douteuse pour se débarrasser d’une rengaine dans la tête. Mais bon, cela n’avait rien à voir avec une maladie quelconque, et face à l’inconnu, le n’importe quoi pouvait être utile. Nathan se laissa donc lui aussi emporter par le flot de parole qui petit à petit l’inquiétait vraiment. Il avait l’impression de perdre à présent le pouvoir sur sa pensée, que c’était quelqu’un d’autre qui s’exprimait à travers sa voix et celle de Nine, exprimant des émotions qui n’étaient pas les siennes. Serait-il finalement possédé ?

-Quelle joie en effet j'ai eu de vous rencontrer ! Le destins nous à fait mener afin de nous aimer !

Quoi ? Drake ne croyait pas ce qu’il disait et pourtant, ayant céder il ne fut plus que spectateur de ce spectacle glauque. C’était comme regarder un film mais pouvant ressentir les choses, plus poussé que la 4D. Et les voila qui gambadaient vers un beau parc comme on verrait dans ces comédies romantiques. Nathan ne savait pas s’il devait hurler ou pleurer. Peut-être les deux, mais bien entendu, il ne pouvait plus rien faire de son propre chef.

-Merveilleux jardin, allons y dans nos mains, cultiver nos étreintes de jasmins.

Houla ca l’inquiétait beaucoup ! Déjà que ces phrases ne semblaient ne plus avoir le moindre sens, mais le peu que comprenait Nathan lui donnait des sueurs froides. La il voulait courir, se sauver, mais il ne pouvait toujours plus rien faire.

Soudain, à côté d’eux sur un espace vert, se trouvait une énorme fleure pourpre qui semblait gonfler pour s’ouvrir en une centaine de pétale d’où jaillissait un homme sacrément en pourpoint, portant un vêtement luxueux de plusieurs siècles qui jaillissait tel Athéna du crâne de Zeus, en poussant un cri de ténor dans un opéra Parisien. L’homme avait de la voix, recouvrant de son timbre tous les bruits ambiants.

-Ooooohhhhhhhh !!!!! Deux fleures qui s'ouvrent enfin ! Dévoilant leur amour sans fin !

Laueee

Cette situation était vraiment des plus désagréable. Et si Elena débarquait à ce moment la et le voyait ? Allait elle le tuer ou bien rire de son état ? En tout cas sa femme ne comprendrait pas sur le coup et Drake ignorait comment lui expliquait dans cet état. Ils avaient trouvés leur coupable, mais voudrait savoir pourquoi. Cet homme aux allures d’opérettes était un inconnu au bataillon et pourtant il semblait avoir frapper ces deux hommes de son maléfice.

Pour le coup Drake se mit à luter de toute ses forces pour contrer cela. Mais à croire qu’il s’était trop laisser faire, et que maintenant reprendre le contrôle devenait une tâche presque impossible. Cependant Nine semblait pendant un bref instant réussir à libérer sa main de l’enchantement, mais c’était qu’un court instant car cet enchanteur le soumit à nouveau à son charme et le poussa à embrasser Drake sur la joue et le toucher à la hanche. Nathan voulait hurler, sortir un flingue et descendre ce prestidigitateur du dimanche mais il ne pouvait plus rien faire.

-Cette amour qui... Grandit comme... Me fait ressentir cette légèreté Enivr... Aime...

Nathan en appelait à toutes ses forces intérieur pour au moins reprendre le contrôle de sa bouche. Sully aurait une ou deux bonnes blagues la dessus. L’aventurier faisait de son mieux pour stopper ces mots romantiques, leur interdire de sortir. Cela semblait modifié la phrase à chaque fois, ne lâchant donc que quelques mots ou morceaux de mots, ce qui visiblement agacé cette chose qui les malmenait.

-Oh non vous ne faite aucun effort ! Je veux bien vous aider, à séduire votre belle dulcinée ! Mais arrêtez donc votre crise alors !

Nathan ne comprenait plus du tout ce qu’il se passait, à croire que ce type était complétement fou. Il le voyait agitait ses doigts et une baguette comme un chef d’orchestres et d’un coup l’explorateur entoura Nine de ses bras, le serrant fort contre lui, leur visage à un centimètre l’un de l’autre. L’aventurier voulait se libérer, se sauver mais il avait peur de la suite, voulait savoir pourquoi on chercherait à l’humilier de cette façon lui et cet étranger n’ayant rien demander.

-On ma commander de vous faire avancer, alors au bout de votre relation vous irez !

Laueee

La situation restait très malaisante, à un point où Nathan sentait tous ses membres faillir malgré qu’ils continuaient à s’animer comme un pantin. Il aurait préférer mille fois être sous le feu ennemi, survivre à des explosions à des effondrement qu’être étreint et contraint d’embrasser quelqu’un qu’il ne connaissait pas et surtout un homme. Et il voyait dans les yeux de Nines que cette situation aussi le lui déplaisait. Fort heureusement, son compagnon trouva une parade pour retarder l’inévitable et leur faire gagner un peu de temps.

Profitant de cet instant, Drake se mit à réfléchir et comprenait lui aussi que quelqu’un eut commander cela. Qu’une personne eut invoqué cet être pour les faire danser ainsi. Mais qui ? L’aventurier réfléchissait à toute personne susceptible de lui faire ce genre de coup tordu. Sully ? Ce vieux brigand rêvait de voir Nathan heureux avec sa femme et ne lui ferait jamais un coup tordu. Sam non plus même si ce genre de scène ferait rire les deux hommes.
Et concernant ses ennemis, tous rêverait de voir Nathan une balle dans la tête plutôt que se ridiculisé de la sorte. L’énergumène consentit à leur en dire plus mais à condition que les deux pauvres danseurs s’embrassent avant.

Nathan eut des yeux grands ouvert d’horreur. Il en était hors de question, s’il pouvait libérer son bras et dégainer son arme, il le déchargerait sur cette chose. C’était sans doute le seul moyen de rompre le charme, le buter. Mais ce qui tétanisait encore plus Drake fut que Nine consentit. Il devait être prêt à tout pour connaitre le fin mot de cette histoire et surtout s’en débrasser. Mais Nathan n’était pas prêt, il sentait son corps se raidir, sa force obliger tout son être à s’écarter comme un chat qui ne voulait pas d’embrassade.

Mais voila, face à cette puissante « magie » que son allié s’y soumette… Drake n’était pas sur de pouvoir résister bien longtemps à moins d’un miracle. Mais rien, à croire qu’on voulait l’humilier complétement. D’ordinaire, Nathan était un plaisantin mais la, la blague était de mauvais goût pour lui. Il ne put réprimé une petite larme face à ce sort.

-Oh Elena... Pardonne moi j'espère que tu comprendras.

Il « consentit » finalement se tenant prêt à embrasser Nine lorsque tout à coup, le monde semblait comme s’arrêtait, l’énergumène d’opérette s’exclama avec un ton fort théâtrale.

-Elena ? Qui est Elena ?

Le corps de Nathan était immobilisé, comme si le spectacle avait prit fin ou fut mise en pause. L’aventurier pouvait encore parler mais comprit qu’il était à nouveau maître de sa bouche et donc de ses propres mots, ce fut un réel soulagement.

-C’est ma femme espèce d’enfoiré ! Et quand elle saura ce que tu ma obligé de faire là, croit moi qu’elle ne craindra pas ta magie pour venir de péter la gueule !

L’entité eut comme un petit sursaut.

-Vous êtes déjà marié ? Mais pourquoi m’avoir demander de faire tomber amoureux votre belle dulcinée ici présente, Edmée ?
-Quoi ? Mais je ne t’ai rien demander je ne te connais même pas ! Et c’est pas une dulcinée mais un mec que je connais pas non plus !
-Ooooh je voie… Je me serais donc encore tromper alors…