ϟ Cette ville était complètement différente de Pandora, mais quand je dis différente, c'est à un stade ou j'arrivais à regretter, cette période ou Jack n'arrêté pas de vouloir me tuer. Vivre ainsi, mais c'est qu'au bout d'un moment on fini par s'y habituer, échapper à la mort mouahahah bref ... J'avais l'habitude de croiser des nabots, sadiques, assassins, maradeur et j'en passe, alors j'avais crée des pièges. Oh oui des pièges, il y en avait des vraiment funs, c'est fou le nombre de façon de tuer que j'avais pu trouver, j'avais même fait une liste. Alors petit un, brûler votre victime, pas trop non plus, sinon le plaisir ne peut pas durer, ajouter de l'eau bouillante, hum ... Il me semble avoir aussi testé des produits corrosifs. Petit deux, non je déc*nne, je ne vais pas dévoiler toute ma liste, c'est du secret professionnel "rigole". Enfin pour en revenir à cette ville, disons que j'allais bientôt finir en mode sadique suicidaire, si je ne trouvais pas de boulot ... Pourtant j'en avais fait du bouche à oreille, puis au poste de police, j'étais toujours présente pour suivre de près les enquêtes. Non mais s'il vous plait les criminels, si vous voulez qu'on vous nomme "criminels" (quand même, ça se mérite), il faut faire davantage d'effort, car même une mamie de 80 ans serait plus dangereuse ... Du moins à Pandora... Mais non je n'étais plus à Pandora, je devais me faire à cette ville, alors vite, vite, un contrat ! Je n'avais qu'à penser fort, pour enfin obtenir ce que je voulais, un contrat ! Han ! si ça se trouve cette lune rouge peut lire dans mes pensées ... Levant les yeux au ciel (m*rde c'était le plafond de mon appartement), qu'importe, j'ouvris la lettre, étudiant ma futur victime "mouahahahah" pardon ... Hum ... Il était temps que je reprenne mon sérieux, du boulot m'attendait. Ce soir, un gala au Pandemonium, oui j'avais connu pire comme nom de lieux. Ma cible, je regardais la photo ... Attendez quoi ? Je devais simplement surveiller si il ne trompé pas sa femme ... Je roulais des yeux avant de m'écrouler sur mon lit, puis je pris l'enveloppe et lorsque j'aperçus le nombre de billet, j'eu un petit sourire, oh après tout, pourquoi pas, puis ce tas de billets, hum délicieux ! Un gala, j'allais devoir sortir le grand jeu, fouillant dans mon armoire, je sorti plusieurs vêtements, étalant le tout sur mon lit, je fis plusieurs essayage. J'optais pour un ensemble couleur or, un maquillage de chat, une coiffure dans le style rock et je serais prête pour ce gala, mais avant tout, une bonne douche. Prête, j'avais tout de même caché deux couteaux dans mes portes jarretelles (quoi ?), je pris un taxi pour me rendre sur les lieux, heureuse de sortir, mais aussi, heureuse d'avoir un rôle à jouer, même si ça ne resté que de la surveillance. Sortant du taxi, je montrais mon invitation, avant de faire mon entrée dans ce gala, marchant d'un pas fière et confiant, ayant déjà repérer l'homme en question. Ma première option fut d'aller en direction du buffet, surtout du côté champagne (un petit verre au travail, voir deux ...). Surveillant ma cible, un mot me vint en tête "ch*ant", oui ce gars était d'un ch*ant, il pouvait draguer autant qu'il voulait, étaler son argent, personne n'était attiré par lui, limite ça faisait pitié, je disais bien "limite". M'étirant, je croisais une sublime femme, hum, il était rare de voir autant de classe chez une femme, j'y voyais une politicienne, en tout cas, elle ne semblait pas s'amuser ...
Vous êtes chaleureusement conviée au gala de charité de la ville qui se tiendra au Pandémonium le 5 mai à 20 heures.Vous pouvez aussi bien venir seule qu’accompagnée.Nous nous faisons une joie d’avoir peut-être l’immense honneur de vous recevoir à cette fête.
Sincères salutations,
Le comité d’organisation. »
Un prétexte pour sortir. S’il y a bien une chose qui manquait cruellement à Padmé, ce sont les mondanités et autres festivités relatives à sa position de Reine puis de Sénatrice. Elle aimait voir du monde, se mêler aux autres, échanger sur tout un tas de sujets compliqués. Le débat était son type de conversation préféré, surtout lorsque cela impliquait des gens avec des positions différentes des siennes. Elle détestait enfoncer les portes ouvertes avec des personnes qui pensaient comme elle. Ce genre d’échange menait clairement à rien. La confrontation d’idées était bien plus intéressante pour elle, philosophiquement et intellectuellement parlant. Entre son poste à l’université, son implication dans le monde intellectuel, mais aussi dans la ville à travers diverses associations, Padmé commençait petit à petit à devenir une personne reconnue dans cette ville, du moins reconnue du petit microcosme de la Haute. C’était une évidence pour elle de se rendre à ce gala, elle ne pouvait pas faire l’impasse dessus.
Elle était vêtue de sa plus belle robe, robe qu’elle avait mis autrefois sur Naboo et qui lui rappelait de tendres souvenirs, surtout avec une personne en particulier. Elle avait eu la surprise de la trouver dans sa garde-robe quand elle était arrivée dans ce monde si mystérieux, mais elle fut très contente de la retrouver, formant un lien entre son ancienne vie qu’elle chérissait malgré tout et la nouvelle. Se regardant dans le miroir, Padmé remarquait que le vêtement lui allait toujours à ravir. Néanmoins, contrairement à ce fameux jour sur sa planète natale, elle ne nouait pas ses cheveux en un chignon complexe. Elle laissait simplement ses boucles retomber naturellement dans le creux de ses reins, nattant quelques mèches du devant sur le côté de chaque côté de son visage pour le dégager. Elle estimait qu’elle n’avait pas besoin de beaucoup se maquiller : un coup de blush rosé sur les joues, du mascara, un léger rouge à lèvres et c’était bien suffisant. Elle ajoutait une touche de parfum dans le creux de son cou pour parfaire le tout. Elle se regardait dans le miroir, un brin nostalgique. Elle semblait entendre derrière elle un « t’es tellement…belle », se retrouvant le temps d’un instant sur Coruscant mais quand elle se retournait… Rien. Personne ne saurait qu’elle avait pleuré avant de partir et qu’elle dut se remaquiller.
Quand elle arrivait au gala, son entrée fit son petit effet et elle fut ravie de ces réactions comme le montrait son sourire doux et gracieux. Comme Padmé n’avait aucun problème pour discuter avec les autres, elle se mêlait rapidement aux conversations déjà bien entamées, une coupe de champagne à la main. Toutefois, malheureusement pour elle, la soirée la plongea rapidement dans un ennui profond. Surtout lorsqu’elle se trouvait à cette table et qu’un homme, sans qu’elle sache qu’il était la cible de Lilith, monopolisait tout le temps de parole. Ses propos étaient inintéressants au possible, mais surtout aussi vide qu’une coquille, chose que Padmé n’avait pas manqué de lui faire remarquer avec élégance. Les autres autour de la table s’étaient amusés de son trait d’esprit avant que l’intéressé ne réplique avec des propos plutôt sexistes. « C’est ça le problème avec vous, les femmes, on vous laisse trop de place et vous vous croyez tout permis. La preuve avec votre réflexion, Madame. » Si ses propos avaient énervé Padmé, son rictus pathétique l’avait encore plus enragé. Alors, elle ne trouvait rien de mieux que de se lever, se placer devant lui et lui jeter le contenu de son verre à la figure. Comme ça, d’un coup sec. Elle le regardait avec dédain, puis avec une pointe d’ironie elle ajoutait. « Mince…Mon verre est vide. Il faudrait que j’aille m’en chercher un autre si je veux tenir le choc de vos conversations aussi pathétiques qu’ennuyeuses, Monsieur. » Elle esquissait un bref sourire avant de se hâter. Si sa petite action avait fait réagir et rire certaines personnes de la table, le concerné restait pantois, ne sachant que répondre au geste de l’ancienne sénatrice. Padmé n’était pas le genre de femme à s’écraser ou à se laisser faire. Autant qu’il le sache bien assez tôt.
Elle se dirigeait donc vers la table du buffet pour se resservir. Elle hésitait franchement entre remplir son verre ou attaquer directement la bouteille vu la teneur de la soirée. L’étiquette de la fête la poussait à boire au verre, le descendant d’une traite d’ailleurs une fois qu’il fut rempli avant de se resservir une deuxième fois. Elle remarquait Lilith à côté d’elle. Elle avait sûrement dû voir la scène et Padmé lui lançait un sourire complice quand elle lui disait: « Je vous jure, il y en a qui mérite de sacré coup de pied dans le derrière. Ou autre part. Mais je ne laisserais pas mon pied s’aventurer dans cette zone. Un peu de respect pour mon pied. » Elle riait, levant les yeux au ciel pour enfin boire une gorgée de son troisième verre de la soirée.
ϟ La blablabla des riches, les vêtements chics (il y avait de la location là-dessous), et que ça fait des grands sourires, moi aussi je fais un magnifique sourire, mais si je pouvais ajouter un doigt en même temps, enfin heureusement, il n'y avait pas que de l'eau à boire, j'allais pouvoir me passer le temps à ma façon, c'est à dire picoler et observer. En faite, il manqué juste les armes, les nabots, les hurlements, le sang, mais je pouvais pas trop m'égarer, ici, nous étions pas à Pandora. Bon, nous étions dans une petite ville, il n'y avait pas que des lumières ici, mais la richesse devait bien débuter quelque part, comme avec ce gros naze là-bas ... Mais c'est qu'il se croyait charmant en plus, j'aimerais tellement voir un kangourou lui en foutre une, oui, oui, ça existe ! j'avais vue ça à la télé, les kangourous, c'est les animaux de la boxe, j'ai un immense respect pour eux, mais alors la ... Mon respect vient de grandir pour une seule et unique femme ! Oh p*tain, pour ce mec ça devait être la chute, je me retenais de rire, en faite j'avais envi d'exploser de rire, seulement, je devais me retenir, chose bien difficile, ce spectacle, attendez je me refais la scène. Un idiot qui se vante, qui drague comme une sorte de goliath, voir maraudeur ... Hum non il n'y avait pas de comparaison, bref et une femme qui lui jette le contenu de son verre à la figure. Le respect ? Vous voyez le respect entre le kangourou que j'avais, bien ce kangourou imaginaire était cette femme ! j'avais été payé pour surveiller cet homme, mais oui il voulait trompé sa femme, encore fallait-il qu'il y arrive, oh le boulet ! mais de quoi elle avait peur sa femme ? En faite, elle devrait même divorcer, ouais, c'est ce que j'allais lui conseiller. Retournons à mon kangou....Femme qui avait mon respect, je regardais celle-ci venir au bar pour à nouveau se servir, de mon côté, je terminé au une petite bouchée au paprika (excellente ces petites c*nneries de riches), avant que celle-ci ne prenne la parole. Quand quelqu'un vient t'adresser la parole dans ce genre d'endroit, c'est qu'il se fait ch*é comme un rat mort, bon même le rat mort était plus intéressant à regarder, car on pouvait voir son état de décomposition et évidemment, j'étais en train de changer de sujet, c'était peut-être le champagne ? Enfin revenons à nos ustensiles, euh ... Oui je devais avoir un coup dans le nez. Cette fois-ci j'eu un rire aux paroles de la femme. "Oh non pauvre pied, laissons le plutôt avoir cette défaite, il en aura bien d'autre, comme un kidnapping d'oreiller et un accès direct au canapé ... Peut-être même l'hôtel ? En tout cas, merci pour ce spectacle, car je suis en train de vider les bouteilles, d'ailleurs je vous sers ?" Et en plus Lilith, tu es une gentlegirl (si ça existe j'ai dis ! c'est dans le nouveau livret du vocabulaire de cette ville, il est dans la pochette au fond de ton c*l à droite). Les femmes vont obtenir le pouvoir ! mouahahah ! bref, sur cette courte pause de délire à la Lilith, revenons à ce gala. "Alors vous devez souvent venir dans ce genre d'endroit ? Car honnêtement, je passerais bien mon tour, mais bon, ça occupe, la nourriture est pas mal" , la boisson aussi mais la j'allais passer pour une ivrogne de première. A retenir sur ma machine à écrire virtuelle, bonne bouffe, spectacle parfois amusant, rencontre intéressante.
Impossible pour Padmé de se retenir de rire suite aux propos et au comportement de Lilith. Comme cette femme était solaire ! Elle rayonnait et sa lumière eut un excellent effet sur la brunette. Elle était plus que ravie de se trouver une complice d’un soir — et plus que d’un soir qui sait ? En tout cas, Lilith dénotait, comparé au gratin présent à la soirée, mais elle préférait des gens comme elle plutôt que ceux avec un balai dans les fesses. Padmé savait se tenir et respectait l’étiquette, certes, mais elle n’était pas frigide. Elle n’en oubliait pas son caractère et si quelqu’un outrepassait les limites et bien… Il se prenait un verre, voire plus, dans la tête. Personne ne marchait sur les pieds de l’ancienne reine. Souhaitant approfondir cette complicité avec cette nouvelle amie, elle n’hésitait pas à rentrer dans son jeu et à rebondir sur ses propos. « L’hôtel ?! Vous rigolez ?! Ce genre de types ne mérite rien de plus que le caniveau. Vous voyez, si j’étais sa femme… » Padmé marquait une pause et reconsidérait ses propos. Jamais au grand jamais, même sous la torture, elle aurait pu dire oui à un tel spécimen. Elle aurait préféré se jeter du haut d’un vaisseau par exemple, cela aurait été plus agréable que de vivre aux côtés de cet homme qu’elle voyait encore en train de pester auprès des gens qui tentaient de le nettoyer de cette boisson dont Padmé l’avait aspergé. Elle but une gorgée de son nouveau verre avant de se reprendre. « Non, en réalité, je n’aurai jamais pu être sa femme, j’aspire à un peu plus de classe. Je ne donne même pas l’heure à ce genre de types, que ce soit ici ou dans mon monde. D’ailleurs, dans mon monde, il n’aurait jamais osé me parler de la sorte. » Elle hochait la tête. Padmé savait que les hommes, en dehors des mercenaires en tout genre, dans son monde avaient un profond respect pour la hiérarchie et les statuts. Jamais personne ne se serait permis une telle inconstance avec elle, autant par rapport à son ancien titre de Reine, mais aussi en sa qualité de sénatrice. Là-bas, jamais personne n’avait cherché, ni même essayé de la rabaisser — chacun savait qu’ils se prendraient une volée de bois verts de la part de la jeune femme si jamais ils tentaient, puisqu’elle était connue pour sa répartie et sa langue acerbe. Padmé piquait, élégamment, et elle ne s’en privait pas. Même son mari ne s’y risquait pas ! Ou sauf quand ils voulaient mutuellement se taquiner. De toute manière, il avait bien trop de respect pour elle pour oser avoir ce comportement. Jamais il n’y avait eu de l’irrespect entre eux.
Sa soif encore loin d’être tarie, c’est volontiers que Padmé tendait son verre à Lilith quand elle lui demandait si elle souhaitait qu’elle la serve à nouveau. Une fois sa choppe remplie, l’ancienne reine trinquait avec sa compagne du soir avant de boire encore et encore. Elle n’en n’oubliait pas de lui répondre, un immense et beau sourire aux lèvres. « Oh oui ! Je me traine dans ce genre d’événement autant que possible. Ça m’évite de rester seule et de ressasser les mauvaises choses. Puis j’aime beaucoup ces festivités pour le faste et le beau monde, je le reconnais. Ça me rappelle mon monde et surtout, ça me permet de rencontrer tout un tas de personnes fort sympathiques, comme vous par exemple. » Padmé lui envoyait un clin d’œil complice. Elle savait faire des compliments aux gens et ne se retenait jamais de les dire. Elle était de loin la personne la plus sincère et ne savait pas dire les choses par politesse. Tout ce qui sortait de sa bouche, elle le pensait. Elle avait un air plus amusé quand Lilith évoquait les présupposées raisons de sa présence ici. « Étant donné que je doute que la nourriture, aussi bonne soit elle, soit l’unique raison de votre venue, pourquoi êtes-vous là si ce genre de fête n’est pas votre tasse de thé ? » Padmé ne cherchait pas vraiment à savoir les réelles raisons qui avaient poussé Lilith à se retrouver ici, surtout qu’elle était en mission. C’était juste une façon pour elle de prolonger agréablement la conversation autour de ce verre et de ces petit-fours.
ϟ Alors que je tenais toujours la bouteille d'une main, j'eu un rire aux paroles de la femme. "Oh mais c'est que je n'aurais pas dit mieux, enfin une femme qui sait ou placer un homme". Bien oui, les petites bip de ce genre, ça ne fini par sur les canapés, ni dans des hôtels (à moins pour faire des choses, non bref je veux pas être malade maintenant yeurk), ça fini dans les caniveaux ! pipi de chien, crotte de mouette, un petit cadavre caché de Lilith (Oops). Il faut mettre des verres à la figure des hommes, c'était bon pour le moral, bon certes après ça dépendait des hommes, puis ça dépendait du contenu du verre, voir si on balancé le verre tout court, dans ce genre de cas, c'était bien plus douloureux, surtout si on savait visé avec soin cette petite veine palpitante, mais la je pars à la dérive. Bien oui ma belle, cet homme était marié, horrible hein ? Même elle n'arrivait pas à l'imaginer, ça nous faisait encore un point commun. En ce qui concerné le monde de cette femme, j'arquais un sourcil, ouhou, mais ça ne rigole plus, il allait falloir que j'en sache davantage sur son monde, car la, elle venait de m'intriguer un truc de malade ! "Moi aussi je n'arrive pas à croire que ce type soit marié, sa femme devait sous l'emprise de la weed, car être c*n à ce stade c'est juste impossible, et pourtant j'en n'ai connu des c*nnards, mais lui tout de même, il bat son propre record". Quoi que ce beau Jack et sa licorne qui p*te n'était pas mieux. Servant la femme, je terminé la bouteille de mon côté, avant d'ouvrir une autre bouteille, le soirée serait encore longue. "Moi sympathique ? Merci, vous devez vraiment avoir un groupe qui craint ... De toute façon ce genre d'endroit, c'est pas mon délire, mais contente de vous rencontrez, oh moins, je vais changer un peu d'avis sur les trous du c*l de ces lieux, maintenant, je verrais une âme qui recherche un verre". Bande de coincé du troufignard va ! mais sauver le demoiselle en détresse, pas de soucis, je pouvais aussi sauver un homme, pas de problème non plus, du moment qu'il ... Hum bref, mon esprit s'en allait bien loin et ça devenait très cochon mouahahahahhah. "Alors je suis sympathique et vous vous faites quoi dans la vie ?" Oui elle avait deviné mon métier de sympathique, like a boss. Ah m*rde elle pose la question, prenant cette fois-ci le plateau de petit four, Oh my god c'était délicieux, je fini un petit toast avant de reprendre "Je viens surveiller l'arrosé, sa femme à peur qu'il l'a trompe, misère de misère, mon rapport sera simple et rapide, le divorce, il y a vraiment des gens qui se font du mal pour rien, bref, ça saute vraiment aux yeux que c'est pas mon genre de lieu, j'ai bousillé mon camouflage arf" dis-je amusée, mais pas étonnée de mettre fait remarqué, après tout, je n'étais pas très discrète.
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