( terminé ) Quand le cynisme est à son comble [ RP Whittouse ]

▿ Date de naissance : 15/06/1994

La journée avait pourtant commencée de façon habituelle, et pourtant là il était très agacé. Effectivement, cela faisait un moment qu'il attendait qu'un client se pointe : Un médecin d'un hôpital. Gregory House de son petit nom, l'hôpital avait appelé pour lui prendre rendez-vous, il avait donc aménagé son emploi du temps pour recevoir ce client atypique et voir ce à quoi il pouvait bien lui servir, même s'il imaginait que c'était au cas où il y ait des complications, des erreurs médicales, ce genre de choses... Ce n'était pas la première fois qu'il défendait un médecin, cependant ce n'était certainement pas dans ses affaires habituelles. Il avait pourtant l'impression que c'était quelqu'un qui l'avait recommandé pour ne pas s'occuper du Dr House et étant donné que celui-ci n'était visiblement pas pressé d'arriver, Jackson se décida un peu à lire son dossier en attendant.

Rapidement, il comprit pourquoi il avait cette impression, parce qu'il était clair que vu le bonhomme, personne n'avait envie de le défendre. Il ne connaissait pas encore son caractères étant donné qu'il n'y avait que les faits qui étaient reportés mais il comprenait aussi pourquoi cet homme avait grand besoin d'un avocat même s'il y avait des chances pour qu'il n'écoute personne, pas même son avocat, et qu'il fasse un peu ce qu'il veut. Il dirait bien qu'il n'avait jamais vu personne se comporter de la sorte néanmoins il était dans une ville de dingue et il y avait bien ce genre de personne, à commencer par lui-même. Bien qu'actuellement il s'était calmé, il fut un temps où il se pensait vraiment intouchable. Maintenant, il limitait les dégâts pour que son travail n'en pâtisse pas, ça ne voulait pas dire que tout le monde faisait pareil.

Une heure plus tard, n'ayant toujours aucune nouvelle du Dr House, il se décida à aller directement à l'hôpital pour rencontrer cet homme. Peut-être qu'il avait eu une urgence ou peut-être qu'il n'avait juste pas envie de venir, à dire vrai il s'en fichait, mais il fallait qu'il le voit en vrai au moins une fois pour savoir s'il y avait vraiment quelque chose à défendre chez lui ou s'il était une cause perdu. Ce qui serait tout de même étrange, pour un médecin. Il arriva au Grey Sloan Memorial Hospital et demanda où il pouvait trouver le Dr House, quelle surprise lorsqu'on lui a appris qu'il le trouvait certainement en consultation à faire semblant de travailler ou dans la chambre d'un comateux en train de profiter du câble gratuitement. Mais qu'il était facilement repérable parce que c'était le seul médecin avec une canne. Il n'était visiblement pas sortie de l'auberge, donc. Il ne se défrisa pas pour autant et alla directement à son bureau, le dit médecin n'y était pas mais comme il n'avait rien de prévu aujourd'hui, il avait tout son temps.

Il prit ses aises et se servit dans le bar improvisé que s'était visiblement fais le médecin, s'installant dans son siège tout en sirotant sa boisson et se permit de lire le premier dossier qu'il avait sous la main. Lorsqu'un homme, pas tout jeune, arriva dans le bureau, s'appuyant sur sa canne, il haussa un sourcil.

- Vous savez, être estropié ne vous dispense pas d'être à l'heure à vos rendez-vous, Dr House.

Spoiler:

▿ Date de naissance : 11/06/1975

Quand le cynisme est à son comble
@Gregory House x @Jackson Whittemore

Me foutre un avocat dans les pattes, c’était du grand n’importe quoi. Y avait des gens par ici qui se prenaient pour Cuddy et qui cherchaient à m’emmerder, c’était certain. Mais je n’allais pas rentrer dans ce petit jeu, ce n’était pas mon genre d’aller à un rendez-vous qu’on avait pris pour moi. Sans blague, j’avais mieux à faire. J’avais TOUJOURS mieux à faire…
La seule avocate qui avait eu un peu d’influence sur moi, c’était Stacy. Et honnêtement, j’étais bien content qu’elle ne soit pas ici, parce que premièrement je savais que j’aurais eu du mal à ne pas coucher avec elle, deuxièmement parce que si elle avait été là, j’aurais pu être obligé d’accepter un rendez-vous avec mon avocate et troisièmement… il n’y avait pas de troisièmement mais j’allais bien finir par trouver. En fait, je préférais éviter les ennuis… et qui disait « avocat » disait forcément « ennuis », ces deux mots-là fonctionnaient toujours ensemble, depuis toujours.

Les consultations de ce matin, après en avoir fait deux, la première ayant été écourtée par la deuxième qui, elle-même s’était terminée dans une chambre réservée en urgence sous, je devais le reconnaître, un prétexte fallacieux mais qui avait l’avantage de permettre à mon patient de pouvoir subir quelques examens pas très agréables mais super utiles pour déterminer ce qu’il avait. Avec les symptômes qu’il se tapait, je ne pouvais pas le laisser dans une de ces minuscules petites salles de consultations, il aurait frôlé la crise de claustrophobie en moins de deux et il aurait sûrement fait quelques dégâts après ça.
Bon, je savais que ce qu’il avait n’était pas extrêmement grave, mais il valait mieux que lui le crût. Alors branle-bas de combat pour le persuader qu’il ne lui resterait pas grand-chose à vivre s’il ne se bougeait pas le cul.
C’était pour sa fille, surtout, que j’avais fait ça. C’était une infirmière de l’hôpital et elle n’avait plus que lui… alors c’était important de préserver son cher pôpa… et en échange, j’avais un très bon alibi pour fuir les consultations. Et le rendez-vous avec l’avocat.

Mais quand j’arrivais dans mon bureau, mon siège était occupé. Et le type s’adressa à moi comme s’il savait qui j’étais. Je ne l’avais jamais vu, alors je tentais une feinte un peu pourrie, mais comme je n’avais pas de blouse blanche et que ma canne faisait penser à tout le monde que j’étais un malade…

« Excusez-moi, je cherche le docteur House… »

Un ton de voix un peu empressé, le regard balayant le bureau et semblant chercher l’introuvable, puis je repris :

« J’ai rendez-vous avec lui pour ma jambe… »

Certains jours, je me trouvais aussi génial que débile. Ce n’était pas nouveau. Mais je préférais tenter le coup plutôt que de m’avouer vaincu directement. Ça non plus, c’était pas mon genre… je pouvais être aussi tenace qu’un morpion bien installé là où vous pensez. Et puis, entre nous, s’il avait le temps de se bouger jusqu’ici, pourquoi il voulait me faire bouger, moi, un handicapé ? Ce n’était pas très cool de sa part.

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▿ Date de naissance : 15/06/1994

Jackson n'était pas l'homme le plus sympathique du monde, loin de là. Il affichait son air charmeur et parfait au boulot, surtout avec les clients, mais si ceux-ci n'en faisait pas l'effort, pourquoi lui s'en donnerait la peine ? Il en avait eu des clients dans son bureau, des sympas et des pas sympas du tout mais quoiqu'il en soit, il fallait bien trouver un terrain d'entente, ou alors Jackson les laissait tomber comme des vieilles chaussettes. Il n'avait pas de temps à perdre avec des gens qui n'en avaient rien à faire de finir en prison. Il aimait son travail et était toujours satisfait de trouver un accord concluant, pourtant, il n'aimait pas les gens. En tout cas, il s'en était convaincu, parce que les gens mentent, et les gens vous abandonnent. Il ne voulait surtout pas souffrir à nouveau, il était donc normal qu'il ne veuille plus se lier à personne.

Ce n'était pas son genre d'aller là où la personne à défendre se trouvait, mais il aurait pu aisément se déplacer directement jusqu'à l'hôpital si on lui avait demandé gentiment. Mais aucun message, aucun appel, aucune information l'informant que le Docteur House ne pouvait pas se déplacer jusqu'à son bureau et qu'il serait plus simple pour tout le monde qu'il vienne directement à l'hôpital. C'était dommage parce qu'au final le résultat était le même : il était venu à l'hôpital, juste que pour le coup le médecin dont il était question n'était pas au courant. Il s'était installé dans le bureau du médecin comme s'il était chez lui, buvant ce breuvage qu'il appréciait tout en cherchant dans les documents présents quelque chose d'intéressant. Lorsque l'homme arriva dans le bureau, il était certain que c'était le médecin qu'il attendait, raison numéro une : il était entré sans toquer.

Le temps de réaction entre sa question et l'homme qui faisait comme s'il était limite perdu, était aussi un point indicateur. Il pouvait se tromper, oui. Simplement, il était profondément persuadé que ce n'était pas le cas et qu'il était juste tombé sur un comique, tout ce qu'on lui avait dis sur lui et son casier judiciaire lui indiquaient que c'était forcément le cas. S'il voulait jouer à un petit jeu alors ils pouvaient être à deux à jouer, jusqu'à ce qu'un des deux perde patience. Il haussa un sourcil dubitatif alors que l'homme lui indiquait être venu justement parce qu'il avait rendez-vous avec le médecin qu'il cherchait. Comme par hasard, pour sa jambe. Parce que, comme par hasard, il était éclopé et comme par hasard, il venait se soigner pour ça. Mais Jackson était un serpent et il ne croyait pas à ces sornettes.

- Ah ouais ? Moi aussi, faites la queue.

Il se releva pour servir un verre au "patient" tout fraichement arrivé qu'il invita à s'asseoir face à lui d'un mouvement de main. Quand on vous dit qu'il se croyait chez lui, ce n'était pas peu dire.

- Mais je ne suis pas sûr qu'il pourra grand-chose pour vous, après tout il n'a pas réussi à sauver sa propre jambe.

C'était très bas même pour lui, mais s'il voulait que le docteur se trahisse tout seul, il n'y avait certainement pas mieux que de s'attaquer à son égo.

Spoiler:

▿ Date de naissance : 11/06/1975

Quand le cynisme est à son comble
@Gregory House x @Jackson Whittemore

Je n’aimais pas trop la situation. D’abord parce que je ne savais pas pourquoi ce type squattait mon bureau, ensuite parce que les histoires d’avocat, ça ne m’avait jamais intéressé. La seule avocate qui m’avait un jour intéressé, c’était Stacy Warner. Un cul d’enfer et des boobs de compète. Et au lit, autant dire que c’était le pied. Certains jours, elle me manquait. Un peu. Et d’autres jours, je me retrouvais aussi énervé et furieux contre elle que si elle avait été la cause de la mort de mon muscle de la cuisse. Mais c’était un peu sa faute, aussi. Elle et Cuddy avaient pris des décisions qui m’avaient valu de presque y rester, mais de souffrir éternellement. C’était typique des garces, ça, prendre mon corps en otage et puis…
Mais je m’égarais. Ce type n’avait rien à voir avec Stacy Warner ni avec Lisa Cuddy. Et encore heureux.

Ce type, donc, squattait mon bureau et semblait s’y être vraiment installé. Il s’était servi à boire un truc que je ne savais même pas que j’avais ici, et il semblait poireauter comme si j’allais débarquer et dire « oui amen » à tout ce qu’il allait dire. Mais c’était mort, c’était pas du tout mon mode opératoire.

« C’est bon, je reviendrai une autre fois. Chacun son tour et vous étiez là avant.»

Voilà. C’était clair et même poli.
Je refusais le verre, en prononçant un énième mensonge.

« Non merci, je ne bois pas. »

Qu’il vide la bouteille si ça lui chantait, ça devait être un cadeau de je ne savais plus trop qui… alors, ça n’avait pas d’importance. Et puis, personnellement, je préférais ne pas attendre les emmerdes. Par contre, il se permettait quand même de faire la langue de pute en m’attaquant de cette façon, mais j’avais l’habitude de faire face à des cons, alors, franchement, ça ne me faisait pas grand-chose d’entendre des trucs pareils.

« J’imagine que toutes les jambes ne souffrent pas de la même chose. »

Je n’avais pas renchéri parce que je savais bien que ça pouvait mal tourner. Et que même avec ma canne comme arme, je ne pourrais pas faire le poids face à un mec qui devait passer autant d’heures à la salle que j’en passais à regarder des épisodes de série.

Ma canne à la main, je pivotais donc pour m’éloigner. Ce serait ballot de rester là. Mon bureau était vitré de partout, comme un aquarium, et personne ne frappait donc jamais à la porte. D’ailleurs, d’une façon générale, je ne frappais jamais aux portes, je rentrais, simplement. Et quand on me faisait une remarque, je faisais l'andouille. C'est pas que ça passait super bien, mais ça me faisait suffisamment passer pour un con pour qu'on ne me fasse pas chier.
J’envisageais sérieusement de me trouver un endroit au calme pour passer le temps. J’avais encore quelques épisodes de « Maîtresses et patients » à regarder. Suffisamment pour me faire patienter jusqu’à la pause de midi. Après, j’aviserais… mais je trouverais bien une urgence qui m’appellerait ailleurs et qui serait certainement bien plus intéressante que ce squatteur de bureau.

« Allez, bonne journée ! »

Et je clopinais d’un pas assez lent pour ne pas avoir l’air de fuir, mais d’un pas assez rapide tout de même pour donner l’impression que je savais où j’allais. Le service d’orthopédie serait peut-être une bonne planque.

Mouette / Icon : tumblr

▿ Date de naissance : 15/06/1994

Dans un monde parfait, on ne prendrait pas Jackson pour un crétin né de la dernière pluie, il passait son temps à défendre des idiots et des andouilles ! Pas que ça l'amuse mais il fallait bien qu'il prenne des affaires pour gagner sa vie et sa chance était le fait qu'en face, c'était aussi des idiots et donc que même si son client était la pire andouille du monde, ne l'étant pas lui-même, il avait toutes les chances de gagner. S'il devait défendre les gars comme lui alors déjà il n'aurait pas beaucoup de travail et puis quand on a un peu de jugeote, on ne se fait tout simplement pas prendre ! On voyait assez de série et de films policier à la télé pour savoir commettre le crime parfait, se débarrasser des preuves n'étaient pas si difficile, le vrai problème c'était s'il y avait des témoins. Mais des témoins sont soudoyable ou influençable.

Et aujourd'hui, il avait en face de lui ce médecin qui se croyait malin à faire comme s'il était un patient lambda qui cherchait le Docteur House lui aussi, comme par hasard, et qui avait une patte folle aussi, comme par hasard. Beaucoup trop de hasard pour lui si vous voulez son avis et vu le genre de rigolo qu'était Gregory House, ça ne prenait pas, déjà pour la bonne raison qu'ils savaient une chose tous les deux : les gens mentent. La plupart du temps pour des raisons débiles et que même si on leur dit qu'ils vont mourir ou finir leur vie en prison, cela ne suffit pas à délier leur langue. Bon, Jackson n'allait pas jusqu'au point d'aller fouiller chez eux, déjà parce que généralement c'était déjà fais, il n'avait pas besoin de se salir les mains.

Il l'observa sans ciller tout en terminant son verre, il y avait des mimiques de menteur qui ne trompaient pas et généralement plus on est bon menteur, plus on sait le voir chez les autres. Jackson était un expert dans ce domaine pour la simple raison qu'il ne pouvait laisser personne voir le vrai lui, alors quotidiennement, il mentait sans que personne ne s'en rende compte. Il ne pouvait pas dire, Gregory était un fabuleux acteur, mais il y avait quelque chose qui ne collait pas avec le reste. Mais quoi ? ça, il ne saurait pas vraiment le dire. C'est juste que cet homme avait l'air plus intelligent que ce qu'il laissait paraitre. Un peu comme un meurtrier en série qui se ferait passer pour un idiot juste pour qu'on ne le soupçonne pas.

Jackson sortit son téléphone et appela le numéro qu'on lui avait donné pour joindre House, il ne pensait pas réellement l'utiliser même si ça aurait été bien plus simple de lui laisser un message depuis le début que de faire tout ce cirque. Mais Jackson n'était pas quelqu'un de simple et il avait du temps à perdre. C'est donc sans surprise que le téléphone dans la poche du patient se mit à sonner.

- Je crois que vous avez un appel.

Dit-il à l'homme qui lui tournait à présent le dos et qui pensait visiblement pouvoir se faire la malle sans s'être fais discrédité. Jackson se décida finalement à se lever tout en rangeant son dossier, laissant sa carte en évidence sur le bureau.

- Vous savez quand on fait ce métier, on apprend rapidement que les gens mentent. Pourquoi, ça, j'en ai rien à faire. En tout cas, quand vous en aurez marre de nous faire perdre notre temps, vous pourrez me recontacter.

En attendant il allait faire un petit tour à la direction de l'hôpital pour voir s'il n'y aurait pas de médecin un peu plus censé à défendre.

Spoiler:

▿ Date de naissance : 11/06/1975

Quand le cynisme est à son comble
@Gregory House x @Jackson Whittemore

Quand on venait me faire chier, il n’y avait pas grand-chose à attendre de ma part. Beaucoup de gens pouvaient en témoigner. Je n’avais pas envie de perdre mon temps avec un type qui n’avait pas une once de respect pour mon bureau et pour mes affaires. Même Cuddy n’aurait jamais fait ça. Ce n’était pas de l’audace, mais c’était de l’impolitesse.
En fait, je n’en avais rien à foutre. Je n’avais pas besoin de ce type, comme je n’avais pas non plus besoin de savoir ce qu’il foutait ici. Entre ses paroles, son attitude et ses manières, franchement, j’avais juste envie de lui cracher au visage. Mais ce n’était pas vraiment dans mes habitudes.

Et quand mon téléphone portable – pourtant toujours en silencieux ou en mode avion parce que je détestais qu’on m’emmerde même par écrans interposés – se mit à sonner, je me tournais vers lui pour lui offrir un admirable rictus.

« C’est ça, ça doit être ta mère, j’ai encore oublié mon portefeuille sur sa table de chevet après l’avoir payée. »

Il se leva enfin de mon bureau, mais je m’éloignai, arrivant à l’ascenseur avant de pouvoir entendre les mots qu’il m’adressait encore. Pas besoin de quelqu’un comme lui dans mon entourage. Il y avait quelque chose qui ne me revenait pas chez lui… Sans que je ne sache exactement si c’était son sourire, sa tête d’idiot ou toute sa personne qui me donnait cette impression. Le genre de mec imbu de lui-même qui se croyait investi d’une mission d’utilité publique alors que… oh comme c’est dommage, ce n’était pas le cas du tout.

Les portes de l’ascenseur se refermèrent sur moi et je montai au dernier étage. Là, je pourrais m’installer à la cafétéria et siroter toutes sortes de trucs plus ou moins sucrés. Faudrait peut-être que je change de numéro ou que je change de tête, mais je n’avais plus aucune envie d’avoir à faire à ce squatteur de bureau. A la réflexion… Ce serait plus facile de changer de numéro. Et si je ne le donnais pas à Cuddy, j’allais sans doute même pouvoir avoir un peu la paix, au moins pour quelque temps.
Ce serait parfaitement cool, ça. Une paix royale, ça me ferait du bien. Vraiment.

En attendant, je m’enfilais unn cappuccino avec un cookies aux trois chocolats. Le genre de truc capable de me foutre un bon coup de boost plein de glucides. Ça accompagnait toujours parfaitement un p’tit cachet de vicodin.

Mouette / Icon : tumblr

RP terminé.

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